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Au centre équestre – Chapitre 2

Au centre équestre - Chapitre 2



Je suis sur ce banc, complètement rassasié, écurée, souillée…je reste un moment les yeux fermés à récupérer…mes petits jeux intimes, personnels et si excitants quand j’étais seule dans le box, se transforment en cauchemar…je ne suis zoo…mais ce petit écart est dû à cet étalon qui avait souvent cette queue très en forme, et cette idée me trottait dans la tête quand j’y pensais de temps à autre, et comme à mon habitude, ce sont mes fesses qui commandent ma tête..

Pour un peu je me serai endormie sur ce banc..puis j’entends un appel " Camille ! "….c’est la voix de mon grand-père!…j’ouvre les yeux hébétée, éblouie par le soleil derrière lui…ma main au dessus de mes yeux je l’aperçois sur son cheval dans le chemin devant l’enclos, avec un groupe à cheval avec lesquels il était parti en promenade..

Affolée, je cherche mes affaires, et je me rends compte qu’elles sont toujours roulées sous mes reins là où elles avaient été mises pour me remonter les fesses pour la saillie…mon rapide regard circulaire n’aperçoit personne d’autre que le groupe de mon grand-père..et le cheval est toujours là attaché à la barrière à coté de moi, là où ils l’avaient écarté après ce délire..

Je me redresse vite et je passe ma jupe et mon pull, ils m’avaient juste laissé mes bottes…debout je vois mieux les gens qui accompagnent mon grand-père, son meilleur ami et un couple plus jeune qu’eux, je dirai 45/48 ans, elle très jolie, beaucoup d’allure, lui un peu latino, sourire ravageur, je les connais de vue, ici à l’équitation…

Silence total..personne ne dit rien, ni n’ose partir, ils ont du mal à croire ce qu’ils pensent mais en arrivant ils m’ont vue encore allongée sur le banc, nue juste en bottes, les cuisses écartées les jambes pendantes de part et d’autre..avec des traces blanchâtres entre les cuisses et le long des jambes…et le cheval juste à coté de moi encore attaché…

Le couple tourne leurs chevaux en disant qu’ils doivent rentrer, l’ami de mon grand-père les suit…

Mon grand-père descend et vient me voir…"alors tu l’as fait…j’aurai voulu t’aider tu le sais, tu as pris un très gros risque, il aurait pu t’éventrer..", ce vieux cochon, initiateur de mes premiers attouchements…va me reprocher de ne pas l’avoir fait profiter de ça.."et tes amis?..que vont-ils penser?…", je lui demande, "mais ce qu’ils ont vu..!…que tu es une salope qui se fait saillir par un cheval…"

Je n’ai plus la force de discuter, je prend la longe et je rentre au box à pieds, je le rentre, le frotte avec de la paille il a des traces sur ses jambes….le frottement lui fait sûrement penser à autre chose parce que je vois son sexe qui reprend de la vigueur, il y prend goût..je crois que maintenant, s’il me prend l’envie de recommencer, il ne fera pas de difficultés..

Mon grand-père m’attend, en voiture j’hésite à lui parler de la matrone et de ses assistants, déjà que ses amis m’ont vue et cataloguée, si j’ajoute aussi le personnel du club…et puis j’ai bien aimé, ça me laisse entrevoir d’autres aventures… ils n’ont pas pris des photos pour rien, ils vont bien me réserver quelque chose..je m’endors bercée par la voiture, en arrivant chez lui je monte au radar, prend longuement une bonne douche chaude, et me couche, on verra plus clair demain…

Le lendemain, un Dimanche, il y a un barbecue au centre équestre, bien qu’il n’y a pas de leçons d’équitations ce jour là, les propriétaires des chevaux qui sont là en pension, organisent de temps en temps des petites fêtes au club, et ce barbecue était prévu, et mon grand-père et moi devions y aller..le groupe aperçu avec mon grand-père aussi, comme le personnel du centre qui serait là pour faire le barbe et préparer, etc..salope comme je suis, je me dis que ça peut-être intéressant…aussi, comme il fait chaud, je mets une robe assez légère, pas trop ajustée, boutonnée devant du haut en bas, pas de soutien ni de culotte, en un mot je suis nue dessous, mais on ne voit pas à travers, sauf en contre-jour, mes tétons effleurent le tissu sans plus…les boutons du haut sont défaits jusqu’à la naissance de ma poitrine, ceux du bas par contre un peu plus audacieux, jusqu’à mi-cuisses..

Nous y allons vers 11h, il faut aider à la mise en place, il n’y a que le gratin, les propriétaires des chevaux et leur famille, la plupart commencent à trinquer pour l’apéro dès la mise en place, et lorsque nous commençons à manger les entrées, les cubi de rosé bien frais,font leur apparition…

Le groupe d’amis de mon grand-père est là, la femme s’assoit d’ailleurs à ma gauche, et son mari à ma droite…tiens…ils me sourient en disant que je suis bien encadrée..Charles, l’ami de mon grand-père est juste devant moi…

Malgré que les tables soient à l’ombre il fait chaud, et le rosé aidant, les discussions sont animées et bruyantes, aussi l’on est obligé à se limiter à celles de voisinage.

Ma voisine de gauche, l’épouse du type à ma droite me parle doucement à l’oreille, on ne s’entend plus, lui disant que j’ai chaud elle me dit de déboutonner un peu ma robe, elle n’a pas tort, je déboutonne un peu plus le haut, sans que l’on voit les mamelons, l’on en est pas loin, et de profil à chaque fois que je bouge je pense que là l’on peut plonger jusqu’au ventre…surtout que pour entendre Charles en face de moi, je suis obligée de me pencher un peu vers lui, qui ne me regarde pas vraiment dans les yeux…

Mon voisin de droite aussi est bien occupé à suivre les mouvements de mes seins….la tension monte d’un cran..mais..je sens la main de ma voisine de gauche qui peine à défaire un bouton du bas de ma robe….je la regarde droit dans les yeux, un jolie regard noisette clair, elle rougit un peu et me dit qu’elle voulait m’aider, qu’il faut laisser passer un peu d’air entre ces jolies jambes….c’est moi qui rougis, je pense que c’est une invitation….je défais deux boutons qui me libèrent les cuisses, ras du minou…

Tout en mangeant sa main droite sous la table revient à l’attaque de mes boutons et continue à les défaire…je suis un peu gênée…mais personne n’a l’air de faire attention à nous, la robe se relâche de chaque coté, les pans, par leur propre poids, s’écartent de chaque coté de la chaise…jusqu’à la taille, je rentre ma chaise un plus près de la table, pour que l’on ne voit pas……mais je laisse faire, j’écarte un peu les cuisses…..et je parle avec Charles comme si de rien n’était..

Sa main droite s’est aperçu au toucher que je n’avais pas de culotte, elle approche sa jolie bouche près de mon oreille pour me chuchoter "petite salope…" et elle commence à chercher mon clito..je ne peux réprimer un sursaut..mon voisin de droite s’est penché un peu en arrière pour voir ce qu’il se passe et il a compris ce que fait sa femme…

J’ai l’impression qu’il touche à sa braguette….puis se remet près de la table, sa femme ne peut me doigter facilement dans cette position…mais ses doigts ont trouvé mon clito qu’elle commence à frotter doucement….son mari a pris ma main droite discrètement et la descend sur son pantalon, et je constate qu’il a sorti son sexe…je le prends en main…dur….bien dur….je le branle doucement….pendant que je commence à mouiller sérieusement.

Charles se doute de quelque chose devant lui…ma voisine a sa main droite sous la table, et moi aussi…comme s’il allait ramasser sa serviette il se penche soudainement, il reste quelques secondes pour apprécier…moi j’ai eu le temps de remettre la main sur la table mais le sexe est toujours sorti, quand à ma voisine elle s’en soucie pas, elle continue à me tripoter entre les cuisses…je me laisse aller un peu en arrière sur le dossier de ma chaise…

La plupart ont fini de manger…et une grande partie décide d’aller faire une promenade à pieds dans les environs…la promenade digestive…mais il reste le couple, Charles, mon grand-père et deux autres amis de son âge qui jouent aux cartes régulièrement avec Charles et mon GP, les quatre inséparables, comme au golf, donc 5 hommes en tout et une femme, la voisine qui me caresse…

Mais, apparaissent pour débarrasser la table, la grosse matrone et ses deux fils, j’ai appris entre-temps que se sont ces fils, j’avais toujours pensé que c’était deux autres employés du centre équestre, ben non, c’est une famille, je sais qu’ils habitent une vieille petite maison normande à colombages dans le domaine.

Il est plus difficile de masquer nos agissements…cette main me fait monter..monter…je me laisse encore aller en arrière contre le dossier….les yeux mi-clos, je regarde…les autres personnes à la table me regardent….je me laisser aller à mon plaisir…Charles a fait le tour et est derrière moi…ses bras passent de chaque coté et je sens ses mains qui défont les 3 ou 4 boutons qui restent, et écarte ma robe…j’apparais nue….ouverte…en attente….

à suivre…

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