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"A genoux…" – Chapitre 4

"A genoux..." - Chapitre 4



Cela faisait deux semaines que Jacques et moi avions débuté notre relation ; il s’occupait de mon initiation au sexe entre hommes avec beaucoup d’ardeur, je dois dire. J’avais découvert une zone de plaisir dingue grâce à mon vaillant quinquagénaire, et il n’allait pas s’arrêter là… Mon homme m’avait emmené dans un bar gay, gardant un air mystérieux quant à ses véritables intentions, et jetant régulièrement un il sur son téléphone. Après avoir bu quelques coups, Jacques m’invita finalement à me lever, et nous nous dirigeâmes vers l’arrière-salle du bar, sans que j’aie aucun doute sur la suite de la soirée…..

Un escalier plus tard, nous arrivions dans petit couloir cossu paré de décorations rouges. Excités comme nous l’étions par l’atmosphère du bar, nous ne pouvions nous empêcher de nous bécoter pendant le trajet. Les gestes de Jacques étaient de plus tactiles à mesure que nous nous éloignions du regard des clients du bar, et dès que nous étions totalement à l’abri des regards mon mentor me caressa franchement ; il me conduit ainsi jusqu’à une porte du couloir. À peine entrés nous nous sommes roulés une pelle sensuelle, Jacques m’allongea sur le lit grand format qui s’offrait à nous, la petite chambre dans laquelle nous étions entrés était subitement témoin de nos caresses, de notre si beau baiser, des embrassades de nos langues. Allongé sur le lit, j’appréciais peu à peu le corps du Jacques qui collait au mien, mon propre corps se mettait à onduler sensuellement, alors que je sentais la langue de mon homme parcourir mon cou, ma main caressant ses cheveux grisonnants. Il s’éloigna cependant de mes bras :

"Sois patient mon petit, tu es tellement attirant quand tu es chaud comme ça mais il va falloir te calmer un peu…"

— Quoi, mais on s’est à peine embrassés ?!

— Je te demande juste de patienter pendant que je m’absente quelques minutes. En attendant, prépare ton cul…"

Clac ! Il agrémenta ses mots d’une belle fessée ; "ton joli petit cul…" susurra-t-il en s’éloignant de la chambre avant de fermer la porte. Je repris mon souffle et jeta un coup d’il appuyé à la pièce. Sans fenêtres, un faible éclairage donnait une teinte rougeâtre à la chambre. Quelques bières bouteilles étaient posées sur une étagère ; j’en décapsulai une avant de poser mon regard sur le radio-CD qui traînait sur le meuble. Je m’allongeai sur le lit en terminant la bière.

C’est alors que la porte s’ouvrit. Un homme mûr bien bâti rentra tranquillement dans la pièce. Crâne rasé, le visage fin, seules quelques rides trahissaient son âge. On le devinait fin mais assez costaud, sous sa veste d’été son t-shirt moulait un torse sec et un peu musculeux. Il me dépassait d’une bonne demi-tête, et une expression de satisfaction émanait de son visage quand il posa les yeux sur moi.

"Antoine, je présume" fit-il d’une voix franche, toujours en souriant. "Un ami que nous avons en commun m’a dit beaucoup de bien de toi…" L’ami en question se tenait derrière le bel inconnu. Jacques referma la porte, tandis que son comparse contournait le lit tandis que je suivis du regard. Je n’osai pas dire un mot, n’étant pas sûr de ce qui allait arriver. Jacques me rassura :

"Je te présente Yannis, un compagnon que j’ai rencontré durant un de mes voyages. Nous étions ensemble en déplacement en Grèce, et nous nous sommes vite trouvé une passion commune.."

— Ha…euh, enchanté Yannis.."

Celui-ci avait enlevé sa veste en mettait un album des Queen of the Stone Age dans l’appareil radio-CD. Pas forcément très musclé, son torse saillant et on crâne rasé lui conférait cependant une apparence terriblement virile. Les premières notes de batterie résonnaient, Yannis revint alors vers le lit, sa démarche accentuée par la lumière rougeâtre qui baignait la pièce.

Yannis – "Je ne refuse jamais un plan organisé par mon vieil ami Jacques ! Surtout comme nous avons un partenaire tel que toi Antoine "

Moi – "merci, euh, ok…"

Jacques – " Alors mon coquin, tu as perdu ta langue ? Tu paraissais pourtant bien inspiré tout à l’heure.."

J’étais en fait très gêné, je n’avais réellement fantasmé sur le fait de coucher avec 2 hommes en même temps…devant Jacques je n’avais plus de gêne, je ne calculais pas mes actes, j’ignorais comment je devais me comporter devant un parfait inconnu. Certes il était plutôt attirant, mais d’une certaine manière je me trouvais de nouveau novice dans ce domaine.

J – "Calme-toi mon Antoine, prends ton temps, reprend une bière…" Décapsuler une bière avec le chanteur en fond sonore avec un côté très rock, j’avalai quelques gorgées d’alcool, le temps pour Yannis de s’asseoir sur le lit et de se rapprocher de moi. Jacques commença à me caresser la joue du bout de ses doigts, c’est dingue comme il pouvait jouer le mec attentionné…

"C’est ça, détends-toi…ne t’inquiètes pas, toi et Yannis allez faire un peu plus ample connaissance…"

Je reposai la bière, profitant de la musique derrière, "A Song for the Dead".

Y – Mais Jacques, pourquoi ne commencerais-tu pas avec notre jeune ami, rien que pour le mettre à l’aise ?

J- En voilà une idée ! Qu’en penses-tu mon minet ?" Me demanda-t-il tendrement.

Comme seule réponse, je me levai et aller l’embrasser sur la chaise ou il était assis. Je devenais un peu plus instinctif, peu importe qui nous regardait, je me rapportai toujours à ma passion, mon homme et maître, mon Jacques…J’étais debout penché sur lui, les deux mains caressant son visage pendant que nos langues se rejoignaient. Ce salaud embrassait divinement bien, c’était vite très bon, je ne pouvais résister…Il se leva lui aussi, nous reprîmes notre étreinte là où nous l’avons laissée en rentrant, pendant que Yannis assis sur le lit profitait du spectacle de nos caresses, la musique toujours percutante.. Mes instincts primaires se réveillaient au contact de mon homme, je redevenais excité et Yannis aussi. Très doucement, il vint se rapprocher de nous, nous étions maintenant collés, moi entre les deux hommes mûrs…Yannis embrassa d’abord l’arrière de mon cou tandis que je galochai Jacques, des baisers très fins, et naturellement sa main vint caresser mes fesses moulées par le jean serré que je portais. Et là, plus de retour possible pour moi.

De dos, je pris les mains de Yannis pour les plaquer contre mes fesses, j’arrivais enfin à faire preuve d’audace à nouveau ; la musique nous entrainait, Jacques m’embrassait dans le cou pendant que Yannis me pinçait les fesses, j’adorais ça ! Puis il fit remonter lentement une main pour m’attraper une hanche, collant son pantalon au mien, pour exciter ce pervers je me mis à faire des mouvements de bassin pour frotter mes fesses à la demi-molle qu’il avait. C’était trop excitant, je faisais des mouvements de salope pour imiter une levrette imaginaire, ses mains guidant mes hanches. Jacques avait lui déboutonné sa chemise, il retourna s’asseoir me laissant entre les mains de ce bel homme qui me tripotait…

"Je vous laisse faire connaissance tous les deux, j’ai l’impression que vous allez bien vous entendre"

Y – Ne t’inquiète pas, je vais bien m’occuper de ton petit minet…tu vas me faire faire des folies mon petit Antoine, tu es très bandant…

Et là, bim, je me lâche : comment faire pour prendre autant de plaisir avec Yannis qu’avec Jacques ?

Moi – J’aime bien comment tu me caresses, Yannis, laisse-moi être ta salope…

Y – Petit pervers va !

Ce fut ses derniers mots avant qu’il me retourne et m’embrasse avec passion, très vite nos mains se baladèrent sur le corps de l’autre sans aucune gêne, ce grand viril de Yannis trouvant un plaisir non dissimulé à masser la bosse qui se formait dans mon jean. J’enlevai rapidement son T-shirt blanc serré, découvrant un large tatouage sur le torse représentant des ailes stylisées à la mode métal. Quand Yannis commença à me déshabiller, Jacques commença lui à se caresser l’entrejambe. "Under my Thumb, there you are…" La radio continuait de passer les Queen of the stone age, nous nous embrassions au son des riffs de guitare, je m’accrochais à ce corps viril avec son torse lisse, j’avais envie d’être un peu dominé et j’agissais en conséquence, avec une attitude un peu féminine…faire bander Jacques constituait un petit défi auquel je m’attelais avec passion.

Y- Allez, à genoux maintenant…tu aimes cette phrase, hein ?

M – Vas-y, je t’obéirais…

Y – Va dire bonjour à mon engin petite fiotte !

Tout excité par son langage, mon amant d’un jour se retrouva vite à poil, me mettant nez à nez avec une bite de belle taille, fine et peu poilue. Je lâchais quelques baisers sur son chibre lorsque Yannis me rappela à l’ordre : "enlève tes mains ! ". Je m’exécutai, et mon dominateur se mit à me biffler gentiment, ce qui eut l’effet de vite le faire bander. Il m’empoigna alors la tête et se mit à m’enculer véritablement la bouche, il était presque violent ! J’acceptai sans broncher mon rôle de fourre-bite, j’avalai consciencieusement la belle queue qui m’était offerte… Je profitai de ma position, lui debout et moi lui pompant le sexe, pour glisser mes mains sur ses belles fesses fermes ; pendant que le suçai, reprenant mon rythme, je me permis de lui glisser un de mes doigts vers sa rondelle, ce qu’il apprécia visiblement ! J’avais faim de sa bite, je lui léchai les couilles pendant que mon doigt jouait avec son anus.

C’est alors que Jacques, ne tenant plus en place, cessa de se masturber pour se jeter sur moi, me relevant avant que j’aie pu faire jouir le mâle dont je m’occupai :

"Tu as enfin décidé de venir mon homme"

J – vous êtes trop bandants tous les deux, j’ai une trique d’enfer et besoin d’une petite pipe pour la calmer !" Dit-il en agrémentant ses paroles avec une belle claque sur mes fesses.

Y – Viens, profitons ensemble du fion de ce jeune dépravé !

Le nouvel arrivant me roula une pelle bien baveuse, Yannis s’occupait lui de la raie de mes fesses, préparant mon cul aux futurs assauts de mes deux amants qui n’allaient pas se priver. J’eus donc le plaisir de sentir sa main caresser mon anus, faisant des aller-retours comme pour caresser un clito, pendant que je galochai Jacques, les mains autour de son cou comme une fille.. Les deux bites en belle érection qui m’entouraient m’excitaient de plus en plus et je ne pouvais décidément plus m’en passer. Yannis s’assit sur le lit et Jacques me dirigea vers lui, et je compris vite le message : je montrai mon cul à Yannis, qui s’empressa de continuer son travail de sape et me mit directement deux doigts dans le cul, sans autre préliminaire qu’un bon crachat dans l’anus ! Penché comme je l’étais, je pouvais donner quelques coups de langue sur la bite à Jacques pendant j’accueillais avec envie les caresses de Yannis sur mes fesses.

Bien préparé, je pus m’asseoir sur les 28 cm dressés de Yannis, même si j’ai dû m’y reprendre plusieurs fois pour que ce braquemart rentre bien en moi ! Excités par les encouragements de mes amants, je me mis vite à faire des mouvements de bassin pour dompter cette pine, je sentis les poils de couille de mon étalon, de mon dos il me prenait les hanches pour accélérer mes mouvements. Le résultat était dantesque, le compagnon de Jacques me remplissait à chaque coup de boutoir, me laissant presque le souffle coupé à chaque fois, mais j’en redemandais très vite ! Pendant ce temps Jacques s’accroupissait et léchait alternativement les couilles de Yannis et mon fion, puis se positionna de manière à me caresser la queue. Je me faisais défoncer comme une sex-doll, Yannis n’avais aucune retenue et j’aimais bien ça, la douleur initiale se transforma très vite en plaisir dingue, j’aurais voulu avaler totalement sa bite avec mon anus si c’était possible..

Moi – Hmm, vas-y fourre-moi, viole-moi !

Y – C’est qu’elle est gourmande cette salope !

J – Surtout lâche-toi, regarde comme il aime la bite !

Y- Attends un peu, je vais le fourrer bien comme il faut !

Aussitôt dit aussitôt fait, Yannis se redressa et me mis à genoux, Jacques se mit en face de moi et en profita pour me fourrer sa queue dans ma bouche. J’allais me faire baiser des deux côtés, et mes deux amants commencèrent à se défouler : je ne contrôlais plus rien, ma tête était contrôlée par mon homme tandis qu’en s’agrippant sur mes hanches Yannis me donnait des coups de boutoir bien violents, heureusement mon cul ne semblait jamais avoir de limites. Les testicules de Yannis claquaient contre mes fesses, je me faisais violemment limer et je criais ma passion de la bite à chaque mouvement de bassin. Bon, avec la bite de Jacques qui m’obstruait la bouche, on n’entendait pas grand-chose ! C’était une sorte d’apothéose, de summum du défonçage.. Jacques, n’y tenant plus, jouit directement dans ma bouche, sans prévenir. Dès lors qu’il se retira, je pus enfin crier mon amour pour la bite de Yannis :

— Oui, oui, ouiiiii !!! HAN OUI, DEFONCE-MOI !!!!!!!

Je me branlai tant bien que mal sous les assauts de mon bourreau et explosa dès le premier mouvement de poignet. Yannis finit par se libérer et libéra de belles quantités de semence qui atterrirent pêle-mêle sur mon torse et ma bouche grande ouverte. La séance de baise se termina par nos trois corps enchevêtrés : on se caressait et s’embrassait, en attendant que la musique cesse ; décidément je ne regrettai pas cette audace de mon amant en titre…

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