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Anecdote familiale – Chapitre 2

Je veux réussir - Chapitre 2



Allongé sur le ventre, la tête posée de côté sur mes bras joints, d’un il coquin je mate maman revenir de sa baignade, entièrement nue et luisante sous un lourd soleil de juin. Sa grosse poitrine que dominent de larges aréoles s’agite à chaque enjambée d’un corps bien en chair, dandinant un fessier graisseux et un ventre ballonné. D’humeur taquine, penchée sous le parasol elle se débarrasse des gouttes agrippées à sa peau blanche qui atterrissent sur mon dos et mes fesses, secouant sa chevelure blonde et riant tandis que ses seins flottent dans le vide.

Content de voir maman de cet état de bien-être, je me roule discrètement sur le côté et jette un regard furtif sur sa chatte aux poils grisâtres alors que je dévoile ma verge gonflée, ce qui, d’après le large sourire affiché, la ravit :

— Oulah ! dit-elle en riant.

— Quoi ? dis-je innocemment.

— Mon lapin a la carotte bien tendue, me répond-elle en riant de plus belle.

Réaction satisfaisante. Je me remets sur le ventre pour cacher mon érection au public alentour, une gêne qui ne manque pas d’amuser maman. Pourtant, pour elle aussi c’est la première fois sur une plage naturiste, et si je l’imaginais réservée quant à être nue devant tous ces inconnus, il n’en est rien, elle n’effleure aucun geste de pudeur.

Elle s’allonge dos à la serviette, pose un bras sur son front, replie une jambe et ferme les yeux. J’admire tour à tour les collines jumelles aux sommets roses rouges qui surplombent son torse et la petite plaine touffue qui orne son entrejambe, je la reluque autant que ma position me le permet et elle le sait, filou qu’est son fils.

Comment papa peut ne plus vouloir de ce corps ? Maman a des rondeurs et cela fait son charme. Sexuellement elle ne conteste aucune option. Je suppose qu’à ce moment précis, de leur côté papa et surette s’en donne à cur joie, et y penser attise mon excitation. Je n’ai qu’une envie : prendre maman comme un sauvage !

J’essaie tant bien que mal d’atténuer la torche qui me brûle le bas-ventre en me libérant l’esprit, puis le but atteint et sans perdre de temps, me redressant :

— On rentre ?

— Oui, on va y aller, dit-elle en souriant après un coup d’il comme pour deviner mes intentions.

Nous nous habillons, elle revêt un simple short qui lui moule un cul large et une chemise légère qui laisse entrevoir des gros tétons. Nous traversons le camping quasi désert – voilà une bonne chose que d’avoir profité du bas prix avant l’affluence des grandes vacances – et regagnons le mobile-home familial. Au premiers pas dans l’habitation nous concluons que nous sommes seuls.

Dès la porte fermée, sans mot dire je viens lui rouler une grosse pelle alors que je claque ses fesses. Puis je la retourne et agrippe sa chemise que j’ouvre entièrement en arrachant les boutons, libérant des nichons énormes. Surprise par ma brusquerie, elle se laisse peloter en haletant, je malaxe ses seins et pince ses gros bouts puis, d’une main sur l’épaule je la fais se pencher violemment sur la table qui vacille. Je baisse son short, claque de nouveau son cul et m’accroupis pour lui lécher l’anus. J’y fourre ma langue en des va-et-vient aussi profonds que je le peux tout en titillant son clitoris de mon pouce. J’alterne la pénétration entre ma langue et un doigt, puis deux afin de dilater assez le petit orifice.

Je me relève et ote mon short, laissant s’échapper une épaisse verge bien dure et déjà humide, puis viens coller mon gland qui goutte à l’entrée de son trou.

— Tu vas voir maman, tu vas t’en prendre plein le cul !

— Attends chéri, tu vas trop vi… AAAAAÏE !!!

Je ne lui laisse pas le temps de répondre et, mes mains en appuis sur la table, m’enfonce en elle d’un coup sec et brutal comme une masse, la pressant contre le rebord de la table. J’enchaîne les attaques de ma queue en mettant tout mon poids à chaque plongée dans le gouffre étroit de maman, la faisant se crisper et hurler.

— AAAÏE !! AAAH !! AAAH !!

Je la détruis de l’intérieur et mon bas-ventre tape contre son gros cul chaud qui vibre incessamment.

— Tiens ! Tiens ! Salope !

— Elle est bonne ta mère, hein ?! C’est comme ça que tu l’aimes, hein ?!

— T’aimes ça, sale pute !

— Oh ouais t’y vas à fond avec ta grosse bite ! Défonce-moi ! Vas-y !

Appuyé sur son dos comme pour l’asphyxier davantage, je m’activais plus que jamais à perforer son cul tout en la voyant serrer les dents.

— Oh la vache ! Il te plaît mon gros cul, hein ?!

— Oh ouais… Aaah… Ça vient !

— Vas-y mon fils ! Lâche-toi ! Remplie-moi de sperme ! Vas-y !

— RAAAAAH !!!

— OUI !! OUI !!

À haute dose de sperme j’inonde son rectum dans un râle bruyant.

Et nous reprenons notre souffle quand elle me dit, d’un sourire satisfait :

— J’aime bien quand tu m’insultes.

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