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Apprentissage avec papi – Chapitre 1

Apprentissage avec papi - Chapitre 1



J’avais 18 ans tout juste. Formée et menstruée depuis mes 10 ans, un léger duvet châtain couvrait mon pubis. Des seins assez développés, pas très grande et avec de jolies formes. Je n’avais jamais eu de petit copain.  Je n’avais aucune idée des choses du sexe à cette époque. 

Je vivais avec mon père, ma mère, mon frère et, très souvent, mon grand-père venait passer du temps chez nous.  J’adorais qu’il soit là car il venait me chercher au lycée et je ne faisais donc plus les trajets en bus, je rentrais manger à la pause méridienne et cela m’enchantait.  Une après-midi à la sortie des cours, mon grand-père me demande si je veux aller me balader avec lui plutôt que de prendre le gouter enfermés à la cuisine. C’est une chaude journée de mai, les températures sont anormalement hautes pour la saison et j’accepte avec plaisir sa proposition en jubilant d’échapper aux devoirs qui ne me tentaient guère à l’époque.  Nous laissons donc la voiture garée sur le bas-côté, je garde mon gilet autour de la taille et nous voilà partis dans la campagne environnante en discutant de tout et de rien.  La chaleur nous oblige à nous assoir rapidement à l’ombre d’un grand pin sur des grosses pierres posées au pied de l’arbre. Le soleil a tant chauffé et chauffe encore que les larges pierres plates maintenant à l’ombre sont encore brulantes.

Je pose mon gilet pour protéger ma jupe à volant flashy et m’installe pour gouter. Un vent léger vient nous caresser le visage et les cheveux. C’est bon. 

Papi me donne un morceau de pain dans lequel il a mis de la confiture de fraise et une bonne couche de beurre en me recommandant de ne pas tout manger. Je ne comprends pas le sens de sa demande et me jette à pleines dents sur mon 4 heures.  Papi me fait la conversation : 

— J’ai entendu que tu t’étais levée cette nuit pour aller faire pipi et ensuite j’ai entendu l’eau du bidet couler. Tu as un problème à ton minou ? 

– Oh non papi, j’ai fait pipi en effet et ensuite je me rince toujours pour éviter que le pipi reste sur ma minette. Je n’aime pas l’odeur. 

— L’odeur du pipi ou l’odeur de ta minette ? 

Je pouffais de rire : 

— L’odeur du pipi bien sûr, ma minette n’a pas d’odeur papi ! 

Il rit de bon cur de ma remarque puis me tend un gobelet de sirop de grenadine remplit du thermos.  

– Ta minette n’a pas d’odeur alors ? comment le sais-tu ? tu la touches souvent ? 

— Non ! mais quand je me lave je n’ai jamais senti d’odeur particulière. 

Papi me regardait avec tendresse (il s’agit plutôt de mon interprétation de fillette car je sais maintenant qu’il s’agissait plutôt d’un regard de profond désir) 

– Tu as raison de bien te laver sinon ta minette pourrait te bruler et ça peut te faire mal. 

— Oh ! mais c’est arrivé l’autre fois. J’étais toute rouge et maman m’a dit de mettre de la crème pendant 2 ou 3 jours. 

– Ah oui ? où étais-tu rouge ? sur quelle partie. 

Sans aucune retenue, je soulève ma jupe sans trop d’effort car elle est déjà courte, j’écarte ma culotte de coton et lui montre mes lèvres en me contorsionnant pour que mon papi voit bien l’endroit de mes anciennes rougeurs.  Il approche son visage de mon entrejambe pour mieux voir et tient lui-même ma culotte écartée ce qui libère ma main. Je peux lui indiquer à loisir avec mon index la zone de mes inconforts.  

— Je ne vois pas très bien, allonge-toi sur le dos et tiens tes jambes écartées afin que je me rende mieux compte. 

Je me couche sur mon gilet et enlève ma culotte qui ne sert qu’à nous embêter et gâche la vue de papi. Je frissonne immédiatement au contact de mes fesses sur la pierre chaude.  

Son avis sur la question m’intéresse car c’est un puits de science mon grand-père, il sait tout sur tout. Il lit énormément depuis la mort de mamie.  Me voilà juvénile et offerte à l’expertise de papi qui tâte avec circonspection mon pubis et mes lèvres, mimant les expressions du docteur. 

— Jeune fille, c’est ici que vous souffriez ? 

— Oui ! mais aussi plus à l’intérieur. 

Ses doigts écartent mes grandes lèvres de chaque côté et passe doucement à l’intérieur de mes chairs roses. 

— Ici aussi ? 

— Oui oui 

— Et sur ton petit bouton ? 

– Quel bouton ??? 

— Celui-ci 

Il passe alors son majeur sur mon clitoris de haut en bas et redescend lentement, très lentement vers ma grotte vierge en ouvrant mes petites lèvres.  Une sensation inconnue m’électrise. Je ne bouge toujours pas, laissant papi m’examiner à sa guise, en éveil aux nouvelles sensations que je ressens. 

— C’est ce qu’on appelle un bouton ? je ne savais pas. 

— Ce petit bouton est une petite merveille très sensible et fragile. Il n’aime pas les rougeurs car il est très délicat. Tu peux me dire comment tu te mets de la crème ? 

Papi prend alors ma main droite, m’incitant à reproduire mes gestes, ce que je fais sans retenue. J’utilise mon index et mon majeur pour faire mine d’étaler la crème. 

— Tsssss. Ce n’est pas comme cela que l’on soigne un joli petit minou. Pas étonnant qu’il faille 2 ou 3 jours pour que tu sois calmée. Je vais te montrer. 

Joignant le geste à la parole, papi ouvre le sandwich de mon gouter pour récupérer du beurre sur son majeur et commence à me tartiner l’extérieure de la minette. 

— Tu vois, il faut en mettre bien partout en n’oubliant aucune partie, surtout celles qui sont les plus sensibles.  Son doigt reprend un peu de beurre et, de son autre main, il écarte ma vulve. Ses mouvements sont doux et précis, lents. Il passe à l’intérieur de mes grandes lèvres à plusieurs reprises. 

Bien malgré moi, mon corps se tend sous ses caresses déguisées. Mes bouts de seins se durcissent et pointent sous mon tee-shirt. D’autant plus visibles que je ne porte jamais de soutien-gorge.  Papi lève la tête pour me regarder en souriant. 

— C’est ainsi qu’il faut faire ma petite chérie et papi sait exactement comment il faut soigner ses petits bobos. Oh ! mais que vois-je là ? tes toutounes veulent sortir à travers ton tee-shirt ! on s’en occupera plus tard, ils ne doivent pas être jaloux !   Tu comprends comment il faut faire ma chérie ? 

— Oui papi, il faut bien insister et mettre beaucoup de crème 

– Il ne faut surtout pas oublier d’aller dans les zones qu’on ne voit pas. Comme là 

Papi, tenant toujours ma vulve bien écartée, descend son doigt très près de ma grotte et remonte vers mon petit bouton. 

— C’est ici qu’il faut être vigilant, ton bouton ne doit pas être rouge, il n’aime pas cela. 

Son doigt va et vient sur mon clitoris qui commence à réagir aux caresses prodiguées avec expérience et filouterie par mon grand-père qui respire très fort.  Je sens une chaleur envahir mon bassin, chaleur qui ne dure pas puisque le doigt de papi se retire. Je suis en nage, totalement déboussolée, inconsciente que mon papi vient de me mener vers la jouissance sans me la faire atteindre. Je suis essoufflée et immobile, seule ma poitrine se soulève, mes jambes, elles, restent ouvertes et tendues. Le temps se suspend. 

Papi me regarde, ses pupilles sont dilatées, le souffle est court. D’un geste bref, il tire sur l’élastique de son slip et s’assoit. Je reste allongée. 

— Tu as compris ma chérie ? lorsque tu auras à nouveau des rougeurs, papi te soignera comme il sait faire. 

— Mais. Papi j’ai chaud là (je montre mon sexe) c’est normal ? 

— Oui ma puce, tu as chaud mais pas encore assez. Veux-tu avoir encore plus chaud ? 

— Oh oui mon papi d’amour ! 

Avant de reprendre un peu de beurre, papi dégrafe son pantalon et le fais glisser sur ses cuisses. Son slip est tendu et une énorme bosse le déforme. 

— Mais c’est quoi ça papi ???? 

— C’est mon outil d’amour ma chérie. Il bande devant ton petit minou et lui aussi a chaud. Ecarte tes jambes ma pucinette, je vais terminer tes soins. 

Sa caresse est immédiatement orientée. Ses doigts roulent sur mon clitoris graissé par le beurre, ils fouillent, malaxent ce petit bouton que je sens grossir. Mais encore, il arrête sa caresse à mon grand désespoir.  Il attrape ma main et la fourre dans son slip, me regarde et me dit : 

— Tu vois, il est gros pour toi. Il bande. Prends le dans ta main, monte et descend comme cela. 

Il tient ma main dans la sienne et guide mes mouvements de va et vient sur sa verge dure en fermant les yeux.

Je nous observe, lui dégustant mes caresses novices qu’il guide à sa guise, moi, passive qui le laisse me montrer le chemin de la luxure et du sexe.  Tout à coup, il stoppe net ma main, embrasse mes doigts, les lèche un à un. Plongeant ses yeux dans les miens, il passe ses mains sous mes fesses nues et me positionne selon son désir, jambes ouvertes telle une grenouille souple. Il se poste sur mon côté gauche, réajuste sa verge dressée dans son slip et me dit : 

– Il y a un autre moyen pour que la chaleur revienne, veux-tu que je te montre ? 

Dans un râle qui me surprend moi-même, je gémis un oui venant du cur. 

Papi penche sa tête sur mon sexe et, de sa langue, commence à faire revenir la chaleur. Son bout de langue se fait dur pour frôler l’arête de mon clitoris de petits coups secs puis il embrasse mon sexe à pleine bouche. 

— Hum. Je préfère quand tu me soignes avec la langue papi. 

— Ma chérie tu apprends vite dis-moi ! je te sens si tendue, tu attends de jouir et je te frustre. 

— Jouir ? 

Ce mot m’était totalement inconnu. 

— Oui jouir. Cela signifie prendre du plaisir. Ton petit bouton va se gonfler de sang et tu vas partir dans les étoiles. Je vais te transporter au 7ème ciel ma mignonne. 

Joignant le geste à la parole, il revient sur mon bouton, mon starter, il va me montrer le chemin du plaisir. Qu’est-ce que tout cela veut dire, je ne le sais pas mais je suis sûre de vouloir cette chaleur dans mon ventre, dans mon minou, dans mon bourgeon.  Papi me fouille, ouvrant mes petites lèvres, aspirant mon bouton, le décalottant tel un prépuce. Sa langue se durcit à nouveau (il faisait ça magnifiquement) et son bout lèche rapidement mon clitoris avec régularité.   Mon esprit se trouble, je garde les yeux ouverts sans ne plus rien voir, je halète tel un chien, la chaleur revient et puis c’est l’explosion. Quelque chose d’inattendu et si inexplicable pour la fille innocente que je suis, je tente de garder la tête froide pour me souvenir au mieux de l’évènement sans y parvenir tant ce tourbillon de plaisir se déchaine et me transporte.  Mes mains se crispent sur la cuisse de papi et mon ventre sursaute. Puis, la tension redescend en me laissant lascive et épuisée. Je m’endormirai bien.

  Papi se redresse pour me regarder. 

– Voilà, tu as eu ton premier orgasme ma chérie. 

D’un mouvement du dos de la main, il essuie sa bouche trempée. Trempée de quoi ? Je ne sais. Je n’ai pas envie de chercher, je me laisse aller à la passivité qui m’envahit.  Papi se penche pour embrasser mon pubis. 

— Ton minou est superbe, pas trop de poil, rond, lisse et si ferme. J’adore ton abricot. Ah !!!! je pourrais en faire des folies t’apprendre, te guider. La prochaine fois, je te montrerai comment me donner du plaisir car j’ai bandé mais pas assez. Tu verras, on va prendre chacun un plaisir immense. Tu voudras ? 

— Oui papi ! j’adore ça.  

Pas une seconde, le fait de transgresser quoi que ce soit ne m’effleure. Je veux jouir encore sous la langue de papi.  D’un geste brusque, papi saisit mon sein droit en attrapant le bout qu’il roule intensément.  – Tu as tant de choses à apprendre  Je le regarde me peloter le bout, fascinée par sa connaissance à savoir comment procurer le plaisir.  

 A suivre…

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