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amélie piégée – Chapitre 2

amélie piégée - Chapitre 2



Le sperme de Raphaël gicle dans le vagin dAmélie. A chaque spasme éjaculatoire, il tente de pousser sa bite un peu plus loin au fond du sexe de la jeune femme, jusquà ce quil se soit entièrement vidé les couilles. Amélie reçoit les derniers assauts bestiaux du mâle tout en reprenant ses esprits. Encore un grognement, un dernier spasme, une ultime ruade et il sécrase de tout son poids contre elle, accentuant la sensation dêtre prise en étau entre les deux hommes. Côté face, Raphaël, en nage, la presse de toute sa masse, leurs troncs son ventousés par la transpiration, la poitrine opulente de la jeune femme est complètement comprimée contre le buste du noir qui, de toute évidence, profite au maximum du contact de ces généreuses mamelles à la chair si souple et si moelleuse. Mais qu’attend-il pour se décoller ? Pour extirper son engin du vagin dans lequel il vient de se soulager et la laisser un peu respirer ? Côté pile le dos dAmélie est englué par la sueur contre le torse de Marc, elle est toujours dans cette position absolument dégradante : assises sur les avants bras de son amant ; les mains épaisses de lhomme agrippent ses cuisses tout en les maintenant écartées. Elle se rend compte à quel point il doit être excité. La respiration du mâle est haletante et il remue son bassin dans un mouvement copulatoire sans équivoque. Quant à sa grosse queue, elle ne cesse de venir frotter contre lintérieur des cuisses et de la fourche de la jeune femme. Amélie prend conscience que Marc attend avec une impatience de plus en plus irrépressible que Raphaël extirpe son engin pour prendre la place. Et en effet à peine le noir libère-t-il laccès dans le vagin de la jeune salope que Marc repose sans ménagement Amélie par terre, appuie avec empressement sur les reins de la poupée, lamène à se pencher à nouveau en avant, agrippe dune main vigoureuse la taille fine tout en guidant de lautre sa bite dans le con offert et sans vraiment lui laisser le temps de souffler, il senfile jusquaux couilles dans les parois déjà dilatés par la saillie et immédiatement, il laboure le terreau de cette matrice devenue infiniment meuble tellement elle dégorge de sperme et de mouille. Il sadresse alors à Raphaël qui affalé contre le mur de la douche récupère : « Immortalise la scène ! ». Mais pas une seule seconde, il envisage de demander lavis dAmélie. Cette dernière essaie bien dexprimer son point de vue sur la situation. Mais le gourdin cogne et vibre tellement puissamment dans son ventre que, alors quelle voudrait prononcer des phrases cohérentes, elle narrive quà émettre des sons obscènement saccadés : « MAA rrraa AAAAcccccc Jjeeejee JJeeeEEe Maa Mma iiiaaa aaaisss OOOhhhreeeeRREEee MaaAAA rrrrRRRCCcccc ». Marc enserre de ses deux mains la taille de la femelle et les yeux rivés sur ce magnifique cul contre lequel son pelvis vient buter avec la régularité dun métronome, il bourre le con toujours plus fort. La voix de la femelle gagne aussi en intensité dans les couinements :« MMMMMAAAAAAAarrrcc OOOHH HHYYYyooôîïïïiii mmMMaaAArrcccAAAArrigiiiiiiiii MMaarAAArrïÏÏÏÏAAAAr aaaAARAArrrCCCccccc ».

Pendant ce temps, Raphaël sest saisi de lappareil photo. Il enclenche le mode vidéo et filme. Est-ce les feulements de la merveilleuse chiennasse qui motive encore plus Marc ou le fait de se savoir filmé, ou tout simplement le fait quil va jouir, en tout cas, il décuple encore ses coups de reins. Raphaël fait dabord un plan large pour que lon voit bien à quel point le corps de la tendre pouffiasse se fait complètement remuer par le ramonage de chatte. Il veille à ce que le son soit à fond et en profite pour faire un focus dabord sur les lourdes mamelles qui gigotent au rythme incessant des coups de boutoirs, puis sur la douce petite gueule dange. Les cheveux fins et dune blonde pureté sont collés au front par léchauffement et la chaleur de loutrage sexuel ; les grands yeux de biche, reflet de la candeur et de la grâce féminine, sont désormais écarquillés détonnement dêtre sous lemprise dune telle puissance de saillie ; les joues à lincomparable douceur vermillon ont été empourprées par lincendie qui se propage dans absolument toute la chair de cette femelle en rut ; quant à sa délicieuse petite bouche en cur, elle est déformées par les grimaces de lorgasme et les lèvres pulpeuses ont perdue toute trace dinnocence puisquelles laissent échapper des cris de plus en plus stridents, des cris incontrôlables qui jaillissent du fond de la gorge, du fond de lêtre, du fond de lâme, du fond du con de cette pute insatiable. Car si elle est dans un tel état, cest uniquement parce quelle se fait bourrer par une grosse bite. Ce qui mérite bien un gros plan. Raphaël sapproche encore et cherche le meilleur angle pour capter au plus prêt limage du travail du braquemart dans le sexe parfaitement glabre de la femelle. Marc se prête au jeu. Il extirpe sa hampe presque entièrement de la matrice puis réenfile jusquà la garde ses 20 centimètres dans le ventre de la salope. Il appuie sur les reins pour quelle cambre encore sa croupe idéalement rebondie. Et il la bourre. La bourre. La bourre. Raphaël saccroupit. Ainsi on voit parfaitement la hampe forer entre les lèvres du vagin. La bite se fait avaler par la chatte gloutonne, jusquaux couilles, encore et encore et encore. Le clitoris est complètement sorti de son repli de peau. La connasse est tellement ouverte et détrempée que des éclaboussures de cyprine gicle. Raphaël renifle à plein nez lodeur de la moule farcie au stupre Tiens, Marc émet un râle bestial ! Pas de doute, il va venir. Il carre sa bite complètement au fond de lantre et ses belles couilles pleines écrasées contre les lèvres de la chatte, il envoie tout son sperme dans le délicieux sac à foutre. Raphaël continue de filmer en gros plan le vagin qui, pour la deuxième fois en quelques minutes, se fait remplir de jute. La chienne contracte ses muscles périnéaux comme pour mieux aspirer le jus. La pine gluante sextirpe à moitié, puis replonge dans un bruit visqueux et linsatiable muqueuse vaginale avale à nouveau goulûment le gourdin. Marc pousse au maximum, au fond de la cavité utérine et les couilles pressées contre les lèvres béantes, il finit de se vider en grognant. Alors lentement, il extrait son engin du ventre de la chiennasse. Vingt centimètres de hampe poisseuse sortent du con ; ce qui sappelle sêtre fait bien remplir ! Le gland apparaît enfin et dans un appel dair dégoûtant, les nymphes libèrent le gros vit. Un épais filet glaireux de sperme dégorge de lorifice et coule sur la fourche de la femelle. La moule est bien ouverte, on voit presque lintérieur de la grotte Mais déjà les muscles du périnée se relâchent, les parois du gant de chair se rétractent et les nymphes se referment lentement. Mais, après un tel traitement, les lèvres extérieures vont rester un bon moment dilatées avant denclore à nouveau le précieux bijou de la salope. La fente bée de deux centimètres au moins et le sperme continue de dégurgiter des babines épaisses et gorgées de sang. Raphaël est fasciné. Il se verrait bien la remplir encore un bon coup. Ô oui, il est sûr quelle en veut encore. La preuve, il bande de nouveau comme un taureau. Il va remettre un coup de queue à cette connasse insatiable. Il se relève.

Amélie, elle, reprend ses esprits, toujours la face tournée contre le mur de la douche. Bien sûr elle sest redressée. Tout son être a été remué. Le bouleversement intime a été si puissant quelle ne peut lassumer. La honte lenvahit de sêtre laissée ainsi submerger par des pulsions bestiales. Elle frémit de dégoût en repensant à lavilissement quelle vient daccepter, à sa jouissance animale, à sa dépravation. Elle voudrait oublier la trace que les membres des deux hommes ont imprégné dans son sexe, effacer la souillure quils ont laissé en elle. Comment a-t-elle pu accepter ? Elle na quun seul désir maintenant : dissimuler sa nudité, renouer avec sa pudeur de jeune femme respectable, se laver, sen aller. Marc la enfin lâché. Mais lautre pervers ? Elle sent le regard immonde de ce vicieux dans son dos. Elle contracte les fesses, serre les cuisses et, en faisant bien attention de ne pas croiser les yeux de Raphaël, elle se retourne pour regarder Marc. Il doit la laisser partir maintenant. Le visage désarmé de la jeune femme ne peut quattendrir celui qui prétend être son amant. Le plus fémininement possible, elle incline légèrement la tête vers lui. Elle sait que ses traits si fins et si harmonieux inspirent la tendresse. Comment pourrait-il résister à ses grands yeux mordorés de biche sans défense, à ses longs cils qui papillonnent candidement ? A sa chevelure blonde soyeuse et plus précieuse quune cascade dor qui, accompagnée dun léger mouvement du cou gracieux, se répand sur ses épaules graciles ? Ses armes de femme. Elle a toujours su en jouer pour obtenir ce quelle voulait des hommes. Mais jusquà présent cétait sans jamais rien donner en retour. Cette fois, elle a sacrément payé de sa personne. Le désordre laissé par lacte copulatoire se lit dans ses yeux trop brillants, sur ses joues quelque peu cramoisies. Et sa chair a tellement été échauffée que la sueur colle ses cheveux à son front et à ses tempes. Marc lui sourit pour la mettre en confiance. Quelle enjôleuse ! Limage de lidéal féminin. Lexpression angélique, tout en humilité, sans oublier la petite moue ingénue de la bouche On pourrait presque la prendre pour une douce pucelle, pour limmaculée conception. En faisant abstraction cependant du fait, quelle était totalement nue et que sa plastique aurait fait triquer un eunuque. Non, décidément se dit Marc, le plus crédible chez, Amélie, ne résidait pas dans ses mimiques artificieuses, mais du côté de son dos émouvant, de sa chute de reins vertigineuse et de son délicieux petit cul bombé. Elle pouvait donner à son visage limage de linnocence, mais elle ne pouvait pas dissimuler son adorable con. Quand elle était ainsi de dos, il ressemblait à un abricot exquis, tout lisse, avec des lèvres à la fois joufflues à souhait et dune fermeté terriblement appétissante. Un abricot fendu à point, dégorgeant de sève et poisseux de jus, idéalement mûr pour se faire à nouveau cueillir par une grosse bite. Dailleurs Raphaël avait lair bien décidé à enfourner à nouveau son gourdin. Il soufflait comme un porc et collait de plus en plus explicitement la petite salope. Comme un chien en rut, il frottait maintenant son engin à la cuisse droite. En fait, à chaque seconde, malgré les vaines tentatives dAmélie pour se dégager, la queue gagnait un peu plus de terrain vers sa cible. Le cul dAmélie faisait office daimant à pine. Elle était acculée contre le mur et nallait pas tardée à être enculée. Et effectivement maintenant, le noir commençait à ouvertement fourbir sa pine contre larrière train de la femelle. A ce contact ignoble, elle raidissait tout son corps et le visage emprunt de dégoût, elle regardait Marc en le suppliant. Ce dernier repris les choses en main. Il agrippa lépaule de Raphaël et le tira en arrière. « Hey tu fais quoi mon ami ? ». Le noir grogna et chercha à se dégager pour de nouveau sencoller à la croupe de la jeune femme : « Jai trop envie de lui remettre un coup à cette petite salope

— Oui, mon ami, mais ce nest pas gratuit. Si tu veux de nouveau la troncher, faut repasser à la caisse.

— Déconnes pas Marc, je tai déjà filé 150 euros ! Jai déjà payé laisses- moi la piner !

— Tu as tiré ton coup.

— Mais oui, merde jai payé pour la piner !

— Et bien justement tu las fait non ?

Amélie est abasourdie. Elle nen croit pas ses oreilles ! Marc la prostituée !!! Quel immonde personnage ! Mais au moins, il sest interposé devant Raphaël. Dun geste protecteur, il a passé son bras autour de la taille de la jeune femme. Elle ne peut pas le repousser maintenant, car il la protège. En effet, le noir insiste :

— Je ne vais pas payer 150 euros à chaque fois que je veux lenfiler.

— Jai bien peur que si.

— Mais je nai pas les moyens.

— Ce nest pas mon problème

— Déconnes pas merde

Raphaël essaie de contourner Marc et de poser ses sales pattes sur la jeune femme. Pour éviter tout contact avec cet abject mâle en rut, elle est obligée de se blottir contre Marc. Elle le déteste après ce quil a osé lui faire, mais elle na pas le choix. Il la défend contre ce porc qui veut la violer. Et effectivement, Marc semble bien décidé à prendre le parti dAmélie :

— Je ne pense pas quAmélie soit daccord Raphaël

— Mais merde depuis quand on lui demande son avis.

— Il na jamais été question de la violer, mon ami.

Que faire dautre que de se blottir un peu plus contre cet homme qui la protège, même si cest le pire des salops. Au moins grâce à lui cette histoire va enfin prendre fin. Et lautre qui insiste toujours :

— Merde, Marc je te jure que je nai pas les moyens de mettre à nouveau 150 euros.

— Et bien tant pis. Peut-être une autre fois.

— Je nai que 50 euros ! Allez 50 euros.

Amélie se réfugie de plus belle contre Marc pour quil sente à quel point elle compte sur lui, à quel point elle a besoin de lui, à quel point elle a confiance en lui.

— Cest pas la période des soldes mon ami désolé. Si tu veux sa chatte cest 150 euros. Point barre.

Mon dieu ! Comment peut-il parler delle en ces termes ? Comment peut-il la traiter ainsi ? Mais lessentiel pour linstant cest quil ne cède pas.

— Putain merde, elle mexcite trop la salope ! Et pour 50 euros, alors ? Jai quoi ? Elle me suce la bite ?

— Heu 50 euros pour une pipe ?

Nonnnn !!!! Il ne peut pas faire ça !!!

— Oui, je te donne encore 50 euros si elle me suce !

Cest impossible !!! Il va dire non Il ne peut pas hésiter !!! Mais quest ce quil attend pour refuser catégoriquement ????

— Humm daccord. Mais cest bien parce que cest toi.

Marc tient toujours Amélie par la taille. Il pose sa deuxième main avec douceur sur la tête de la jeune femme et il lui flatte le crane tendrement. Comment ose-t-il ? Comment peut-il simaginer !!! Elle doit lui faire comprendre que cest absolument impossible

— Marcccccc nonnnnnn. Jamais ! Jamais je ne ferai ça !!! Jamais tu mentends ! Jamais !

— Chut ma chérie. Ce nest pas bien méchant de sucer sa queue quand même. Ne fais pas tant dhistoire pour si peu.

Elle se ferme ! Le visage fermé, les cuisses serrées, les fesses comprimées. Oui, elle se ferme !!!! De plus la manière dont Marc lui caresse la tête est tellement ignoble ! Comme on flatterait un animal de compagnie !

— Jamais je ferai ça !

Marc élève la voix :

— Ecoutes ma puce. Il faut que tu sois un peu plus obéissante, sinon ça ne va pas aller ! Tu comprends ? Arrêtes de jouer les vierges effarouchées. Ça prend peut-être avec ton mari mais pas avec moi. Il ne connaît pas ta vraie nature et je pense quil est préférable de le laisser dans lignorance.

Marc regarde alors le téléphone portable que Raphaël tient toujours en main. Le cur dAmélie fait un bond dans sa poitrine. Mon dieu, il serait capable de montrer ce film abject à Jean-Paul ? Non ! Quelle horreur Raphaël se rapproche. Cette odeur aigre ! Cette présence adipeuse. Il tient son membre dans la main, lagite ignominieusement. Il la touche presque. Elle se crispe. Marc poursuit sur un ton plus mielleux en caressant délicatement la joue de la jeune femme en approchant ses doigts des lèvres pulpeuses.

— Tu vas être bien sage et bien obéissante. Il faut que tu me fasses confiance. Cest comme ça. Il ny a pas dautre solution de toute façon. Cest pour ton bien crois moi ! Daccord ?

Elle se bute. Comme une enfant capricieuse et récalcitrante, elle fait non avec la tête. Mais Marc poursuit sa litanie :

— Tu vas juste sucer sa queue ! Ce nest quand même pas terrible. Ce nest quand même pas la première fois que tu suces une bite ma chérie ! Allons Amélie ne fais pas ta bêtasse !

La jeune femme a compris que Marc ne cédera pas. Elle est fatiguée. Elle veut que ça finisse. Elle baisse les yeux sur lengin de Raphaël. Cette longue tige noire, adipeuse. Contrairement à celle de Marc qui possède un gland épais et bien dessiné en forme de champignon, la hampe de Raphaël semble dun seul tenant et ne comporte pratiquement aucun relief entre la tige et le gland. Alors que lengin de Marc est légèrement courbé vers le haut, celui du noir est parfaitement horizontal. Il est aussi plus court de 4 à 5 centimètres et de toute évidence moins large. Elle ne peut réprimer une grimace de dégout. Marc a bien saisit ce mouvement de répulsion. Il a alors un doute.

— Tu nas jamais sucée de queue ?

Elle se cabre. Mais comment peut-il lui parler comme ça ? Elle est dautant plus ulcérée quelle sent bien quelle rougit et quainsi elle trahit sa honte et sa gêne.

Marc prend avec autorité le menton dAmélie entre ses doigts puissants, il oblige la jeune femme à lever la tête vers lui et à le regarder. Et avec autorité :

— Réponds Amélie ! Tu nas jamais sucée de bite ? Cest ça ?

Les larmes montent aux yeux de la jeune femme. Elle na jamais été humiliée ainsi.

Marc, tout en tenant toujours le menton dans sa main droite, applique une petite gifle de la main gauche, sur la joue déjà bien rosie par la confusion. Il ne sagit pas de lui faire mal mais de sortir Amélie de sa torpeur et de marquer définitivement sa soumission. La jeune femme sursaute. Les larmes perlent à ses paupières. La voix de Marc devient tranchante :

— Réponds Amélie !

Dans un murmure presque inaudible :

— Cest dégoutant de faire ça.

— Donc tu ne la jamais fais ?

Elle fait non avec la tête.

— Même ton mari ne ta jamais donnée à sucer sa queue ?

Elle baisse la tête et fait encore non.

— Tu te rends compte, Raphaël, la pauvre puce na encore jamais reçu une bite en bouche.

— On va réparer ça ! Passe la moi, je vais lui apprendre.

Elle se cabre et se blottit dans les bras de Marc. Elle est tellement sans défense. Elle a besoin de réconfort. Elle tremble même un peu. Il laccueil entre ses bras puissants, rassurant. Il lenlace tendrement, la berce doucement.

— Nai pas peur ma puce. Ça va bien se passer. Je suis là. Nai pas peur.

Il caresse sa joue le plus tendrement possible. Elle est vraiment bandante la petite salope.

— Je vais te montrer, daccord ? Ouvres la bouche mon ange ?

Elle ne répond pas. Mais de toute façon, ce nétait pas une question. Il approche avec assurance son indexe et son majeur de la charmante petite bouche. Il sapprête à enfiler les deux doigts entre les lèvres délicatement charnues. Il est évident que la magnifique petite femelle va céder. Il ny a quà la guider

— Allez ! Ouvres la bouche ! Ouvres, ma puce ! Là, voilà ! Comme ça. Voilà ! Suces mes doigts, ma belle. Tout doucement. Voilà, comme ça. Cest bien ! Très bien. Tu vois, ce nest pas bien terrible. Suces ma belle. Là. Oui Que tu es douce ! Que tu fais ça bien. Et maintenant, fais tourner ta langue autour du bout de mes doigts, un mouvement de rotation Allez Amélie ! Allez !

Non ! Elle ne fera pas ça ! Elle ne veut pas faire ça. Cest tellement humiliant.

Marc lève la main comme pour la gifler à nouveau et la regarde dun il noir :

— Amélie obéit ! Dépêches-toi maintenant ! Allez ! Tourne ta langue !

Que faire dautre sinon obtempérer ? Sinon caresser le bout des doigts avec la langue, enrouler sa langue autour des doigts. Quon en finisse ! Ô, si seulement il ny avait pas cet autre type ! Son regard pervers ! Le plaisir non dissimulé quil prend à la voir se rabaisser ainsi. Elle lentend grogner : « Ô la salope ! Comme elles est bonne ». Il doit être en train dagiter son engin dans sa main ! De se masturber en la regardant ! Et Marc qui, contre elle, ne cache pas non plus son érection. Ces hommes sont de nouveau en rut ! Ça ne cessera donc jamais.

Marc appuie sur les épaules de la jeune femme. Il accompagne son geste par la parole : « Mets toi à genoux maintenant, ma puce ». Se mettre à genoux ! Mon dieu, non ! Mais si, elle va sagenouiller. Ses genoux plient. Comment lutter contre la volonté inflexible de Marc ? Il est plus fort quelle.

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