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Anniversaire de Josiane – Chapitre 1

Anniversaire de Josiane - Chapitre 1



Anniversaire de Josiane

Josiane, ma meilleure amie, fête ses 18 ans ; elle a invité ses copains et copines, et bien sûr,

moi. Son cousin est là également, ça métonne un peu car il a deux ans de moins que nous et il risque de sennuyer, quoiquil soit mignon. Il a une copine de son âge, très mignonne, qui doit certainement être en vacances.

Je regarde autour de moi les autres garçons ; je men suis tapé un bon paquet et ceux qui ny ont pas eu droit ne mintéressent pas. Je me dis : pourquoi ne pas essayer le petit Francis pendant que sa copine Annick nest pas là ? Après tout, elle ma bien piqué un mec, une fois, celle-là ! Il ne doit pas avoir beaucoup dexpérience, mais jen ai pour deux !

Ma copine, Josiane, est assez grande, blonde, aux cheveux tombant sur les épaules, elle est mince, avec un très joli visage, elle a un petit copain qui est actuellement en Angleterre, en stage de langue. Jai, avec elle, des relations particulières car nous avons déjà eu des rapports lesbiens.

Je danse avec un type qui ménerve, il a déjà essayé de me draguer, mais il est lourd et il mennuie, je lui dis que je suis fatiguée et le plante là. Francis est assis près dun électrophone, il regarde les pochettes des disques disponibles, vinyles bien entendu ; je le rejoins et lui dis :

— Ça va, tu tembêtes pas trop ? Tu veux danser avec moi ?

— Je veux bien mais quand il y aura un slow, le reste je ne sais pas trop.

— OK à tout à lheure. Un moment après, Josiane arrive et dit :

— A la demande générale : quelques slows, allez-y défoulez-vous, cest lheure de la drague, les couples vont se former !

Jécarte un type qui voulait memmener danser, prends la main de Francis et lui dis :

— Viens !

Je mets immédiatement mes bras autour de son cou et me colle contre lui, je glisse une cuisse entre les siennes, je le serre tout contre moi, je colle mes seins contre son torse et frotte le haut de ma cuisse sur sa bite, dont la taille évolue rapidement. Il me regarde, parait gêné, je lui souris et approche mes lèvres entrouvertes des siennes, quel dilemme, physiquement il a envie de moi, mais que se passe t-il dans sa tête ? Et si Annick lapprend ? Enfin, il pose ses lèvres sur les miennes et nous nous roulons une pelle bien baveuse, ce qui ne fait quaugmenter mon excitation, nos bouches ne se quittent plus, je lentraîne dans la pièce à côté, je lui dis :

— Tu embrasses bien. Il ne répond pas, mais je sens quil bande de plus en plus fort. Nous continuons à nous frotter lun contre lautre, puis il mentraîne vers le couloir, nous montons sans bruit lescalier et nous entrons dans une petite chambre ; il sallonge sur le lit et mattire sur lui, nous continuons à nous embrasser, je passe la main sur son pantalon, là où il fait une bosse, et lui demande :

— Tu las déjà fait avec une fille ?

— Oui, bien sûr, cest ça que tu veux ? Sans attendre de réponse, il passe sa main sous ma jupe et caresse mes fesses à travers le tissu de mon slip. Je me lève et retire ma culotte, il baisse son jean et son slip, je reviens mallonger près de lui et prend sa bite dans ma main ; il a une belle bite, bien raide, je lui dis :

— Elle est belle ! Tu me feras pas mal, tiras doucement !

— Oui, tu vas voir, je vais te préparer, me dit-il. Aurait-il de lexpérience ?

Il descend son visage vers mon petit abricot et membrasse, il me rentre la langue, ma chatte est déjà bien mouillée, il remonte doucement vers mon clitoris quil titille rapidement et menfile deux ou trois doigts dans le vagin.

Je pousse des petits soupirs, de plus en plus forts, moins de dix minutes après, je sens des crispations agiter mon ventre et je pousse un long cri de jouissance. Je mouille un maximum, il y en a partout. Il continue à me doigter et me dit :

— Tu vas voir, ça va rentrer tout seul maintenant !

— Oui, mets-la moi vite, jai envie !

Il sallonge sur moi, jécarte les jambes pour laccueillir, il place son gland sur ma vulve et membrasse en me pénétrant lentement, sans forcer. Je sens sa verge avancer doucement dans mon vagin et le remplir, de la pure volupté. Jai envie quil me prenne vigoureusement et me fasse crier de plaisir.

— Ca y est, je sens bien ta bite, cest bon ! Tu me remplis bien, baise-moi maintenant !

Il commence ses va-et-vient dabord lentement, puis un peu plus vite, je croise mes jambes sur son dos, comme si je voulais lempêcher de sortir du fourreau quil a envahi, je continue de pousser des petits soupirs, de plus en plus fort et de plus en plus rapprochés ; maintenant, il me pilonne à grands coups de reins et je sens sa queue tout au fond de moi, je jouis à nouveau en criant et en enfonçant mes ongles dans son dos. Je jouis plus fort que la première fois. Il ma bien limée, vigoureusement, comme jaime, je ne mattendais pas à ça, je ne pensais pas quil avait autant dexpérience. Mais il faut quil prenne aussi son plaisir, je lui propose de venir sur lui.

Dans cette position, il peut profiter de mes seins et de mes fesses. Je mempale sur sa queue toujours bien raide et, quelques instants après, il est à nouveau au fond et il entame ses coups de reins en me caressant les seins et les fesses ; je bouge bien mon cul, et mes soupirs sont de plus en plus forts. Je lui dis :

— Cest bon, continue, je ne vais pas tarder à revenir.

Il continue de me limer en me suçant les seins, mes mamelons sont durs comme du béton, il sent que japproche de lorgasme et se laisse aller à décharger dans mon ventre ; nous jouissons en même temps, lui en râlant, moi en criant. Nous restons enlacés un bon moment en nous embrassant. Je lui dis :

— Cétait super, tu mas bien fait jouir.

— Toi aussi, jai beaucoup aimé.

Je messuie, remets ma culotte, il se rhabille et nous descendons, les visages un peu rouges !

En arrivant en bas, quelquun dit :

— Te voilà Anne ! Tu étais où ? Et Josiane qui ajoute :

— Vous étiez ensemble ? Quest-ce que vous fichiez ? Et moi de répliquer :

— Eh bien, nous avons fait lamour et cétait très bon, nest-ce pas, Francis ?

— Ah oui, cétait super ! Et tout le monde se met à rire !

La fin de la soirée est plus animée, Francis ne me lâche plus et on fait tous les slows, narrêtant pas de sembrasser et de se caresser. Il a encore beaucoup envie de moi, il bande comme un taureau.

La fête finie, nous rentrons chez nous, je laisse Josiane chez elle au passage, avec Francis qui squatte chez son oncle et sa tante.

Le lendemain, je pars retrouver Josiane que jai promis daider pour le rangement de la maison. Elle est déjà là, avec Francis, deux autres filles et deux garçons. Elle me fait une bise et Francis membrasse sur la bouche. Josiane me prend à part et me dit :

— Tu mas fait honte hier, ten aller pendant une heure avec Francis, je ne veux pas savoir ce que vous avez fait, mais pour mon anniversaire tu aurais pu rester près de moi. Tu sais, je vous ai vus vous embrasser et vous peloter, je ne comprends pas ce qui te prend, il est beaucoup trop jeune pour toi !

— Cest marrant, si vous nétiez pas cousins, je jurerais que tes jalouse !

— Idiote ! Puis plus fort :

— Bon si on commence tout de suite, on finira plus tôt ! Mais on vous met pas dans la même équipe Anne et Francis, autrement ce soir y aura pas grand-chose de fait si vous passez votre temps à vous lécher ! Francis me regarde et sourit.

On passe laprès-midi à ranger et à nettoyer la maison ; vers 18h on a terminé, Josiane nous remercie et propose un rafraîchissement chez elle. En arrivant, nous trouvons sa maman qui nous fait entrer et nous demande si la fête sest bien passée. Après avoir discuté un moment elle me dit :

— Nous ne sommes pas là, ce week-end, je serais heureuse que tu viennes le passer avec Josiane. Bien sûr, elle nest pas seule, il y a Francis, mais ils se chamaillent tout le temps, tu seras là pour les modérer, si tes parents sont daccord, bien entendu.

— Je ne pense pas que maman ait prévu quelque chose ce week-end alors, si Josiane et Francis sont daccord, je le suis aussi.

— Je vois ta maman demain, je lui demanderai.

Après avoir pris un rafraîchissement, je rentre à la maison.

Le lendemain après-midi, Josiane vient me chercher pour aller au cinéma, ma mère en profite pour lui dire quelle a vu sa maman et quelle est daccord pour que je passe le week-end avec elle. Josiane lui précise que je peux même venir dès ce soir car ses parents sont partis après le repas de midi.

Et nous voilà en route pour le ciné ; je demande à Josiane si Francis nous accompagne, elle me dit quil est parti voir des copains. Quelques minutes plus tard, il nous rejoint et dit :

— Jai raté mes copains, ils sont déjà partis, ça vous ennuie si je vais au ciné avec vous, les filles ?

— Je lui réponds quil ne nous dérange pas.

Josiane na pas vraiment lair enchanté, Francis me prend par la main. Je dis à Josiane :

— Tu ne vas pas faire cette tête toute la journée et tout le week-end, laisse-moi un peu profiter de Francis. Quand la belle Annick sera rentrée, ça métonnerait quil reste avec moi, nest-ce pas Francis ? Je vois que ma réflexion le gêne, jajoute :

— Je disais ça pour plaisanter Francis, tu sais bien que je ne reste jamais plus dun mois avec le même garçon, après jen ai marre, il faut que je change.

Au ciné, je choisis des places au dernier rang, massois entre Josiane et Francis et pose ma main sur le haut de la cuisse de Francis qui passe son bras sur mes épaules. Dès que les lumières séteignent, ma main passe directement entre ses cuisses et je commence à lui masser lentrejambe, ce qui ne tarde pas à provoquer chez lui une montée du désir. En fait, il commence à bander sérieusement, je baisse la fermeture Éclair de son jean, écarte son slip, sort sa queue et entame de lents mouvements de va-et-vient. Un moment après, il me dit à loreille :

— Arrête, je vais décharger si tu continues et puis, on peut nous voir. En fait, derrière nous, il ny a que le mur et aucun spectateur à nos côtés.

— Je men fiche, lui dis-je et je continue à le branler de plus belle.

Pendant que je lui administre cette caresse, il me fait quelques bises et me pelote les seins. Soudain je me penche, prend son gland entre mes lèvres et lui administre une fellation rapide et profonde ; je nai besoin que de quelques minutes pour quil se répande dans ma bouche ; alors il me tend un mouchoir, sans doute pour cracher son sperme, mais je lui souris et lui tends mes lèvres. Il a compris, nos bouches se rejoignent, nos lèvres sentrouvrent, nos langues se mélangent et nous partageons sa semence. La fin de la séance se déroule normalement, il a mis sa main entre mes cuisses, que jai aussitôt écartées et il me titille le clito pour quà mon tour je prenne mon pied. Ceci fait, nous restons enlacés jusquà la fin de la séance. Jai rien compris au film et je pense ne pas être la seule.

Je passe à la maison prendre mes affaires et je vais les rejoindre. En arrivant, Josiane me dit :

— Tu sais où tu dors, tu as lhabitude.

Je monte poser mes affaires, puis je les rejoins sur la terrasse. Francis dit :

— On peut se baigner en attendant le souper si vous voulez, les filles. Josiane dit :

— Oui, ça va me rafraîchir les idées.

— Pourquoi tu dis ça Josiane ?

— Après ce que vous avez fait au cinéma, tu crois que je ne vous ai pas vus, ça ma excitée, bien sûr !

— Je comprends, allez, on se baigne, on dîne et après tu viendras avec nous !

— Avec Francis ? Ça va pas, non ?

— Je suis désolée, mais jai que lui sous la main, et puis tu sais il a une bite comme les autres et il sait plutôt bien sen servir ! Enfin, tu fais ce que tu veux.

Séance de natation. Pour se baigner, nous avons enlevé le haut.

Le repas est pris en maillot de bain, sur la terrasse, puis vaisselle et rangement. Le soir tombe, nous sommes assis sur un grand fauteuil en rotin, je glisse ma main dans le maillot de bain de Francis et commence à lui malaxer la queue, qui change rapidement de consistance. Puis je regarde Josiane et dit :

— Montons, nimposons pas ces images lubriques à Josiane, mon amie, qui est seule ce soir, je tallume la télé, ma chérie ? Francis memmène dans la chambre quil squatte, nous retirons nos maillots de bain et nous allongeons sur le lit. Après une petite séance de frotti-frotta avec baisers mouillés, Francis se retrouve à me brouter le minou, je lui maintiens la tête avec mes mains, jy prends plaisir et mon bassin remue beaucoup ; quelques instants plus tard, mon ventre est pris de spasmes, je prends mon pied, mon orgasme est accompagné donomatopées bruyantes. Francis se retourne alors pour se mettre en position 69, sa cousine est sur le pas de la porte, la main dans son slip, elle se masturbe. Je lui dis :

— Viens, ma chérie, je vais moccuper de toi, Francis ne te touchera pas. Elle enlève sa culotte et vient sallonger sur le lit à côté de moi. Jenfouis ma tête entre les cuisses de Josiane et pose ma bouche sur son sexe, je commence par caresser ses petites lèvres avec ma langue, remonte vers le clito, qui a durci, et sextrait de son capuchon, puis je redescends vers sa vulve pour remonter sur le clito que je titille avec ma langue. Jintroduis deux doigts dans son vagin tout en continuant de lécher son clito. Francis me fait mettre à genoux pour me prendre en levrette pendant que je moccupe de Josiane qui décide de faire 69, se retourne et prend possession de ma chatte avec sa bouche. Nous nous léchons pendant que Francis, déçu, nous regarde faire en se masturbant lentement. Il décide de se mettre derrière moi, je sens un doigt entrer dans mon cul, puis un deuxième et un troisième, je me retourne pour lui dire que je ne veux pas quil me prenne le cul pendant que jembrasse Josiane, mais il réplique :

— Désolé, y a que ce trou de libre, deux gonzesses qui se gouinent et moi qui me branle en les regardant, je naime pas, alors jai décidé de tenculer, ma chérie. Il sort ses doigts et les remplace par sa bite, je sens son gland contre ma rondelle, il force un peu, mon sphincter se dilate, je sens quil gagne du terrain, son gland sest foré un passage, il est maintenant bien entré dans mon cul, il continue à me pénétrer lentement, ça y est, il me la mise jusquà la garde. Il me fait du bien. Il me dit :

— Tes vachement étroite, cest super bon et il commence à me limer le cul lentement.

Il arrête très vite ses va-et-vient, et dit :

— Je sens que si je continue à te bourrer, je vais décharger, et jaimerais bien rester un peu plus longtemps dans ton cul !

— Ne bouge plus, Josiane va me faire atteindre lorgasme très rapidement, attend tranquillement dans mon cul et viens quand tu me sentiras jouir, tu verras comme cest bon ! En effet peu de temps après, mon ventre sembrase, je sens monter la jouissance, Josiane va venir aussi, je dis à Francis :

— Prépare-toi, on vient, mais ne bouge pas, attends mes spasmes. Puis, jentends Josiane crier, mon ventre explose de jouissance en même temps et Francis me décharge dans le cul, ce qui augmente encore mon plaisir. Lorsque nous avons repris nos esprits, il a sorti sa bite de mon cul qui dégouline de sperme ; le salaud na pas mis de capote ! Le sperme coule et tombe sur le front de Josiane, qui lui dit :

— Cette salope dAnne adore être prise au petit ! Ca ta fait du bien ? Tes heureux ? Et toi Anne, tas bien joui ? Francis dit :

— Je vais me nettoyer un peu, pas de bêtises, les filles !

Nous continuons à échanger nos caresses. Nous changeons de position, je me mets dessous, Josiane dessus. Cest normal, avec ce qui sort de mon cul, il vaut mieux ne pas être dessous.

Jinsère deux doigts dans lanus de Josiane, nous continuons à nous sucer et nous caresser tendrement, la fréquence de nos gémissements augmente avec la montée du plaisir, je maperçois que Francis est revenu, il est assis sur le fauteuil et ne perd pas une miette de nos ébats. Nous soupirons de plus en plus fort, puis viennent des cris de plaisir et nous atteignons lorgasme une nouvelle fois en même temps.

— Cétait bon ! dit Josiane

— Oui, cétait super, ma chérie ! Puis nous nous enlaçons en nous embrassant. Francis nous regarde toujours et nous dit :

— Putain, vous aimez vous gouiner, les filles, cest la première fois que je vois deux filles faire ça ensemble ! Cest super bandant ! En effet, bien quil se soit épanché entre mes fesses il ny a pas ¼ dheure, sa bite est de nouveau bien droite, prête à resservir !

Nous reprenons nos esprits et partons vers la salle de bains. Je demande à Francis sil veut venir avec nous. Il dit :

— Oui, pourquoi pas, le spectacle sera certainement agréable !

Nous nous retrouvons toutes les deux sous la douche, et lui faisons une démonstration de nettoyage buccal et manuel, tout y passe, cuisses, seins, chattes, culs, intérieur et extérieur. Francis nous regarde en sastiquant lentement la bite. Il dit :

— Ce nest pas la première fois que vous faites ça toutes les deux, je me trompe ? Vous êtes vraiment deux belles salopes. Mais je me régale, continuez les filles !

Nous continuons nos ablutions ; une bonne demi-heure passe, puis je lui demande :

— Tu as aimé ?

— Oui, jadore !

— Tu es propre toi ? Viens ici quon vérifie !

Il nous rejoint sous la douche et nous commençons à le "laver" à quatre mains, il veut nous toucher aussi mais je lui dis :

— Non, tu te laisses faire et tu ne bouges pas, autrement on arrête tout ! Il sempresse de laisser tomber ses mains le long de ses jambes et de nous laisser faire. Nos mains passent partout, Josiane semble oublier que nous lavons son cousin, elle a sa queue dans la main et lui savonne la raie du cul, je magenouille et mes lèvres semparent de son gland, il bande sérieusement. Josiane sagenouille à mes côtés et passe sa langue sur son sexe. Il ne dit rien et se laisse faire, Josiane le suce lentement, deux bouches sur sa queue, il doit être aux anges !

— On dirait quil a envie de nous, dit Josiane.

— Tu crois ? On va voir ça tout de suite. Rinçage et retour dans la chambre.

— Francis, allonge-toi sur le lit, dit Josiane. Nous nous mettons à genoux et prenons tour à tour sa bite dans notre bouche pour une pipe denfer, le suçant chacune à notre façon ; il pelote les seins de Josiane qui sont bien fermes tandis quelle lui caresse les couilles en le suçant ! Mais, dans cette position, il est tout de même assez passif. Sa bite est bien dure, je dis à Josiane :

— Empale-toi dessus, tu vas voir comme cest bon. Et Josiane sassoit sur la bite de Francis, la met bien au fond de son vagin et entame des mouvements du bassin, davant en arrière ; il ne bouge pas, elle fait tout. Je massois sur le visage de Francis, lui offrant mon clito à sucer pendant quil nous caresse les seins. Josiane et moi sommes maintenant face à face, elle est assise sur sa bite, moi sur son visage, sa langue sur mon clito, et nous nous embrassons. Josiane continue ses mouvements, aidée par Francis qui la pilonne à petits coups de reins. Je vois son visage se contracter de plus en plus, je pense quelle ne va pas tarder à jouir. En effet, quelques minutes après :

— Aah ! Ça y est ! Ça y est ! Je viens ! Aaaah Aaaah Aaaah ! Puis, elle reprend son souffle et ses esprits et me dit :

— Tavais raison, caurait été dommage que je rate ça ! Et elle me roule une pelle en ajoutant :

— Tu mas bien baisée, Francis, merci !

— On est bien dans ta minette Josiane, dans ta bouche aussi dailleurs !

Nous lembrassons et Josiane dit :

— Bien, tout le monde a pris son pied, on va dormir ! Timidement, Francis rétorque :

— Pas moi, jai encore les couilles pleines.

— Mais tu as giclé dans mon cul tout à lheure !

— Ça fait un bon moment et ça nempêche pas que je les ai encore pleines !

Il est allongé sur le lit, entre nous deux, jattrape sa bite qui est toujours dure et commence à prendre son gland entre mes lèvres, je le caresse avec ma langue, Josiane me rejoint et il a droit à une fellation à deux langues, simultanément, où, chacune notre tour, nous lui pompons la verge, tantôt lentement, tantôt plus rapidement. Josiane lenfourne presque en totalité, il nous caresse les seins et les fesses. En nous regardant nous relayer sur son sexe, il nous dit :

— Cest la première fois que je fais ça avec deux filles, je me souviendrai de tes 18 ans, Jo ! Quelques secondes après, il pose ses mains sur la tête de Josiane et décharge dans sa bouche en râlant ; Josiane retire sa bouche et donne un baiser à Francis pendant que je récupère le reste. Nous nous embrassons tous les trois et décidons daller nous coucher. Josiane dit :

— Le week-end va être vraiment super ! Je ne sais pas si tu tiendras le choc Francis, tu as deux gourmandes avec toi, tu sais ! En fait, tu as eu une bonne idée Anne !

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