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Belle-fille déculottée et fessée – Chapitre 1

Belle-fille déculottée et fessée - Chapitre 1



Belle-fille déculottée et fessée

 

 

  Ce bruit. C’était ce bruit qui l’avait tiré de sa sieste quotidienne. Il pouvait reconnaître celui du moteur de sa Mégane comme pas un. À croire que les véhicules possédaient leur propre signature acoustique.

En tout cas, le doute n’était pas permis, surtout qu’il entendait maintenant le bruit étouffé de la portière refermée avec précaution.

Sa chipie de belle-fille avait « empruntée » la Mégane sans son autorisation. Il fallait toujours qu’elle n’en fasse qu’à sa tête, mais cette fois, elle allait comprendre la leçon.

Avec discrétion, le trentenaire quitta la salle de séjour et s’embusqua dans un recoin du couloir. La porte donnant sur le garage s’ouvrit, livrant passage à Émilie. La petite brune semblait inconsciente du danger, jusqu’à ce que son beau-père jaillisse de l’ombre.

 

   Oh ! Tu m’as fait peur. Qu’est – ce que tu fais là ?

   Figure-toi que je t’attendais.

   Quoi ?

   Tu as bien compris. Tu es sorti avec ma voiture ?

   Non, je suis allé à pied voir une copine.

   On va vérifier ça tout de suite.

 

Il saisit Émilie par le bras et l’entraîna dans le garage.

Une fois sur les lieux, il posa la main sur le capot. Une sensation de chaleur le confirma dans ses soupçons.

 

   Le moteur est encore tout chaud et tu ne t’es pas servi de la Mégane ? Tu te fous de ma gueule ?

    J’en avais besoin parce que…

   Arrête, c’est bon. Pas la peine d’en rajouter.

 

Émilie se tint coite. Ce n’était pas la première fois qu’elle fautait vis-à-vis de son beau-père et elle savait à quel point il supportait mal la contrariété.

 

   OK, c’est pas tout ça, mais il va falloir que je te donne une leçon, ton attitude est de plus en plus désinvolte et les bornes sont dépassées.

 

Émilie scrutait le visage de son beau-père, l’air interrogateur.

 

   Puisque tu te comportes en gamine, je vais te punir comme une gamine. Allez, baisse ton pantalon.

   Quoi ?

   Je t’ai dit de baisser ton falzar.

 

Émilie fit sauter les boutons puis elle entreprit de faire glisser son pantalon de velours, livrant aux yeux de son beau-père la vision de jambes minces et fermes, leur partie supérieure couverte d’une culotte blanche des plus classique.

 

    Hum, bon spectacle, mais je pense qu’on peut aller plus loin. Baisse cette culotte.

    Mais, il y a…

    Je t’ai dit de baisser cette culotte.

 

Émilie s’exécuta et abaissa le sous-vêtement sous le regard attentif de son beau-père.

 

    Maintenant, penche-toi sur le capot.

 

Émilie se tenait devant le véhicule, les jambes à demi-écartées, pas assez au goût de Jean-Marc qui lui jeta un ordre bref :

    Plus écartées, les jambes.

 

La jeune fille corrigea la position, pour le plus grand plaisir du trentenaire qui se rinçait l’il. Le cul bombé, la raie fessière à demi dissimulée par les globes parfaits constituaient autant d’appâts dont cette fille de dix-huit ans pouvait abuser à loisir. La semi-pénombre de l’endroit faisait ressortir la blancheur du derrière livré à la vue de Jean-Marc.

 

   Comme je te le disais, tu vas être punie comme une gamine.

 

Émilie se demandait ce que ces propos sous-entendaient, mais elle fut interrompue par une douleur cuisante sur la fesse gauche. Il venait de lui calotter le derche ! Toute une série de claques s’abattit sur son cul. Jean-Marc administrait une fessée en bonne et due forme à sa belle-fille, et le moins qu’on puisse dire est qu’il s’en donnait à cur joie.

Jean-Marc trouvait là un excellent exutoire à sa colère maintenant retombée, remplacée par une félicité comme il ne se souvenait pas d’en avoir connu. Le contact de sa main sur la peau fraîche et délicate d’Émilie lui procurait des frissons répercutés jusqu’aux profondeurs de son cerveau. Question stimuli, il était servi.

Émilie appréciait moins. Au fur et à mesure que son derrière rosissait sous l’avalanche de coups, son corps tressautait davantage à chaque impact.

Joindre l’utile à l’agréable plaisait beaucoup à son correcteur dont la main glissait sur les fesses, histoire de caresser la peau échauffée.

Les claquements se révélaient distincts dans le silence ouaté du garage. Au fur et à mesure que le rosissement de l’épiderme laissait place à un rougeoiement douloureux, la belle Émilie commençait à se débattre, les bras maintenus par la main jumelle de celle qui lui chauffait le derrière.

Enfin, Jean-Marc s’arrêta, satisfait du résultat. Émilie se frottait les fesses tandis que son beau-père continuait à contempler le cul de sa belle – fille.

 

   Bon, je crois que tu as compris la leçon. Remarques, ça ne me dérangerait pas de remettre ça de temps en temps.

 

Émilie fixait la bosse apparente dans le pantalon de son fesseur. Le spectacle faisait naître en elle des idées paillardes.

Elle tendit la main et toucha l’objet de sa convoitise.

Un instant interloqué, Jean-Marc se laissa manipuler la braguette. Les doigts de la jeune fille déboutonnèrent le pantalon, puis se glissèrent à l’intérieur du vêtement. Émilie poussa plus loin son exploration et envahit l’intimité tiède de l’homme.

Elle s’accroupit et approcha son visage de la verge qu’elle décalotta. Sa bouche embrassa le gland gonflé avant de le prendre dans sa gaine chaude et humide.

Jean-Marc ne disait rien, désireux de ne pas gâcher ce moment.

La bouche déformée par le membre épais, Émilie commença une pipe comme le sucé n’en avait jamais reçu. La jeune gourmande uvrait avec ce qu’il fallait de vigueur et d’application. La friandise dont elle se délectait lui imprégnait les papilles de son goût un peu fort tandis que la montée de sève commençait.

Les testicules n’étaient pas oubliés. Les doigts avides manipulaient nerveusement les deux boules duveteuses, les triturant comme pour en extraire le jus.

Émilie entamait désormais une gorge profonde, le mandrin enfoncé jusqu’à la limite de l’sophage. Histoire de reprendre son souffle, elle recracha le membre luisant de salive avant de se le remettre en bouche.

Au bout de quelques fois, elle sentit Jean-Marc lui envoyer son sperme tiède dans le gosier. Le sexe profondément enfoui dans la cavité buccale de la charmante pompeuse, c’est tout droit dans l’estomac que les deux saccades de liquide séminal allèrent s’écraser.

Pour ne pas passer à côté de l’occasion de goûter pleinement à cette offrande, Émilie lécha le gland pour le nettoyer de ses souillures.

Jean-Marc sortit de sa transe lorsque la portière claqua derrière son dos.

     Bordel, mais qu’est-ce que…

 

La copine d’Émilie venait de s’extraite de la Mégane.

 

   Putain, mais tu aurais pu me dire que Mathilde était là !

     J’ai bien essayé mais tu ne m’as pas laissé parler.

 

« C’est vrai, mais ça ne change rien. Quelle merde ».

   Je ne crois pas que votre femme serait contente de savoir que vous baisez avec sa fille.

     Mais qu’est-ce que tu fais là, d’abord ?

     Émilie devait juste passer ici avant de m’emmener chez le dentiste. Mes parents sont absents et je n’ai pas la voiture.

 

Jean-Marc se taisait, préférant attendre la suite pour aviser.

     Vous ne dites rien ? Remarquez, c’est un peu normal. Qu’est-ce que vous pourriez répondre ?

Émilie semblait beaucoup s’amuser des circonstances.

     Allez, ce n’est pas grave. Je vais juste vous demander un petit service et tout ça va rester entre nous.

 

Jean-Marc voyait la situation se rétablir. Mais quelque chose lui disait qu’il serait amené à accepter de drôles de conditions.

 

 

À suivre

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