La journée du lendemain de cette nuit de pure bonheur se déroula banalement ennuyeuse, sans le moindre intérêt à raconter; on a plus reparlé avec Mélanie de ce qui s’était passé la nuit dernière entre nous deux.
Lorsqu’il est l’heure d’aller au lit, je me suis ressouvenu de cette nuit là, et je redevins nerveux, et ma soeur aussi visiblement car elle a évité de me regarder depuis le retour dans notre chambre…
"Euh, on devrait peut-être dormir séparément dorénavant…"
"…"
"Kev’?"
"Euh oui, dis-je, je vais me coucher sur le fauteuil à présent"
"Ok" dit-elle avec soulagement.
Nous lîmes pendant une bonne heure jusqu’à ce que je décidais de me lancer.
« Tu sais pour hier soir » commençais-je.
« Nen parlons plus tu veux bien ? » me supplia-t-elle.
« ok, comme tu voudras désolé »
« Cest pas grave, cest plutôt moi qui suis désolé de teenfin, de tavoir gnnnh gnnnh tu vois ? » dit-elle rouge comme une tomate.
«oui, je vois »
« »
« si sa peut te rassurer, sache que tu branles très bien » dis-je sur le ton de la plaisanterie.
« Haha (rire nerveux), bah merci »
« De rien »
« bon, ben bonne nuit, et tu restes sur le canapé hein ? »
« Promis soeurette ! Bonne nuit ma belle»
Puis on sendormîment profondément. Soudain, je me réveilla en sursaut à cause dun cauchemar.
« Ouah, quel horreur » murmurais-je essoufflé encore sous le choc.
5h du mat ? Et merde, jai plus que 3h de sommeil pensais-je.
« Méli ?…tu dors ? »
Pas de réponse. Une idée perverse vint me traverser lesprit une seconde, mais je la chassais de ma tête, me dégoûtant moi-même.
Malheuresement, rien que lidée me fit bander comme un Stifler. (Rf : Américan Pie^^)
Alors, doucement et à pas de loup, je me levais, puis marchais vers le lit où dormais ma sur.
Arrivé à destination, je marrêtais brusquement et me dis dans ma tête :
Mais tes bien, retourne te coucher et laisse là tranquille. Oh cest bon, au pire si elle te surprends tu nas qua dire que tu avais froid et puis voilà
Puis je me glissa sous la couette, de lautre côté du lit.
Comme la veille, je recommençais à tripoter ma sur. Ma main droite, sur son sein gauche, la gauche sur ma queue, et mon pied droit sur sa culotte, puis, je mactivais sur les 3 points sensibles.
Miam quel délice me dis-je.
Dès que je commence alors à venir, jarrête tout, et essaye de me retenir après être sur que je nallais pas exploser, je vérifies si ma sur dors toujours
R.A.S, tant mieux.
Le problème, cest que javais toujours la trique, puisque je me suis retenu. Je me levais donc pour aller dans la salle de bain quand je me suis dit :
Pourquoi aller te branler dans la salle de main, alors quil y a une superbe créature dans ton lit ? Surtout que cest ta sur adorée mon ptit kevin
Alors je me remis sous la couette et commençais à aller plus loin que je naurais dutoui, jenlevais mon boxer, ainsi que la culotte et le T-shirt de ma sur.
Je caressais son corps tendrement avec mes cinq membres disponibles. Jentremêlais mes jambes aux siennes, mes mains se baladant sur sa poitrine, ma bouche lembrassant sur la bouche, puis redescendant sur son coup, puis sur ses merveilleux seins, et ma queue se frottant délicatement sur son superbe cul, objet de plus de la moitié de mes fantasmes, puis remontant sur sa cuisse, puis vers sa chatte. Je commence alors à lui lécher les seins, puis à les mordre avec amour. Je continus en me mettant sur elle, comme pour le missionnaire, il faut que jailles plus loin, me dis-je, il faut que je pénètre ma petite sur , alors javais pris ma décision et commença à positionner ma queue vers lentrée de cette grotte interdite, puis…
« NON MAIS SA VAS PAS !!! CEST QUOI TON PROBLÈME ? DÉGAGE DE LA PUTAIN »
« euh écoute, je peux tout texpl »
« OH MERDE »
Puis ma sur éclata en larmes.
« Méli, pardon, je suis désolé, méli »
CLAC
Ma première vrais baffe de ma sur.
« Jeje rêves làdîtes moi quque cest un rêve mon dieu, pleura t-elle, Tutu mas violée ? Moi, tapropre sur !!! »
« NON ! pas du tout, j’te le promet méli, jai rien fait du tout, tu as ma parole. »
« Dégage de ma chambre DÉGAGE !!! » cria t-elle
Alors je pris mon pantalon posé sur une chaise et partis précipitamment en oubliant mon boxer.
En refermant la porte, je lentendis encore pleurer. Et merde, mais quel con je suis, oh merde, je suis dans la merde
La suite au prochain épisode…
