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Aller simple pour Rio – Chapitre 2

Aller simple pour Rio - Chapitre 2



Une semaine que je suis à Rio et je commence à m’ennuyer ferme. Ma mère passe ses après-midis et soirées au bridge et je me retrouve le plus souvent seul. J’ai bien visité les centres d’attractions les plus intéressants de la ville, profité de la plage d’Ipanema qui s’étend juste au pied de notre immeuble, mais rien ne me tente ou ne me fait vraiment envie. Je n’ai pas ouvert les livres que j’ai emportés, sachant bien que ma mère n’allait pas s’occuper de moi, encore moins mon fallot de beau-père. Toutes mes penses sont tournées vers ce qui s’est passé pendant ce voyage, aussi bien avec Sophie qu’avec Pierre. Avec Sophie cela a été merveilleux et finalement conforme à ce que je peux fantasmer habituellement. Elle est vraiment jolie, jeune, dynamique, pleine de vie et nous nous sommes bien amusés. Avec Pierre je reste dans une sorte de stupéfaction, ne sachant pas trop si j’ai aimé, adoré, ou juste subi passivement tout ce que nous avons fait en ces quelques 24 heures ensemble. Et dans les deux cas, je réalise à quel point j’ai été, et finalement je suis, passif, totalement passif, prenant même un grand plaisir au fait d’être utilisé.

J’interprète cela comme susciter de l’intérêt de la part de ces personnes, alors que je ne me pense pas vraiment intéressant, ni attirant, ni rien du tout. Si je n’ai pas vraiment d’ami c’est sans doute bien que je suis transparent, ce que j’ai ressenti toute ma vie, comme lorsque ma mère est partie il y a 4 ans au Brésil, me laissant à 15 ans seul dans un petit appartement à me débrouiller.

 Sur le chemin que nous avons fait en voiture avec Pierre, il m’a longuement interrogé sur plein de sujets, ma vie, mes études, ce que j’aimais, et bien entendu il a abordé ma sexualité. Je ne suis pas trop habitué à ce qu’on m’interroge et je suis totalement incapable de ne pas répondre à une question. Cela me fascine lorsque je vois des personnes ne pas répondre, ou bien faire des réponses qui ne disent rien. Lorsque quelqu’un me pose une question, je me précipite pour y répondre, sans me demander pourquoi elle me la pose, ni si je dois répondre, c’est quelque chose d’impérieux. Du coup Pierre sait tout de ma vie, non qu’il y ait beaucoup à savoir, mais il s’intéresse aussi à mes relations avec ma mère, mes deux grandes surs. Je l’ai senti surpris de découvrir que j’étais vierge avant de prendre l’avion de Paris, et trouvait très amusant les expériences vécues du coup. Il m’a questionné sur mes plaisirs solitaires et malgré mes réticences j’en suis venu à lui parler de mes plaisirs masochistes que ce soit sur mon sexe, ou les sodomisations que je m’inflige.

Je ne l’ai pas senti me juger du tout mais être très intéressé de comprendre mes motivations, mes ressentis. Jamais je n’avais parlé de cela à quiconque bien entendu, et curieusement cela m’excitait de lui en parler. Il l’a repéré et en mettant sa main sur mon sexe dur dans mon short, il m’a caressé et j’ai à nouveau jouis très fort. Le sperme a fait une tache assez visible sur le short au travers de mon boxer, et l’odeur était lourde. J’étais gêné, et assez humilié, et Pierre en a rajouté en me disant que j’étais un petit éjaculateur et que je devais être éduqué et comme première punition je ne me changerai pas pour arriver à destination. Rien que d’entendre ses propos avilissants, mon sexe redevint dur ! Je me demande bien pourquoi cet homme me fait un tel effet. Ou alors ce n’est pas lui, peut être les situations. Je passe mon temps à repenser à tous ces évènements, et à en imaginer d’autres mais curieusement je ne me fais pas jouir. Je préfère rester au bord, cela rend la fièvre sexuelle encore plus intense, c’est une frustration terrible.

 Au matin du huitième jour je reçois un message de Pierre venant prendre de mes nouvelles et savoir si tout allait bien. Je suis heureux et flatté qu’il m’écrive. Nous échangeons un peu, sur mon ennui d’abord, puis sur mes pensées intimes ensuite. Quelques heures plus tard il me propose de venir à Sao Paulo si j’ai envie de continuer ce que nous avions commencé, sans doute que ma mère ne s’y opposera pas puisqu’elle s’en fout de ce que je fais. Je ressens immédiatement une boule au ventre, me demandant ce que cela signifie continuer ce que nous avons fait. Il propose de m’envoyer un billet d’avion et que je passe une grosse semaine chez lui à explorer de nouveaux plaisirs. Je sens le sang battre dans ma tête, une envie terrible de me faire jouir alors qu’il n’y a rien de salace dans ses propos, mais aussi une certaine angoisse, me demandant si c’est dans cette direction que j’ai envie d’aller. Non que j’espère un message de Sophie, mais ce que j’ai vécu avec Pierre est tellement différent de ce que je pensais être.

Mais je suis en vacances, je m’ennuie et ce ne sera qu’une parenthèse. D’autant qu’après mon retour à Paris, j’aurais encore deux mois à ne rien faire avant la rentrée en deuxième année. Ma mère est d’accord, ne me pose aucune question et me voici reparti pour Sao Paulo pris en charge encore plus que la première fois par Pierre.

 Je le retrouve à nouveau à l’aéroport comme 10 jours plus tôt. Je ressens immédiatement mes entrailles qui font un nud en le voyant, j’ai l’impression de franchir un précipice et de perdre tout contrôle. Je me demande si j’ai bien fait. Mais l’alternative c’est un ennui abyssal, je ne risque pas grand-chose. Je le sens moins jovial et plus déterminé encore que la dernière fois, et je n’ose pas parler tandis que je le suis jusqu’à la voiture. Une fois la valise dans le coffre, il me couche de force sur le capot, baisse mon slip pour mettre mes fesses à nue. Je regarde paniqué à droite ou à gauche, craignant d’être vus, mais nous sommes dans un coin désert. Je sens la chaleur du capot sous mon ventre, une main prendre mon sexe et le rendre dur en quelques secondes. Mais cette fois-ci je n’ai pas la chance de pouvoir jouir, car ses doigts glissent vers mon anus qu’ils massent doucement. Après un court instant et des bruits que je n’identifie pas, je sens un peu de liquide couler sur ma rondelle, et les doigts me pénétrer doucement.

D’abord un, puis deux, puis trois, cela tire. Je voudrais écarter mes jambes mes mon short est à mes genoux et je ne peux rien faire pour faciliter l’intromission. Je gémis en continu, c’est si fort et si bon. Je suis d’un coup excité et j’ai envie de sa queue en moi. Je lui demande de me prendre, ce qui le fait rire, sans doute est-il satisfait de ma réaction. Les doigts se retirent, j’entends la fermeture éclair qui descend, et son pieu qui appuie pour me fendre en deux. Il y va progressivement, sans revenir en arrière, c’est impérieux, c’est délicieux, je me sens envahi, rempli. C’est bien meilleur que mes gods mais en même temps j’aimerais que ce soit plus gros. J’aime toujours plus, je suis déraisonnable, j’ai toujours besoin d’aller plus haut et défier toutes les limites. Je regarde autour de nous, toujours personne, je continue à gémir tandis qu’il se met à aller et venir avec force, cherchant à me prendre le plus profondément possible, m’écrasant sur le capot de la voiture que j’ai peur de déformer.

Ses mouvements commencent à être désordonnés et très vite je sens sa queue gonfler et Pierre jouit en me traitant de sale petite pute, ce qui m’excite bien. J’halète, je suis essoufflé et je sens avec regret qu’il retire son sexe de mes entrailles. Sans qu’il ait besoin de rien me dire, je me retourne, remonte mon short et mon slip pour bien garder sa précieuse semence et, à genoux, je lèche doucement son membre pour le rendre bien propre. Je caresse ses couilles qui sont pendantes et vraiment très grosses. J’ai envie d’encore le lécher, mais il se retire de me bouche affamée et se rajuste. J’ai la tête qui tourne, je sens le sperme s’échapper de mon cul, je me fais honte. Et je sais maintenant que cela m’excite et que j’aime cela. Nous partons à nouveau pour le club. Pierre m’explique qu’il passe beaucoup de temps là-bas et que la plupart de ses affaires se décident autour d’un déjeuner ou bien d’un match de tennis. Il est conseiller financier et travaille pour les familles les plus fortunées du Brésil.

Je comprends alors qu’il a beaucoup d’entregent et qu’il est lui aussi plutôt très riche. Mais je pense surtout à mon désir de jouir. Je lui avoue spontanément que je ne me suis pas fait jouir depuis que je l’ai quitté à Rio, et il me regarde d’une façon que je n’arrive pas à décrypter. Je lui demande si cela lui fait plaisir, et il répond être très satisfait. Il reste dans ses pensées le reste du trajet, coincés que nous sommes dans les embouteillages paulistes.

 Nous déjeunons à l’ombre des parasols et je regarde toutes les serveuses rempli de désir, je me sens tellement en manque. Pierre me fait goûter du crabe et la tête me tourne un peu avec le vin blanc que nous buvons ensemble. Nous ne mangeons que cela et j’ai encore faim, mais Pierre ne me laisse pas commander autre chose, ni même prendre un dessert ou un café. Décidément je n’ai pas beaucoup de libre arbitre avec lui. Je vais faire la sieste au bord de la piscine pendant qu’il va jouer au tennis. Avant de partir il demande à la même métis que la dernière fois de me faire un massage spécial dans la salle de massage et me murmure à l’oreille que je n’ai pas le droit de jouir. Je le regarde interloqué, à la fois par la suggestion que je pourrais jouir, mais aussi par l’interdiction très ferme qu’il exprime. Il me rappelle que j’appartiens à Sophie, ou alors ma situation a changé. Non rien n’a changé mais je ne sais même pas si je la reverrai un jour, probablement pas, je n’en vaux pas la peine.

Mais Pierre réitère son ordre et docilement je lui promets que je ne jouirai pas malgré mon désir insensé comme je n’en ai jamais eu. Après avoir dormi une bonne heure à l’ombre des parasols, je suis la divine masseuse dans une salle sombre aux couleurs douces. La table de massage trône au milieu de la pièce. Je m’allonge nu sur le ventre, et me rendort à moitié sous les mains expertes de la jeune femme. Mon esprit divague et les images sont de plus en plus érotiques, tout comme son massage sur mes fesses et l’intérieur de mes cuisses. Mon sexe est tout dur, mais elle semble l’ignorer. Sans que je sache comment je réalise que ses doigts massent mon anus bien assoupli par la sodomie de Pierre ce matin et la sensation est vraiment délicieuse. Je ne la vois pas mais son image est bien présente dans mon esprit. Sa peau café au lait est d’une douceur incroyable, tout comme ses mains qui me caressent plus qu’elles ne me massent. Elle a les cheveux très bouclés qui encadrent un visage ovale avec de grands yeux à l’éclat sombre qui m’envoutent : j’ai l’impression de tomber dans un puits sans fond rien qu’à la regarder.

Je pense que ses seins ont été augmentés tant ils jaillissent de chaque côté du bikini réglementaire du club. Ils donnentt envie de les prendre à pleine main, ou même de les téter. Rien qu’à cette idée je sens des tressaillements dans mon sexe négligé.

 D’un simple mouvement de la main, elle me fait comprendre que je dois me retourner, et c’est avec délice que je me mets sur le dos pouvant alors bien mieux la voir. Les massages reprennent, tandis que mon sexe est tendu à la verticale. Je dois avouer que je l’aime bien, il est simple, pointe bien droit, plutôt épais et d’une bonne taille. J’en suis assez fier depuis que Sophie m’a dit bien l’aimer. Tout en me massant les épaules, la jeune femme penche sa tête sur mon torse et se met à sucer doucement mes tétons, l’un après l’autre. Je ne connaissais pas la sensation, et je découvre que c’est une zone des plus érogènes, au moins chez moi. Les lèvres laissent la place aux dents, elle me mordille doucement, arrachant de premiers gémissements incontrôlés chez moi. J’ondule de désir, c’est vraiment diabolique. Elle sert encore plus fort, je ne sais plus si c’est douloureux ou jouissif, je sens la douleur mais elle m’envoie des décharges électriques, mon corps est parcouru de spasmes, j’ai l’impression de jouir sans éjaculer, c’est très fort, incontrôlable, je plonge mes yeux dans les siens, je la vois sourire, ravie de l’effet qu’elle me procure.

Sans quitter mon regard elle se relève et détache son soutien-gorge, libérant sa poitrine qui est encore plus excitante que je ne pensais pas. La masse des seins ondule sur son torse, illustrant sans nul doute qu’ils sont bien vrais, plein de vie et plein de sève. Ses auréoles sont très sombres et ses tétons tout ronds et plutôt petits comparés à ceux de Sophie. Je n’ai pas beaucoup de point de comparaison non plus ! Elle les prend à pleine main, se les masse devant mes yeux exorbités. Je n’ose tendre la main, ni même la toucher. Je n’ose pas toucher mon sexe non plus, pourtant qu’est-ce que j’ai envie de jouir du spectacle. Elle reprend alors le massage, mes yeux sont fixés sur ses seins qui pendent lorsqu’elle est penchée sur moi. Je me demande si Pierre a déjà eu les faveurs de la belle métisse. Mais vu comment elle le traite, je pense que oui. Les mains descendent plus bas en se rapprochant de la base de mon sexe, avant de caresser doucement mes couilles, qu’elles serrent doucement.

J’ai peur qu’elle ne me masturbe, je ne saurais pas me retenir et du coup devrais désobéir à Pierre. Je suis écartelé entre cette envie et cette interdiction. C’est alors qu’elle se recule et fait glisser son slip sur ses cuisses, dévoilant son sexe complètement épilé sauf une mince rangée verticale de poils. Ses lèvres très foncées ressortent entre ses cuisses. Je pense à Sophie et son sexe très discret, lui aussi épilé, mais que je distinguais à peine, comme celui d’une jeune enfant. Là c’est bien autre chose, j’ai le sentiment que cela exprime une sensualité et une sexualité exacerbées, comme si toute l’énergie sexuelle de cette femme était ainsi rendue visible. Elle approche sa bouche de mon gland qui est presque violet à force d’être rempli de désir, et le lèche doucement non pour m’exciter mais pour bien le mouiller. Elle grimpe sur la table, se met à genoux et vient s’empaler doucement sur mon sexe tout dur. Je hurle de plaisir, son sexe est chaud, tout humide, elle me masse avec ses muscles, la sensation est délirante.

J’ouvre les yeux pour croiser son regard narquois, mais aussi pour admirer sa poitrine fantastique qui oscille doucement. C’est alors qu’elle me dit ses premiers mots dans un français maladroit et très chantant, comme seuls les brésiliens savent le faire, me rappelant que je ne dois pas jouir, ce qui la fait très fortement sourire. Car elle se met à faire des allers et retours sur mon sexe tendu à l’extrême, tout en comprimant en rythme ses muscles pelviens. Il ne me faut pas dix secondes pour littéralement exploser et jouir dans des soubresauts effrénés. J’ai des taches dans les yeux, et je me sens vide de toute énergie. Je la vois rires et se retirer de moi avant d’aller dans un petit cabinet de toilette attenant. Je suis encore groggy sur la table quand elle revient, rhabillée de son bikini et toute fraîche. Je rejoins ma chaise longue dans un état second, tandis que Pierre m’y attend. Il demande à la masseuse si tout s’est bien passé, et elle lui dit que je n’ai pas été sage et que j’ai joui.

Je regarde Pierre un peu penaud, et je suis surpris de la colère que je lis dans son visage. Je pensais qu’il serait amusé que je n’ai pu me retenir mais au contraire il semble être vraiment déçu que je n’ai pas résisté. Je me demande s’il sait ce qu’elle a fait pour me provoquer, mais je n’ose me justifier. Il se retourne vers la métisse et lui dit que je mérite une punition ! Je n’en crois pas mes oreilles. Pourtant je le suis quand il me demande de retourner avec lui et la métisse dans la salle de massage pour y être puni.

 Penché sur la table de massage, je dois baisser mon maillot de bain. Je me fais l’effet d’un petit garçon qui est puni comme je l’étais quand j’étais jeune. Pierre me sermonne, me demandant pour qui je me prends, m’insultant en me disant que je ne suis qu’une petite pute qui ne prend du plaisir que quand elle a le droit, que j’abuse de son hospitalité et sa générosité, que je ne suis qu’un queutard. Je me sens bouleversé d’un coup, je ne comprends pas pourquoi mais je sens bien que j’ai fait quelque chose de grave, je m’en veux. Il me demande si je comprends pourquoi je dois être puni. Je lui dis oui parce que je comprends qu’il est en colère et rien que pour cela je dois être puni je pense. Mais c’est si difficile pour moi de ne pas jouir, surtout après m’être ainsi retenu 10 jours. La jeune femme sort du cabinet attenant avec une longue tige d’un mètre qui me semble d’un coup menaçante. Pierre me dit qu’elle va m’en infliger 10 coups sur les fesses puisque je lui ai manqué de respect en jouissant et en plus sans même lui donner le temps à elle de prendre son plaisir.

Je ne dois pas bouger sinon elle recommence. Je retiens mon souffle, je me prépare à avoir mal mais je me jure bien de ne pas bouger. Le sifflement précède la brûlure qui me coupe les fesses en deux. Je n’ai même pas la force de crier, je me retrouve à genoux à pleurer, en apaisant la morsure de la canne par mes deux mains sur mes fesses. La sensation est atroces, je ne trouve pas cela drôle du tout, quand j’étais battu jeune ce n’était pas si douloureux. Humiliant certes, mais pas si douloureux. Le silence se fait, Pierre et sa complice attende. Je réalise que j’ai bougé et je reprends en tremblant ma punition. Pierre me rappelle alors que nous recommençons à zéro. Je me demande comment je vais pouvoir faire. Même sifflement, même brûlure, je suis à nouveau à terre en pleurant à chaudes larmes incapable de résister à la douleur. Pierre me dit que si cela continue je serais attaché mais alors j’aurais 20 coups. Je comprends que je dois me conditionner, je me replace, je me répète de ne pas bouger, de ne penser à rien, de refuser la douleur.

Le sifflement, la brûlure, cette fois-ci je ne bouge pas, je suis tellement fier. Mais c’est tellement difficile, la brûlure se diffuse et ne se calme guère alors que retentit déjà le coup suivant. J’en suis à huit, mes jambes tremblent, je sens mes fesses brûler comme jamais, les larmes coulent sans que je ne fasse rien pour les retenir. L’avant dernier coup me surprend et je suis à deux doigts de tomber à nouveau. Elle a frappé le haut de mes cuisses, moins fort j’en suis certain car le sifflement était à peine perceptible, mais la douleur est tout aussi atroce. Un dernier coup un peu en dessous, mes deux cuisses sont elles aussi marquées de cette canne, je suis prostré sur la table à masser. Pierre me demande de remercier la masseuse pour sa punition. Je me retourne, j’hésite, Pierre me dit de me mettre à genoux et d’embrasser ses pieds, je le regarde, puis j’obéis. Elle porte de fines sandales blanches à talon, ses ongles de pied son vernis, ils sont très jolis, je les embrasse, les effleurant à peine de me lèvres, je ne sais si je dois faire un vrai baiser, les lécher.

Je l’entends qui rit, parle en brésilien clairement pour se moquer de moi car tous deux rient en cur. Pierre me relève, jovial, toute trace de sévérité a disparu, il m’appelle fiston, me fait regarder mes marques sur les fesses et sur les cuisses. C’est impressionnant, je peux compter chacun des coups qui a été donné à un endroit différent, les marques sont rouges foncés. Je réalise avec honte que les deux marques sur les cuisses seront visibles en short ou en maillot de bain, sans comprendre que c’est la raison pour laquelle elles ont été données là pour m’humilier à la vue de tous. Nous retournons à la piscine, je suis épuisé déjà de cette journée.

 Lorsque nous rentrons au vestiaire j’ai un regard immédiatement pour le coin sombre où j’avais vu l’autre garçon la dernière fois. Pierre me sourit et me demande si je suis déçu que personne ne soit là. Tout rouge je réponds que non bien entendu, et il me sidère en me disant que c’était normal que la place soit vide car il l’avait réservé pour moi. Il est sûr que cela va beaucoup me plaire comme nouvelle expérience. Je ne suis pas d’accord, mais alors pas d’accord du tout. Il reste très calme, me dit que je dois bien faire cela puisque je l’ai déçu tout à l’heure et que c’est la suite de la punition. Il me culpabilise, et sans doute sait-il déjà que je ne supporte pas la culpabilité. J’essaie de lui dire que ce n’est pas du tout ce qui m’attire, et il sourit en me répondant que si, je suis une petite pute avide de sexe et d’être utilisée, et qu’il est certain que je vais y prendre du plaisir. Il me propose un marché : si je ne prends objectivement aucun plaisir et que je regrette après alors je pourrais décider de tout ce que je veux après ces dix jours, sans aucune limite.

Mais si je prends du plaisir c’est lui qui continuer à tout décider sans aucune limite. L’image du garçon embroché par les deux côtés me revient et je me dis qu’au pire c’est une expérience unique, moi qui n’en ai aucune. Je baisse la tête en guise d’assentiment, mon destin pour la soirée est scellé. Pourtant les épreuves ne font que commencer. D’abord je dois me mettre nu devant tout le monde et j’espère que la faible luminosité des vestiaires masquera mes marques sur les cuisses et les fesses. Les regards appuyés me font comprendre qu’il n’en est rien et je réalise aussi que les hommes qui me prendront à 4 pattes en auront un aperçu parfait. Je passe les mains sur mon fessier et je sens les marques en volumes, au moins je n’ai pas souffert pour rien, ni de rien, c’était vraiment dur. Et je suis au final très fier de moi, et comme ce soir je suis la pute de service, autant assumer. Rien que cette idée m’excite et je me rappelle que je dois essayer de prendre le moins de plaisir possible.

J’ai juste réussi à reprendre contenance quand Pierre m’indique que je dois aller me laver partout pour être bien propre. Je ne comprends pas ce qu’il dit. Aussi il m’explique en montrant une douchette avec un embout particulier. Je dois l’insérer dans mon rectum, laisser l’eau s’écouler 10 secondes, courir aux toilettes me vider et recommencer jusqu’à ce que cela soit parfaitement propre. Et ce au vu et au su de tout le monde. Je me demande s’il est sérieux, mais il l’est. Il me donne un peu de savon liquide pour rendre la première intromission plus agréable, et pour la première fois de ma vie, je me vide le cul. La sensation est étrange, je sens mon ventre se gonfler un peu, mais surtout une envie de me vider très forte, je me précipite aux toilettes pour tout lâcher d’un coup. A la couleur je vois que c’était nécessaire. Je répète l’opération 5 fois, pour être certain que tout soit bien nickel. Cela me fait un peu mal au ventre mais je n’y pense plus. Je me sèche bien, et conformément à ce que Pierre m’a demandé, je vais me mettre à 4 pattes sur la table prévue à cet effet et j’attends.

Je ne dois pas bouger.

 Un premier groupe d’hommes arrive derrière moi, je sens des mains me flatter, des commentaires mais en brésilien donc que je ne peux comprendre, une main masser mon sexe qui durci, une autre me flattant la croupe, un doigt qui s’insère dans ma bouche. Je ne bouge pas, je me laisse totalement faire, je suis la pute de service. Un doigt enduit de crème me masse le sexe, c’est doux et agréable, je ne sais pas qui est-ce, avant que je n’entende le bruit d’un préservatif, rapidement suivant par la pression d’un sexe contre mon cul. Celui-ci s’ouvre facilement, le sexe est petit et assez court, je ne sens pas grand-chose, sinon les coups de boutoir de son propriétaire. Cela discute beaucoup derrière moi tandis qu’un homme vient devant, relève ma visage et sans avoir à me dire, j’ouvre la bouche pour prendre son sexe mou et le lécher doucement. Quelle sensation extraordinaire que de sentir ce sexe devenir dur par la seule action de ma langue. Je fais bien attention de ne pas le blesser avec mes dents, je m’appuie sur une seule main pour pouvoir caresser son membre bien dur et imposant de l’autre main.

Je préfèrerais celui-là dans mon cul, tant l’autre ne me fait pas grand-chose. Heureusement il jouit vite, et sort de mon cul tandis que je lèche toujours le beau membre viril. On me tend un préservatif rempli, je ne sais trop quoi en fait. Le brésilien que je lèche me montre une coupe et je dépose le préservatif usagé dedans. Enfin il se retire de ma bouche et vient m’embrocher par derrière. La sensation est bien différente, même affolante. Son pieu est très long et vient cogner contre mes organes, je ne sais lesquels, mais c’est douloureux quoique très excitant. D’une main il enserre mes couilles, et tire dessus au rythme de ses coups de boutoir. La douleur est vide dans mes couilles qui remonte dans le ventre, je gémis de souffrance et de plaisir, et je réalise avec sidération que l’écrasement de mes couilles me fait bander et m’excite prodigieusement. Plus il sert et plus c’est douloureux et plus le plaisir montre. Il accélère le rythme et cela devient incontrôlable pour moi et comme une vraie petite pute je me mets à jouir et à éjaculer sous moi.

Mon enculeur en profite pour m’écraser les couilles et me faire crier et jouir profondément en moi. Je suis sonné mais je reste bien en place. Je me sens honteux d’avoir joui, je me demande si je vais être à nouveau puni par Pierre. L’homme me tend son préservatif rempli de son sperme, je le pose dans la coupole. Il y a des éclats de voix derrière moi, je ne bouge pas, plus personne ne me touche, je réalise que j’ai fait une grosse bêtise mais je n’y pouvais rien. Enfin je sens une main caresser ma fesse puis saisir mes couilles à leur base. Je sens un dispositif qui est fixé à leur base et qui tire bien mes petites noisettes en arrière, en les serrant très fort. Un hammer je pense, puisque je ressens les vis qui se ferment. C’est peut être ma punition. C’est douloureux mais excitant aussi de sentir mes couilles compressées. Mais l’outil a été modifié avec une plaque qui vient dessus et qui en se vissant, écrase les couilles progressivement. Les 4 vis sont tournées l’une après l’autre, et je sens l’étau de plus en plus fort.

Bizarrement je ne bouge pas. Lorsque la pression devient trop forte je me mets à haleter, avant que je ne perde toute notion tant je suis pris par la douleur. C’est à cet instant que je vois Pierre se présenter devant moi, j’ouvre automatiquement la bouche pour le sucer. Il m’explique qu’il est évidemment interdit de prendre du plaisir à cette place, une petite pute ne jouit pas. La punition est un écrasement de mes couilles, sachant que chaque homme qui m’enculera aura le droit de faire un tour de vis. Je tremble d’effroi lorsqu’il ajoute qu’il ne sait pas bien dans quel état seront mes couilles à l’arrivée, aucune n’a jamais éclaté mais comme je suis une proie rare qui change des brésiliens, il n’est pas sur que cela n’arrive pas avec moi. Il ajoute, comme s’il y pensait, que bien évidemment il n’y avait pas besoin de savoir si j’y avais pris du plaisir, et que donc il attendait de ma part une parfaite obéissance à tous ses désirs d’ici la fin de mon séjour au Brésil. Il avait évidemment raison, mais comment aurais-je pu deviner que je pourrais jouir de mes couilles maltraitées.

Même là, écrasées au bord de l’évanouissement, je sentais mon pieu dur comme de la pierre. J’étais maudit.

 Déjà un autre homme me prenait et rien que la sodomie, la douleur dans mes couilles était ravivée. Heureusement chaque homme n’avait le droit de serrer d’un tour qu’une des 4 vis car j’en ai un grand nombre qui m’utilisèrent le cul ou la bouche. J’avais le ventre déjà rempli de sperme, et la coupelle à côté de moi débordait quand Pierre vint me dire que mon tour était fini. La nuit était tombée depuis longtemps et je réalisais alors que le vestiaire était très calme. Il me caresse les cheveux et me dit qu’il était très fier de moi. L n’y avait plus qu’à vider la coupelle. Pour cela je devais vider tous les préservatifs dans ladite coupelle et tout boire. Même si je n’étais plus à cela près, le faire ainsi à froid était vraiment difficile, humiliant et révoltant. Je lançais un regard implorant et Pierre me demanda de ne pas tout gâcher. Une fois encore la culpabilité, aussi j’obéis. Le mélange était bizarre on aurait dit, en fait je ne sais pas quoi. Je pris ma respiration, ce n’était qu’un petit moment à passer puis je serais libéré de ce carcan de couilles épouvantable.

Sauf qu’il y en avait beaucoup et qu’il me faut plusieurs gorgées, j’ai très soif mais j’attends d’être libre pour demander à boire. Un homme que je ne vois pas desserre doucement les 4 vis, j’ai tellement mal, cette fois-ci je ne bande plus. Mes couilles sont toutes violettes, gonflées, méconnaissables.  Je pleure d’émotion tandis que Pierre me prend dans ses bras. Il m’explique qu’il est très fier de moi et que j’ai vraiment un gros potentiel. Il a décidé de m’envoyer un mois dans une hacienda à quelques centaines de kilomètres pour que je suive là-bas une formation par une amie à lui. Je lève la tête surpris, lui disant que j’ai mon avion dans 10 jours. Mais comme mes cours ne reprennent pas avant deux mois, cela n’a pas d’importance, il me prendra un autre billet. Il pourrait me prendre même un billet en première classe mais une petite pute comme moi ne voyage pas en première classe me dit-il pour m’humilier. Et oui je suis très humilié d’être traité ainsi. Après m’être rincé de partout, nous rentrons en silence à son penthouse.

Arrivé je lui dis que je ne suis pas d’accord. Que cela va trop loin. Je veux juste prendre du plaisir et découvrir plein de choses mais là c’est bien trop et ce n’est pas du tout ma vie. Pierre me regarde longuement. Il prend son temps. Je pensais qu’il serait furieux mais j’avais besoin de lui dire que j’arrêtais, c’est bien trop perturbant, je ne sais pas si c’est moi vraiment ou si c’est juste que je le fais comme je ferais n’importe quoi. Et je perds complètement le contrôle.

 Pierre m’explique qu’au contraire, c’est ma vraie vie qu’il me permet de découvrir. Comme pour le rôle de la petite pute des vestiaires, je pensais que cela ne me plairait pas et cela m’a tellement éclaté que j’ai jouis au deuxième visiteur ! Il savait juger les hommes et il savait que je n’en étais pas un. Même avec Sophie c’est elle qui avait le phallus, moi j’étais la femelle du couple. Ma vie est insignifiante, et lui me promet une vie incroyable avec des gens incroyables. Je n’ai vraiment rien à perdre. Je reste obtus, je veux rentrer, j’ai eu trop mal aujourd’hui entre les coups de canne et mes couilles. Il sourit et me dit que j’aime la douleur, quand la métisse me mord les tétons je bande. Quand on écrase mes couilles, même de façon extrême, je bande. Et surtout que je ne me plains pas de m’être fait sodomiser à la chaine par une dizaine d’hommes. Il me laisse réfléchir toute la nuit et demain matin je lui donne ma réponse. Comme il est fâché il me jette un oreiller par terre et me dit de dormir sur le tapis.

Je me retrouve nu avec juste un oreiller, le corps et l’esprit meurtri, bien décidé à tout arrêter dès le lendemain. Je ne me reconnais pas, je n’ai pas le temps de souffler et je ne sais même pas si cela me plaît. Ce n’est pas parce que je bande que j’aime. Ce n’est pas parce que cela m’excite et que je jouis que cela me plaît. Ou bien si ? Je m’endors épuisé malgré la précarité de ma couche.

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