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Au plaisir de ses messieurs – Chapitre 1

Au plaisir de ses messieurs - Chapitre 1



Voici lune de mes « premières » expériences, une super aventure, que jai adorée, et recommencé ensuite à maintes reprises. Et dailleurs, si je pouvais le faire encore, je partirai tout de suite !

Il y a quelques années de cela, javais en tête des envies dexhib A ce moment-là, je me contentai de remonter très haut ma jupe en voiture, pour le plaisir de voir les routiers me mater, et ensuite en parler à la CB.

Je savais que ca trottait aussi dans la tête dHervé, mon mec de lépoque. Il me demandait souvent si je serai daccord pour une vraie exhib, bien plus poussée. Je lui avais bien sûr dis « oui. »

Un samedi soir de printemps, quand les jours sont longs, il est rentré lair amusé et coquin, un paquet à la main… Il me le tendit avec un large sourire. Quand je louvris, je découvrais une superbe guêpière noire, avec un porte-jarretelle intégré. Malgré tout, lemplacement pour les seins me paraissait bien petit. Elle était superbe. Et elle avait la particularité dêtre une lingerie ancienne, du début du siècle (le XXème !), et de laisser les seins à lair.

Daprès Hervé, ce genre de guêpière était porté par les filles de joie. Je lai essayée, et savoir ça mémoustillait beaucoup Combien dhommes avaient admiré une femme dedans ? Lavaient caressée, embrassée, baisée ?

Comme jembrassais de façon sauvage mon homme, il me dit :

« Ce nest pas la seule surprise de la soirée Ce soir, on va au bois de Verrière. Je vais ty livrer aux désirs des mâles. »

Jétais à la fois ravie et inquiète Mais pas question de me dérober !

Le bois de Verrière est au sud de Paris, moins connu que le bois de Boulogne. Il ny a pas de professionnel(le)s, juste des hommes, de femmes ou des couples qui sexhibent ou qui matent. Il parait que maintenant, cest fermé aux voitures. Ce doit être bien triste !

Je mhabille donc, selon les vux de mon mec : ma guêpière, pas de culotte, des bas noirs, retenus par les jarretelles, les seins à lair, et un lainage un peu long. Il faut bien sortir dans la rue sans provoquer une émeute !

Nous sommes silencieux pendant le trajet. Malgré tout, jappréhende un peu ce quil va se passer. Hervé me rassure : les vitres de la voiture restent fermées, et elle est prête à démarrer si les choses tournaient mal.

Nous arrivons sur place. Il y a une grande allée centrale, et plein de petites allées secondaires qui en partent. Presque dans chacune, je vois un ou une deux véhicules bien entourés

Dans lune delles, des hommes semblent attendre, et pas de voiture en vue. Hervé minterroge du regard, je fais oui de la tête.

Nous arrivons à vitesse réduite, et jôte mon gilet. A peine arrêtés, une grappe humaine se forme autour de nous. Je suis un peu impressionnée !!!

Hervé commence à membrasser, à faire durcir mes seins. Il les tète, les pince, fait en sorte que les voyeurs voient bien que je suis excitée. Presque sans men rendre compte, ma main glisse vers ma chatte, déjà bien humide Je vois de plus en plus de bites autour de moi. Je ne vois que ça. Les visages de leurs propriétaires sont quasi invisibles. De toute façon, je nai pas envie de voir leurs têtes !

Jessaie de compter, et je ne dénombre pas moins de 22 belles (ou moins belles) queues qui sont vigoureusement astiquées par leur propriétaire. Ca me donne le tournis. Un vrai régal pour mes yeux. Touts ces mecs qui se branlent pour moi Mon con en bave denvie !!!

Je supplie Hervé de me caresser. Il incline le siège, attrape un oreiller quil avait caché derrière, pour me le passer sous les fesses. Il faut que tout le monde voie bien ce quil se passe ! Mes jambes sont relevées, les pieds sur le tableau de bord. Hervé ouvre ma chatte avec ses doigts, les faufile bien partout, agace mon clito du bout de lindex. Il ne tarde pas à surgir de son capuchon, sous le traitement combiné des caresses et de la vison dantesque de tous ces zobs en furie.

Je suis là, les jambes les plus écartées possible, la chatte ouverte, qui dégouline de mouille. Certains mecs jutent sur la vitre, dautres essuient comme ils peuvent pour se rincer lil à leur tour.

Hervé se penche pour me lécher ma fente, qui nattend que ça. Il fait en sorte que le plus de gars voient le traitement quil minflige. Malgré les vitres fermées, jentends les encouragements de certains :

« Vas-y, mon salaud, astique-là »

« Fais-la jouir, cette garce »

« Baise-là comme une chienne »

Ca mexcite plus que je ne laurais imaginé. Les mecs continuent de se branler à fond, ca gicle du sperme partout. Hervé se sert de sa langue comme dune petite bite, et fini par me faire jouir. Il y a encore et toujours des mateurs, on dirait que leur nombre est inépuisable !

Je nen nai pas assez. Pour donner un meilleur spectacle, je me mets en levrette, le cul et la chatte offerts à la vue des vicieux. Je me sens totalement impudique et jadore ça

Hervé continue de mintroduire plusieurs doigts dans la chatte, et du pouce, il commence à masser mon petit trou. Il le lubrifie avec ma mouille et sa salive. Il rentre tout seul, tant je suis excitée. Dehors, les mecs criaient encore plus. « Défonce-là, bourre son cul, baise la salope », jen passe et des meilleures !

Hervé passe sur la banquette arrière, la bite en avant. Il bandait déjà depuis un moment.

Je le gobe dun coup. Son gland rouge me faisait très envie ! Et je suis là, offerte à la vue de tous ces maquereaux, la chatte béante, le cul ouvert et offert, et la queue de mon homme qui me baise la bouche Il y va fort, je métrangle presque avec et toujours autour de nous, sans arrêt, des chibres, des bites qui crachent leur venin blanc. Ca semble inépuisable !

Enfin, il sort son dard de ma bouche et passe derrière moi. Enfin, je sens son pieu me remplir la moule. Il rentre comme dans du beurre, tant je suis excitée.

Il fait de grands mouvements, trop lents à mon gout. Mais il faut bien assurer le spectacle ! Mais jaccélère, je veux jouir encore, et le sentir me remplir la cramouille de son jus épais. Cest comme si je dansais sur son manche dur comme du béton. Je bouge les hanches en tous sens. Dehors, ca sagite encore plus : les poutres, les gourdins, les zobs de toutes tailles, toutes les formes, toutes couleurs Vraiment impressionnant !

Et cest moi, Hervé et moi, qui les faisons bander comme ça ???

Hervé me baise de plus en plus fiévreusement. Il halète, je sens quil va cracher son foutre. Je jouis sous les coups de boutoir, en grands cris désordonnés.

Les voyeurs crient aussi : « elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »

Hervé jouit aussi, il crie comme jamais je nai entendu faire avant.

Il se retire, je massieds, et nettoie son membre des restes de sperme. Puis je mallonge à nouveau, pour quil en fasse autant avec moi. Il me lèche un peu, enlève le plus gros de son jus. Soudain, il en retire avec sa main, et, stupéfaite, je le vois ouvrir la fenêtre et donner ses doigts à lécher. Lun des mecs se jette dessus, et en redemande ! Puis il supplie à travers le carreau de le laisser me toucher. Hervé minterroge du regard.

Je ne sais pas quoi faire. Je lui dis que je veux bien voir le mec, mais en privé, car jai peur de ne pouvoir maitriser tous ces hommes en rut.

Jy pose mes conditions : dabord, je veux revoir sa queue, puis son visage. Et ensuite, il me touchera, me caressera, me lèchera, mais pas de pénétration. Mon ami ouvre un peu, lui met le marché en main. Le type semble ok. Il passe de mon côté, me montre une belle hampe bien épaisse comme jaime, toujours bien bandée. Son visage nest pas déplaisant.

Je suis daccord. Nous disons au type de nous suivre dans un endroit plus calme. Hervé met le moteur en marche, pendant que je continue à me caresser le minou, qui nen na pas eu assez Les spectateurs protestent, mais jen veux bien plus, et pas avec tous ces types qui pourraient devenir incontrôlables.

Le gars « recruté » arrive derrière nous avec sa voiture. Nous repartons vers la sortie, et bifurquons dans un petit sous-bois très calme.

Hervé avait prévu son coup. Il sortit du coffre une grande serviette bain, quil étend dans lherbe. Notre invité, qui dit se nommer Laurent, arrive près de nous. Il sest rhabillé, mais je vois sa queue qui déforme son pantalon. Pas de temps à perdre, nous voulons rester seuls. Hervé me demande de mallonger sur le dos. Il vient au-dessus de moi, et me présente son engin à pomper, tout en ordonnant à Laurent de me lécher la moule, qui nattend que ça. Lhomme se débrouille bien, me dévore avec application, avale les restes de sperme de mon mec sans sourciller. Hervé malaxe mes seins, fait durcir les pointes. Je jouis très vite, trop excitée de cette situation, en plein air, avec cette bonne langue qui mastique bien comme jaime. Bien que je lui ai craché mon jus dans la bouche, il ne me lâche pas, je continue à jouir, en longues saccades, jen mords presque mon homme. Prudent, il préfère se retirer.

Il vient devant moi, pousse Laurent, relève mes jambes sur ses épaules, et sengouffre à fond dans mon con qui crie encore famine. Laurent passe à coté de moi, et vient se branler sous mes yeux avides de ce spectacle. Jai aimé voir toutes ces bites tout à lheure, mais il y avait la vitre entre nous. Cétait frustrant. Là, je le vois à 20 cms de moi. Un vrai régal.

Jentends du bruit. A quelques mètres, deux types sont là, les yeux hors de la tête. Hervé les voit aussi, et leur crie de ne pas approcher, sinon, il sévira (il faut dire quil fait 1.90m et 100 kilos de muscles… ça impressionne !). Les gars demandent à mater de loin, je suis ok. Alors, ils restent. Ca me met dans un état second. Je demande à Hervé de me prendre en levrette, Laurent dessous pour me lécher le clito en même temps. En bon petit gars, Laurent obtempère. Il sallonge à angle droit sous moi, et entreprend de me lubrifier le con, qui nen na pourtant plus besoin ! Hervé me pénètre lentement, mais à fond. Il gémit aussi, car Laurent lui bouffe les couilles, les aspire. Sa grande langue nous lèche tous les deux en même temps, je suis au 7ème ciel. Nos voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit nest plus très loin. Je les vois se masturber frénétiquement, puis ils se le font mutuellement. Sils se sucent, je serai aux anges. Hélas non Mais je les vois cracher leur sperme dans lherbe. Sous un ultime coup de langue sur mon clito hyper sensible, je jouis en hurlant sous les arbres mon plaisir. Hervé en fait autant, et jute plus dans la bouche de notre compère que dans mon vagin. Laurent semble apprécier, car il continue de me « laver » consciencieusement. Il nous demande de le regarder se branler. On ne peut pas le lui refuser ! Je reste allongée en me caressant les lèvres intimes, pour continuer de lexciter. Il ne tard pas aussi à cracher son foutre, en longs jets saccadés.

Nous nous relevons, épuisés. Je jette un coup dil à la voiture… Elle est couverte de sperme ! Jen suis ahurie !!! Il nous faudra passer au lavage avant de renter à la maison.

Jai tellement adoré cette soirée, que nous avons recommencé 2 ou 3 fois par mois, pendant près dun an. A chaque fois, nous « recrutions » un volontaire Ah, si je pouvais recommencer.

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