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Association de commerçants – Chapitre 3

Association de commerçants - Chapitre 3



Mon épouse est en pleins ébats avec ses amants ; leurs cris de plaisir résonnent dans ma tête.

La bouche de Clara glisse de ma bouche sur mes tétons ; elle me lèche le torse.

Quelle situation !

Corinne vient de se faire baiser devant moi par écran interposé. Ses cris de plaisir me sont arrivés à travers le plancher de la pièce. Elle, dessous avec ses amants et moi, ici avec une femme, une plantureuse rousse à la peau de lait. Comme moi, voyeuse ; comme moi, excitée par les images et les sons.

Tant pis ; jai droit à me faire du bien ! Laissant lécran qui montre ma femme sétaler le sperme de ses amants sur les seins et le cou, je décide daller au bout des choses ; loccasion est trop belle ! Clara me sourit, mentraîne dans la chambre. Les lumières sont tamisés. Les murs couverts de posters. Il me faut un certain temps pour comprendre quil sagit dimages extraites de la vidéosurveillance, seul point commun entre elle et JP. Le salaud Il a un tableau de chasse ! Mais il ignore que quelqu’un a conservé un souvenir de ses trophées.

Clara se couche sur le lit ; je minstalle à ses côtés. Nos mains explorent le corps de lautre. La chaleur ambiante et leffervescence de nos sens provoque une ambiance spéciale, dun érotisme torride. Je descends ma bouche vers son cou, ses seins. Passant dun sein à lautre, je me délecte de la douceur de cette opulente poitrine, tantôt suçant les tétons dressés, tantôt léchant les globes de chair. Quel plaisir, quel délice que dentendre les soupirs de Clara ! Elle réagit à la moindre caresse de ma langue. Ma langue, si agile sur le corps de Corinne, explore le corps dune autre femme. Soudain, un flash dans mon esprit ; une envie de vengeance malsaine : je vais donner du plaisir à cette femme, lui en donner autant que je pourrai.

Une odeur subtile de mouille mattire plus bas ; je découvre une fine toison clairsemée de poils roux clairs. Menivrant des odeurs intimes de ma maîtresse, je sens mon cur battre dans mes tempes.

Ma langue glisse entre ses lèvres intimes, lapant ses sucs.

Les gémissements de Clara mencouragent ; jaspire son clitoris, le lèche, puis labandonne pour laper lentrée de sa grotte intime.

Un filet de cyprine sen écoule ; je la goûte, la savoure. Les allers-retours de ma bouche entre sa grotte damour et son clitoris provoquent des soubresauts du bassin de Clara. Elle aime mon supplice. Ses doigts dans mes cheveux, elle mappuie soudain la bouche sur ses lèvres intimes. Sa jouissance est bruyante, volante, inondante. Je viens de faire lexpérience dune femme fontaine. Jouvre la bouche pour recueillir le maximum de son liquide intime. Je découvre les saveurs salées de son extase.

Lui laissant le temps de récupérer, je mallonge à ses côtés. Je tends loreille : des cris de plaisir et des insultes salaces forment un fond sonore.

Clara glisse entre mes jambes, me gratifiant au passage dune caresse sur le torse avec ses cheveux parfumés.

Sa bouche sempare de mon gland. Elle agite sa tête de haut en bas et me prodigue une fellation denfer.

La belle rousse a un tempérament de feu ; elle me fixe de son regard émeraude, un regard me signifiant de lui offrir mon jus.

Avec un traitement pareil, mes testicules nen peuvent plus.

Si je veux la prendre, faut quelle arrête, sinon je vais exploser.

Elle le sent et redouble defforts, alternant les va-et-vient avec des aspirations et des succions de mon gland. Je vais craquer… Je viens dans sa bouche. Gourmande, elle ne laisse rien et avale ma semence. Fière delle, elle se relève, passe sa langue sur ses lèvres.

Merci pour cette bonne liqueur !

Merci à toi.

Jespère ne pas en rester là : tu mas tellement excitée quil va falloir que tu éteignes le feu au fond mon ventre. Viens me prendre ; plante-moi la chatte ! Je suis toute offerte : profites-en ! Mais allons sur le canapé ; je veux hurler, que ta salope de femme mentende, quelle se dise que jai la chance davoir un homme qui me donne autant de plaisir.

Humm Bonne idée.

Arrivés au salon, mon regard va instinctivement sur lécran. Les amants sont toujours en pleine action. Devant mon air surpris, Clara me fait remarquer un détail : sous la télé, un enregistreur numérique.

Jai des DVD, si tu veux ; des DVD de ta femme ! Elle vient ici tous le deux jours. Tout le temps avec JP, mais jamais avec les deux qui sont là aujourdhui. Cest la première fois que je les vois. Dautres hommes, et aussi des femmes ; mais eux, non.

La salope ! Ainsi elle se fait baiser dans cette arrière-boutique par JP et par dautres

Je me retourne vers Clara.

Viens ; nous aussi, on va se faire plaisir. Tu veux hurler ? Eh bien, allons-y !

Elle saute sur le canapé, se retourne, les coudes en appui sur le haut du dossier. Sa croupe est tendue vers moi.

Viens ; prends-moi !

Je frotte mon sexe entre ses lèvres intimes, profitant de sa mouille et de sa jouissance, et je mintroduis sans plus de préparatifs en elle. Jai rarement ressenti une telle pression sur mon sexe. Elle est particulièrement étroite.

Après deux va-et-vient, Clara commence à gémir.

Humm Tu es un peu gros pour ma petite chatte. Mais cest merveilleux ; continue !

Des encouragements inutiles, car jai bien lintention de continuer. Mes mains sur ses hanches, je mactive de plus belle.

Sa chatte sest habituée à mon sexe. Les parois de son vagin épousent à merveille ma bite. Jalterne des va-et-vient rapides et dautres plus lents, sortant presque entièrement de son antre damour pour y replonger plus fort.

Nos corps se fondent en râles et plaisirs. Elle hurle ; elle jouit en ruant, mexpulsant de sa chatte, en minondant à nouveau, provoquant ma propre jouissance sur ses fesses.

Nous nous écroulons sur le canapé, témoin de nos ébats.

Après de longues minutes dans un état second, nous nous embrassons. Nous reprenons notre souffle en sirotant un verre dalcool. Lécran montre un bureau vide. Je me lève, mhabille. Clara me demande de revenir : avec plaisir !

Elle me raccompagne à la porte, membrasse goulûment, me sourit et me tend un sac en plastique.

Tiens, prends : tu as de quoi calmer ta femme.

Cest quoi ?

Les DVD de ses exploits de pute. Tu verras : hommes, femmes, et même plus !

Quoi, plus ?

Tu sais quelle va au club canin, le dimanche matin ?

Oui, pour amener sa chienne.

Tu parles Cest elle, la chienne ; et je peux te dire quelle est bien dressée ! Cest une bonne chienne, vraiment. Demande au maître-chien. Et à ses rotts !

Un véritable coup de poing dans le ventre : elle se fait mettre par un chien aussi ! Des chiens, en fait ; et ici, avec la complicité de JP.

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