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Aline & Alex : La soubrette – Chapitre 2

Aline & Alex : La soubrette - Chapitre 2



Après avoir engagé mon mari, avec l’accord d’Axel, Charlotte, une jeune femme comme soubrette, j’ai eu avec elle des relations saphiques au bord de notre piscine. C’est la suite de nos aventures, chapitre toujours écrit par Aline…

Au bout d’un long moment, nous sortons de l’eau. Cette fois, je l’ai laissée sortir la première et je regarde les gouttelettes d’eau qui dégoulinent sur son corps. Elle se tourne vers moi et les reflets de l’eau font briller sa toison blonde et mettent en valeur cette partie si attractive…

Nous nous allongeons à nouveau sur nos transats et cette fois, je sens la jeune femme bien plus détendue, maintenant qu’elle a emprunté la voie que je lui avais tracée en esprit.

Elle se tourne vers moi, tend la main et me déclare, les yeux brillants

— Je voudrais vous…

Je la coupe.

— Non, caresse-toi Charlotte, je veux te regarder te donner du plaisir.

— Je ne sais pas si…

— Tu n’as pas à te demander quoi, je te le demande point.

Comme je l’attendais, elle rougit, baisse le regard et dirige sa main vers son entrejambe.

— Voilà, doucement, prends ton temps.

Elle passe le bout des doigts dans la fine toison qui ne cache presque rien de son intimité, boucles blondes si jolies et si attirantes.

— Voilà, touche-toi, tu es très jolie, caresse-toi les seins aussi.

Elle n’hésite plus, comme si ma voix avait débloqué toute appréhension, et je regarde sa main gauche enserrer son sein, folâtrant sur le téton qui pointe rapidement, ses doigts le serrant un peu puis serrant le sein…

— Plaisant, continue…

— Oui…

— Oui qui…

— Oui… Madame.

— Voilà. Continue sur tes seins

Oh comme c’est bon de la diriger, de l’orienter. Je résiste à l’envie de me toucher à mon tour, mais je sens mon entrejambe s’humidifier de plus en plus.

Elle remonte sa main et se caresse ses seins en me regardant, titillant les pointes, serrant le bout.

— Plus fort…

Elle serre plus fort son téton, sa respiration s’accélère et sa main droite descend vers le triangle doré entre les jambes qu’elle a bien écartées maintenant.

— Non, continue avec tes seins…

— Hmmm

— C’est bon ?

— Oui, Madame, c’est bon, j’ai envie de me toucher

— Envie de me toucher… euh en bas.

— De toucher quoi Charlotte, dis-le.

— De toucher ma chatte Madame.

— Tu te branlais souvent ?

— Pas… pas souvent Madame, Ma tante venait souvent voir si je faisais du bruit, je… j’étais toujours sur le… Le qui-vive. Et jamais, jamais c’était aussi boon.

— Tu mouilles ?

— Oui, s’il vous plaît Madame.

— Touche-toi encore les seins, j’aime te voir les serrer fort.

— Comme ça Madame ? Répond-elle en les pressant entre ses mains, avant de tirer vers le haut, ses tétons complètement érigés, rouges et gorgés de sang.

— Oui. Tu as mal Charlotte ?

— Oui, Madame, mais, mais en même temps c’est bon

Ma chatte est bien mouillée désormais et j’ai envie de baiser, mais je veux lui procurer son orgasme, lui imprimer dans l’esprit que son plaisir vient de moi, que son plaisir passe par moi.

Elle tortille, halète, se frotte les cuisses l’une contre l’autre, dérisoire tentative de se procurer l’orgasme dont elle a tant besoin, je la regarde gémir et serrer les dents comme les soupirs montent en moi.

— Tu as encore envie de te branler, petite cochonne ?

— Oh oui, Madame, oui.

— Bon, je crois que je peux t’accorder cela, allez vas-y

— Merci Madame, merci… Elle plonge immédiatement ses doigts dans son vagin suintant et se caresse furieusement ; son corps tendu cherchant le plaisir

Je suis ravie de voir que j’avais bien jugé son profil, elle ne demandait quà être guidée, amenée gentiment vers des plaisirs qu’elle ne pouvait imparfaitement imaginer.

— Utilise le bout de tes doigts, touche ton clito.

Je me suis assise sur mon transat, tournée vers elle pour savourer l’excitant spectacle

— Voilà, continue ton sein avec une main et plonge en toi avec l’autre.

Elle s’exécute sans rechigner aucunement et mon sentiment de puissance s’exacerbe à chaque mouvement dirigé.

— Lèche tes doigts, savoure ta mouille de petite chienne et branle-toi de nouveau.

Comme souvent, j’ai tendance à être crue dans mon langage, la puissance des mots, leur vulgarité qui pourrait être choquante ailleurs, m’excite complètement.

— Hmmmm, Hmmmm

Elle gémit, ses caresses se font plus fortes, ses mouvements un peu plus désordonnés.

— Je veux entendre ton plaisir, je veux que tu te lâches. Crie ta jouissance

— Oui, oui, OUIIII, c’est booon, je me touche Madame, je me touche, je me touuuuuche.

Elle halète, se lèche à nouveau rapidement les doigts et se branle furieusement

— Dis ce que tu es, lâche-toi…

Plus de freins à son extase, barrières brisées, elle geint, crie,

— Je me branle, je me branle, votre salope se branle

— Encore !

— Hmmm, oui, oui, la chienne se branle, c’est bon, putain c’est booon, Je coule pour vous, puuutaiin

Elle n’est plus que soupirs, plaisir, tension, des larmes de plaisir coulent de ses yeux, son corps est tendu à se rompre, comme elle est belle ainsi, abandonnée au plaisir.

— Allez jouis, jouis petite chienne.

Elle hurle " Je jouiiiis" dans un cri qui n’en finit plus, le sein rouge d’avoir été malaxé, la main droite emprisonnée dans la fourche de ses cuisses désormais collées l’une à l’autre dans l’orgasme qui la fait défaillir.

Je la regarde un peu ébahie, heureuse qu’elle se soit totalement laissé aller, livrée si intimement.

Sa poitrine se soulève rapidement, elle cherche son souffle, la bouche grande ouverte, aspirant l’air à grandes goulées.

Elle se relaxe doucement et parvient enfin, a remonté ses doigts de son entrejambe crispé ; je lui prends les doigts encore gluants de son miel chaud, remonte sa main devant sa bouche, contre ses lèvres et la regardant intensément darde ma langue, vers ses doigts. Elle comprend immédiatement et, ensembles, nous léchons ses doigts, bavant sur son plaisir au goût exquis, enivrant avant de finalement, une fois le suc asséché, de nous rouler une pelle magistrale.

Je me rallonge et me tourne vers une Charlotte encore un peu rouge et décoiffée et lui sors :

— Maintenant apporte-moi une autre limonade et quand tu reviendras tu me boufferas bien la chatte.

Je crois que jamais une soubrette n’a été plus rapide dans l’exécution d’une demande.

Aussi je me retrouve à peine une minute plus tard, en train de déguster une limonade bien fraîche pendant que Charlotte, agenouillée entre mes jambes obéit à ma demande en me léchant une chatte brûlante et impatiente.

— Voilà, lape bien, comme cela, plus haut, plus bas, hmm c’est bien petite chienne. Reviens à mes seins, tu es ma langue à moi…

— Oui, tout ce que vous voulez Madame…

Je savoure sa langue, le fait de la diriger, uniquement concentrée sur mon plaisir. Agenouillée, restée dans la position que je lui ai fait prendre, je vois ses fesses s’agiter au rythme de ses coups de langue sur mes seins.

— Mordille un peu le téton. Hmm voilà petite pute, c’est ça.

Axel avait raison, j’ai vraiment développé un penchant pour la domination, douce diront des adeptes du SM hard mais bien suffisante à mon goût. Je suis bien, ivre de plaisir, satisfaite de mes choix, je contemple e ma soubrette qui s’active, mordille, embrasse, déguste ou je veux, comme je veux Affalée dans mon large transat je n’ai qu’à me laisser aller à mes envies…

— Retourne plus bas, voilàaa, aspire mes grandes lèvres, Oui là continue

Je suis si concentrée que je ne remarque la présence d’Axel qu’au bout d’une minute.

— Tu es arrivé mon chéri. Non, Charlotte on ne s’arrête pas, continue à lécher bien profond.

Le fait d’échanger quelques remarques anodines sur sa journée et son trajet comme si Charlotte n’était pas en train de déguster mon entrejambe rajoute du piment à la situation.

Il l’observe avec un sourire, toujours détendu mon mari et si attentif à mon plaisir.

— Elle te lèche bien ma chérie ?

— Oui, c’est très bon.

— Allez Charlotte, fais-la bien jouir.

Nous entendons une espèce de oui entre deux halètements et nous nous sourions comme deux gamins espiègles.

— Et toi tu las fait jouir ?

— Deux fois déjà, je l’ai branlée et elle s’est branlée devant moi.

— Ce devait être très beau.

— J’ai adoré, et puis sa mouille est délicieuse, je suis sûre qu’elle est déjà trempée…,.

Il comprend immédiatement le sous-entendu et va plonger ses doigts dans le vagin de ma lécheuse qui tend même les fesses pour chercher ses doigts.

— Elle est brûlante effectivement et… mmh tu avais raison son goût est très troublant, délicat…

Il lèche un peu ses doigts puis vient les plonger dans ma bouche qui n’attendait que cela.

— Mmmmmm… Délicieuse cette petite. Léchez-la bien Charlotte

Seuls des grognements et des bruits de léchouilles montent de celle-ci, Axel rajoute :

— Et douée non, je sens que tu montes.

— Oh, puutain ouii, bouffe-moi le clito vas-yyyyyy, vas-YYYY…

Il me tend la main que je serre pendant que je me laisse aller à la jouissance en criant…

— Voilà Charlotte c’est très bien.

— Merci Monsieur, c’est très bon, Madame est si sensible

— Tu aimes son goût ? Moi j’adore…

— Oh oui Monsieur, elle est délicieuse, j’aime la lécher

J’ai repris mon souffle pendant ce court échange entre Axel et Charlotte sur mon intimité et demande à mon mari qui n’a toujours pas lâché ma main.

— Tu veux jouir, mon chéri

— Pas tout de suite, la route était vraiment longue, fatigante et je n’ai pas mangé depuis ce matin

Puis avisant Charlotte en sueur, les yeux brillants, son visage luisant couvert de mes sécrétions intimes qui ont même coulé sur ses petits seins maintenant qu’elle s’est redressée un peu.

— Voilà une petite excitée qui en veut encore non ?

— Bon, elle a été sage, tu veux bien la doigter avant ta douche, moi je suis morte

Et dans un grand éclat de rire, mon mari de répondre

— C’est bien pour te faire plaisir !

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