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Aurélie – Chapitre 7

Aurélie - Chapitre 7



Je suis encore toute endormie lorsque la porte s’ouvre. Ma mère vient

nous réveiller. Elle n’a sur elle qu’une petite chemise de nuit

transparente qui ne cache rien. Je peux admirer sa chatte rousse que je

connais bien. Elle nous embrasse amoureusement et nous dit de nous dépêcher,

car nous ne sommes pas en avance. Elle ne voudrait pas que nous soyons en

retard pour le premier jour de lycée d’Anna.

Nous nous levons et je m’étire. Ma mère naturellement regarde mon

entrejambe. Elle me dit alors :

— Ma chérie, nous avons passé ton père et moi une excellente

soirée, et nous vous en remercions. Ton père ne tarit pas

d’éloges sur la fellation que tu lui as prodiguée. Toi aussi

Anna ma chérie, tu as été prodigieuse, et je pense que David se

souviendra longtemps de celle que tu lui as faite. Nous étions

tellement excités ton père et moi que nous avons encore fait

l’amour plusieurs fois avant de nous endormir et je dois dire

que ce matin il avait de tout petits yeux en partant travailler.

Mais maintenant, debout toutes les deux.

Nous nous levons et j’enfile une petite nuisette pour aller déjeuner.

Anna qui n’a pas prévu de chemise de nuit passe juste un mini-slip et

nous nous retrouvons toutes les deux à table. Nous dévorons avec un bel

appétit, car nos ébats depuis son arrivée dans la famille nous ont donné faim.

David fait alors son entrée pour manger également. Il n’est vêtu que

d’un slip, et en nous voyant, nous prenons conscience de l’effet

que nous lui produisons. Son sexe s’est raidi brutalement et dépasse

légèrement de son slip. Il nous embrasse tendrement en lorgnant sur nos

attributs. Il laisse uns de ses mains caresser la poitrine d’Anna qui ne

fait rien pour le retenir. Il nous dit alors :

— Aurélie, je pense que ce n’est pas normal qu’Anna

partage ton lit, nous devrions établir un roulement. Tout le monde

a pu voir hier soir qu’Anna et moi avions également quelques

affinités. J’aimerais aller plus loin dans la découverte de

nos pulsions communes.

Ma mère qui était restée à côté de nous déclare à son tour :

— Tout ceci est votre affaire à tous les trois. Si Anna veut

partager ton lit, c’est son droit. Mais je peux également te

dire que dans ce cas, elle peut également partager le notre avec

ton père. Alors, nous pensons, ton père et moi, que le mieux est de

rester comme nous sommes, ce qui ne nous empêche nullement de

partager nos plaisirs comme nous en avons envie.

Nous terminons rapidement notre petit déjeuner et après avoir pris une

douche, nous nous habillons pour aller au lycée. Anna est un peu anxieuse de

revoir ses camarade d’école et de savoir comment ils ont passé ce

premier week-end dans leur famille d’accueil française.

Nous arrivons dans les premiers et tous paraissent épanouis. Elle me présente

à ses amis et moi je la présente aux miens. Il se développe une amitié

générale, car certains de ses amis sont chez des camarades que je ne

fréquente pas particulièrement, et vice versa.

A l’heure précise, nous entrons en classe et notre professeur principal

accompagné de celui de nos invités demande à ces derniers de résumer

rapidement leurs impressions de ce premier week-end en France. Chacun y va

de son petit compliment. J’attends avec impatience ce que va déclarer

Anna. Elle paraît particulièrement sereine et il me semble distinguer dans

l’attitude de ses camarades qu’elle est particulièrement

respectée et doit être une des leaders. Elle leur déclare alors :

— Je souhaite que ce que je vis depuis mon arrivée en France soit

identique pour vous tous. J’ai été accueillie dans la famille

d’Aurélie comme si j’étais leur fille. Ses parents

m’ont fait visiter la région et je suis sortie avec aurélie

hier. Nous sommes allées toutes les deux au cinéma, et si le film

n’y était pas formidable, nous avons passé un excellent

moment, et je dois dire que j’ai parfaitement compris les

dialogues. En ce qui concerne la vie courante, j’ai

l’impression de faire véritablement partie de cette famille

et je partage son intimité. Comme je le disais à l‘instant, je

fais partie de la famille et c’est merveilleux.

Je m’attendais au pire, mais je suis ravie de tout ce qu’Anna

vient de dire. Ses camarades sont aussi envieux que les miens de la profonde

amitié qui nous lie. Nos professeurs nous demandent alors à nous Français de

répondre à la même question. Chacun reprend en gros le même chose que nous

amis Allemands. Mon tour arrive et, regardant Anna j’explique :

— Lorsque nous avons su mes parents, mon frère et moi

qu’Anna vivrait pendant deux semaines parmi nous, nous

avons beaucoup réfléchi. Nous avons essayé de la recevoir comme

nous aimerions être reçus à l’étranger. Compte tenu de la

taille de notre maison, Anna est obligée de partager ma chambre,

mais nous avons pris toutes disposition pour qu’elle puisse

préserver son intimité et sa pudeur. Par contre, nous avons décidé

qu’elle faisait partie de la famille, et à ce titre, nous vivons

avec elle comme nous vivions entre nous il y a encore quelques

jours. Je dois dire que depuis Vendredi soir, j’ai une soeur.

Je termine tout juste mon intervention qu’Anna m’embrasse

tendrement sur la joue pour me dire qu’elle me remercie. C’est

l’intercours et nous nous retrouvons tous à discuter. Le reste de la

journée se passe normalement, et nos professeurs dispensent leurs cours

comme à l’accoutumé, mais en prenant garde que nos amis allemands ne

comprennent pas obligatoirement notre langue dans les moindres détails.

La journée se termine enfin, et nous regagnons le domicile de mes parents.

Nous avons hâte de nous retrouver sans avoir à supporter nos camarades. La

soirée se passe comme habituellement et nous gagnons ma chambre. Nous

prenons notre douche et nous installons nues sur mon grand lit. Je me blottis

contre mon amie et reste très longtemps sans bouger. Nos poitrines se

pressent l’une contre l’autre. La soirée s’annonce

particulièrement chaude. Nous nous caressons sous tous les angles. Ma bouche

prend enfin possession de sa chatte. Elle mouille comme toujours abondamment

et je me régale de son miel parfumé. Elle s’est placée en 69 et me

gratifie également de sa langue dans mon minou. Nous sommes dans cette

position lorsque le porte de ma chambre s’ouvre pour laisser entrer ma

mère. Elle nous déclare :

— J’espère que je ne vous dérange pas. J’avais envie de

venir vous embrasser avant de me coucher. Ton père et moi avons

remarqué que je suis beaucoup plus réceptive à son sexe lorsque

j’ai passé quelques instants avec vous.

Je m’aperçois alors que sous sa nuisette particulièrement courte et

transparente, elle a gardé son slip. Je lui en fais la remarque, et elle nous

déclare :

— Que voulez-vous, c’est un phénomène particulièrement

féminin. Mes règles viennent d’arriver. Bien que

j’utilise des tampons, j’ai l’habitude de

toujours garder mon slip pendant cette période.

— Mais maman comment faites vous pour faire l’amour.

— Ma chérie, la chatte n’est pas le seul orifice de la femme

qui peut recevoir un sexe d’homme. Pendant mes règles le me

sers énormément de ma bouche et comme nous pratiquons

régulièrement la sodomie avec ton père, nous en profitons pour

bien gâter mon petit cul. Tu y as déjà mis plusieurs doigts, mais je

préfère tout de même un sexe bien dur.

Anna intervient alors pour lui dire :

— Je crois que c’est une question de goût. Je sais que mes

parents font l’amour même lorsque ma mère a ses règles.

Mon père m’a souvent dit que ce petit désagrément est

surtout gênant pour la femme. Je ne sais pas si il suce quand même

le sexe de ma mère, mais je lui demanderai en rentrant et je vous

l’écrirai.

Je suis sidérée. Mes parents n’ont jamais évoqué ce genre de problème

avec moi, et je découvre que les parents d’Anna en discutent sans

retenue. La liberté sexuelle allemande n’est pas qu’une idée que

se font les Français. Ma mère se blottit à son tour contre nous en ayant pris

soin de retirer sa nuisette. Elle place immédiatement ses mains sur ma

poitrine et commence à me triturer les mamelons. Elle me fait un peu mal, mais

cela ne me déplaît pas. Elle me pince fortement les tétons qui se durcissent

encore plus. Je lui dis :

— Maman chérie, pourquoi me fais-tu aussi mal. Je préfère quand

tu me caresse gentiment.

— J’avais envie de te faire un peu mal. Mais excuse moi,

j’ai du te pincer un peu trop fort. Viens te venger sur moi.

Je comprends alors qu’elle a tout simplement voulu me demander de lui

pincer fortement ses mamelons que je respecte trop. Je me tourne et il me

vient l’idée de lui faire vraiment mal. Je commence par lui embrasser

sa poitrine qui répond immédiatement à ma sollicitation. J’aspire

l’un de ses tétons dans ma bouche. Je la tète comme si je voulais du

lait. Son téton s’allonge. Il est maintenant très dur dans ma bouche. De

ma main, je caresse son autre sein qui est doux dans ma main. Je pince très

légèrement le téton qui réagit entre mes doigts. Je sens ma mère qui vibre

dans mes bras. Je vois Anna qui se caresse la chatte tout en nous regardant.

Elle a enfoncé deux doigts qu’elle utilise comme un sexe masculin et se

branle furieusement.

Je savoure la caresse de la poitrine de ma mère. Elle ronronne dans mes bras

et se laisse aller. Anna s’approche de nous et nous guidant, force ma

mère à s’allonger sur le dos. Je ne lâche pas ma mère et continue à lui

téter un sein tout en triturant l’autre. Ma mère se démène et son

ventre entame des mouvements incontrôlés. Je vois Anna qui commence à

retirer le slip de ma mère qui nous supplie alors :

— Non, les enfants, laissez moi ma culotte. Je vous l’ai dit,

je n’ai jamais fait l’amour pendant mes règles.

Anna lui répond :

— Christiane chérie, tu es dans notre chambre, et c’est nous

qui commandons. J’ai envie de voir ta petite chatte et je te

retire ton slip. Si tu ne voulais pas prendre ce risque, tu

n’avais qu’à rester dans ta chambre. Mais cela

t’excite tellement d’être avec nous. Qu’en

penses-tu Aurélie ?

— Tu as raison, dans notre chambre nous faisons ce que nous

voulons.

Ma mère ne dit plus rien et Anna retire son dernier rempart. Elle est

maintenant nue avec nous. Je continue à triturer ses seins. J’entends

ma mère qui demande à Anna de lui donner sa chatte pour pouvoir la lécher et

boire sa liqueur intime. Elle est tellement excitée qu’elle perd toutes

notions de la réalité. J’amplifie mon action sur ses tétons. Maintenant,

je pince fortement l’un des mamelons entre mes doigts et je pose mes

dents sur l’autre. Ma mère se cabre et je sens qu’elle jouit

abondamment. Elle geint sous Anna et moi. C’est alors que je décide de

serrer les dents sur le mamelon durci que j’ai dans la bouche. Je

commence à mordre de plus en plus fort, tout en titillant le bout avec ma

langue.

Ma mère éprouve à ce moment un orgasme d’une puissance inouïe et se

pâme dans nos bras. Anna en profite pour plaquer sa bouche sur son sexe et

avale les sécrétions qui s’en écoulent. Elle nettoie parfaitement le sexe

roux de ma mère et vient m’embrasser sur les lèvres. Je goûte alors le

parfum de sa liqueur intime mêlé avec le sang qui s’échappe lentement.

J’adore ce nouveau goût que je découvre. Et le dis. Anna écarte les

jambes de ma mère et retire le tampon qui occupe le vagin maternel. Elle le

respire et nous explique :

— C’est la première fois que je peux goûter ce doux mélange

intime d’une femme. Christiane, je te remercie de ce cadeau.

Tu devrais faire un effort et pratiquer la pénétration vaginale

pendant tes règles. Je pense que je le demanderai de mes

partenaires quand je le pourrai. Qu’en penses-tu Aurélie ?

— Je crois que tu as raison. En amour il n’y a pas de tabou,

et dès l’instant qu’aucun des deux partenaires ne

l’impose à l’autre, c’est l’amour qui doit

guider nos actes.

Anna prend un tampon propre dans ses affaires intimes et le met en place

dans ma mère qui regagne le lit parental. Nous nous blottissons tendrement et

sombrons dans un sommeil bien mérité. Cette journée nous a encore apporté

son lot de plaisir.

(A suivre)

Aurélie

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