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Alain, ancien professeur – Chapitre 20

Alain, ancien professeur - Chapitre 20



Deux semaines sont écoulées depuis sa dernière visite au domicile de Christophe et Isabelle. Un matin, Alain prend conscience que de penser à la jeune femme ne réveille aucune manifestation de désir. Inquiet, il fait lacquisition dun godemiché pour contrôler que lintroduction a toujours le même effet sur son sexe. Las Echec total. Peut être, se console-t-il, que lutilisation dun tel engin doit se faire par une personne extérieure ? Sur qui peut-il compter en dehors de Christophe et Isabelle ? Doit-il sinviter chez eux ou attendre quon le relance ? Alain balance puis opte pour la première solution. Ses amis ne lui ont-ils pas seriné quil pouvait venir quand il voulait ? Il tombe sur Christophe, ravi du coup de fil.

— Amènes-toi tout de suite, on tattend.

— Tu ne travailles pas ?

— Non, RTT.

— Quest-ce que cest ?

— Quelque chose que tu ne connaissais pas dans lenseignement : récupération du temps de travail. Mais dit, au fait. Tu as lair surpris de mentendre. Tu voulais voir Isabelle seule à seul ?

— Non, pas du tout, je suis enchanté que tu sois là

Isabelle le reçoit sur le pas de la porte. Elle nest vêtue que de son déshabillé transparent.

— Tu nas pas peur dune émeute dans le quartier ?

— Bah ! Je ne reste pas assez longtemps visible pour que les gens soffusquent Embrasse-moi, commande-t-elle après avoir refermé.

Il lenlace et prend les lèvres quelle lui tend.

— Hum ! Hum ! Et moi ? On moublie.

Alain se dénoue dIsabelle et embrasse Christophe sur les joues. Il nose pas encore sur la bouche.

— Bon, va te préparer, nous tattendons dans le jardin.

Se préparer ça veut dire se déshabiller. Il grimpe dans la chambre qui lui est réservée et pose ses vêtements sur le lit et enfile la robe de chambre quil laisse à demeure.

  Ses amis sont allongés sur des matelas de plage placés cote à cote. Ils prennent le soleil en tenue dAdam et Eve comme à leur habitude. Alain quitte sa robe de chambre et sinstalle entre eux à la place quils lui ont préparée.

— Tu nous laisses tomber, ce nest pas gentil.

— Comment ? Je me suis empressé de répondre à ton appel il ny a pas longtemps, souviens-toi !

— Cétait il y a deux semaines se plaint Isabelle, depuis silence radio.

— Euh Jai été occupé.

— Bon, on ne ten veut pas. Embrasse-moi pour te faire pardonner.

Elle glisse à sa rencontre. Leurs bouches se joignent. Couchés sur le coté, ils se caressent le dos et les fesses. Christophe rampe sur les coudes pour se rapprocher. Il passe la main entre les fesses de son ami.

— Tu nous as manqué, tu sais. Isabelle adore ta façon de faire lamour.

— Christophe aussi, renchérit sa femme.

Alain tremble. Lui aussi meurt denvie de sintercaler entre eux pour recevoir Christophe et combler Isabelle, mais en sera-t-il capable ? Il se laisse caresser par le couple qui prend possession de son bassin, elle devant, lui derrière. Isabelle frotte le gland contre les lèvres de son sexe. Christophe écarte les globes fessiers et appuie sur lanus du bout de sa queue tendue.

— Aah !

Christophe pousse. Dans le cul son dard glisse sans effort. Isabelle présente le gland à louverture du vagin. Un coup de rein le propulse en avant. Patatras ! La queue cède et glisse au lieu de pénétrer. Isabelle tente de rétablir la situation. Elle positionne la tige. Christophe pousse à nouveau. Nouvel échec. La déception est forte. Alain éjacule brusquement dans les doigts et entre les lèvres intimes de la jeune femme qui tentait par des caresses sur la tige de restaurer la rigidité.

— Je suis désolé Je ne peux plus Je peux plus, je peux plus.

— Quest-ce quil tarrive ? interroge Isabelle qui le serre dans ses bras.

— Je peux plus Même avec ton aide Christophe, je peux plus.

Un gros sanglot secoue les épaules dAlain. Son ami qui continu à donner de lents coups de rein, veut le consoler.

— Bon, aujourdhui ce nest pas ton jour, demain ça ira mieux.

— Tu ne comprends pas !

Le pauvre est au bord des larmes.

— Jai déjà essayé sans succès. Avec vous jespérais Vous étiez ma dernière chance

Christophe se retire perturbé par le chagrin de son ami. De sentir son sphincter se libérer augmente le chagrin dAlain.

— Je suis fichu, je ne sers plus à rien. Cest plus la peine que je vienne, je ne suis quun vieillard inutile.

— Ne dis pas de bêtise, le calme Isabelle, tu caresses à merveille. Souviens-toi quand nous navons pas de queue à notre disposition. Ça aussi cest terminé ?

— Euh Je crois que non.

— Alors ? Nest-ce pas une façon de faire lamour ? Et Christophe, as-tu pensé à Christophe ? Tu aurais la méchanceté de lui refuser tes fesses ?

— Oui, moi qui me fais chaque fois une joie de thonorer.

— Mais

— Mais quoi ?

— Je ne peux plus en contre partie

— Tu ne peux plus me baiser quand il tencule ? linterrompt-elle. Et alors ? Tu napprécies plus sa queue ?

— Euh Si.

— Caresse-moi et laisse-le soccuper de ton cul.

— Tu crois ?

— Puisque je te le dis.

Elle lembrasse. Il se calme et commence à patouiller la poitrine de la jeune femme. Derrière son ami reprend place. Il écarte les fesses. Après avoir assoupli lanus avec lindex, il plante sa queue.

— Aah !

— Caresse-moi, supplie Isabelle qui rampe pour présenter son ventre aux doigts et aux lèvres dAlain.

Il enserre le bassin de sa maîtresse et aspire le clitoris. Il est heureux que ses amis le soutiennent. Il continuera à venir aussi souvent quils le désireront.

Isabelle se tord sous les coups de langue. Alain est un lécheur de première ! Avec Christophe et Lucas pour la baiser, cela suffit à son bonheur. Elle gémit, tortille sur ses fesses. Christophe ahane de plus en plus fort et éjacule dans un cri. Alain est fier de leur jouissance.

Ils se serrent les uns contre les autres jusquà ce que leur respiration redevienne régulière.

— Tu vois que nous pouvons jouir ensemble ? Tes rassuré ?

— Vous êtes de vrais amis, murmure Alain dont le cur déborde de gratitude.

— Cest pas tout ça. Que nous as-tu préparé pour le repas ? demande Christophe à sa femme.

— Mais je Commence Alain.

— Je sais ce que tu vas dire linterrompt, Isabelle. Non, tu restes ici, cest un ordre !

— Bien maîtresse !

Ils posent leurs robes de chambre sur lépaule et entrent dans la maison se laver.

Manon, accompagnée de Lucas, les trouve entrain de discuter devant un verre dapéritif.

— Bonsoir tout le monde !

— Bonsoir les amoureux ! dit Christophe. Passé une bonne journée ? On ne vous attendait pas si tôt. Allez vous mettre en tenue, nous passerons à table.

— Déjà ? Nous naurons pas droit à lapéritif ?

— Mais si ma grande. Dépêchez-vous !

Manon entraîne Lucas en courant dans lescalier. Se mettre en tenue, cest se mettre au diapason de la maisonnée, cest à dire enfiler une robe de chambre ou un peignoir sur sa nudité.

— Je constate que Lucas sest bien intégré, sourit Alain.

— Oui, cest un brave garçon, répond Isabelle.

— Il nous sommes content quand il nous rend visite, renchérit son mari.

Les jeunes redescendent. Alain sourit. Manon porte son déshabillé transparent qui met en valeur son corps de jeune fille. Elle sassied à coté de son père. Il passe le bras sur ses épaules.

— Viens ici toi, ordonne Isabelle en sadressant à Lucas.

— Peux-tu servir ces jeunes gens Alain ? demande Christophe dont la main se referme sur un sein. Je suis occupé.

— Avec plaisir, sempresse-t-il.

— Il y a longtemps que je tavais pas vu, déclare la jeune fille. Tu tes bien amusé avec Maman et Papa ?

Le brusque rappel de sa défaillance perturbe Alain. Il pâlit et retombe assis sur son siège en poussant un gros soupir. Manon sinquiète.

— Quest-ce que jai dit de mal ? Excuse-moi, je ne voulais pas te faire de la peine.

— Alain a un problème, explique Isabelle.

— Oui ma petite Manon, ajoute celui-ci, un gros, gros problème. Jen suis revenu à létat où tu mas connu quand nous avons commencé les révisions.

— Je ne comprends pas Euh… Tu veux dire… Euh… Tas pas pu faire lamour ? Même avec laide de Papa ?

Hochements de tête affirmatifs.

— Ben ça alors !

— Mais il est capable de caresser, affirme Isabelle.

— Ah ! Tant mieux ! Nest-ce pas Lucas ?

Celui-ci approuve sans conviction. QuAlain baise ou non, cela lindiffère, pourvu quon ne lui empêche pas de faire lamour aux deux femmes de la maison.

— Euh Jaime bien être caressé moi aussi, implore Alain dune petite voix.

— Cest vrai, affirme Isabelle nous sommes de gros égoïstes qui ne pensons quà notre propre plaisir. Allez ! Aidez-moi à lui démontrer combien on laime.

Ils se précipitent tous les quatre sur Alain, lentourent de câlins, de baisers, de tendres attouchements. Il ne se défend pas, heureux dêtre patouillé, de toucher des seins, fouiller des sexes, soupeser des testicules. Il ferme les yeux. Il manchonne une queue dans sa main. Il la lâche pour chatouiller des testicules. Sa paume se pose sur la rondeur tendre dun sein. Une langue fouille sa bouche. La joue qui frotte contre la sienne est râpeuse. Une autre langue la remplace, plus douce. Sa verge est enveloppée de salive. Un doigt perce son anus.

— Aahmmh !

Une bouche étouffe son gémissement. Une autre suce la semence que sa verge dilatée mais toujours souple éjacule. Il ouvre les yeux. La figure dIsabelle est toute proche, un sourire extatique aux lèvres. Dans son dos Christophe sactive, tandis que Lucas pourfend Manon accroupie entre les jambes dAlain. Il sourit. Ses amis noublient pas leur plaisir ! Tant mieux, son bonheur aurait été incomplet sil avait été le seul à jouir. Les deux femmes lempêchent de se lever. Il caresse le sexe dIsabelle et les cheveux de Manon. Elles gémissent sous les coups de rein de leur cavalier.

Christophe saffaisse suivi de près par Lucas. Au bout de quelques secondes, il libère sa femme.

— Jai faim ! On va manger ?

— Oui Papa, tout de suite, rétorque Manon.

Elle se lève brusquement déséquilibrant Lucas qui tomber à la renverse. Alain laide à se relever.

— Je te remercie, lui dit-il.

— Euh De quoi ? Sétonne le jeune homme.

— Davoir participé à mon bonheur.

Lucas rougit. Il ne pensait pas prendre autant de plaisir à caresser les fesses dun homme.

— Oh ! Ce nest rien.

Alain lentraîne vers la salle à manger où les autres les attendent.

Après le repas, Christophe les entraîne dans le salon où Isabelle leur sert le café.

— Tu veux quon prépare ton lit, Alain ?

— Non, je vous remercie, mais je préfère rentrer.

— Comme tu voudras. Et toi Lucas, tu couches ici ?

— Euh

— Bien sûr quil couche ici ! sécrie Manon.

— Tu prends le lit dAlain ?

— Dis, Papa ! Tu te fiche de nous ? Tempête sa fille.

— Cétait pour te taquiner. Viens sur mes genoux me dire que tu me pardonnes.

— Ça je sais pas, minaude-t-elle en sasseyant sur la cuisse de Christophe.

Son déshabillé est largement ouvert. Son père la maintient par lépaule et de sa main libre parcours la poitrine, le ventre et le dessus des cuisses. Alain extrait Lucas de son fauteuil et le conduit dans les bras dIsabelle.

— Embrasse-la, elle en a envie.

Elle le remercie dun sourire avant de prendre les lèvres du petit ami de sa fille. Par la porte du salon, Alain regarde les deux couples sembrasser.

— Bon, murmure-t-il, les voilà casé. Je peux partir.

Habillé, il revient prendre congé. Manon à quatre pattes sur le tapis, supporte son père qui la prend en levrette. Ils ne le voient pas. Isabelle étendue sur le canapé, Lucas installé entre ses cuisses, lui fait signe.

— Tu Ten va ? Bafouille-t-elle sous les coups de rein de son jeune amant.

— Oui, je vous souhaite une bonne soirée.

— Mer Merci Reviens Reviens vite Nous voir.

— Je te promets.

Il se penche et embrasse la jeune femme sur le front. Après une dernière caresse sur un sein, il quitte la pièce laissant derrière lui les gémissements et les soupirs exhalés par les participants.

Alain rentre chez lui soulagé. Daccord, il est revenu au point où il en était plusieurs mois en arrière quand il avait constaté son impuissance. Mais aujourdhui il ne se laissera pas enfermer dans son désespoir. Il ne peut plus baiser ? Cest dommage, bien dommage, mais ce nest pas la fin du monde. Il est capable déprouver du plaisir et mieux den procurer. La porte dIsabelle et Christophe lui est ouverte ? Autant en profiter au lieu de se confire dans ses regrets, sa conduite est toute tracée

Trois mois se sont écoulés. Alain debout devant sa glace repense à sa nouvelle vie. Cest vrai que la pénétration lui est interdite. Il en souffre parfois, mais les compensations ne sont pas à négliger. Alain regarde dun il critique sa silhouette. Il fronce les sourcils devant un bourrelet de graisse disgracieux aux hanches. Il faudra corriger ça, et vite ! Il a négligé sa gymnastique journalière ces derniers temps. Il se promet de recommencer.

Ses amis lont convaincu de ne pas espacer ses visites, sa soi-disant faiblesse sexuelle nest pas une excuse valable, lui ont-il rétorqué quand il a manifesté léventualité de venir moins souvent. Il ne le regrette pas. Chaque fois quil franchit le seuil de leur maison, son amie exige des caresses et ne le libère que lorsquil la fait jouir. Lorsque Christophe les rejoint à son retour du bureau, il honore son épouse ou son ami au gré de lhumeur de sa femme, ou les deux si le travail ne la pas trop fatigué.

Manon suit les cours à luniversité. Elle partage un studio en ville avec Lucas qui, pour ne pas se séparer de la jeune fille, a abandonné la préparation des concours des grandes écoles. Le jeune couple passe la plupart des week-ends chez les parents de la jeune fille. Christophe, prétextant que Lucas profite de Manon la semaine, accapare sa fille, même Isabelle nobtient quavec peine le droit de la caresser. Il ne tolère que les jeunes fassent lamour que sil peut enculer en même temps le garçon. Celui-ci accepte la situation dautant mieux quil adore jouer à lhomme sandwich et quil trouve en Isabelle une belle maman compatissante.

Aujourdhui en ce vendredi soir, Alain se prépare à rejoindre ses amis. Il espère que le jeune couple partagera leur week-end. Sils sont là quand il rend visite, Christophe consent que le prof en retraite consacre un couple dheure pour réviser avec eux les cours de math et de physique. Ensuite, place au plaisir. Alain admire leur endurance sexuelle et participe à sa manière à la folie générale. En cours détreinte, il prodigue ses caresses aux couples en action et après lamour, calme les acteurs en promenant ses mains sur tous leurs corps pendant quils retrouvent leur respiration. Pour le remercier, ils ne manquent pas de lembrasser, le caresser en terminant par une fellation pratiquée par lun ou lautre de ses quatre amis complétée souvent par une pénétration

Alain séloigne de la glace. Il est temps de se préparer. Quel dommage, oui quel dommage que Marie ne soit plus là pour laccompagner. Elle aurait apprécié

Fin de la quatrième et dernière partie.

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