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Adultère de ma mère? – Chapitre 3

Adultère de ma mère? - Chapitre 3



Ce fut la dernière fois que je les vis passer un bon moment ensemble même si je me doutais que cette histoire a continué un peu.

D’ailleurs, ma mère m’apparut vite comme perturbée quelque temps après ce deuxième acte durant lequel je les avais surpris et elle ne faisait plus de rab ni de déplacement. Son patron avait embauché une nouvelle employée charmante qui avait dû remplacer maman ou peut-être était-il revenu à de meilleurs sentiments vis-à-vis de son épouse.

Je ressentais, à travers les conversations de ma mère sur son boulot, qu’elle nourrissait un certain ressentiment contre son patron, voire de la jalousie envers certaines collègues. Mais leurs relations professionnelles restaient relativement courtoises.

Il souhaita un jour que maman suive des cours de perfectionnement au traitement de texte, bien utile pour son travail. Ceux-ci devaient débuter juste après les vacances de fin d’année. Elle se rendit donc pendant six mois le lundi matin dans un organisme de formation, sur le temps du boulot.

D’après ce qu’elle nous disait, c’était un petit groupe de dix personnes dont cinq hommes.

L’un d’eux, Frédéric, revenait souvent dans la conversation car peu doué pour l’informatique et du coup pas intéressé par le cours mais apparemment bien déconneur. Il travaillait dans une agence d’intérim et d’après maman, avait vingt-cinq ans.

Elle n’avait pas été super emballée à l’idée de suivre ce stage mais au bout d’un mois il me sembla qu’elle y allait avec beaucoup plus d’allant. Etait-ce l’apprentissage, l’idée de quitter un peu l’environnement du boulot ou la rencontre avec de nouvelles têtes qui la rendait guillerette ?

De plus, sa tenue assez stricte jupe ou robe et chemise était souvent remplacée le lundi par des vêtements plus cool, type jean ou jupe mi-cuisse, tee-shirt, qui la rendait plus jeune il faut l’avouer. Même sa nouvelle coiffure (cheveux mi long ondulés) lui allait parfaitement.

Un lundi matin du mois d’avril, après le petit-déjeuner, je me préparais pour aller à la fac quand je vis ma mère devant le miroir de sa chambre. Elle était seulement vêtue d’une jolie petite culotte noire en dentelle et se regardait dans la glace sous toutes les faces.

Elle ne voyait pas que je l’observais. Elle estima que la culotte n’était pas assez bien car elle changea encore deux fois de dessous avant d’enfiler un slip rose en dentelle à travers lequel je voyais nettement la raie de ses fesses et sa jolie foufoune. Il était franchement sexy et sympa pour une rencontre galante, plus surprenant pour une journée ordinaire. Ce dessous dut lui plaire car elle le garda, mis le soutien-gorge assorti (tout aussi transparent) et un collant couleur chair, se parfuma, également au niveau du bas-ventre. Elle s’habilla également d’un tee-shirt très près du corps et d’une jupe en jean arrivant au-dessus du genou, avec les boutons devant.

Là encore, elle se tortilla devant le miroir pour voir comment les vêtements moulaient son corps bien joli puis finit par se coiffer. Elle faisait super jeune dans sa tenue du jour et m’apparaissait très séduisante.

Elle avait envie de plaire, cela ne faisait aucun doute.

J’étais de nouveau devant un dilemme : est-ce que je me faisais des idées ou était-ce une nouvelle idylle était en cours ? Vu ce dont j’avais été témoin, la deuxième option me semblait plus que crédible.

Nous sommes partis quasiment en même temps de la maison, je l’ai félicité un peu ironiquement pour sa tenue. Elle me remercia et me parut satisfaite d’avoir été complimenté par un jeune. Elle était joliment maquillée et son parfum embaumait les environs.

Le centre de formation se trouvait non loin de mon amphi, je décidais donc de m’y rendre à la fin de la matinée afin de voir si cette tenue était destinée à quelqu’un, avant que maman ne rejoigne son lieu de travail.

Je suivis mes trois heures de cours puis je me rendis devant le lieu du stage de ma mère, ma voiture garée entre épi entre d’autres. J’avais une vue dégagée vers l’entrée du bâtiment.

J’attendais depuis cinq minutes dans la voiture quand les premiers stagiaires sont sortis. Maman suivait dans sa tenue élégante, accompagnée d’un jeune homme assez costaud et plutôt mignon. Ils riaient tous les deux. J’en déduisis assez vite qu’il s’agissait de Frédéric.

Tout le groupe discuta quelques minutes puis maman fit une bise à chacun et partit vers le parking, suivie du bellâtre. Ils s’arrêtèrent juste derrière le véhicule de Frédéric, qui se trouvait à quelques mètres du mien.

Ils se parlèrent encore quelques instants. Maman en profita pour fouiller dans son sac à main et sortir un paquet de cigarettes.  

Elle avait donc toujours son vilain défaut ! J’avais cherché à la maison la trace d’un paquet de cigarettes mais je n’avais rien trouvé. Je pensais qu’elle le laissait au bureau ou qu’on l’alimentait. Mais non, apparemment elle en avait acheté un le matin avant d’aller en stage.

Maman bouffait aussi des yeux Frédéric, c’était clair !

Elle tira une dernière taffe sur sa cigarette, qu’elle jeta à un ou deux mètres (l’écologie était encore balbutiante à cette époque). J’attendais le moment de la séparation Ils se firent trois bises appuyées sur les joues, maman attrapant le jeune homme par l’épaule alors que Frédéric mis sa main juste sous la ceinture de la jupe, presque au niveau des fesses.

Je vis que cela ne la laissa pas indifférente et elle sembla s’éloigner presqu’à regret. Frédéric en profitait pour lui mater le cul, moulé dans sa jupe en jean. Ils se firent un dernier salut de la main et partirent en voiture chacun de leur côté.

Il ne s’était rien passé mais j’éprouvais une drôle de sensation, comme un malaise. Il ne manquait qu’une étincelle pour embraser leur relation ! Maman cherchait à séduire le jeune homme et Frédéric me paraissait plutôt enclin à jouer le mâle dominant.

La soirée et le reste de la semaine se passèrent normalement mais je voyais bien que les lundis, les tenues et la lingerie étaient plus sexy que le reste de la semaine.

Deux semaines après cette épisode, quelque chose aiguisa ma curiosité : maman décida subitement d’aller faire du shopping le samedi matin, tantôt dans un magasin de fringues, tantôt dans une grande surface. C’était d’autant plus surprenant que les courses familiales étaient réservées au vendredi soir, mon père accompagnant ma mère dans l’hypermarché proche de notre domicile.

Un samedi fin mai, elle se leva relativement tôt et m’indiqua vouloir profiter du beau temps pour aller acheter des fleurs à planter à la jardinerie. Mon père jardinait déjà. Mais elle me parut bien pomponnée pour y aller : robe assez moulante légère et courte bleue à petites fleurs, décolleté bien prononcé (je ne voyais pas trace d’un soutien-gorge), chaussures à légers talons, maquillée et ongles des pieds et des mains bien faits. Ca sentait le rendez-vous galant ! Je lui proposai de l’accompagner mais elle refusa et comme j’insistais, elle me dit que mon père aurait sans doute besoin de moi dans ses travaux extérieurs. Ben voyons !

Comme je lui demandais vers quelle heure elle comptait rentrer, elle me dit vers midi.  Trois heures pour acheter des plantes, ça faisait beaucoup ! Il ne fallait pas me prendre pour un naïf.

J’attendis son départ pour me précipiter dans ma voiture et la suivre de loin. Je la suivais à distance pour ne pas me faire repérer mais je sus rapidement que j’avais raison. Elle prit la direction opposée à la jardinerie.

Mais nous ne roulâmes pas longtemps, dix minutes tout au plus. Maman entra dans un lotissement et alla se garer derrière une maison individuelle un peu éloignée des autres.

Je m’arrêtais à l’entrée du lotissement et je la vis de loin entrer dans la maison. Mais que faire ? J’hésitais à me risquer à m’introduire dans une propriété privée mais je voulais savoir. Je garais mon véhicule et allait à pied devant la propriété. Je pouvais être vu par n’importe qui, notamment ma mère, et j’aurais eu du mal à justifier ma présence ici (elle aussi d’ailleurs).

Je fis vite le tour et comme j’arrivais derrière la maison, j’entendis deux voix. Je me cachais derrière un gros sapin proche de la demeure, vis maman et comme je le redoutais Frédéric dans la véranda toute vitrée de son domicile apparemment. Je les voyais distinctement entre les branches de sapin : ils étaient assis sur un long canapé l’un à côté de l’autre et s’embrassaient à pleine bouche tout en se caressant mutuellement. Frédéric était torse nu et en short.

Il remontait sa main le long de sa cuisse et sous sa robe, pelotait ses seins. Maman touchait son corps musclé, tout en l’embrassant sur la bouche, le torse.

Passés ces préliminaires, ils se levèrent et maman enleva sa robe, son slip italien tout en transparence, pendant que Frédéric se mettait nu. Ces préliminaires l’avaient manifestement bien stimulé car son sexe était au garde-à-vous. Les rougeurs sur le corps de ma mère trahissaient également son excitation.

Ils continuèrent à lutiner quelques instants quand maman entreprit de masturber et de faire une fellation à son amant, qui appréciait le traitement administré. Après cinq minutes, il releva ma mère, l’allongea sur le canapé et mit son visage entre ses cuisses. Quel spectacle !

Maman lui disait des mots d’amour, ce qui encourageait le jeune homme. Il se releva, embrassa ma mère et lui dit qu’il allait chercher un préservatif. Elle resta jambes écartées, face à l’endroit où je me trouvais, en attendant la pénétration. Frédéric revint avec le sexe toujours en érection, s’allongea sur elle et ne se fit pas prier pour se glisser à l’intérieur de la foufoune peu poilue de maman.

Le coït dans cette position dura quinze minutes. Ils en avaient envie tous les deux, ils se donnaient à fond. Frédéric, sentant le plaisir monter, se retira, enleva sa capote et éjacula sur le ventre de ma mère. Ils avaient joui tous les deux, c’était manifeste.

Ils se remercièrent mutuellement de ce moment intense passé ensemble, se rassirent sur le canapé pendant que maman essuyait son ventre avec un mouchoir. Ils restèrent assis en s’embrassant et comme de coutume après l’amour, maman fuma une cigarette.

Rapidement, le désir refit surface et Frédéric retrouva la forme. Maman prit place sur lui et c’est sans forcer qu’il s’introduisit en elle après qu’elle eut placé un capuchon sur le sexe de son partenaire. Elle montait et descendait sur lui en changeant de rythme, pendant que l’homme la tenait par la taille. Il lui demanda alors si elle pratiquait la sodomie, ce à quoi elle répondit que non, qu’elle avait toujours eu peur d’avoir mal. Il n’insista pas mais il se dit sans doute qu’il retenterait sa chance un autre jour. Au bout de dix minutes, Frédéric indiqua à ma mère qu’il allait venir. Elle se retira, enleva la capote et reçut toute la semence dans sa bouche.

Maman fuma encore deux autres cigarettes, Frédéric une, en câlinant et discutant, il était déjà 11h15. Maman demanda si elle pouvait prendre une douche. Ils quittèrent la véranda tous les deux et vu le temps passé à la salle d’eau, je soupçonnais un troisième accouplement sous la douche.

Ma mère réapparut vers 11h45, clope au bec. Frédéric lui dit qu’elle fumait trop. Elle lui répondit qu’elle avait tenté d’arrêter mais que c’était difficile. Elle s’apercevait que son paquet durait grand maximum un jour et demi. Ils s’étreignirent longuement en guise d’au-revoir. Frédéric lui dit qu’il avait hâte de retrouver ce joli cul tout en le caressant. Elle lui répondit d’être patient jusqu’au samedi suivant, qu’elle avait adoré mais qu’ils se verraient le lundi quoiqu’il arrive. Il lui mit les doigts bien au centre des fesses en appuyant à travers la robe sans dire un mot. Ce geste était parfaitement compréhensible. Maman se dégagea un peu en lui disant « non » en riant.

Je retournais rapidement à ma voiture sans me faire voir avant qu’elle ne quitte les lieux et rentrait à la maison. Maman arriva dix minutes après moi, avec quelques plantes (alors là c’était fort, elle avait dû les acheter la veille car elle n’était pas passée à la jardinerie).

Elle se changea rapidement et alla mettre sa tenue dans le panier à linge sale. Je me précipitais dans la salle de bain, sa culotte était toute humide et sentait bon le gel douche d’homme

Ce fut l’ultime fois que je la surpris en pleine adultère mais je me doutais bien que cette histoire avait duré encore quelques semaines. Frédéric se lassa sans doute de cette « cougar » et je n’ai jamais su s’il avait obtenu le fruit interdit.

J’ai hésité à parler à maman de ses infidélités, à mon père ou à ma soeur mais je ne l’ai pas fait. Je doute qu’elle sache que je l’ai vu trois fois faire l’amour à d’autres que mon père.

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