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Anecdote familiale – Chapitre 3

Anecdote familiale - Chapitre 3



Cela a commencé il y a un peu plus de deux ans. À cette période j’étais alors en phase de séparation avec mon mari. Au fil des mois un mur de glace s’était élevé entre nous, si bien que j’avais fini par plier bagages et loué un appartement afin de m’isoler, au moins le temps de réfléchir au futur définitif de notre couple. Ayant peu travaillé jusque-là, vivant au compte de son mari, j’avais malgré tout réussi a dégoter un emploi à mi-temps dans la grande ville, puis dans l’urgence avais accepté le premier logement HLM qu’on me proposait.

Dans l’esprit de me changer les idées mon fils m’avait proposée de venir le voir dans son studio, là où il vivait à nos frais en semaine de périodes scolaires. Exceptionnellement pour cause d’anniversaire d’un ami le samedi soir, il n’était pas rentré à la maison ce week-end là. J’étais donc invitée le dimanche pour le déjeuner. Arrivant en avance j’avais suivi sa recommandation de faire comme chez moi, donc après avoir frappé à la porte j’étais entrée chez lui sans plus attendre. À travers une musique un peu forte je signalais ma présence mais n’eus aucun retour. Étant donné l’étroitesse de la demeure j’en avais conclu qu’il devait être dans la salle de bain et me posais sur son petit canapé-lit pour patienter. Et c’est alors que j’explorais la maison du regard qu’il est apparu, nu.

Posté à l’entrée de la pièce, une serviette sur la tête il s’essuyait les cheveux sans m’avoir remarquée. Son torse bombé et velu, ses épaules larges, ses cuisses puissantes, je les connaissais déjà, c’était l’archétype du rugbyman, un gabarit bien développé avec des muscles volumineux malgré une majorité tout juste atteinte. Mais son sexe, lui, m’était inconnu et me laissait béate ! Mon fils était tourné de profil et je ne sus m’empêcher d’examiner l’épaisseur effarante de son pénis. S’il était d’une longueur déjà plus qu’honnête, sa grosseur me sidérait littéralement et je ne pus retenir un mouvement de recul, écarquillant les yeux et retenant mon souffle devant ce membre qui m’apparaissait d’une lourdeur écrasante. Bien sûr je savais que les sexes d’une telle taille existaient, quoique exceptionnels ; mais jamais je n’aurais imaginé mon propre fils doté d’un tel monstre !

Il s’était écoulé une dizaine de secondes avant que je me rende compte de son regard sur moi. Moi, sa mère, en pleine contemplation de sa verge. Il était là, sa serviette toujours sur la tête, dans un geste figé comme une statue, et me fixait, me sondait plutôt, l’air pensif. Je ne saurais dire qui de lui ou de moi fut le plus surpris de la situation. Mais sans doute possible j’étais la plus gênée, car si je me demandais, honteuse, depuis combien de temps avait-il remarqué ma présence alors que j’étais braquée sur son entrejambes, lui n’était visiblement pas pressé de se cacher, au moins en partie.

Nous brisâmes le silence d’un rire forcé en s’excusant mutuellement, lui de ne m’avoir pas entendu entrer, et moi de n’avoir pas détourné les yeux. Mais « c’est rien, t’inquiètes », me répondit-il en gloussant avant de traverser la pièce pour aller s’habiller, la serviette toujours pas à sa place… Le repas s’était fort bien passé. Nous venions aux nouvelles, générales, familiales, et ne manquions pas de revenir avec humour sur la scène qui avait marqué nos retrouvailles, chacun rejetant la faute sur l’autre non sans taquinerie.

Le soir même j’y repensais. Seule dans mon lit, cette photo ne quittait pas mon esprit, elle était mon unique pensée, pour ne pas dire une obsession. Ma progéniture, mon fils, avait un pénis de catégorie poids lourd, et au fond de moi, j’en éprouvais de la fierté. Je revoyais cette verge épaisse, blanche et lisse, piquant du nez d’un gros gland à demi sorti, d’où pendait à la base une poche de couilles d’une taille proportionnelle à ce qui la soutenait. Je joignais les bouts de mon pouce et de mon majeur en un rond et, comparant la circonférence avec celle de l’engin gravé dans ma mémoire, prenais soudainement conscience de l’énormité qu’il devait être à l’état de "travail". Après de longs mois sans rapports sexuels, l’image d’une bite gargantuesque me brûlait d’excitation. À quoi pensais-je ?! J’en avais envie. Je salivais de cette poutre si large qu’elle me détruirait de l’intérieur. Je désirais me faire pénétrer par un pénis d’une taille que je n’aurais aucune autre occasion de connaître. Je voulais mon fils en moi, qu’il me brise et qu’il y prenne du plaisir, qu’il sache à quel point il me fait vivre une expérience unique. Ce soir-là je me suis masturbée. Prise dans un désir incontrôlable, de ma main libre j’avais envoyé un texto à mon fils : « Tu veux venir dîner chez maman vendredi ? Tu pourras dormir ici si tu veux ;-) ». Mon orgasme fut intense.

Il ne me répondit que le lendemain en fin de journée. Je suppute qu’il s’interrogeait quant à la seconde phrase de mon message ponctuée par un clin d’il qui appuyait mes intentions. Du moins j’espérais qu’il les ait comprises quand je lus sa réponse affirmative.

Il faisait nuit noire lorsque sonna son arrivée vers 19h. Avant de lui ouvrir je prenais soin de parfaire ma tenue, remontant mon jean afin de mouler mon derrière au maximum et bombant ma forte poitrine que mon chemisier comprimait et laissait entrevoir largement. Puis je les accueillis tout sourire, lui et les fleurs qu’il avait eu la délicate attention de m’apporter, ce qui me touchait vraiment. L’effet escompté ne manqua pas : aussi furtif soit-il son regard plongé dans mon décolleté n’était pas passé inaperçu.

Le dîner se passa dans la gaieté. Les deux apéritifs que nous avions bus nous avaient chauffés, nous passions du rire à des conversations plus sérieuses – notamment de ma situation avec son père – mais à aucun moment nous n’avions abordé la suite de la soirée. Si je voulais qu’elle se déroule le plus naturellement possible, je ne pouvais résister à l’idée qu’il matait mon cul à la moindre occasion, dès que j’avais le dos tourné, quand je remontais pour la énième fois mon jean. Je le cherchais bien, moi qui à plusieurs reprises m’étais penchée innocemment dans son champ de vision, excitée d’être ainsi épiée.

Vers 21h nous mettions un film. Tranquillement installés sur le canapé nous ne disions mot, captivés tous deux – du moins en apparence – par ce ripou camé cherchant la rédemption.

23h passées, extinction. Je proposais à mon fils d’aller dans la chambre pendant que je m’éclipsais dans la salle de bain quelques instants. Mon cur battait la chamade, j’allais goûter à une expérience unique et malhonnête et si je n’étais pas sûr de moi, il était hors de question de me défiler, quitte à la regretter ensuite. J’enfilais une nuisette bleue d’où transparaissaient mes larges mamelons foncés, courte à m’en arriver au ras des fesses, puis prenais mon courage à deux mains.

Il était installé dans mon lit, dans un air décontracté, visiblement nu sous les draps, lorsque je réapparus. J’étais embarrassée de me montrer ainsi devant mon fils mais ne laissais rien paraître, je devais en par là, et j’étais motivée. Il ne semblait d’ailleurs pas intimidé devant sa mère en lingerie fine semi transparente. Je restais à l’entrée de la chambre, prenant la pose tandis qu’il me reluquait de toutes parts, immobile et silencieux, puis allais m’allonger à ses côtés. Il prit aussitôt l’initiative de nous découvrir entièrement, poussant les draps jusqu’à les faire tomber aux pieds du lit.

Il bandait ! Mon fils bandait d’un gourdin massif aussi gros que mon avant-bras ! Et quand bien même son érection était telle que je l’avais imaginée, je demeurais bouche bée face au membre démesuré qui se tenait sous mes yeux, stupéfaite de la puissance dévastatrice qui s’en dégageait ! En voyant son gland dégoulinant de fluide séminale, j’en concluais qu’il avait passé une partie de la soirée très excité, et cela me rassura de me savoir toujours bandante à l’approche des 40 ans. Je reprenais vite mes esprits et c’est gardant la bouche grande ouverte que je m’en allais gober ce gros bout humide. À travers le liquide transparent que je continuais de faire ressortir en pressant la verge, mes lèvres glissaient sur ce gland que je suçais goulument. Et c’est alors que je commençais à peine des va-et-vient de plus en plus profonds que, de ses deux mains, mon fils fit pression pour m’emplir la bouche sans réserve, allant jusqu’à buter l’entrée de ma gorge. J’étais asphyxiée, et le peu de souffle qu’il m’accordait entre chaque pénétration buccale me laissait sur le carreau. J’avais les yeux rouges et salivais abondamment tandis qu’il insistait toujours plus profondément, appuyant lourdement ma tête au point de me transpercer la glotte. La bouche pleine au-delà du possible et la mâchoire en feu, c’est dans un ultime effort que j’engloutissais tout entier le sexe énorme de mon fils, allant m’étouffer dans ses poils pubiens.

J’avais imaginé les choses autrement. J’aurais cru dominer mon fils du haut de ses 18 ans et de son inexpérience, le rassurant quant à ses maladresses de débutant. Mais après ce préliminaire aussi brutal qu’inattendu, je ne savais plus quoi penser. D’ailleurs je n’arrivais plus à penser, c’est étourdie que je m’effondrais sur le dos, en position de me faire démolir, et quoique j’en dise, la mouille qui s’écoulait de mon vagin trahissait ma jouissance.

De sa force il déchira ma nuisette comme d’un rien, libérant ma lourde poitrine qu’il s’empressa d’empoigner et de dévorer, pompant mes tétons à grandes gorgées en les faisant durcir instantanément. Quand tout à coup, ayant à peine senti un début de pénétration, je poussais un cri horrible sous le poids de mon fils qui venait de s’abattre en moi comme une masse, me perforant violemment le vagin de sa trique incommensurable ! J’avais le corps plié dans la douleur et j’encaissais les coups surpuissants qu’il m’assénait d’un rythme effréné, s’écrasant durement contre mon pubis pour me déchirer de son pénis tout entier.

Si mes voisins n’avaient pas remarqué mon arrivée, nul doute que mes plaintes torturées les mettaient au courant, je hurlais à tout rompre du pilonnage intensif que m’infligeait mon fils ! À contrario de ce que je pensais naïvement, il n’avait jamais eu l’intention de me faire l’amour. Il me baisait ! Il baisait sa mère sauvagement, déterminé à lui faire mal. Si ces mêmes voisins savaient quel genre de relation se tramait en ce moment chez la nouvelle locataire pour qu’il y ait autant de vacarme !

J’étais labourée sans ménagement, il m’écartelait l’utérus inlassablement et la pression qu’il exerçait à fond de cale était extrêmement forte. J’en avais le visage crispé et en sueur de subir sans relâche cet interminable missionnaire, mais j’aimais ça ! Mon propre fils était en train de m’exploser le vagin à plein régime depuis au moins dix minutes et sa queue extra large me procurait une sensation extraordinaire !

Quand soudain je pris conscience qu’il allait jouir. Je n’avais pas prévu que nos ébats se passent ainsi ! Il devait être à l’écoute de la femme d’expérience que j’étais, il devait pénétrer sa mère avec douceur puis il devait éjaculer dans un des préservatifs que j’avais acheté pour l’occasion. Ainsi, la sotte que j’étais n’avait pas jugé nécessaire de réutiliser un moyen de contraception. Mais dans le feu de l’action, surprise et étourdie j’avais omis de sortir un préservatif, et là il s’apprêtait à lâcher tout son sperme en moi ! Il ne devait pas !

Son ardeur était sur le point d’aboutir et je cherchais difficilement le souffle pour contester : « Jouis pas en mois !! ». Mais il continuait sa défonce machinale et je hurlais dans l’urgence : « Arrête !! Sors !! ». Sa non-réaction me paniqua et c’est dans un ultime cri que j’improvisais mon dernier espoir : « Dans la bouche !! ». Quelle satisfaction équivalente y avait-il à remplir sa mère de foutre si ce n’était celle de le faire par un autre organe ? « Jouis dans ma bouche !! ». Aussitôt il se leva, bascula ma tête en arrière en me tirant les cheveux et plaça sa bite au-dessus de ma bouche grande ouverte. Puis le gland posé sur ma lèvre inférieure il se mit dès lors à éjaculer une quantité astronomique de sperme ! Ça n’en finissait pas, je recevais par grands flots la semence de mon fils et ma bouche en fut remplie à ras bord ! Sous son regard qui en disait long, c’est sans hésiter que j’ingurgitais la totalité de son sperme, en prenant bien soin de lui montrer mon gosier pour lui prouver que je n’en avais pas laissé une goutte.

Il dormait d’un sommeil lourd. Quant à moi, c’est recroquevillée que je passais la majeur partie de la nuit, repensant à ce que j’avais fait, à ce qu’il avait fait. J’avais beau me dire que c’était immoral, il me revenait toujours que, sans conteste, j’avais aimé cette soirée.

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