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Bayard – Chapitre 1

Bayard - Chapitre 1



Quand la mère de notre héros le laisse partir pour lItalie, elle recommande à Bayard de faire très attention aux femmes, surtout Italiennes. En février 1512, après avoir pris Bologne, il assiège Brescia, pas seul, rassurez vous. Le 19 février, il y est gravement blessé d’un coup de pique dans le haut de la jambe, disons dans la cuisse, pas grave donc, enfin si on veut. Daccord la pénicilline nexistait pas encore.

Recueilli par un gentilhomme, il lui sauve sa demeure du pillage et sa femme du déshonneur.

Cest une façon de parler, oui il sauve la femme du déshonneur dêtre serrée dun peu trop près par des mercenaires sans foi ni loi, de ceux qui guerroient dans lespoir de trousser une belle fille, maîtresse ou servante et en plus de recevoir de largent de leur employeur, pour trucider lennemi.

La femme est trop belle pour être déshonorée par dautre que lui Bayard. Depuis la blessure il fait trainer sa guérison pour rester près de la belle. Elle a un popotin du tonnerre. Pardon à lépoque on disait quelle avait de la conversation. Quel meilleur remède à la période, quune paire de jolies fesses dans une main pour faire dresser la tête à Popaul. Cétait grand signe de guérison.

La dame, dont tout le monde se fiche du nom faisait tout ce quelle pouvait (elle était réputée pour soigner les grands blessés de guerre) ; Donc elle montrait ses jolies fesses (comme lui disait son cher mari), elle était un peu porté sur lexhibitionnisme. Elle trouvait un je ne sais quoi damusant à montrer son cul à tous. Finalement le mari en était fier : avoir une telle femme à la fin du moyen âge était rare. Il en profitait aussi (elle navait jamais de migraine). En plus avoir chez elle, pour elle seule, pour une fois, un chevalier blanc, quelle chance : à se faire jalouser par toutes ses amies envieuse davoir à leur disposition aussi une si belle bite (pardon, jai dit bite si tôt.. (Milles excuses aux rares vraies demoiselles qui me lisent, je ne le referais plus, enfin cest à voir)).

A ces époques les maris italiens étaient, comment dirais-je, peu regardant sur les fréquentations de leur épouse. Aussi notre brave chevalier, suivant les conseils avisés de sa mère faisait attention aux femmes. Il prenait la main de son hôtesse comme si elle était souffrante. Elle avait des larmes aux yeux. Cétait visible quil lui manquait quelque chose. En bon chevalier Bayard savait.

Il posait cette jolie main sur lui, sur sa poitrine. Attirée par je ne sais quoi la main descendait seule, descendait encore, en bas, là où la pudeur de lauteur mempêche de raconter. Elle défaisait je ne sais quoi exactement vers le bas ventre de note héros. Plus tard, cest elle qui bricolait ce qun nomme braguettes. Donc Bayard se défendait mal à cause de sa blessure. En lâche quelle était elle continuait son trafic.

Le visage de Bayard virait au rose, puis au rouge. Aucune femme ne lavait touché là, à lexception de sa fiancée un jour de spleen. Il regardait pourtant la main monter, descendre, bien comme lavait fait sa fiancée. Par mesure sanitaire, pour éviter de faire une lessive, pour ne pas tâcher le beau costume, lItalienne le prend dans sa bouche. Cétait LA découverte de cette année 1515 (Marignan + fellation). Elle lui massait avec art ce quil possédait comme tous les hommes de lépoque (Mode qui continue) un peu plus bas. Sa jeunesse finissante faisait quil avait pas mal de poils autour. En même temps quelle lui bouffait le machin elle samusait à faire de petites boucles, ce qui chatouillait pas mal le gamin.

Nous étions en Italie, je le rappelle pour les distraits : le mari avait des murs pas très affirmés. Il aurait bienfait son affaire à ce jeune cul. Il arrivait à tourner le corps de Bayard sur le coté pendant que sa femme continuait à lui traite la semence. Il écartait doucement les fesses du blessé. Il ne prenait pas la température, bande dobsédés. Il cherchait un endroit où lui aussi pourrait, le cas échéant, si on le laissait faire, aller mettre ou poser, en entrer sa queue là où normalement seul un doigt est en droit et encore daller. (Ouf). En un mot il voulait sodomiser notre gloire nationale. Chantez les coqs gaulois, résonnez Marseillaise. Dans un sursaut dorgueil national, il refusait de se laisser enculer.

La guérison arrivait trop vite pour lhôtesse qu quand même a pu de faire mettre par ce grand seigneur. Ce nétait pas en traitre, en levrette simplement. Elle la même fait dévier vers son petit rou resté vierge elle ne sait pas comment. Elle ne voulait plus quil parte, quil reste la longtemps pur remplacer son mari. Quil la baise souvent, devant, derrière en haut en bas. Mais seul le devoir compte. Bayard est à la France. Il reste Français à cause de sa cuisine entre autre.

Que les puristes ne men veuillent pas. Jai à peine exagéré. Il allait se gêner de baiser les belles filles doutre cote dazur

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