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Alain . . . – Chapitre 9

Alain . . . - Chapitre 9



La dernière rencontre avec Alain et son invité Patrick est, jusqu’à maintenant, une des meilleures expériences que j’ai eues aussi bien au niveau du plaisir que celui d’être de plus en plus dévergondée. Je suis tout à fait consciente que je le dois à Alain, mon amant dominateur.

Vous avez compris que ce Patrick est un adepte de la sodomie. Fort heureusement pour moi, j’accepte et aime la pénétration anale.

Je suis au travail, j’ai une pensée pour Alain, je lui envoie un SMS.

Coucou Alain, comment vas-tu depuis l’autre jour ?

Salut, je vais bien. J’espère que toi aussi.

Je vais bien, merci.

Tu es au travail ?

Oui, je travaille le matin, je quitte à 14H00. As-tu envie d’une petite pipe si ta femme n’est pas là ?

Elle n’est pas là, elle rentre vers 19H00.

Si tu veux, je passe quand je quitte le travail, c’est-à-dire vers 14H30.

Tu veux ? D’accord, avec plaisir.

J’ai envie de te sucer, à tout à l’heure. Bisous.

Très bonne initiative ! A tout à l’heure ma suceuse.

Nos SMS s’arrêtent là. Je continue à travailler jusqu’à 14H00. Je suis radieuse du fait de savoir que je vais aller voir mon dominateur, cela fait quelques jours que nous ne nous sommes pas vus.

Je me gare comme à mon habitude devant sa porte de garage. Je descends de la voiture, la porte s’ouvre, Alain dépose un baiser tendre sur mes lèvres et me fait entrer.

Ta femme n’est pas en déplacement en ce moment ? Tu ne m’appelles pas.

Non, elle reste à son bureau, et donc elle revient que le midi et en fin de journée, ses heures sont variables. Alors ce n’est pas facile de prévoir quelque chose.

D’accord. Je ne vais pas traîner, je suis venue pour te faire une bonne pipe et je repars. Moi aussi, je ne dois pas trop tarder.

Tu as donc envie de sucer et tu as pensé à moi. C’est bien.

Oui, j’ai envie de sucer, et en ce moment, mon mari est fatigué quand il rentre le soir que même il en refuse ma bouche. ! Si tu n’étais pas libre, j’aurais été dans l’obligation de trouver une queue à me mettre dans la bouche. (En rigolant.)

Tu es si accro à la pipe que ça ? Tu le ferais ?

Franchement ? Oui, je suis capable de le faire.

Pourquoi pas ! Et tu m’expliques après.

Ne me prends pas au mot quand même.

Alain prend ma main, la pose au niveau de la braguette. Une belle bosse est formée.

Tu vois l’effet que tu me fais à me dire des choses pareilles ! Tu es fière ?

Oui, je le suis. Assieds-toi sur le canapé que je te détende.

Pour une fois, ce n’est pas lui qui dirige les choses, mais moi. Il déboucle son pantalon, le baisse jusqu’à ses chevilles en même temps que son caleçon, puis s’installe confortablement.

Viens me détendre, j’en ai besoin.

En effet, sa verge est déjà en forme. Je prends un petit coussin pour protéger mes genoux de la dureté du carrelage, m’agenouille, prends sa queue dans ma main en donnant de petits coups de langue. Il me regarde.

Tu es quand même une belle salope pour me demander de passer chez moi juste pour me tailler une pipe.

J’en suis une oui. J’ai envie de sucer depuis ce matin que je suis au travail.

Pourquoi tu n’as pas fait une pipe à ton boulot ce matin ?

Parce que je n’avais rien à me mettre dans la bouche. (En lui souriant)

Pour le faire taire, j’ouvre la bouche en grand et avale cette queue maintenant raide complètement dans la bouche jusqu’aux amygdales, puis remonte lentement en prenant garde que mes lèvres prennent bien la forme de son sexe, en creusant les joues.

Hum… Oui, j’aime cette façon que tu as de sucer !

Alors, laisse-toi aller, j’ai envie de te faire jouir et d’avaler ton sperme.

Ma main gauche prend possession de ses testicules pour les malaxer doucement, pendant que ma main droite le branle au rythme de ma bouche qui le pompe dans des allées et venues rapides.

Nathalie, calme-toi, tu vas me faire venir !

Je l’entends, mais ce n’est pas pour autant que je ralentis la cadence de mon pompage. Je sens son sexe se gonfler, signe avant-coureur de son éjaculation.

Hum… Tu suces trop bien !

Ses paroles me motivent à continuer, et un premier jet vient taper sur ma langue, les autres envahissent ma bouche. J’avale au fur et à mesure, sans en perdre une goutte.

Lui affaiblit de s’être fait vider, moi fière de l’avoir soulagé, je me redresse, repose le petit coussin sur le canapé et me relève.

Je te remercie Alain de m’avoir permis de te sucer. C’était très bon.

Tu es une vraie pipeuse.

Je sais… (En adoptant un air espiègle.)

Tu as le temps de boire un verre avec moi ?

Oui, mais vite fait parce que je dois aller faire des courses maintenant.

Nous nous installons à la table de sa cuisine.

Comment as-tu trouvé l’expérience avec Patrick l’autre jour ?

Au début, j’étais un peu coincée et gênée. Puis je me suis détendue. Pour finir que j’ai adoré.

Il est bien hein ?

Oui, franchement, c’est un mec bien.

Tu as envie de le revoir ?

Si tu décides de le revoir, je ne dis pas non. J’avoue avoir aimé me faire prendre par vous deux, et j’ai adoré vous sucer en même temps.

Et si je te propose d’aller le rejoindre seule dans un hôtel ?

Moi seule avec lui ? Dans un hôtel ?

Oui.

J’aimerai mieux que tu sois présent. Même si tu ne participes pas, au moins que tu me regardes. Et tu sais que j’aime que tu me regardes.

J’aimerais que tu ailles avec lui dans un hôtel, et qu’ensuite tu passes me voir pour m’expliquer.

Eh bien, si tu le sens bien, pourquoi pas ? Mais il va vouloir que mon cul. Parce qu’apparemment, il ne voit que par mon cul.

Oui, c’est vrai. En plus, c’est un adepte de la sodomie. Puis il est tombé amoureux de ton cul.

C’est toi qui vois. Tu as juste à me dire ce que j’ai à faire. Bon, il faut que je parte.

Je te tiens au courant très vite.

Ma mission de le soulager avec ma bouche est accomplie, je peux à présent aller faire mes courses avec un arrière-goût de semence de mon dominateur dans la gorge.

Je suis dans une grande surface de la banlieue de Périgueux, dans le rayon viennoiseries, quand je ressens un regard insistant me regarder dans le dos. Par instinct, ou bien par curiosité, je me retourne. Mon intuition ne s’est pas trompée, un homme d’une trentaine d’années, frêle, de petite taille que j’estime à environ 1.65 mètre, cheveux bruns courts, habillé d’un pantalon jeans bleu et d’un sweat-shirt gris.

Quand son regard croise le mien, ses yeux se baissent pour regarder dans l’étagère croissants et pains au chocolat.

Tout en restant indifférente à ce jeune homme, je continue mes achats de viennoiseries pour le petit-déjeuner de mon homme qui aime partir au travail avec l’estomac plein.

De fil en aiguille, je me trouve dans le rayon fruits et légumes quand je revois ce jeune homme juste à côté de moi à choisir des melons. Nos regards se croisent, mais cette fois-ci, j’ai le droit à un sourire de sa part que je lui retourne.

Je m’éloigne de lui et prends mon téléphone portable pour envoyer un SMS à Alain.

Je suis dans le magasin à faire mes courses, un jeune homme me tourne autour.

Il est mignon ?

Ce n’est pas mon style, mais il est a un certain charme. Pourquoi ?

Tu as toujours envie de sucer ?

Non, je t’ai bien sucé, puis je n’ai pas beaucoup de temps.

Tu n’as pas envie d’aller le sucer dans les toilettes publiques par exemple ?

Non, puis je n’ai pas le temps. Tu aurais aimé ?

Peut-être… Mais on se le fera une prochaine fois.

Pourquoi pas ? Bisous.

Une fois mes courses terminées, je me mets dans la queue d’attente de la caisse et attends patiemment. Nous sommes en heure de pointe, j’ai le temps de regarder à droite et à gauche. C’est alors que je revois le jeune homme dans la file d’à côté. Il se crée un jeu de regards et de sourires entre nous sans aller plus loin.

Une fois que j’ai payé mes courses, je vais à ma voiture pour ranger les courses dans le coffre tout en balayant de temps en temps autour de moi pour voir si j’aperçois mon petit dragueur discret. Je ne l’ai pas revu.

Le soir, mon mari revient du travail un peu plus tôt que d’habitude, moins fatigué. Nous mangeons ensemble, après nos douches, nous allons au lit vers 23H00. Comme je fais toujours, je dors nue, tout comme mon mari.

Ses mains commencent à me caresser la poitrine, le corps en m’embrassant. De ma main, je saisis son sexe déjà dur, le masturbe puis me glisse sous la couette pour le prendre en bouche. Je le suce avec toute la science que je peux lui donner, j’ai envie de le faire jouir avec ma caresse buccale, mais je comprends qu’il a envie de me prendre.

Il se glisse entre mes cuisses, sa langue me prodigue un cunnilingus digne de ce nom. Je mouille, j’ai envie de sa queue, je lui en fais part.

Il me chevauche, présente sa queue devant mon trou vaginal très humide, qui ne demande qu’à être rempli, l’enfonce.

Mes jambes écartées, je suis sur le dos en position du missionnaire, pendant que mon mari me donne des coups de reins. Je jouis, il s’excite fort en moi, se retire, place sa queue entre mes seins que je comprime pour emprisonner son sexe et lui infliger une branlette espagnole.

Continue à me branler entre tes gros seins, tu vas me faire venir. Ouiiiiii ! C’est bon !

Je reçois son liquide chaud entre mes deux globes, il se redresse et finit sur mon visage.

Notre rapport sexuel n’a pas été long, mais intense. Après un passage dans la salle de bain pour me nettoyer, je le rejoins dans le lit pour s’endormir tous les deux comme une masse.

Le lendemain matin, je me lève à 5H00 pour aller au travail. Mon mari est encore au lit. Quand je suis sur le point de partir de la maison, je vais le réveiller pour lui faire un bisou.

Dans la matinée, je reçois un SMS d’Alain.

Coucou, peux-tu me donner tes jours de repos à venir ?

Je regarde le planning, le jeudi et le vendredi de cette semaine, je suis de repos.

Je ne travaille pas jeudi et vendredi. Une idée en tête ?

Oui, une belle idée en tête. Tu vas aller rejoindre Patrick à l’hôtel un de ces deux jours, j’organise avec lui et te dis rapidement.

Crois-tu que ce soit une bonne idée seule avec lui ?

Oui ! Je veux que tu le fasses !

Puisque tu le désires, je le fais. Tiens-moi juste au courant.

Je n’ai pas de nouvelle d’Alain de toute la matinée. Les heures passent, je suis dans l’incertitude si vraiment j’ai envie d’aller rejoindre cet homme, seule dans un hôtel. Au moment de monter dans ma voiture pour rentrer chez moi, le téléphone portable retentit. C’est un SMS.

Rendez-vous vendredi à 15H00, hôtel XX, chambre 65, Zone industrielle XX à XX.

Je réfléchis quelques instants, tout aussi hésitante, puis me lance.

D’accord. J’aimerais que tu sois présent.

Je ne le serai pas. Mais tu m’expliqueras.

Tu es sûr ?

Oui !

Je dois suivre quelles consignes jeudi une fois que je serai avec lui ?

Je te dis ce soir par mail.

D’accord.

Ma journée se poursuit, la soirée arrive, mon mari est en train de bricoler sur sa moto, je profite de cette occasion pour aller consulter ma boîte mail. Quelques nouveaux messages sans importance dans la rubrique messages reçus, et, un mail de mon dominateur.

xx XXXxxXXXxx

Nathalie,

Comme convenu, je t’envoie ce mail pour te donner les consignes concernant l’après-midi de vendredi avec Patrick.

Il sera déjà dans la chambre, tu n’as pas besoin de passer par l’accueil, tu vas donc directement à la chambre numéro 35.

Il exige de toi une tenue provocante, genre bas noirs autofixants, minijupe la plus courte que tu as dans ta garde-robe. (Si elle est au ras de tes fesses, ce n’est que mieux.). Des chaussures à talons aiguilles de la hauteur que tu as. Tu peux porter n’importe quel haut à partir du moment qu’il soit au maximum décolleté. Dernière précision : un soutien-gorge, pas de culotte.

Tes yeux maquillés en noir, un rouge à lèvres plutôt dans le rouge. Tes cheveux attachés en queue-de-cheval.

Tu es au courant qu’il est adepte à la sodomie. Prépare ton cul, fais-toi un lavement comme la dernière fois. Par contre ! Il n’est pas impossible qu’il te prenne aussi autrement que par le cul.

Une dernière chose. Le temps que tu sois avec lui, tu es sa soumise.

Ne me déçois pas !

Bisous ma coquine.

Alain.

Je lis ce mail deux fois pour être sûre de l’avoir bien compris, et prends un peu de temps pour lui répondre.

Alain,

J’ai lu avec attention ton mail. J’ai bien compris que le temps que je suis avec Patrick, je suis sa soumise par ton intermédiaire.

Je ne vais pas te décevoir. Je ferai tout ce qu’il me demandera.

J’espère seulement que Patrick soit seul à m’attendre, je ne veux surtout pas avoir la surprise de me retrouver devant deux ou trois hommes.

Tu peux donc confirmer à Patrick que je serai au rendez-vous.

Bisous mon dominateur.

Nathalie.

xxXXXxxXXXxx

Dans trois jours, nous sommes vendredi. J’ai un mélange d’appréhension et d’excitation, car je ne cache pas que ce Patrick est séduisant.

Vendredi arrive à grands pas. Il est 8H00, je n’ai même pas fait la grâce matinée, mais en plus, je ne suis pas du tout fatiguée. Je pense qu’au fond de moi, je suis de plus en plus excitée.

J’ai pris soin d’aller voir sur Internet l’adresse de cet hôtel que je ne connais pas. Il se trouve dans une zone artisanale, et dans celle-ci, plusieurs établissements hôteliers sont implantés.

12H30 ! Je commence à me préparer. Une longue douche, un lavement anal méticuleux, trois passages de shampoing aux cheveux, un passage de crème hydratante sur la totalité de mon corps.

Maintenant que je suis toute propre et fraîche, un séchage des cheveux, une queue-de-cheval, je peux passer au maquillage. Un mascara noir pour le contour de mes yeux, un rouge à lèvres rouge sans être vif, un parfum discret et me voilà prête.

Je passe à l’habillage. Une jupe très courte qui arrive au maximum trois centimètres du bas de mes fesses, des bas autofixants de couleur noire, un tee-shirt moulant laissant apparaître un profond plongeant au niveau de ma poitrine.

14H15 ! Le GPS me dit 20 minutes de trajet. Je vais être un peu en avance, mais j’attendrai un peu dans ma voiture pour être à l’heure précise.

Je prends la route, je suis angoissée, légèrement nerveuse, avec une petite boule au ventre.

14H40 ! Je vois la voiture de Patrick, je me gare à côté de celle-ci. J’ai un peu de temps, j’ouvre les vitres des quatre portières pour fumer une cigarette avant d’aller le rejoindre. Des multitudes de questions me viennent à l’esprit. (Est-il vraiment seul ? est-il nu ou habillé ? Vais-je le retrouver allongé sur le lit la queue à la main ou bien debout dans la chambre ?… )

Stop ! Je me pose trop de questions, je suis en train de me mettre le stress ! Je descends de la voiture, trouve un peu de temps la porte numéro 65. Mon cur bat la chamade ! Ma bouche est soudainement sèche ! Je frappe trois coups.

La porte s’ouvre, quelques secondes après, Patrick est devant moi, toujours aussi charismatique.

Bien Nathalie, tu es très précise dans les horaires.

Bonjour, oui, j’essaie toujours d’être à l’heure.

Entre.

J’entre dans cette chambre d’un hôtel d’une grosse chaîne que tout le monde connaît.

Alain t’a tout dit ?

Oui, je pense.

Qu’est-ce qu’il t’a dit ?

De me mettre en jupe très courte, maquillage soft, queue-de-cheval, un décolleté plongeant.

Il ne t’a pas parlé d’une autre chose ?

Heu… Non. Il aurait dû ?

Mon angoisse monte un peu plus dans ma poitrine. Je m’attends au pire. Je ne vois pas ce qu’il veut dire.

Il ne t’a pas parlé d’un lavement ?

Ah si. Je l’ai fait.

Très bien ! J’exige trois choses de ta part. La première est que tu sois soumise à mes envies, la deuxième que tu me donnes ton cul autant de fois et de temps que je le souhaite, et enfin la troisième, que tu suces. Bien compris ? !

Oui, bien compris. (En baissant les yeux.)

Je ne sais pas pourquoi, peut-être mon intuition féminine, mais je sens que je vais passer un moment que je ne vais pas oublier de si tôt.

Patrick s’approche de moi, me tire par la taille jusqu’à être tout contre lui, et me fixe dans les yeux. Tout en me bloquant contre lui, son autre main se pose sur mes fesses et les caresse. Je ne bouge pas.

Je sens sa main passer sous ma minijupe et me peloter les fesses, pendant que sa bouche me donne des baisers dans le cou.

C’est bien, tu n’as pas de culotte.

Je n’en ai pas mis. Alain me l’a demandé.

Il se dégage de moi, fait un pas en arrière. Je remarque à cette occasion qu’il bande tellement fort que son pantalon est déformé. Je reste debout, immobile, près du lit pendant qu’il s’appuie sur le bord du petit bureau dans l’angle de la chambre.

Retire ton haut et ton soutif ! Je veux voir tes mamelles libres !

Obéissante comme je le suis, je retire mon top moulant et mon soutien-gorge d’un geste lent. Il est là, devant moi, toujours appuyé sur le rebord du bureau, à me regarder.

Reste où tu es ! Tu vas te caresser les seins.

De mes deux mains, je caresse mes seins en commençant de mon aisselle vers mes tétons, et refais le chemin inverse.

Prends tes nichons dans tes mains et malaxe-les ! Je veux les voir s’écraser l’un contre l’autre, que tu te fasses durcir les tétons, que tu les comprimes ! Et tu me regardes dans les yeux en passant ta langue sur tes lèvres !

Je malaxe mes seins, fais rouler les tétons entre mes doigts, reprends mes seins, les triture en le fixant dans les yeux. Ma langue passe sur ma lèvre supérieure, puis inférieure, tourne sur mes lèvres. Mon regard est allumeur.

Viens me déshabiller (tout en restant à sa place sur le bord du bureau.)

Je m’approche de lui sans m’arrêter à triturer mes seins. Je suis maintenant face à lui. Il pousse mes mains, prend mes seins dans les siennes, et, plus brutalement, les pétris.

Tu as une de ces paires de loches toi !

… (Je le laisse faire.)

Il prend mes tétons entre ses doigts et tire dessus, les relâche, puis les reprend, les fait rouler, ils durcissent. Il se met à donner de petites claques sur mes seins.

Déshabille-moi !

Je déboutonne bouton par bouton sa chemise blanche que je retire. Il est maintenant torse nu. Je pose sa chemise sur le bureau, à côté de lui. Tout en restant debout, je m’affaire à déboucler son ceinturon, baisser la braguette de son pantalon pour le faire glisser le long de ses jambes. Il est immobile.

Une fois son pantalon à ses chevilles, je baisse son caleçon noir. Son sexe surgit devant mon ventre.

Enlève mes chaussures !

Je me mets accroupie, défais les lacets, puis, une à une, les enlève.

Regarde comment tu as mis ma chemise ! Elle est sur le bureau en boule !

Non, elle n’est pas en boule, elle est étalée.

Ne me réponds pas !

Pardon (en baissant mon regard.)

Je vais te montrer ce que je fais aux insolentes de ton genre ! Viens par ici !

Il saisit et tire mon poignet vers le lit. D’une main, il appuie sur ma tête pour me faire comprendre que je dois me courber vers le lit, et de l’autre, il lève ma minijupe. Je me retrouve ainsi, fesses à l’air, penchée sur le lit.

Il se place derrière moi, me malaxe les fesses pendant plusieurs minutes, et je reçois une première claque sur mon globe fessier gauche.

Tu cherches à être fessée ? ! Tu vas l’avoir ta fessée, tu peux me faire confiance !

Une deuxième claque ! Puis une troisième ! Les claques se succèdent, que mon fessier devient douloureux et sans aucun doute.

Alors petite salope, tu en as assez ?

Oui,

Tu aimes avoir le cul rouge ?

Oui, j’aime !

Je me redresse, me place en face de lui, il me donne quelques petites claques sur les seins, puis retourne s’asseoir sur le bord du bureau. Je reste debout, devant le lit à le regarder et à attendre qu’il me dise ce que je dois faire. Son sexe est raide, il a des contractions de bas en haut.

Enlève ta minijupe de pute, garde seulement tes bas et tes chaussures à aiguilles, et viens t’asseoir sur la chaise qui est devant moi !

Puisque c’est mon seul vêtement qu’il me reste, j’ôte ma minijupe, ce qui fait que je suis maintenant juste en bas avec mes chaussures à talons aiguilles. Je me dirige vers lui.

Assoies-toi sur la chaise et approche. Tu vas me branler avec tes grosses mamelles.

Je me mets en position sur la chaise de bureau, approche ma poitrine, place sa queue entre mes seins et la bloque en les comprimant.

Montre-moi comment tu fais une bonne branlette espagnole avec tes nibards !

Je fais en sorte que sa queue ne sorte pas, je commence des mouvements de bas en haut. Il me regarde.

Hum… Tu as des seins pour faire ça toi ! Tu as des seins à être souillés de sperme ! Les mecs doivent te le demander souvent. Non ?

Oui, on me le demande souvent. (En continuant à la masturber de cette façon.)

Je m’applique, je bouge bien, je vois qu’il prend du plaisir à se faire branler entre mes gros seins.

Salope ! Arrête, tu vas me faire jouir ! Tes seins m’excitent de trop ! Va te mettre à quatre pattes comme une chienne que tu es. Je vais t’enculer !

Je vais sur le lit, sans rien dire, me mets à quatre pattes, comme demandé. J’attends. J’entends qu’il fouille dans ses poches. Je tourne la tête pour voir ce qu’il fait. Il sort des préservatifs, en déballe un, et se positionne juste derrière moi à genoux.

Avant de mettre la protection, il frotte sa bite contre mes fesses.

Remue ton cul que je me frotte dessus ! Il est magnifique ! Je vais bien l’enculer. Tu vas voir si je ne vais pas te le faire le petit trou !

Je bouge mes fesses de droite à gauche, je sens son sexe se frotter et tapoter dessus. Il s’immobilise, met en place la capote, met du lubrifiant à l’entrée de mon trou et présente sa colonne de chair.

Il pousse, je me détends au mieux que je le peux, centimètre par centimètre, il s’introduit dans mes fesses. Une fois entré en moi, il me prend par les hanches, et commence des mouvements de va-et-vient devenant de plus en plus rapides.

Je prends du plaisir, j’arrive à avoir comme une petite jouissance au niveau anal. Il râle, me bourre, ses testicules tapent sur mes fesses, il ne me ménage pas.

Je n’ai jamais enculé un si beau cul que le tien ! J’espère l’enculer souvent et longtemps. Haaaa ! ! ! Je ne vais pas tenir longtemps, je suis trop excité !

Il se retire rapidement, enlève la capote, éjacule sur mes fesses.

Oh putain que c’est bon ! Ton cul est encore plus beau avec de sperme dessus.

Il s’allonge à côté de moi. Je me prépare pour aller dans le cabinet de toilette de la chambre pour aller me nettoyer.

Non non ! Avant d’aller dans la salle de bain, nettoie ma queue avec ta bouche. Je ne veux plus rien voir dessus.

Je prends son sexe ayant perdu son érection, d’une douce langue, je lèche le gland, la totalité de cette hampe. Je fais cela quelques minutes.

C’est bon, tu peux aller te nettoyer, tu pues le sperme.

… (Je lui souris.)

Une fois ma toilette terminée, je retourne près de lui sur le lit.

Allonge-toi sur le ventre que je puisse mâter ton beau cul.

Il me caresse les fesses, le bas des reins.

J’ai vraiment de la chance de t’avoir rencontrée grâce à Alain. Ton cul me plaît beaucoup.

Merci.

Il se baisse au niveau de mon fessier, l’embrasse, le caresse et se remet sur le dos.

Tu as un beau cul, mais tu as une bouche que les hommes doivent aimer. Suce-moi doucement pour me refaire bander.

Je me mets à genoux, passe ma langue doucement sur son gland, sa queue et ses bourses. Je le fais glisser entre mes lèvres, lui sors toute ma science de la fellation.

Oui, c’est bien. Tu es une bonne suceuse. Tu vois, elle commence déjà à durcir. Tu es douce. Hum…

J’aime la sentir durcir dans ma bouche.

Alors continue, elle ne va pas tarder.

Je le suce plusieurs minutes de cette façon, lente, douce, sensuelle, que son sexe est maintenant bien dur entre mes lèvres.

Mets-toi sur le dos, je vais te reprendre le cul. Lève les jambes, pose-les sur mes épaules, je vais t’enculer plus profondément que tout à l’heure.

Doucement, dans cette position, la sodomie peut me faire mal.

Je vais aller doucement, mais je vais t’enculer dans cette position.

Il met un préservatif, je sens son sexe entrer entre mes fesses. Il pousse jusqu’à ce que son sexe soit en totalité en moi.

Tu pourras dire à Alain que tu en as pris plein le cul.

Ouiiiiii, je lui dirai.

Chienne, ton cul, c’est juste un gouffre à bites.

Il s’excite ainsi, donne de grands coups de reins. Nous changeons plusieurs fois de position, mais toujours pour la sodomie. Je prends du plaisir.

Tu aimes te faire enculer chienne ! Hein ? !

Ouiiiiii, j’aime ça !

Tu aimes te faire prendre le cul !

Ouiiiiii, prends-moi le cul, je ne vais pas tarder à jouir du cul.

Il maintient la cadence, un spasme au niveau de mon anus arrive, je suis en train de jouir.

Il est en train de me prendre en cuillère sauvagement.

Tu veux jouir dans ma bouche ?

Oui, tu vas me finir en me pompant.

Il se retire, enlève le préservatif, se met sur le dos. Je me mets à genoux, de profil, prends sa queue dans ma bouche et le pompe jusqu’à recevoir son liquide chaud contre ma langue.

N’avale pas ! Recrache mon sperme sur ma queue avec sensualité.

Par petits filets, je recrache sa semence qui coule le long de sa hampe.

Très bien. Maintenant, lèche et avale.

Je me mets à la lécher, nettoie avec ma langue, avale au fur et à mesure que je récolte son sperme.

Tu as été une bonne soumise. Aucun refus de ta part. C’est bien, je vais pouvoir dire ça à Alain.

J’ai aimé me soumettre à toi.

Très bien, alors nous pouvons nous revoir. Tu en as envie ?

Suivant la décision qu’Alain prendra, je le veux bien.

Et ça te dit qu’on se rencontre de temps en temps que nous deux sans tenir Alain au courant ?

Non, si nous devons nous revoir, ce sera uniquement avec l’accord de mon dominateur, ou bien en sa présence. Mais je ne souhaite pas le faire dans son dos.

Au moins, ça a le mérite d’être clair. D’accord.

Nous nous quittons peu de temps après cette conversation. Le soir, j’ai quelques petites douleurs à mon derrière, mais ce n’est rien par rapport à ce que j’ai pris cet après-midi.

Le surlendemain, je suis passé chez Alain pour lui expliquer le moment passé avec Patrick en le masturbant en même temps. Je n’ai pas eu le temps de finir mes explications qu’il a joui dans ma main. J’ai terminé à lui raconter autour de la table de la salle à manger.

Je n’ai jamais revu Patrick.

Fin de Patrick, l’obsédé de la sodomie .

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