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Alex et Cécile – Une vie des plus banales avant l'arrivée de Blue – Chapitre 1

Alex et Cécile - Une vie des plus banales avant l'arrivée de Blue - Chapitre 1



Alex et Cécile, tous deux 36 ans étaient en couple depuis maintenant 10 ans. Leur vie était des plus banales. Marié, deux enfants, de nombreux amis, une jolie maison, des situations professionnelles confortables. Il ne manquait plus qu’à ce portait bucolique le chien jouant dans le jardin…

Alex avait toujours eu envie d’ajouter cette touche finale au tableau parfait que représentait leur vie, mais Cécile avait toujours refusé l’idée. Trop de tracas, de frais, et des questions logistiques à résoudre lors de leurs vacances en famille. Sous l’insistance de son mari et de ses deux filles, elle finit par se faire petit à petit l’idée. Olivier ne manquait pas d’arguments.

Pense aux filles, elles en rêvent… Et le soir quand tu es seule, tu me dis souvent que tu n’es pas rassurée… Un chien est la meilleure protection contre d’éventuels voleurs.

Un soir, alors qu’ils étaient tous les quatre à table, elle déclara :

C’est bon, j’ai réfléchi… C’est OK pour le chien.

Olivier en bondit presque de joie… Le soir même, ils parcoururent ensemble la quasi-totalité des races de chien… Olivier insista pour que ce soit Cécile qui choisisse la race qui lui plairait. Son choix se porta sur une Cane Corso bleue.

Le week-end suivant, ils se rendirent chez un éleveur et repartirent le jour même avec un joli chiot mâle qu’ils décidèrent d’appeler Blue.

La famille s’agrandit, le chiot grandit… Blue était particulièrement doux et bien dressé. Il pesait désormais 60 kilos et ne manquait pas de vigueur et d’endurance. Il faut dire qu’Olivier grand amateur de course à pied l’emmenait courir avec lui trois fois par semaine… Le corps de Blue n’en était que sublimé.

Cécile, deux ans s’étant écoulés depuis qu’elle avait accepté de prendre un chien, ne regrettait absolument pas sa décision. Elle le trouvait magnifique et il était particulièrement affectueux avec elle. Il faut dire que Blue passait beaucoup de temps avec elle, vu les horaires chargés de son époux.

Un mardi soir, comme chaque semaine, en rentrant du travail, Olivier partit courir avec Blue. Il adorait partager cette activité avec lui. Blue était quasiment inépuisable et le poussait lui à se dépasser. En rentrant de leur sortie sportive, Blue partit directement se coucher dans son panier, fortement essoufflé. Cécile regarda Olivier et demanda :

Ca va ? Il n’est pas comme d’habitude…

Non en effet… Je ne sais pas… On verra comment il ira demain.

Le lendemain, Cécile appela Olivier. Blue était plus calme que d’habitude et dormait beaucoup. Elle se rendit le matin même chez le vétérinaire qui lui indiqua que Blue avait sûrement eu un coup de chaud vu les chaleurs estivales et qu’il valait mieux éviter dans les semaines à venir qu’il se repose et ne parte plus courir de telles distances. Olivier en fut fort déçu, mais le bien-être de Blue était bien plus important… Blue resta donc avec Cécile, trois soirs par semaine.

L’été et les températures faisant, Cécile, après avoir couché les enfants, restait vêtue uniquement d’une nuisette après le départ d’Olivier. L’air frais passant entre ses jambes lui faisait le plus grand bien. Elle flânait ainsi dans la maison et ne s’en embarrassait pas. Elle était seule avec Blue, et se sentait en sécurité avec lui en l’absence de son mari. Blue la suivait partout et le soir après sa douche, quand elle regardait la télévision, il était toujours à ses pieds devant le canapé, profitant des caresses de sa maîtresse.

Un soir alors qu’elle était seule avec lui, regardant la télévision, elle laissa tomber par mégarde la pince qu’elle portait à ses cheveux. Celle-ci glissa sous la table basse. Elle se leva du canapé, et alla la ramasser. La pince ayant glissé loin sous la table, elle eut le plus grand mal à la récupérée. A quatre pattes, elle agitait le bras pour tenter de la retrouver, quand elle sentit soudain la truffe humide de Blue contre sa vulve. Elle fut surprise par ce contact contre son sexe et sursauta. Elle poussa Blue de la main, et retenta d’attraper sa pince, pensant que le chien la laisserait tranquille, se disant également que les mâles, homme ou chien étaient vraiment tous les mêmes, ce qui la fit sourire. Elle reprit sa fouille, quand elle sentit à nouveau le souffle de Blue entre ses jambes, elle n’y prêta pas garde. Mais un instant plus tard, elle sentit sa langue râpeuse passer entre ses lèvres.

Ce contact l’électrisa, mais elle arriva enfin à attraper sa pince et ne fit pas réellement attention à ce qui venait de se passer.

Elle se posa sur le canapé, et attacha ses cheveux. Blue posa sa tête sur le canapé entre ses jambes et poussa un soupir. Elle se rappela à cet instant le contact de la langue de Blue sur ses lèvres et en fut troublée. Cécile ne réussissait pas à décrire ce qu’elle ressentait. Était-ce de la honte, du dégoût, de l’excitation ? Elle ne voulut pas y penser et chassa cette pensée de sa tête…

Olivier rentra à ce moment. Cécile le regarda avec envie, elle le trouvait vraiment beau. Il alla prendre sa douche et elle alla le rejoindre. Frottant son corps chaud de ses mains, son désir ne tarda pas à monter, et elle, l’embrassant, elle lui murmura à l’oreille :

J’ai très envie de toi !

Ils se rendirent dans leur lit et firent l’amour. Cécile se sentit particulièrement excitée lors de leurs ébats, sans savoir dire pourquoi. Elle eut un orgasme intense ce soir-là et s’endormit pleinement satisfaite.

Sa nuit fut emplie de rêves étranges, troublés. Elle se réveilla sans savoir dire exactement de quoi ils avaient été faits, mais elle se rappela que Blue en faisait partie. Elle sentit une sorte d’excitation en tentant de se les remémorer. Elle avait dû sûrement rêver de son époux, se dit-elle.

Olivier quant à lui était déjà levé et préparait le petit-déjeuner, il l’embrassa et lui dit doucement :

Je ne sais pas de quoi tu as rêvé cette nuit, mais ça paraissait particulièrement torride !

Cécile n’eut qu’une image de son rêve : Blue. Ceci la troubla. Elle rougit jusqu’aux oreilles et se dit que ce n’était pas possible !… Elle ne pouvait pas avoir ce genre de rêve, ni ce type de fantasmes ! Elle était bien trop classique et prude pour ça ! Elle ne put néanmoins pas chasser cette image de sa tête et sentit une vague chaleur prendre possession de son intimité… Elle en fut choquée et éluda la remarque de son mari. Elle lui parla à son mari du programme de la journée afin de penser à autre chose qu’à ce désir qui était tellement à l’inverse de sa sexualité habituelle, presque bridée…

Olivier ne put s’empêcher de remarquer l’émoi que ce qu’il lui avait dit avait provoqué. Il n’y fait pas réellement attention, l’embrassa et se rendit au travail.

Son époux parti, Cécile finit de prendre son petit-déjeuner et alla conduire ses enfants à l’école.

Sur le chemin du travail, elle repensa à la sensation qu’elle avait ressentie ce matin suite au commentaire de son mari. Elle ne réussissait pas à se défaire de cette pensée, de ses émotions troublées, et de l’image de Blue. Elle pensa à ce qui était arrivé la veille en l’absence de son mari. Elle fut elle-même surprise, en se remémorant ce moment précis et constatant qu’elle avait apprécié le contact de la langue de Blue contre son sexe. Elle sentit à nouveau une boule de chaleur grandir entre ses cuisses. Elle sentait son intimité fondre à cette évocation… Mais que lui arrivait-il ?

La voiture devant elle freina brusquement, et sa stupeur chassa ses pensées de son esprit. Elle passa sa journée comme d’accoutumée et rentra chez elle. Olivier était là ce soir, et elle se dit que ceci était vraiment une bonne chose. Elle ne serait pas seule avec Blue… Elle commençait à croire qu’il valait mieux…

Le lendemain soir, Olivier appela Cécile.

Bonsoir, ma chérie, comment s’est passée ta journée ?

Très bien et toi ?

Bien, mais je risque de finir vraiment tard ce soir… J’ai un dossier urgent que je dois absolument clôturer.

OK… Préviens-moi quand tu rentres…

Cécile raccrocha. Déçue… Elle prévint ses filles et prépara à manger. Elles mangèrent toutes les trois. Cécile coucha ses filles.

Elle prit sa nuisette dans sa chambre et alla prendre sa douche. L’eau chaude au contact de sa peau lui fit le plus grand bien, elle passa de longues minutes sous la douche, profitant de cette douce chaleur, se sécha et enfila sa nuisette avant de redescendre.

Elle se posa sur le canapé et alluma la télé. Blue vint se poser à ses pieds comme d’habitude. Elle caressa le haut de son crâne et regardant une série.

Au bout de quelques minutes, elle sentit la tête de Blue bouger et regarda son chien. Elle vit alors le bout de son sexe sortir de son fourreau. Cécile ne put s’empêcher d’observer ce petit bout de chaire, rouge carmin, tout en continuant de lui caresser la tête. Elle se rendit compte que ses caresses devenaient plus soutenues. Elle passa sa main le long de ses flans. Le sexe de Blue sortit de plus belle. Ce sexe canin était bien différent du sexe d’un homme, mais Cécile ne put s’empêcher de sentir son désir monter. Elle ne pouvait détacher son regard de l’entrejambe de Blue. Elle était quasiment dans un état second… Elle sentait bien que malgré le fait que son esprit lui interdisait d’avoir ce genre de désir, son sexe lui disait tout le contraire.

Elle avança sa main vers le sexe de Blue et passa ses doigts sur son membre. Le chien en fut surpris et tressauta. Par réflexe, elle écarta sa main, mais il poussa un soupir. Comprenait-il ce que cette main pouvait lui faire ? Elle ne sut que répondre, mais elle la reposa sur lui et commença à masser la base de son sexe. Elle sentit qu’il durcissait et prenait en volume… Elle continua son va-et-vient et la splendide queue de Blue montra toute sa vigueur. Cécile fut surprise par ses dimensions… Il lui était impossible de voir les ressemblances avec le sexe de son homme, mais il était en tout cas bien plus large et long… Elle en gémit presque de désir… Si seulement Olivier pouvait avoir la même., se dit-elle… Son désir et ses envies étaient exacerbés…

Cécile qui ne s’était jamais masturbée, passa sa main sur son sexe et sentit à quel point il était humide. Elle commença à se caresser tout en continuant à branler Blue… Elle était terriblement excitée par ses pulsions envers son compagnon canin et ne pouvait s’empêcher de se toucher tout en regardant sa belle queue.

Blue se redressa et regarda sa maîtresse… Elle écarta les jambes afin qu’il puisse profiter du spectacle et lui faire voir l’effet qu’il produisait en elle. D’une voix à demi éteinte par le plaisir, elle lui dit :

Viens Blue, viens mon beau.

Blue approcha sa tête massive de son entrejambe, sentant ses effluves féminins, il passa sa langue entre ses lèvres pendant que Cécile caressait son joli clitoris…

Ce contact la fit chavirer ! Le mouvement de ses doigts se faisait plus rapide, plus pressant. Elle se sentait littéralement fondre de plaisir…

Sa mouille se fit de suite plus abondante et l’ardeur des coups de langue de Blue d’autant plus intense…

Oh, qu’elle aimait sentir cette langue recouvrir ses lèvres, son contact chaud, humide et rêche. Elle prit ses seins de sa main libre et les pressa. Sous l’effet du plaisir, elle pinça son téton et elle sentit une vague la submerger. Elle ne put s’empêcher de retenir un cri au moment même où un orgasme fulgurant la terrassa…

Ses jambes se resserrèrent sous l’effet du plaisir…

Blue s’écarta, alla un peu plus loin, se coucha et passa de longues secondes à se lécher le sexe encore bien présent. Cécile sentait ses jambes trembler, son corps encore sous l’effet de cette orgasme. Jamais elle n’avait connu un tel plaisir.

Elle regarda Blue, et elle ne put que se dire qu’elle le remerciait pour cet intense plaisir. Le pauvre chien se léchait le sexe, tentant de faire retomber son désir animal. Cécile encore hautement érotisée par ce qu’elle venait de vivre s’approcha de lui. Elle prit la base du membre de Blue et le branla fermement. Son sexe qui s’était légèrement retiré repartit de plus belle. Cécile se dit que s’était bien la moindre des choses que de le remercier pour les caresses qu’il lui avait prodiguées.

Alors qu’Olivier n’avait droit qu’à une fois tous les six mois quand il avait de la chance, Cécile sans même y réfléchir une seconde prit le sexe de Blue dans sa bouche et commença à le sucer avec Frénésie. Elle n’était plus Cécile, elle n’était plus elle-même, elle se sentait chienne, et finalement enfin elle-même. Elle goûtait avec délectation à ce sexe canin, tout en pressant sa base… Il ne lui fallut pas longtemps avant qu’elle sente la semence de Blue jaillir en elle par saccades… Son sperme était plus liquide que celui d’Olivier, plus doux… Elle le suça délicatement afin qu’il puisse pleinement jouir entre se lèvres. Blue se détacha de sa bouche et alla se coucher. Lui aussi repu de ses caresses humaines.

Cécile alla prendre une seconde douche et laissa à nouveau l’eau couler longuement sur sa peau… Elle n’en revenait pas de ce qu’elle venait de faire. Ses émotions s’affolaient à nouveau… Son esprit reprenait le dessus… Qu’est-ce qu’Olivier penserait de moi ?

Elle le découvrirait, mais que plus tard…

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