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Au camping avec ma soeur – Chapitre 1

Au camping avec ma soeur - Chapitre 1



Bonjour,

Après avoir lu de nombreuses histoires sur ce site, je me décide à mon tour à vous décrire ce qui m’est arrivé il y a maintenant plus de 20 ans.

A l’époque des faits, j’avais 16 ans. Ma sur en avait 18.

Nous avions l’habitude de partir en camping tous les ans avec nos parents au bord de la mer. Mes parents avait une caravane pliante qui possédait 2 chambres. Quand nous étions petits ma sur et moi dormions dans une des chambres et mes parents dans l’autre. Depuis quelques années, ma sur avait réclamé son intimité et logeait à part dans sa propre tente canadienne à côté de nous.

Mais, cette année là, les parents avaient acquis une vraie caravane "en dur" et il n’y avait plus de place pour moi à l’intérieur. Afin d’économiser de la place sur notre emplacement et de ne pas trop charger la voiture, nous n’emmenâmes qu’une seule toile de tente supplémentaire, mais un peu plus grande afin de loger ma sur et moi.

Nos parents décidèrent cette fois ci de partir à la montagne, histoire de changer. L’ambiance au camping était totalement différente de ce que nous avions connu au bord de mer. Le camping était très (trop) calme, pas danimation ou de soirée dansante après la nuit tombée. Il faut dire aussi que la nuit tombait vite du fait des montagnes environnantes.

C’est pourquoi le soir, ma sur et moi avions pris l’habitude de nous glisser rapidement dans nos duvets respectifs afin de lire à la lumière des lampes torches. Une fois la lumière éteinte, nous parlions longuement avant de nous endormir. Nous étions très complices et nous avions toujours eu l’habitude de discuter beaucoup ensemble. Avec l’âge nos discussions abordaient des sujets de plus en plus sérieux. y compris en matière de sexualité sans forcément parler de nous même. Nous parlions aussi parfois de drague, ma sur mapprenant comment séduire les filles !

A l’époque j’étais trop timide pour aller plus loin qu’un baiser sur la bouche avec mes petites amies. Et pourtant mes désirs étaient ardent et je m’éveillais souvent à la sexualité en solitaire. Pour sa part, ma sur avait eu aussi quelques histoires de cur mais je crois savoir qu’elle était toujours vierge. Cependant je sentais à nos conversations nocturnes qu’elle était à un âge ou l’autre sexe l’attirait beaucoup.

Un soir, la lumière éteinte, notre discussion à bâtons rompus pris une tournure inattendue.

Ma sur me demanda ce que ça me faisait quand j’étais excité avec une fille.

"Ben, lui répondit-je gêné, je suis tout dur, j’ai une érection quoi."

Cette question me fit monter le feu aux joues. Pas tant à cause du sujet, que parce qu’on ne parlait plus de manière générale mais d’un aspect intime. Par cette question finalement, une barrière avait été franchie.

"Et alors c’est comment ? me fit-elle.

— Comment ? Euh c’est dur c’est tout.

— Oui je sais, mais ça te fait quoi, tu ressens quoi ?

— Ben Ça picote un peu au niveau du sexe.

— Et c’est comment concrètement ? Ton sexe est à angle droit ?"

Je compris à ce moment là que ma sur n’avait jamais vu un sexe en érection et qu’elle était très curieuse de la chose.

"Non, il est dressé vers le haut."

Soudain, ma sur pris sa lampe torche et l’alluma en la braquant vers moi.

"Fait voir, me lança-t-elle frondeuse.

— Mais non et puis d’abord je ne bande pas là.

— Ah bon ? Et tu fais comment pour avoir une érection ?"

Je vis ses yeux briller d’un petit air coquin, je la sentais émoustillée. Cela me surpris venant de ma sur, mais en même temps cela m’excita un peu.

"Ben, ça vient tout seul je ne contrôle pas. Il faut que je soit excité. Avec une fille par exemple quand on s’embrasse et que je lui touche un peu les seins, ça me rend dur."

Ma sur posa sa lampe et commença alors à soulever le T-shirt large qu’elle portait pour dormir. Elle dégagea ses seins épanouis de femme et resta ainsi le T-shirt remonté.

"Et là ça te fait quoi ? me demanda-t-elle en éclairant sa poitrine.

Je n’en croyais pas mes yeux. J’avais devant moi ma sur allongée à côté de moi qui me regardait en me montrant ses seins.

Oh, je l’avais déjà vu en topless pour bronzer sur la plage, mais là, c’était différent. Ce n’était plus innocent, elle m’offrait ses seins à moi comme un cadeau.

Mon sexe grandi et se durcit aussitôt dans mon caleçon.

"Ouaah ! lâchais je. Euh là, oui effectivement, je sens que ça me fait quelque chose.

— Tu veux toucher ?"

Et sans me laisser le choix elle me pris la main et l’appuya sur un de ses seins. La sensation était incroyable, je touchais pour la première fois de ma vie des seins nus (et pas à travers un pull ou un soutien-gorge). Ils pesaient dans ma main et ses tétons étaient durs. Son sourire sélargit, elle ferma une seconde les yeux puis braqua de nouveau la lumière sur mon duvet à l’endroit de mon bas ventre.

"Tu crois que c’est bien ?" demandai je.

— Oui t’inquiète, vas y fait voir, dit elle en soulevant le duvet."

Puis elle lâcha ma main qui était sur son sein, et posa la sienne sur la bosse formée par mon sexe.

"Ah oui c’est dur. Continue à me toucher les seins si tu veux, ajoutat elle."

Je n’osais pas bouger, stupéfait. Mon regard allait de la main de mon caleçon aux seins de ma sur. Mes sens étaient en ébullition, j’avais l’impression que ma tête allait exploser.

La main de ma sur commença à aller et venir me prodiguant ainsi une caresse à travers le tissu. alors je m’enhardis et me mis à prendre ses seins dans ma main et à les peloter doucement.

La suite alla très vite.

Ma sur souleva l’élastique de mon caleçon et le baissa pour dégager mon membre. Je sentais qu’il allait exploser. Une goutte de liquide perlait au bout.

Elle posa la lampe par terre, et se redressa sur le côté appuyée sur son coude pour saisir mon sexe. Elle se mit à le branler doucement, faisant de longs va et vient tout en continuant à le fixer.

J’avais le souffle coupé. Je continuais à lui toucher sa poitrine, je sentais ses tétons qui durcissaient de plus en plus. Elle fermait les yeux de temps en temps comme pour mieux apprécier mes caresses et ses jambes se mirent à s’agiter dans son duvet.

"Attends, soupira-t’elle."

Rapidement, elle me lâcha le sexe et se mit sur le dos. Elle défit la fermeture de son duvet jusqu’en bas et en dégagea ses jambes. Puis elle souleva ses fesses et fit glisser son pantalon de pyjama sur ses chevilles. Je vis alors un instant sa toison pubienne entre ses jambes.

Elle se rapprocha un peu de moi, et toujours sur le dos, elle reprit mon sexe dans sa main. Puis elle pris la mienne et la glissa sur son ventre vers son pubis. Elle écarta les jambes et posa le bout de mes doigts sur son sexe. Je sentais ses poils mais aussi qu’elle était mouillée en dessous.

"On va continuer comme ça maintenant, me glissa t’elle." Je hochais la tête en signe d’acceptation.

Puis elle tourna la tête vers le plafond de la toile de tente et ferma les yeux. je fis de même. A partir de ce moment là, nous ne prononçâmes plus un mot.

Ne sachant trop comment m’y prendre mais voulant bien faire, je faisais des aller et retour sur sa vulve entre son orifice complètement ouvert et trempé et son clitoris. ça avait l’air de lui convenir car elle se mit à onduler du bassin en respirant fort.

Elle continuait à me masturber mais par à coups, toute à son plaisir. Cependant mon excitation était à son comble et jaccompagnai sa main de mouvements de bassin.

J’ouvrais les yeux de temps en temps pour le regarder et elle faisait de même, les yeux mi-clos perdus dans le vague.

De sa main libre, elle se caressait les seins, de plus en plus fort jusqu’à les pétrir.

Sa respiration se transforma en halètements de plus en plus profonds.

Au bout de quelques minutes, elle saisit ma main sur son sexe et l’appuya plus franchement sur son clitoris en la faisant tourner. Elle continua ainsi pendant un moment en décollant ses fesses du matelas pour mieux presser son sexe contre ma main. Mon sexe était branlé de plus en plus frénétiquement jusqu’à la garde par la main de ma sur qui l’enserrait fermement.

Tout à coup elle se raidit et son souffle s’arrêta. Son buste se redressa brusquement et elle coinça ma main entre ses cuisses et cramponna mon dard. Son visage se crispa et un petit cri étouffé sorti de sa bouche. Je sentais son orifice se contracter en rythme sous mes doigt.

Elle resta comme cela quelques secondes puis se laissa retomber sur le dos et soupirant.

Je compris qu’elle avait joui et cela déclencha une vive émotion en moi. Tandis qu’elle reprenait ses va et vient sur mon membre, je ne pus contenir les giclées de spermes qui jaillir de mon membre .

Nous restâmes ainsi un long moment à reprendre no esprits. La main sur le sexe de l’autre.

Plus tard, nous nous rhabillâmes sans prononcer un mot et j’épongeais ma semence avec des mouchoirs.

"Il ne faut en parler à personne, me fit elle promettre".

Effectivement, je ne parlais de cette histoire à personne, jusqu’à ce jour.

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