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auto-ecole – Chapitre 1

auto-ecole - Chapitre 1



Le premier jour du stage pour le permis moto, je retrouvais Marc un jeune homme qui avait passé le code avec moi.

Nous étions 5 à suivre ce stage d’une semaine, j’étais la seule femme et à 45a la plus âgée. Dès le deuxième jours, Marc se montra très attentionné avec moi, il me faisait la bise le matin, nous passions notre pose déjeuner ensemble, si bien que je ne mis pas longtemps à me demander si il ne voulait pas aller plus loin.

Le jeudi fut une journée très difficile pour moi, j’échouais aux nombreux exercices du jour et chutais même à plusieurs reprises, l’espoir de réussir mon examen s’éloignait.

Le soir je passais quelques instants avec l’instructeur qui finit de me démoraliser, sur le parking, Marc m’attendait.

J’avais les yeux rougis, il m’enserra dans ses bras et d’un geste tendre il me caressait le dos alors que j’éclatais en sanglots, je n’entendais même pas les mots réconfortant qu’il me disait.

Après avoir repris un peu mes esprits je me dégageais de son étreinte, mais un peu honteuse de la situation, j’embrassais Marc à pleine bouche, plaquant mon corps contre le sien.

Il parut surpris, mais très vite ses mains glissèrent de mon dos à la chute de mes reins, et à mes fesses.

Notre baiser était fougueux, je sentais la grosseur de son sexe, je glissais ma main entre nos corps et me saisis de son sexe au travers de son pantalon et commençais à le branler. Marc m’entraîna à l’abri de sa camionnette, défit son ceinturon libéra son sexe, je m’accroupis et après l’avoir branlé,j’entamais une fellation, promenant ma langue sur sa longueur, tétant son gland tout en le branlant d’une main et lui caressant les couilles de l’autre.

Je sentis Marc se tendre, il m’attrapa par les cheveux pour se dégager de ma bouche et il se rependis en de longue giclée épaisse dans mon décolleté.

Je venais de sucer cette homme, de 15a mon cadet, sur un parking entre sa camionnette et ma voiture, j’aurais du en être honteuse mais lorsque je me retrouvais dans ma voiture la poitrine encore poisseuse et l’entre cuisse brûlant, j’étais heureuse et fière…

Arrivée chez moi je filais prendre un bain et m’adonnais à une séance masturbatoire intense, deux ans que je n’avais eu d’amant. Je repensais non pas à Marc mais à son sexe, j’en avais une envie folle, je le voulais en moi…

Le lendemain, j’arrivais un peu en retard au stage contrairement aux habitudes je m’assis à l’opposé de Marc.

A la pause café, et à l’abri des regards des autres il me donna rendez-vous dans son camion(c’est un wolkwagen aménagé)pour le déjeuner.

Ce n’est pas tout à fait le même Marc que je retrouvais dans son camion, fini courtoisie et politesse, le ton était plus directif.

"allez monte on va faire un tour, et dépêche toi on n’a pas trop de temps"

Alors que je m’apprêtais à monter coté passager, Marc me montra l’arrière du véhicule, je me retrouvais donc quelques instant après à l’arrière de sa fourgonnette, assise au bord d’un grand matelas.

"mets toi à l’aise, il y en a pour 10 minute à peine et je ne rate rien du spectacle"

Effectivement je pouvais croiser son regard dans le rétroviseur intérieur, je commençais par ôter mes chaussures et chaussettes, lorsque j’enlevais mon tee shirt exhibant mon 95C, j’entendis un "humm de satisfaction".

je me levais et tirais le rideau séparant les deux cabines rendant Marc aveugle, et me déshabilla entièrement.

Lorsque la camionnette s’arrêta, j’étais nue et pleine d’excitation sur le matelas.

Marc ouvrit grand la porte latérale, il s’assit à coté de moi et posa sa main sur mon ventre, les yeux mi-clos je le laissais me caresser, les seins qui ne tardèrent pas à durcir, puis une main effleura l’intérieur de ma cuisse, que sitôt j’écartais, il s’attarda peu sur mon bouton, préférant introduire deux doigts profondément en moi, j’étais trempée, il me branla énergiquement me faisant gémir et jouir bruyamment. Le clapotis de ma mouille résonnait dans le camion, je me cabrais dans tous les sens sous les assauts de Marc, tantôt les fuyant tantôt les réclamant.

Lorsqu’il se leva pour défaire son ceinturon je me souviens m’être précipiter sur lui avec l’envie de le prendre en bouche, mais il me repoussa et me fit mettre en levrette sur le matelas.

Je restais là à quatre pattes le cul bien en l’air et les cuisses ouverte, le temps pour marc de mettre un préservatif, prête à me faire saisir par ce bel étalon. Marc me pénétra de toute sa longueur ,plaquant son ventre sur mes fesses, la sensation était délicieuse, ne pouvant attendre j’entamais les va et vient, faisant coulisser ma chatte sur son pieu, Marc avait ses mains sur mes hanches et accompagnait mes mouvements, cela dura un bon moment avant de sentir ses mains qui glissaient autour de ma taille et maintenant s’était lui qui imprimait le rythme, les coups étaient puissants et profonds chacune de mes jouissances l’encourageait à continuer son travail de la démolition de ma chatte.

Épuisée, la chatte en feu, marc se retira "tu es trop bonne"

Je pris cela comme un compliment.

J’entendis à peine ce qu’il me dit je le sentais se branler dans le sillon de mes fesses, comprimant celle ci pour plus de sensation.

De temps en temps je sentais son gland sur mon anus plutôt que de le frustrer ne me sentant pas prête à me faire sodomiser, je l’attirais vers moi pour le finir en bouche.

Et contrairement à la veille je ne perdais rien de sa semence, l’avalant jusqu’à la moindre goutte.

L’après midi nous retournions au stage comme si de rien n’était…Marc réussi avec succès son examen.

Moi il me fallut un autre stage moins mouvementé pour le réussir,à ce jour Marc est devenu un copain de ballade à moto et parfois on dérape.

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