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Amy, mon amie, ma Maitresse – Chapitre 1

Amy, mon amie, ma Maitresse - Chapitre 1



Chapitre 1 – La prise de contrôle

Bonjour, je mappelle Kyle X. J’ai 22 ans et j’aimerais vous partager l’histoire qui m’a propulsé vers un endroit que je ne soupçonnais pas du tout.

Tout a commencé un matin de Juillet, étant étudiant je suis donc en vacances bien méritées après une année de durs labeurs.

Qui ne s’est jamais ennuyé durant les vacances ?? Ce fut mon cas, je décide alors dappeler ma meilleure amie Amy en lui disant que j’aimerais bien faire autre chose que de rester cloîtrer chez moi. Elle me fixe alors un rendez-vous avec elle pour un cinéma à 14h10. J’arrive au lieu du rendez-vous et je commence à l’attendre. Quand elle arrive enfin, on se fait la bise, comme de bon amis.

En bon gentleman, je lui paye la séance, ses friandises à l’intérieur de l’établissement, bien qu’elle insistait pour payer sa part.

La séance se déroula bien, on se plaignait des pub d’avant-film trop longues, des erreurs de réalisations, de productions, … (je sais c’est bizarre, mais c’est un truc qu’on est habitué à faire ^^)

Une fois le film terminé, elle m’invita à faire un tour avec elle au centre commercial, parce qu’elle devait se trouver des nouveaux vêtements.

N’ayant rien à faire et étant toujours prêt à aider une fille, je la suivit.

De boutiques en boutiques, elle me demandais mon avis sur les vêtements qu’elle choisissais. Je ne put m’empêcher de rougir quand elle sortit de la cabine avec certaines robes ou certaines jupes assez sexy, et son petit sourire en retournant dans la cabine d’essayage me laissait penser qu’elle l’avait vu.

De boutiques en boutiques, je lui portais ses sacs, en bon homme galant.

Je l’ai suivi jusque chez elle, toujours en portant ses nouvelles acquisitions.

— "Tu peux rester un moment ?" me demanda-elle.

— "Oui, bien sûr." dis-je pendant que d’un il discret je regardait l’immensité de cette maison où je n’étais encore jamais venu.

— "Peux m’aider à ranger mes affaires dans l’armoire avec moi ?" me demanda-elle.

— "Euh ….. oui, je veux bien." dis-je d’une gêne assez prononcée, en rougissant.

Nous sommes donc tous les deux montés à l’étage jusque dans sa chambre, décoré assez simplement: un lit assez grand, une penderie dans laquelle elle pouvais rentrer sans problèmes, un coin télé et une commode, un bureau, le tout dans une gamme violette assez lumineux.

Nous sommes allé jusqu’à la commode. Et j’ai commencé à ranger le contenu des quatorze sacs qu’on avait ramenés.

— "Les vêtements que j’ai choisit te plaisent ?"

— "Pour la plupart, … oui"

— "Lequel préfères tu ?"

— "Le petit haut du premier magasin"

— "Celui-là ??" dit-elle en retirant son t-shirt pour remettre celui que je lui avait cité.

— "Ou… oui" dis-je en rougissant d’un coup.

— "On est timide ?" me dit-elle d’un air amusé.

Je ne me contenta que de hocher la tête.

— "Comme c’est mignon. Mais tu sais faut pas être timide. D’ailleurs, j’ai une idée: tu vas aller dans la penderie et mettre ça." me dit-elle en me passant une robe noir que je trouvais merveilleuse sur elle.

— "Je ne sais pas … je pense pas que ça m’aille très bien. Et en plus je suis légèrement trop gros."

— "Allez, fait moi plaisir !" dit-elle d’une voix innocente.

— "D’accord" dis-je en rougissant toujours un peu plus.

Je passais dans la penderie pour mettre la robe, mais comme je l’avais dit à Amy, elle était trop grande.

— "Ce n’est pas grave, sort deux secondes je vais t’aider."

Environ cinq minutes plus tard, me voila affublé d’un corset dans lequel j’avait énormément de mal à respiré mais qui me permis de mettre cette robe.

Amy était ravie au moment où je sortais de sa penderie pour lui montré.

— "Tu est magnifique comme ça, ma belle !" d’un air sarcastique.

— "Puis je me rhabiller maintenant ?"

— "Non, pas tout de suite, je suis sur qu’on peut te rendre encore plus belle."

Empoignant son nécessaire de maquillage et des bas, je me retrouvait au bout de 10 minute sous les allures d’une superbe fille.

Elle n’a pas hésité pas à prendre des photos.

Après avoir chaussé des talons et montré à Amy que je pouvais marché avec, je m’écroula sur son lit, n’en pouvant plus. Elle se mis alors à coté de moi, et me dit:

— "Alors ?? Comment tu te sens ?"

— "Bien en fait, mais ça serait mieux si je me remettais dans ma tenue."

— "Attends encore un peu, je vais rajouter un dernier accessoire et tu sera parfaite."

Elle se dirigea vers la commode et en ouvrit le tiroir du bas.

— "Ferme les yeux !" me dit elle.

Je mexécuta très vite. Je n’entendit ensuite que les bruit de ses pas qui cognait le parquet.

J’entendit ensuite un très léger bruit métallique.

— "Prend ma main !"

Je lui tendit ma main dans la direction de sa voix.

CLIC

J’entendit ce bruit et eu en même temps la sensation que ma main était cerclée de fer. J’ouvre donc les yeux.

Je vois alors que je suis menotté avec Amy devant moi. Elle me regarde.

— "Pourrais tu me libérer, s’il te plait ?"

— "Pourquoi le ferais-je, maintenant que tu est à moi ?"

Elle me prit ma seconde main et lattacha au second montant de son lit; je ne puis pas résister à cause du corset qui me coupait tout élan et toute respiration.

— "Que veux tu de moi ?"

— "Tu voulais t’amuser, non ? Nous allons nous amuser ensemble, tu verra. Premièrement, tu vas dire à tes parents que tu passe ta semaine ici. Mes parents ne sont pas là, ça tombe bien."

— "Non, je ne le ferai pas."

Sans dire un mot, elle menvoya une gifle phénoménale: je ne reconnaissait plus mon amie, mais résigné, je lui soupirais un "D’accord"

Après avoir composé le numéro de chez mes parents, elle tenais le téléphone pendant que je disais que je passais ma semaine chez elle et qu’ils n’avait pas à m’attendre.

Elle prit quelque photos de moi dans la position dans laquelle j’étais.

Elle défit ensuite ma main gauche, me la retourna derrière le dos et me la lia avec ma main droite: je me sentais fort à sa merci.

Elle me tira alors les cheveux et me mit à genou en me hurlant dessus.

— "Que dit on à une gentille amie qui veux bien prendre de son temps pour que tu ne t’ennuie pas ?"

— "Merci, Amy …" dis-je, ne sachant que répondre d’autre. Cette situation m’étonnait et m’excitait en même temps.

— "Pour toi ça sera Mademoiselle Amy, à l’avenir" me dit-elle en me fixant un collier de cuir qu’elle ferma avec un cadenas autour de mon cou.

……………..

La suite au prochain numéro

— Je sais que l’écriture est lente, mais c’est voulu.

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