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Annie, nympho et je ne me soigne pas. – Chapitre 10

Annie, nympho et je ne me soigne pas. - Chapitre 10



Je fais une pause en me retirant de ma grenouille. J’invite les filles à venir sur les tapis huilés. On s’allonge en triangle et chacune d’entre nous peut bouffer la chatte de l’autre. Je mange celle d’Evelyne, Hellène la mienne, et pour finir, Evelyne s’occupe d’Hellène. Le trio parfait. Pendant ce temps, les mecs qui n’ont pas débandé s’astiquent doucement leur manche. Pour mon chéri, je ne m’inquiète pas, c’est Francis qui m’étonne. Le "VIAGRA" doit faire son effet. Il bande ferme, et sa bite me tente.

Je remets de l’huile saveur ananas sur nos corps. On quitte nos sexes pour nous frotter. C’est une sensation agréable, sensuelle, érotique. Pas une de nos mains, de nos bouches ne reste inactive, même nos cuisses viennent appuyer sur nos minous. En permanence, on change de position. Je relève mon cul et appelle du regard Francis. Il se lève, je me mets en positon de levrette. Olivier quitte sa chaise et vient par-dessous moi en rampant. Francis doit une vue imprenable sur mon cul qui palpite. Délicatement, il me retire mon bijou. Mon chéri me pénètre lentement. Francis m’encule moins délicatement, il est déjà au fond. Ils se synchronisent. Les filles ne sont pas inactives. Hellène bouffe les deux paires de couilles, Edwige me mange la bouche. Les deux mecs se déchaînent. Ils soufflent comme des bufs. Edwige s’est mise à quatre pattes et m’offre sa croupe à lécher. Je ne me prive pas. Mon ramonage est tellement brutal que je m’allonge sur ma grenouille.

Il me repousse et se met en cuillère. Francis, qui s’est déboîté, me réinvestit aussi sec, mais dans ma chatte. Ils me font une double vaginale. C’est plus supportable, moins animal. Evelyne, déçue ? pensez-vous. Elle se met en 69 au-dessus d’Hellène. Elles roulent au sol et elles changent à plusieurs reprises de position. Elles sont belles mes copines à se rouler sur les tapis. Leurs corps luisent. Olive m’embrasse, Francis me triture les tétons d’une main; de l’autre, il me défonce le cul.

ALLEZ-Y !!! DEFONCEZ-MOI !!!

Ils ne se privent pas. Quand ils éjaculent de concert, je perds à moitié connaissance. Ils me laissent là, dans l’après-explosion des sens. En me relevant, je vois leurs queues luisantes de mes sécrétions. Je ne peux me relever, c’est mes cop’s qui en profitent. Assis sur une chaise, ils se font sucer, lécher, gober. Nonchalamment, ils se resservent du vin et continuent à manger. J’essaie de me relever et c’est comme une merde que je m’assois sur une chaise, dégoulinante de sperme.

Ça va ma chérie, s’inquiète mon homme qui se fait sucer par Evelyne.

Ça…Ça va.

Hellène m’aide à me relever et m’assoit sur une chaise. Elle lève mes cuisses, les pose sur ses épaules et me nettoie mes deux trous. Edwige se lève et va s’appuyer à la rambarde du balcon et se fait entreprendre debout par Olive. Hellène la rejoint très vite. Le brave Francis me prend par la main. Il me positionne comme mes deux copines et m’écarte mes grosses cuisses. Il présente son gland devant ma chatte et y rentre d’un coup. Nous voilà toutes les trois alignés et exhibés. Imaginez le tableau, trois nanas en train de se faire prendre tout à tour par deux hommes en rut. Nos deux mâles changent souvent de femelles. On jouit à chaque fois qu’ils entrent en nous. Dommage qu’il n’y ait pas un troisième larron.

Ce petit jeu continue un petit moment.

Je vais tout lâcher, annonce Francis.

Moi aussi.

Ils se retrouvent avec trois gonzesses devant leur bite, langues sorties. Les jets sont précis et inondent nos visages et nos bouches. On s’embrasse en tombant sur les alèses. On échange notre récolte.

On est tous repus de sexe et c’est en me dirigeant vers la douche que je tombe sur Evelyne en train de sucer la hampe de mon Olivier, Hellène en train de se faire prendre le cul par un Francis en peine forme. Je prends mon smartphone et filme cet instant de débauche. Très bonne petite vidéo pour mon petit Jacques. Je suis sûr qu’il voudra tourner avec ces petits vicieux. Je me masturbe pendant que le premier couple s’active et que le second exulte. Francis éjacule sur les fesses de sa partenaire. Evelyne avale toute la semence de mon petit mec. Ils se relèvent et l’on prend une douche bien méritée.

Ils sont partis après avoir tout rangé. Ma grenouille et moi, on s’endort comme des masses, dans les bras l’un de l’autre.

Il est neuf heures, on a décidé de passer ce week-end en amoureux. Lundi, j’attaque mon poste de secrétaire chez M. Émile (Leclerc). On se met en tenue de plage, on prend vite fait notre café. La voiture de mon homme démarre, direction la plage naturiste près de Hyères, aux salins. Il y a peu de monde. On s’installe donc sous les pins parasols. On va se baigner. L’eau est chaude et translucide. On se prend dans les bras. Un couple de très jeunes filles noir ébène vient nous déranger, on remonte. On est en train de se papouiller quand les deux filles rejoignent leur serviette. Elles, 1m70, je dirai, un très beau cul, elles sont sur le ventre, nues.

Des jumelles, dis-je, elles ne sont pas ravissantes.

Il se met sur le dos. Il ne bande pas, pas encore, mais les filles sont intéressées. Elles nous matent derrière leurs lunettes noires. Du plat de la main, je caresse sa bite qui se met à gonfler.

Je pensai que l’on devait passer un week-end tranquille.

Tu veux que j’arrête ?

Non, continue.

Les deux filles rigolent et se caressent les fesses mutuellement. Elles sont belles, fraîches. La bite d’Olivier se tend. La plus courageuse des deux nous demande si elles peuvent se rapprocher.

Venez, plus on est de folles…

Elles sont mortes de rire en ramassant leurs affaires. Elles s’appellent Marie et Jeanne. Elles sont bien jumelles. Elles se mettent de part et d’autre et les mains de nos nouvelles copines se font baladeuses. Olive se fait lentement masturber par Jeanne, moi, j’embrasse Marie et joue avec ses fesses. Sa peau est douce. Je retire ses lunettes. Elle me regarde avec envie. Elle me saute dessus et sans complexe, elle me bouffe le museau.

C’est une pure lesbienne, dit sa sur; quant à moi, je suis plutôt bi.

Elle se met tête-bêche avec Olive et lui gobe la queue. Sa sur me propose un 69 que je ne refuse pas. Elles n’ont pas trop d’expérience, cela se sent. Jeanne tète le gland plus qu’elle ne le suce. Marie cherche avec sa langue les points sensibles. C’est rigolo, mais j’apprécie quand même. On arrête ce petit jeu, un couple, la cinquantaine, vient s’installer face à nous entre l’eau et nos serviettes. On décide d’aller à l’eau. On joue à des jeux pas si innocents que cela. Marie m’embrasse, Jeanne l’imite en jouant avec la queue de mon petit bout d’homme. Les "vieux" vont à l’eau, on en profite pour sortir. Elles s’allongent côte à côte et s’embrassent à pleine bouche. Etonnant pour deux surs, mais plus rien ne me choque. On regarde les deux surs se gameller tous en se caressant. Le couple, plus intéressé par nos jeux que par leur baignade, s’embrasse en nous matant. La vieille est tout excitée, elle branle sans gêne son époux.

Sa queue n’est pas entièrement rasée, par contre, le sexe de son épouse est parfaitement glabre. Deux gros melons qui tombent un peu. Leur bronzage intégral, sans marque, prouve leur assiduité aux bains de soleil.

Le mec se rallonge sur le dos, elle vient vers nous.

Bonjour, les jeunes…Mon mari et moi habitons une coquette villa pas loin d’ici. Ça vous dit d’y aller afin de déjeuner ?

Les blackettes sont ravies; nous, un peu moins. Elle est très persuasive et nous voilà en voiture, suivant le couple d’inconnus. Les deux surs ayant préféré monter dans la luxueuse berline du couple. Elle est immatriculée dans le Var.

Nous avons fait une dizaine de kilomètres quand on arrive devant une villa de style provençale. Sitôt devant le perron, et après avoir refermé, le couple se met à poil. On fait de même. On contourne la villa. Il y a une piscine hors sol de belle taille, une douche, et une cuisine d’été ombragée par de la vigne.

Charmant petit endroit, dis-je, superbe villa !

Oui, j’ai pas mal travaillé, me répond le mari, ma femme s’est occupée de la déco. Un petit apéro ?

On boit, assis dans un sofa et deux fauteuils. On leur dit où on habite, les deux surs étant dans un camping, pas très loin d’ici. On apprend qu’ils s’appellent Romy et André. Romy caresse la queue tendue d’André et écarte les cuisses. Les deux surs embrassent Olivier. Je décide d’intervenir et je me mets accroupie entre les cuisses d’André et agace sa bite de la langue. Romy vient m’accompagner. Chacune de notre côté, on lui lèche depuis la racine jusqu’à son gland pour finir en un jeu de langue érotique. Elle me sourit tout en m’embrassant. André respire de plus en plus fort. On le regarde, il nous regarde.

Jeanne est à califourchon sur Olivier. Marie bouffe les seins de sa jumelle. J’espère qu’elle craquera pour le mandrin de mon mec.

J’ai envie de cette queue épaisse, pas très longue, mais épaisse. Je me relève et embrasse André. Romy dirige la queue de son mari sur ma chatte, je me laisse tomber dessus. Bon sang que c’est bon, une bonne queue qui vous écartèle. La vache ! André me lèche les tétons, me les mordille. Quel pied je prends ! Et je le fais entendre.

Elle est bonne la bite à Dédé ? me demande-t-elle.

OUI, LA VACHE…

Je mouille comme une folle. Il me prend par les hanches et m’accompagne dans ma chevauchée. Sur le fauteuil d’à côté, cela baise fort… Jeanne est de dos à Olive, sa sur s’occupe de son clito. Elle brait, elle est en transe.

André me positionne à quatre pattes sur le sofa et me prend sans ménagement. Romy s’assoit sur le dossier et m’offre sa délicieuse chatte à bouffer. André se démène, il hurle et c’est un flot de sperme qui se déverse en moi. J’adore. Olivier s’est déboîté et asperge les deux surs. Elles s’embrassent en partageant le jus récolté. Lesbienne la Marie ? J’en doute, à éclaircir.

Le repas se passe bien. André et Romy nous ont faits un taboulé et servi du jambon cru. On part dans leur piscine. Je prends Marie dans mes bras.

Alors ma petite lesbienne, on aime le sperme ?

Oui, mais je ne suis pas une goudou…

Où est le problème alors ?

J’ai honte, je suis une femme-fontaine. Je gicle à ne plus savoir m’arrêter. J’ai honte de moi.

Ce n’est pas un problème. Beaucoup d’hommes aiment.

Pas ceux qui m’ont baisée récemment. Ils croient que c’est de la pisse…

Des jeunes qui n’y connaissent rien. Viens avec moi.

Je chope ma grenouille et sors de la piscine. J’installe la petite sur la table basse de jardin, allongée sur le dos. Je lui écarte les cuisses. Elle est prête à recevoir l’énorme mandrin de mon mec. Il comprend vite et lui fait un cunnilingus comme je lui ai appris. Moi, pendant ce temps, je lui lubrifie la bite en le suçant. Marie mouille abondamment. Je présente le gland à l’entrée de sa grotte d’amour. Sur ses bras tendus, il la pénètre lentement, très lentement, trop lentement.

Défonce-moi. Je ne suis pas en sucre !

La chevauchée est brusque, il ne se ménage pas, mon chéri. Marie se délecte de cette queue qui la défonce. Elle inonde les couilles de mon homme. Elle gicle comme les fontaines de Versailles. La table basse sur laquelle je les ai installés ressemble à une piscine odorante, saveur cyprine et sueur. Je me rappelle, les noires ont un parfum différent. Plus suave, plus animal, bestial.

André, Romy et Jeanne sont eux aussi de l’eau. Ils sont installés sur le grand sofa qu’ils ont retourné afin de ne rien perdre du spectacle. André baise les deux filles tour à tour. Je me mets à cheval au-dessus de la tête de Marie qui me bouffe la chatte, mon petit homme se démène sur mon cul. On jouit ensemble, de concert. Comme des furies, les quatre femmes que nous sommes, on s’allonge et l’on se régale des sécrétions intimes.

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