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Astrid et Julia – Chapitre 8

Astrid et Julia - Chapitre 8



Nous prenons ma voiture, direction la maison de campagne de Julien, située à plusieurs kilomètres de chez moi. Celle-ci a pour particularité d’être isolée en pleine campagne et surtout d’avoir une pièce spécialement équipée pour des jeux érotiques.

Pendant tout le trajet, la manteau d’Astrid est ouvert. J’ai mis en route le programme spécial « En voiture Simone ». D’après ce qui est expliqué dans le tuto, les boules de geishas simulent les cahots nombreux et les arrêts brutaux que subit une voiture. Inutile de vous dire que le travail ainsi effectué dans son vagin la mène à de multiples orgasmes. D’autant que j’en profite aussi pour lui peloter les seins. Son visage tourné vers moi est extatique tellement elle jouit. Elle murmure des mots incompréhensibles, que dis-je des onomatopées, qui expriment sa joie d’être ainsi traitée.

Arrivés à destination, je la fais descendre de voiture, lui fait enlever son manteau. Je m’aperçois qu’une flaque de mouille macule son siège. Je la traite de cochonne et lui fais lécher ce qu’elle a répandu. Elle s’exécute sans regimber comme la bonne soumise qu’elle est devenue. L’air est frais, son corps frémi, elle a la chair de poule.

Je la dirige vers l’entrée de la maison et je sonne. C’est Julien qui ouvre. A sa vue, il ne peut s’empêcher de commenter :

— Ouah ou… T’es canon ma belle ! Hervé avait raison tu es vraiment un beau morceau, dit-il en lui touchant les nibards, je pense qu’on va bien s’amuser avec toi, tu as du potentiel. Allez, viens je vais te présenter ! lui intime-t-il la propulsant d’une tape sur les fesses vers la grande pièce à vivre.

Astrid se laisse faire, elle a compris ce que je lui avais préparé d’autant qu’elle découvre deux très jolies femmes intégralement nues elles-aussi.

Chloé, la compagne de Julien, une belle rousse de vingt-cinq ans, pas très grande, totalement épilée, une poitrine refaite ; je l’ai connue il y a deux ans avec ses ufs sur le plat ; qui ressemble à deux ballons. Ses cheveux roux sont relevés en chignon. Sa grande bouche, experte en pipes ; je le sais pour l’avoir plusieurs fois expérimentée ; est soulignée par un rouge agressif. Elle est nu-pieds ce qui la rend beaucoup plus petite qu’Astrid perchée sur des échasses.

Sophie, la blonde à cheveux courts coupés en carré, est pacsée avec Marc. Elle a le même âge que lui : trente-cinq-ans. Des seins magnifiques que Marc aime particulièrement fouetter et malmener lors de nos ébats communs. Deux anneaux pendent de ses tétons et lorsqu’elle écarte ses jambes on peut apercevoir que le capuchon de son clitoris est équipé d’un Barbell droit pour l’exciter en permanence. Son sexe surmonté d’une touffe de poils, est de toute beauté. Toujours humidifié grâce au piercing de son bouton d’amour, il est agréable à bouffer tellement il est goûteux.

Ce soir nous avons le choix entre Chloé la rousse, Sophie la blonde et Astrid la brune : dix ans d’écart respectifs entre chacune d’elles. Mais pour l’instant le centre d’intérêt de tous c’est Astrid.

Des mains avides commencent à la palper. Qui un nichon ? Qui une fesse ? Qui sa chatounette ? Les deux femmes se l’accaparent et l’emmènent vers le canapé. Chloé l’embrasse sur la bouche, pendant que Sophie lui tète les seins. Au début Astrid est réticente ; c’est la première fois qu’elle se gouine ; mais elle répond vite à leurs sollicitations tant les femmes de mes compères savent y faire. Sa langue s’enroule avec celle de Chloé pendant que ses mains partent à la découverte de ses seins siliconés. Des gémissements se font entendre venant des trois corps qui s’emmêlent. La bouche de Sophie est passée à plus sérieux. Elle est descendue, désormais posée sur le pubis d’Astrid. Sa langue entre en action pour découvrir le capuchon qui masque le clito d’Astrid. Astrid pousse de petits cris, Sophie lui fait du bien.

Nous, les hommes, regardons le spectacle avec intérêt. Marc me glisse dans le creux de l’oreille que j’ai une chance inouïe d’avoir dégotté deux femmes – mère et fille aussi portées sur le sexe. Je lui rappelle qu’Astrid n’est pas au courant de la séance avec sa fille et qu’elle doit rester dans l’ignorance. Julien, lui, me fait part qu’il aimerait bien connaître son cul et se libérer dedans. Marc émet le même souhait. Autant dire qu’ils aimeraient lui faire un double anal. Vue que désormais elle peut s’enfiler le rosebud numéro cinq ça reste du domaine du possible. Quant à moi ce sont ceux de Chloé et de Sophie dont j’aimerais faire connaissance. Je n’ai pas encore eu le plaisir de le faire.

Julien s’allonge sur le tapis et demande à Astrid de venir s’emmancher dos à lui en ayant enlevé au préalable le but plug. Il veut d’abord tester sa chatte pour voir si elle s’adapte à son mandrin. Il la bourre un moment puis décide de changer de trou. Là c’est plus dur, elle a du mal à le faire entrer. Je fais un signe à Marc qui prend la bombe de lubrifiant et asperge copieusement le sexe de Julien et le cul d’Astrid. Ça y est ! Ça glisse tout seul. Il la fait pencher en arrière sur le torse de Julien. Dans cette position, Marc tente la double pénétration anale. Un coup devant ça ne veut pas s’engager ; elle crie ; un coup sur le côté c’est bon il y est. Elle a désormais deux bites dans l’anus. Ils vont lui craquer le cul et la faire entrer dans un délire sexuel intense. C’est surtout Marc qui la travaille et lui fait pousser des cris de douleur d’abord puis de bonheur ensuite. Plus elle est défoncée, plus elle en redemande.

Pendant ce temps-là j’ai fait mettre Chloé et Sophie à quatre pattes, côte à côte. Apparemment elles ont l’habitude de ce genre de demande. Elles en profitent pour s’embrasser « à bouche que veux-tu ». C’est d’abord Chloé que je veux enculer. Elle écarte ses fesses et ça rentre tout seul. Je la sodomise un moment et je change de trou. Elle aime bien l’alternance. Je passe alors à Sophie et je m’enfonce dans son fion. Je passe mes mains sous son corps et je tire sur les anneaux qui transpercent ses tétons. Marc doit souvent lui appliquer ce traitement car elle approuve par des enchaînements de « Oui continue ! J’aime ».

Je n’ai pas l’intention de finir avec elles. Aujourd’hui la reine de la fête c’est Astrid. Elle est maintenant sur Julien qui la prend par la chatte et Marc lui explose la rondelle. Sa tête, ravagée par les larmes, ballotte dans tous les sens. Julien lui mordille un sein, pendant qu’il compresse fortement l’autre. Je lui relève la tête et enfourne ma bite ; couverte des sécrétions vaginales et anales de Sophie et Chloé ; jusqu’au fond de sa gorge. Elle éructe mais s’adapte à mon nud qui envahit sa glotte. Sans qu’aucun d’entre nous ne se soit concerté nous éjaculons ensemble dans son cul, son con et sa bouche.

On la dépose sur le canapé, épuisée. C’est sans compter sur l’appétit sexuel des compagnes de mes amis que j’ai laissées en plan au bord de l’orgasme. Elles se jettent sur elle, Chloé en position de soixante-neuf bouffe la chatte engluée d’Astrid qui, en retour lui lèche la foufoune. Sophie se rabat sur Chloé et fait entrer le rosebud dans son troufignon. Voyant ce spectacle Marc lui écarte les fesses et la sodomise sans aucune précaution. Quelques allers-et-retours et c’est dans sa bouche qu’il vient planter son sexe et inonder sa cavité buccale.

La soirée a débuté sur les chapeaux de roues. Il est temps de se reposer un peu. J’en profite pour interroger Astrid et ainsi connaître ses impressions :

— Alors que penses-tu de ma surprise ? Ça t’a plu ?

— Ce fut dur. Vous m’avez fait souffrir mais j’ai eu des moments intenses où vous m’avez fait jouir au-delà de mes espérances. J’ai découvert aussi les amours lesbiens et le goût de la chatounette d’une rousse. C’est fort mais délicieux et enivrant. Je soupçonne qu’elle ne se soit pas bien lavée exprès…

— C’est très possible, la connaissant. Elle n’a que vingt-cinq ans mais d’une perversité égale à celle d’une femme de ton âge. Tu sais que tu vas avoir mal encore ?

— Perverse moi ?

— Oui tu es une dépravée qui se révèle de jour en jour. Je me demande comment tu as pu vivre jusque-là ? Quand je t’ai aperçu la première fois lors de votre emménagement j’ai cru que tu étais une coincée du cul. Je me suis rendu compte depuis que c’était le contraire.

— C’est grâce à toi parce que tu es un vrai mâle dominant. Tu me fais faire tout ce que tu veux ; c’est fou ce que tu peux être inventif ; et j’accepte. Ça va être difficile de me retrouver seule avec mon mari lors de son retour. Tu sais que je voudrais être percée comme Sophie et même plus, avoir les lèvres de mon sexe traversées par des anneaux, pouvoir le faire rien que pour toi. Tu aimerais ?

— Bien sûr mais je crains que ce ne soit possible. Difficile de cacher des piercings à ton mari. Déjà qu’avec les coups de fouet que tu as reçus et ceux que tu vas encore recevoir, il faudra attendre quelques jours pour te montrer nue devant lui.

— Vous allez me fouetter ?

— Bien sûr, Julien et Marc n’attendent que ça : te tanner le cuir. Tu sais que Marc le fait régulièrement avec Sophie. Il aime ; elle aussi d’ailleurs ; lui travailler les seins à la badine. Tu aimerais qu’on te le fasse tout à l’heure ?

— Je ne sais pas, ça doit être très dur non ?

— De toute façon que tu aimes ou pas, nous nous aimons. Alors tu y passeras.

— …

Tout le monde me fait des compliments sur Astrid, particulièrement sur sa docilité. Je suis fier d’elle. Le serais-je encore après la séance qu’on lui réserve dans quelques minutes, le temps de finir de nous restaurer. Le buffet est abondant et le Champagne coule à flots. Nous commençons tous à être un peu pompette…

Il est temps de passer au stade supérieur. Julien entraîne Astrid vers sa salle spécialement équipée. Tout le monde suit. C’est un équipement classique : cheval d’arçon, croix de saint André, crochets de suspension, table couverte d’accessoires divers, etc…

Je vois le visage d’Astrid blêmir… Je m’approche d’elle et je lui dis à l’oreille :

— Tu ne vas pas me faire honte ? Tu es toujours décidée à me garder ? Regarde tes « copines » y sont tous passées et elles sont toujours avec leur mec.

— Non tu seras fière de moi. Vous n’allez pas trop m’abimer ?

— Ce serait dommage tu ne crois pas ? Tu es belle, fière. Relève la tête et regarde-moi bien au fond des yeux. Tu sais que je t’aime ?

— Oui mais j’ai quand même peur.

— Si tu veux qu’on arrête tu n’auras qu’à prononcer le mot « Prague » comme le nom de la capitale de la Tchéquie. On est d’accord ?

— Oui ! Je t’aime aussi.

Julien l’amène sur le côté du cheval d’arçon et la fait pencher en avant, la tête vers le bas, pour qu’elle soit pliée en deux. Ses jambes sont écartées. Il fixe à ses chevilles des bracelets de cuir qu’il relie aux pieds de l’agrès avec des chaînettes. Il fait de même pour ses bras. Dans cette position ses fesses sont proéminentes, chatte et cul facilement accessibles. Il lui fait redresser sa tête en glissant sous son menton une sorte de tabouret de bar réglable en hauteur. Ses seins se retrouvent pendants dans le vide. Il équipe chaque téton d’une pince à laquelle est relié une cordelette. Celle-ci est passée dans une poulie fixée sur un portique au-dessus du cheval d’arçon. Au bout de la ficelle, un anneau auquel on peut suspendre des poids. Ce que ne manque pas de faire Julien. Ses roberts sont ainsi étirés vers l’extérieur de son corps, en direction du plafond. Astrid a poussé des cris – tant la douleur est vive – lors de chaque pose, mais maintenant elle souffre en continu. Ses tétines sont distendues à l’extrême limite possible.

Je m’approche d’elle pour lui demander si elle veut qu’on continue. Elle me répond que tout va bien ce que je peux vérifier en mettant mes doigts dans sa foufoune ; elle est trempée. Non seulement c’est une cochonne, mais en plus elle aime le SM.

Julien prend alors un paddle et lui claque chacune de ses fesses alternativement. Les coups sont secs et font tressaillir Astrid. Il le fait sans violence particulière, méthodiquement et sans faillir. Chaque miche en prend pour son grade vingt fois. Son popotin vire au carmin. Son cul tout rouge l’excite, il l’encule et nous appelle à en faire autant. On se succède dans son anus ou dans son con. Pendant que l’un d’entre nous l’occupe par derrière, un autre va dans sa bouche. Elle ne peut pas crier bâillonnée comme elle est. Pourtant on sent qu’elle voudrait le faire et jouir ouvertement. Son plaisir est accru du fait de notre endurance – on a tous pris du Cialis… C’est une succession d’orgasmes qui l’animent.

Je fais remarquer qu’il serait temps d’appliquer le même cérémonial à Chloé et Sophie.

On enlève Astrid du cheval d’arçon pour leur laisser la place ; on les met côte à côte dans la même position pour subir le même traitement. Elles vont déguster elles-aussi dans les heures qui suivent en subissant nos assauts. Quand l’un d’entre nous en a envie, il prend une badine et cingle la poitrine d’Astrid qu’on a attachée sur la croix de saint André, les seins bien en avant. C’est à chaque coup une douleur de plus jusqu’à l’ultime moment où on vient tous, à tour de rôle, projeter notre semence dans sa chatte plus qu’accueillante.

C’est la fin de son calvaire ; elle n’a pas eu droit au fouet. On la délie. Je la prends dans mes bras et je l’embrasse doucement sur les lèvres. Son corps n’est que douleur, elle s’abandonne, me murmure des mots d’amour. Je lui remets son manteau, nous disons au revoir à tout le monde. Elle est félicitée pour sa prestation. Je la mène à ma voiture et nous rentrons chez moi.

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