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Au café de mon copain Zac – Chapitre 2

Au café de mon copain Zac - Chapitre 2



Je m’appelle Françoise…

Quoi ?

Mon nom est Françoise.

Qu’est-ce que tu baragouines là, je t’ai dit de nous sucer, pas de te présenter, je m’en bats les reins de ton nom poulette.

Je ne suis pas d’humeur à causer, j’ai une trique assassine, brûlante et gourmande. Tout ce que je veux, tout ce que je désire, c’est éteindre ce barreau incandescent au fond de son gosier. Et elle, plutôt que d’user de sa langue pour d’étreindre, elle me balance son nom ? Ma chair palpite sous son nez et elle, cette connasse, pense que m’apprendre son prénom changera la situation. Peut-être cette gourde croit-elle, à tort évidemment, que la connaissance de son prénom rendra l’acte à suivre décent, que cela fera d’elle une femme plus respectable, Madame a des valeurs, Madame n’est pas le genre de femme à s’étrangler le nez fourré dans des poils de bite sans connaître le nom du bourreau.

Aujourd’hui, elle a été condamnée à devenir une traînée de café et elle a accepté la peine, elle s’est même résignée docilement, en retour, elle demande d’humaniser ne serait-ce qu’un peu la sentence. Au fond, tout ce que cette bonne dame demande est de savoir à qui elle a affaire. Très bien, je peux taire mon envie primaire un court instant et lui offrir le répit escompté.

Moi c’est Sam.

Ma patience s’est envolée, je lui ai donné ce qu’elle voulait, à moi d’obtenir ce que je veux. Ma grosse paluche vient aussitôt saisir son crâne pour l’approcher de mon gland violacé, prêt à éclater. Je la vois sortir la langue, l’instant approche, la pointe rosée bientôt m’apportera le réconfort tant attendu. Mon visage se tord, j’appréhende le choc à venir, la lueur de mon regard n’est plus celle d’un homme sous l’influence de l’alcool, mais celle d’une bête sur le point d’enfoncer ses crocs dans une proie juteuse suite à un long jeûne. Mon esprit décroche, mon âme noire est libérée, je me vois d’en haut, je nous vois tous. Le temps se fige, je déglutis, va-t-elle enfin me sucer bon sang ? Pourquoi cela prend-il autant de temps, que se passe-t-il ? Qu’on me délivre, par pitié, de cet enfer. C’est insoutenable, je ne peux plus tenir, je n’en ai plus la force. Mon front est paré de perles de sueurs, tout comme mon dos. Je dois puer l’animal affamé.

Et puis, enfin, cette langue pourtant si anodine me délivre de ma torpeur. Un tourbillon m’assaille, c’est le bonheur, j’ai l’impression de vivre à nouveau, mes poumons se gonflent, l’air est pur. La langue de Françoise délie la mienne et je bredouille avec aise le plaisir de la sentir enrouler son organe autour du sommet de ma masculinité. Ma bouche s’ouvre davantage pour laisser d’entre mes lèvres s’échapper des râles rauques. Au chaud, dans le creux de sa main, mes couilles pleines sont dorlotées. J’ai hâte de les vider, mais d’abord, je la laisse me transformer en pantin bienheureux, car en cet instant, ma queue est le fil conducteur qui contrôle tout mon corps et il lui suffit dès lors d’un simple, mais habile coup de poignet pour m’abattre.

C’est cette main, celle de l’alliance matrimoniale, celle qui s’active le long de ma tige qui fait moi un bouchon sur le point d’être propulsé à toute vitesse au travers de la pièce. Je n’ai pas pu, un seul instant, détourner mon regard de cette main, la voir trahir ses vux me rend marteau, ça me donne même un sentiment de toute puissance, je me sens invincible. Je vis un drame lorsque sa langue se détourne de mon organe pour asséner un assaut glacé à mon copain Zac. Heureusement, pour le bien de ma santé mentale, elle continue d’une main de maître de manipuler avec largesse mon levier. Je vais la déboîter, je vais la faire crier quitte à rameuter son cocu de mari apparemment aucune idée dà quel point sa femme est une véritable dépravée. Cette Françoise a vu le jour pour tourner dans des cafés, il lui aura juste fallu du temps pour atterrir au bon endroit.

Il ne fait plus aucun doute qu’elle adore ça, elle s’en donne à cur joie, toute pudeur est enterrée. Je l’entends gargouiller et "glaglagla" qu’elle nous dit dans sa langue de salope. Je suis déçu de ne pas être bilingue pour comprendre ce qu’elle nous dit, même si j’ai bien une grossière idée du sens caché de cette phrase. Je reste captivé par le spectacle de cette femme mature, qui l’eut cru, un instant, elle est une femme respectable, celui d’après elle bouffe goulûment une bite en produisant des bruits ridicules sans s’en apercevoir. C’est un sacré numéro cette Françoise, la mater pomper le dard de mon copain Zac, c’est de l’art. Je suis Léonard, et elle est ma Joconde, notre sperme sera la touche finale de ce merveilleux tableau.

Elle revient vers moi, la bouche grande ouverte, elle est animée d’une passion dévorante, cette luxure dont elle fait preuve est tout ce dont j’ai besoin pour enfoncer ma bite dans sa gorge. Je bloque sa tronche contre mon pubis, j’espère qu’elle aime mon odeur ou elle risque de passer un sale quart d’heure. Je la sens, la langue de cette garce, même le gosier entravé par mon chibre, elle agite sa langue pour me caresser. Je la regarde dans les yeux, je vois son regard qu’elle veut bien faire, qu’elle redouble d’efforts pour me satisfaire.

Je lui en suis reconnaissant, vraiment, alors pour la récompenser, bon prince que je suis, j’extirpe ma verge trempée de sa gueule pour promener mon gland sur sa face, tout y passe ; les joues, le front, le nez, le menton, les paupières, je n’oublie rien et je fais même deux tours pour m’assurer que tout est bon comme un vrai professionnel formé à la manuvre. Sa tronche fait maintenant peine à voir, sans parler du mascara qui a coulé de ses yeux, des mèches rebelles grossièrement dispersées habillant son front. Tout son visage brille et pue ma bite. Le tableau est chef d’uvre, cependant il lui manque toujours la touche finale. Je souris en coin et lance un regard complice à camarade, il acquiesce.

Notre bite en main, nous nous branlons avec vigueur au-dessus de cette salope de Françoise, sa queue et la mienne tressautent quand d’épais jets blanchâtres jaillissent du bout de notre tige pour s’effondrer sur la trogne de notre suceuse dépravée. Notre sperme combiné rend gloire à cette femme, le visage ainsi zébré, elle ressemble à un animal, ça lui coule même du menton, tombe sur son pantalon noir, mais elle ne semble pas s’en inquiéter. Soit, si elle s’en fiche de retourner auprès de son mari le pantalon taché, je ne vais pas l’en empêcher.

Une dernière chose…

De la poche arrière de mon jeans, je sors mon téléphone, on ne peut pas dire que j’ai l’âme d’un photographe, mais je vais faire une exception rien que pour cette fois-ci. J’immortalise l’instant et capture l’expression de surprise de notre serveuse quand le flash l’éblouit. La photo est sans équivoque, elle dépeint la réalité avec perfection. Je profite de l’occasion pour la montrer à cette salope avérée.

Regarde ta tronche, alors, c’est beau ?

Tout ce qu’elle trouve à répondre c’est une réponse mitigée :

Oh, c’est… moi ?

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