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Amoureuse des fesses de femmes – Chapitre 2

Amoureuse des fesses de femmes - Chapitre 2



Quand tante Françoise fit son entrée, elle nous félicita pour notre tenue, je sentis son regard peser sur moi, ne pouvant résister, je baissais les yeux. Elle mit son index sous mon menton pour relever mon visage puis déposa un baiser léger sur mes lèvres et alla rejoindre ses amies. Une musique de danse lente et légère emplissait le vaste salon. Un couple de femmes évolue dans un slow promettant.

Tout en faisant ce qui nous a été demandé, j’observais les personnes présentes, jétais folle à lidée de pouvoir men faire une, mais ce nétait quun fantasme, puis ma tante qui venait de m’embrasser, j’avais encore la saveur de ses lèvres sur les miennes.

Karine me sort de mes rêves :

— C’est chaque fois différent, mais un peu la même chose. Les couples se forment, dansent, s’embrassent, se font des choses, enfin se caressent.

Nous observons les invitées en papotant quand Karine me tape du coude :

— Oh Sophie ! Ton rêve… C’est une femme comme ça qu’il te faut.

Il n’était pas possible que cette magnifique créature quelle me montre du menton nait pas entendu. Je devins rouge de confusion. Je me demandais vraiment à quel jeu jouait Karine, je sentis le regard de cette femme peser sur moi. Je baissais la tête, elle était tout près, à quelques pas de nous. Elle sapprocha et se mit à me caresser le cou, mes joues, puis son visage s’approcha du mien et je sentis ses joues me frôler avant que ses lèvres prennent les miennes en un court mais tendre baiser. J’eus juste le temps de sentir ses lèvres pulpeuses et un peu mouillées. Puis elle revint à sa place comme si de rien n’était. Karine semble connaître pas mal de monde, elle me présente puis les convives cherchent une place pour sasseoir.

Je ne peux m’empêcher d’aimer cette ambiance tamisée où flottent des odeurs de parfums féminins. Deux couples évoluent sur la piste. Rien qu’à les voir danser, je frissonne, deux femmes entre elles, c’est doux, c’est tendre, joue contre joue, corps contre corps. J’ai envie de danser alors j’invite Karine. La preuve est faite que personne n’a besoin de nous. Les habituées arrivent, versent leur obole, puis se servent une boisson. Après avoir dansé tendrement et étroitement enlacées Karine et moi, retournons dans notre petit coin. J’aime bien car nous pouvons voir tout ce qui se passe. Jadmire mon béguin, je n’ai d’yeux que pour elle dans sa longue robe fourreau de velours noir qui la moule à ravir. Elle salue presque toutes celles qui sont là, allant de tables en tables pour enfin revenir près de nous.

— Ça va les filles ?

— Oui, oui. Répond Karine

Elle nous fait un clin d’il puis nous demande de lui servir une autre coupe.

— C’est le moment de trinquer. Nous dit-elle en me regardant dans les yeux.

Mon sang ne fait qu’un tour. Je suis gênée. Cette merveilleuse femme, les cheveux à la garçonne lui donne comme un air rétro, des seins émergeant d’un bustier à vous en couper le souffle. Tante Françoise me sort de ma contemplation en embrassant la divine créature sur la bouche. Ma tante me sourit en voulant dire : « Ne tinquiète pas ici tout est permis » Elle me présente :

— Ma nièce Sophie, elle est toute fraîche, alors doucement sil te plait.

Puis sadressant à moi :

— Sophie, je te présente Fabienne, fait bien attention à elle, cest une sorcière.

Ensuite ma tante tourne les talons pour rejoindre dautres personnes. Décidément, je me dis que ce monde de dames est un monde à part. Moi, qui suis-je au milieu de toutes ces femmes. Est ce que je ressens assez d’attirance pour la femme pour pouvoir affirmer que moi aussi je fais partie de cette "gente" toute spéciale. Je me sens comme frustrée mais je ne me dégonfle pas, je m’approche de Karine et plaque mes lèvres contre les siennes. Nous mélangeons nos langues avec désir. Je lentraîne pour aller danser.

Notre complicité ne fait plus aucun doute. Je voulais montrer à cette Fabienne que je ne suis pas de la campagne.

Je prends le temps d’admirer les danseuses. Il y en a de très jolies. Tout en dansant, je glane ça et là un sourire, une mimique qui en dit long. Je crois que pour danser avec une autre, il faudrait que nous retournions à notre place et attendre. Le résultat ne se fait pas attendre. Ma cousine est invitée la première. La fort jolie femme qui danse avec elle n’en finit pas de la caresser, la cajoler et je croise même à un moment le regard absolument neutre de sa mère qui l’a vue, elle me jette un petit clin d’il et son plus beau sourire. Je ne cesse d’admirer les jeux des danseuses qui se caressent, se pelotent même les fesses souvent étroitement gainées. Plus nous avançons, dans la soirée, plus l’ambiance se détend et c’est peu dire. Des poitrines jaillissent de temps à autres, grosses, oblongues, pétries par des doigts agiles, puis retournent plus ou moins sous le corsage. C’est une ambiance quelque peu échevelée et pourtant calme, bercée par la langueur de cette musique douce.

La musique change, laissant sa cavalière, Karine revient à mes côtés. Je lui dis:

— Tu sais, j’ai flashé pour cette Fabienne. C’est tout à fait mon type.

— Tu veux que je l’appelle ?

— Non. Tu peux lui parler de moi, enfin de nous.

— Tu n’as qu’à rester là !

A peine Karine est repartie qu’une fort belle dame m’aborde.

— Je suis Nadine. Une amie de la mère à Karine, voulez-vous ?

Il n’est nullement question que je me fasse prier, je me lève et la croqueuse m’entraîne vers la piste. Tout de suite, elle fait en sorte que nous dansions très étroitement serrées l’une contre l’autre. Je n’ai rien contre, je m’abandonne complètement. Puis elle me dit :

— Tu sais que tu me donnes des envies toi ?

La femme me serre si tendrement que j’en suis pantoise. Elle me baisote dans le cou puis se met à lécher mes oreilles. Je lui rends la pareille et nous nous parlons comme ça à voix basse. J’ai envie de lui dire mille choses, de tout lui dire, mes souhaits ardents. Quand elle me murmure :

— Toi, tu as envie de moi.

— Heu. Oui très.

Nadine me serre si tendrement que j’en suis pantoise. Elle passe sa langue dans mon cou puis mes oreilles. Je lui rends la pareille certainement très maladroitement. Elle reprend la parole :

— En dehors de Karine, tu n’as jamais été avec une femme ?

— Non.

— Tu ne veux pas me raconter ce que tu fais avec elle ?

— Non.

— Tu as vu Françoise ?

— Elle était là tout à l’heure.

— Tu te doutes de ce qu’elle fait. Tu aimerais ça toi.

— Quoi ?

— Etre aimée par une vraie femme.

— J’avoue que ça me tente. Mais je ne sais pas trop.

— Alors maintenant, dis-moi ce que vous faites avec Karine.

— Ce que j’aime le plus, c’est la sucer. Jaime bien la faire jouir avec ma langue. Ce que je préfère, ce sont ses fesses. Je suis folle de ses fesses.

— Oh toi alors, tu mépates !

— Tu me demandes, alors je te dis.

— Tu lui lèches la raie de son derrière.

— Oui, j’adore. Je passerais des heures à le faire.

— C’est fou ça une jeune fille comme toi qui parait si sage ! Tu aimerais le faire à une femme ? A moi ?

Nadine me serre si fort que je crois étouffer. J’en ai presque envie de pleurer de bonheur. Alors je murmure au creux de son oreille que jembrasse presque en même temps :

— Tu me rends folle. Folle de désir, du désir de toi, de tout ton corps.

— Je vois que ton amoureuse te cherche, tu devrais aller la voir.

— Oh je t’en prie, reste avec moi !

Ma cavalière se détache de moi et me laisse rejoindre Karine. Elle a ramené Fabienne à notre petite table.

— Avec Fabienne, nous avons parlé un peu de toi et elle serait ravie de te servir de monitrice dans le domaine qui te tient à cur.

Je pique un fard énorme, une sorte de honte menvahie, jaurais voulu fuir, mais Fabienne me prend dans ses bras en me caressant les cheveux. C’est moi, cette fois, qui prends la bouche de Fabienne. Nos langues se taraudent un moment. Dans les bras de Fabienne, je fonds littéralement. Un long moment de silence me permet de me laisser griser par la musique. Nous allons danser joue contre joue et je frémis à la moindre caresse. Je me demande combien de temps nous serions ainsi restées sans un mot. C’est moi qui approche ma bouche de la sienne pour me mettre à la dévorer par petites touches, à plonger ma langue et rejoindre enfin la sienne qui m’accueille en louvoyant. Nos lèvres restent ainsi un moment soudées alors que nos langues s’en donnent à cur joie en même temps quelle laisse sa salive que je crois bon d’avaler. Puis je sens ses doigts écraser mes fesses à travers le fin tissu de ma robe. Je m’abandonne totalement à elle et je sens que je mouille intensément. Enfin nos bouches se séparent, elle me sourit. Pas un mot jusqu’ici, c’est encore moi qui prends l’initiative de murmurer :

— Je n’ai encore jamais rendu hommage à une vraie femme, je veux bien le faire avec toi !

Alors, tout en dansant, Fabienne m’entraîne vers la porte du fond. Là, je connais un peu les lieux. Une petite entrée qui donne sur deux cabinets et deux autres portes sur deux petites pièces particulières. C’est vers l’une de ces portes que m’entraîne Fabienne Elle referme la porte à clé sur nous deux, puis elle me serre très fort, nous nous vautrons sur le petit lit divan qui est certainement là pour la circonstance et elle me dit :

— Ici, on peut faire ce que l’on veut. C’est une règle absolue, on ne sera pas dérangées. C’est la première fois que je vais avec une fille aussi jeune que toi. Tu me donnes l’eau à la bouche. Déshabilles-toi vite! J’ai une terrible envie de toi !

Très excitée, je fais ce qu’elle me demande alors qu’elle-même a déjà retiré la moitié de ses vêtements. Elle reste en bas et porte-jarretelles. Ses seins sont magnifiques d’opulence et de fermeté à la fois. Elle me laisse les pétrir un instant, alors que nos bouches et nos langues s’en donnent à cur joie, puis elle m’allonge sur le divan et se met à genoux devant moi. Sa main droite prend ma chatte dont elle caresse les lèvres, puis soudain, elle y plonge son visage. Sous sa langue, je ne tarde pas de partir. Puis elle dit comme une folle :

— Oh c’est bon, cest trop bon !

Moi je frétille de bonheur dans tous les sens. Je sens un doigt pénétrer mon petit trou. Jamais avec Karine je n’avais joui de cette manière. Le doigt imprégné de ma mouille me pénètre un peu plus, puis soudain, Fabienne le retire et me donne à sucer. Ma tête chavire, je dois avoir les yeux exorbités. C’est je ne sais quoi, le vertige, alors je murmure en râlant presque :

— C’est toi que je veux !

Alors Fabienne place un coussin sous ma nuque puis elle vient à califourchon sur mon visage. J’ai juste le temps d’apercevoir ses deux très jolies fesses bien rondes qu’elle écarte, mon nez se retrouve enfoui dans sa raie culière, je m’empare de la coquille toute juteuse, ma langue pénètre en un "floc" et commence de virevolter. Fabienne s’est redressée sur moi, elle se contente de me caresser la vulve en criant :

— Ho oui… Oui… Ma petite… Comme c’est bon… Comme tu le fais bien.

A suivre…

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