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Belle-fille voilée et son beau-père. – Chapitre 1

Belle-fille voilée et son beau-père. - Chapitre 1



Je m’appelle Taous, j’ai 26 ans, je suis mariée, depuis deux ans avec Ahmed, âgé de 32 ans, issu d’une famille d’émigrants en France depuis des années. Toute sa famille se trouve actuellement en France, sauf mon mari Ahmed qui est revenu ici en Algérie. Mon mari est très pratiquant, moi aussi, je suis issue d’une famille très conservatrice. Depuis mon jeune âge, je porte le voile, quand Ahmed m’a demandé en mariage, toute sa famille était contre cette union, finalement, le destin nous a réunis tous les deux. En définitive, sa famille nous a acheté un appartement presque au bord de la mer et, chaque été, toute sa famille passe les vacances d’été chez nous.

Mon mari travaille dans une usine de sucre en 3/8, je ne sors pas, je porte même mon voile à l’intérieur de notre appartement. Des fois, j’ai peur que quelqu’un de la famille ou mon père qui est très strict passe par là, alors je me suis habituée, je passe toutes les journées ainsi. La journée, j’écoute des débats religieux et quand mon mari arrive, notre discussion, en général, est toujours orientée vers la religion.

Ma première année de mariage s’est passée ainsi, quand sa famille est venue passer les vacances, j’ai remarqué beaucoup de choses, les filles en jupe et les garçons en pantacourt, moi toujours avec mon voile. Je fais mes tâches ménagères comme d’habitude et je prépare leur dîner pour leur retour de la plage. Des fois, mon beau-père reste à la maison, il est très gentil, il parle avec moi, il me regarde d’une façon bizarre, mais je n’ai pas de doute envers lui, je suis très sensible aux principes moraux et j’ai gardé un très bon souvenir de ces années-là où j’ai vécu avec mes parents.

Il s’appelle Smail. C’est le père de mon mari. Il a toujours été adorable avec moi et j’aime discuter avec lui quand mon mari est au travail et toute la famille est à la plage, mais un jour, il m’a invitée à me promener avec lui, il m’a dit : « tu dois sortir avec moi en ville », j’ai téléphoné à mon mari à son travail, il m’a donné l’autorisation de sortir avec son père, alors j’ai accepté en toute innocence. Quand il a commencé à me faire la cour, je l’ai tout de suite repoussé.

Il me demanda d’enlever mon voile, j’ai refusé, vraiment, j’ai passé avec lui une très belle journée, je ne cache pas la vérité. J’étais tendue, mal à l’aise, mais je me semblais si heureuse d’être avec lui. Des fois, il me serrait contre lui, me touchait la main, ne cessait de me dire qu’il me trouvait belle, qu’il aimait particulièrement, et même qu’il était fier d’être avec moi. Quand nous sommes retournés et toute la famille était là, il ne cessait pas de me toucher, discrètement, quand je passais devant lui, de me caresser les jambes ou les fesses, dès que les autres membres de la famille avaient le dos tourné.

Et bien que je le repoussasse à chaque fois, j’adorais réellement ce qu’il faisait et je n’hésitais pas à me mettre sur son passage quand l’occasion le permettait.

Finalement, quelques jours plus tard, alors que mon mari était à son travail et toute la famille dehors – j’en fus très choquée il a mis sa main, en dessous, me caressant les fesses sous mon voile.

Ce fut notre première série de caresses, vite interrompue. La sonnerie de la porte, ce fut réellement le bonheur pour moi, car j’avais peur et, en même temps, une certaine chaleur avait envahi mon corps.

La maison se remplit des membres de la famille, de rires et de bisous.

Mais moi, au fond de moi, je me régale des yeux et je me retrouve avec la culotte trempée. Je profite de chaque occasion pour regarder mon beau-père dans des situations intéressantes. C’est un grand costaud, bien proportionné, avec toujours un air rêveur, un peu énigmatique, pas comme son fils. Je pense que, lui aussi, m’observe et cela me met dans tous mes états.

Je crois que je suis attirée par lui, mais je n’ose pas faire le premier pas. Mon imagination vagabonde et mon excitation augmente. Des fois, je m’enferme dans ma chambre, j’écarte ma culotte et je caresse ma vulve, d’abord en surface, puis mon doigt s’insinue entre mes poils abondants. Même des fois, je fais l’interdit, je parcours le chemin, de mon anus à mon ventre, avec délice. Un bruit de chairs mouillées résonne à mes oreilles. Je soupire de joie. Mon doigt s’enfonce, maintenant, entre mes lèvres. Mon geste s’accélère. Ma main gauche triture la pointe de mes seins, durs comme de la pierre. J’ai le souffle qui s’accélère, mon cur bat à tout rompre. Mon majeur touche mon clitoris dressé comme un pénis.

Une décharge électrique me foudroie, mon ventre se tord dans tous les sens et je hurle mon plaisir.

Un liquide abondant coule le long de ma cuisse, jusque dans mes chaussures. Je retombe sur le lit, épuisée, les sens apaisés. Ma chambre est voisine de celle de mon beau-père. J’ai changé quelques habitudes, même mon mari, Ahmed, l’a remarqué, je couche avec une chemise de nuit bien plus courte et sans culotte. Je ne porte plus de soutien-gorge sous mes corsages, seulement mon voile qui colle sur mon corps. J’ai d’ailleurs constaté que le frottement de l’étoffe sur la pointe de mes seins me faisait souvent de l’effet. Au point que j’ai dû, quelques fois, me soulager par une rapide masturbation dans ma chambre, même des fois, je la pratique, debout, les jambes écartées, penchée vers l’avant, ma main gauche appuyée contre le mur. Ma main droite s’activant sous mon voile, je ne suis plus la même.

J’ai très vite constaté un changement dans l’attitude de mon beau-père, son regard a commencé à me percer le corps. J’ai vu s’allumer une nouvelle lueur dans son il. Il a perdu son air rêveur, pour devenir plus attentif.

À plusieurs reprises, j’ai remarqué qu’une bosse bien caractéristique déformait le pantalon de mon beau-père, bien qu’il fasse tout pour la cacher.

Une nuit, quand mon mari se préparait pour aller à son travail, il ma dit : « pourquoi ne restes-tu pas un moment avec moi, ton mari travaillera cette nuit, tu peux donc rester avec nous pour regarder la télévision ? ». Après quelques instants, chacun des membres de la famille est allé dans sa chambre, mon beau-père ma dit : « dis-moi ce que je te ramènerai à mon retour, sache bien que je serai, au mois de janvier, à la retraite, je reviendrai passer quelques mois ici ».

Toute la famille est partie, ainsi que mon beau-père, Smail, mais il m’a promis de revenir très bientôt. De ma part, je suis revenue à mes habitudes avec mon mari. Quelques mois plus tard, mon vu se réalisait, mon mari m’a annoncé que son père arrivait la semaine suivante. Au fond de moi, j’étais ravie, j’attendais ce jour avec impatience, enfin, ce jour-là est arrivé. C’était mon mari qui le ramenait de l’aéroport. À son arrivée à la maison, il m’a saluée comme d’habitude, on a préparé un très bon dîner à son honneur. Cette nuit se passa à merveille, le lendemain, mon mari a repris son travail de nuit, il quittait la maison à 20 h et rentrerait à 5h du matin.

Quand mon mari nous a quittés, je suis sortie timidement du salon et me suis dirigée vers ma chambre. Mon excitation était si forte que je ne pus me retenir de me finir, mon orgasme n’avait jamais été aussi puissant, mais je n’en fus pas satisfaite, j’étais dégoûtée. Je me mis tout de suite dans mes couvertures. Je voulus me caresser pour me détendre, mais je ne pouvais pas, je ne sais pas pourquoi. Quelques minutes après, je me suis endormie. Vers minuit, j’ai entendu la porte de ma chambre s’ouvrir, mon mari a l’habitude de le faire le matin pour qu’il ne me dérange pas, il se couche directement. Alors, j’ai senti cette présence derrière moi et une main a commencé à me frotter les fesses, une autre main me caressa la poitrine. Il souleva ma nuisette et commença à me lécher les seins, puis mes tétons fièrement dardés.

Sa main me caressa le ventre, puis il s’attaqua à mon minou par-dessus mon slip. Sa bouche laissa mes seins et cette bouche qui n’était pas celle de mon mari avait des moustaches, c’était mon beau-père, j’étais très excitée, je lui dis : « oui, continue », et descendit lentement sur mon ventre, pendant qu’une main descendait mon slip et que l’autre montait vers ma poitrine.

Dès que sa bouche se porta sur mes lèvres intimes c’était ma première fois, mon mari ne m’a jamais fait ça il s’attaqua à mon petit bouton d’amour. Avec sa langue habile, il joua avec, il le lécha, le titilla, passa sa langue dessus. Je sentais que mon jus coulait sur mes jambes, cela me faisait un peu honte, mais c’était tellement bon.

Lorsque je repris mes esprits, mon beau-père était à côté de moi et me caressait lentement. À voir son sexe bandé entre mes cuisses, je pensai que j’allai, enfin, connaître les joies de la pénétration, mais la grosseur de son sexe m’inquiétait.

Quand il se présenta devant mon trou, après avoir écarté un peu mes jambes, il me frotta avec son sexe. Lorsque j’ai commencé à bien mouiller, il présenta son gland devant mon trou, il força un petit peu pour le faire entrer et cela me fit mal. Je serrais les lèvres pour ne pas crier. Une fois que son gland fût en moi, il me pénétra lentement. Quand son pubis fut contre le mien, il resta immobile un moment, jouissant du plaisir de m’avoir prise et moi, je jouis du plaisir d’être prise.

Puis, il commença à me limer sans aucune précipitation, prenant soin de me faire sentir toute sa colonne dans ma chatte, il ressortit presque entièrement, puis me reprit.

Petit à petit, la douleur s’estompa, il commença à accélérer doucement, tout en allant au plus profond de moi.

Ma jouissance arriva à toute allure, je hurlais mon plaisir quand il se déversa en moi.

C’était bon de se sentir pleine de sperme. Sans me dire un mot, il se retira et sortit de la chambre,

Quand je suis revenue à la réalité, j’ai regretté, mais c’était la première fois que j’avais vraiment un orgasme et j’ai senti ma féminité. J’avais peur même de me lever et d’aller à la salle de bain pour me laver, j’étais très épuisée et j’étais endormie, quand mon mari est arrivé à son tour. Il se mit à côté de moi, j’ai fait semblant de dormir, très honteuse de moi, ma chatte était toujours pleine de sperme de son père, lui, à son tour, s’est endormi.

Le matin, je me suis réveillée, j’étais obligée, au moins, de préparer le petit-déjeuner pour mon beau-père. Mon mari, toujours au lit, car il a travaillé la nuit. Quand je lui ai servi son petit-déjeuner et débarrassé la table, c’était au tour du ménage. En arrivant au salon, mon beau-père s’est assis sur le canapé. En passant devant lui, j’ai senti qu’il posait sa main sur mon derrière et il m’a demandé si j’étais réveillée hier soir. Surprise par son geste et même cette question m’a perturbée, je n’ai pas osé répondre. Mon beau-père m’a alors parlé tout doucement et, m’invitant à poursuivre mon ménage, a continué à me caresser mes fesses sur mon voile. Des fois, ses doigts sont remontés doucement jusqu’à se glisser entre ma raie, en bougeant ses doigts et moi je n’osais pas bouger. En remontant sa main, il soulevait mon voile et découvrait complètement mes jambes. Puis, sa main est passée sur ma hanche et sur mon ventre qu’il commença à caresser délicatement. Si j’étais parfaitement naïve du sens de ses gestes, ma pudeur d’une femme mariée et pratiquante, ne pouvait tolérer que mon beau-père puisse faire ces choses.

J’ai donc ouvert les yeux pour voir ce qu’il faisait et me suis retournée vers lui en lui demandant ce qu’il faisait. Il me regarda droit dans les yeux et redescendit sa main de mon ventre vers ma cuisse au niveau du genou, mais toujours à l’intérieur de mon voile. En me souriant, il m’expliqua qu’il voulait me détendre, car d’après lui, je me fatiguais trop.

Tout en me parlant doucement, il est remonté doucement, en insistant un peu pour me faire ouvrir les jambes. Je me suis alors redressée et m’asseyant, moi aussi, sur le canapé, je tremblais de peur, que mon mari se réveille, je lui ai dit que je ne me sentais pas à l’aise. Mon beau-père m’a souri à nouveau et sans prendre garde à mes propos, a recommencé à monter sa main entre mes cuisses, en me disant que son fils est fatigué et qu’il ne se réveillera pas de sitôt.

Il a rigolé en me disant que ses frères ne comprennent pas très bien les femmes, en un insistant encore avec sa main. Maintenant, il était entre mes jambes. Jamais personne ne m’avait touché là pendant la journée, même mon mari.

Je sentais que j’étais tétanisée et dans l’impossibilité de bouger. Bien que parfaitement innocente des choses du sexe, j’avais honte et envie à la fois qu’il poursuive ses caresses.

Du bout des doigts, il a frôlé ma petite culotte de plus en plus humide.

J’étais complètement à sa merci, je restais immobile et soumise à ses doigts experts.

J’ai senti que sa main se faufilait sous l’élastique de ma petite culotte et glissait entre les lèvres de mon sexe.

Sous le choc et la peur, j’ai poussé un petit cri de stupeur.

Aussitôt, son autre main m’a tirée vers lui et m’a entouré les épaules et me demanda de me décontracter. Il me demanda également de me recoucher et de poser ma tête sur ses genoux

Je me suis donc allongée sans me rendre compte et j’ai posé la tête sur son genou et il en profita pour soulever un peu plus mon voile. Il a essayé d’écarter plus mes jambes avec ses mains, en les plaçant le long de mes cuisses, en me demandant de ne plus bouger et de fermer les yeux en me concentrant sur ses caresses. Il a commencé à infiltrer un autre doigt dans mon vagin en faisant des gestes circulaires. J’étais dans un tel état que je ne peux décrire. De l’autre main, il s’est mis à me caresser la poitrine et j’avais même oublié de mettre mon soutien-gorge. De mon côté, J’ai commencé à avoir très chaud et sans comprendre ce qui m’arrivait, en pensant à mon mari qui était dans la chambre, augmenta mon excitation, je ne pouvais plus me contrôler. Instinctivement, j’ai écarté les cuisses en gardant les yeux fermés comme il me l’avait demandé. Puis, j’ai senti sa main saisir un de mes mamelons et j’ai poussé un soupir de surprise et de contentement. Il m’a caressé la poitrine pendant presque un quart d’heure, tout en me masturbant jusqu’à l’orgasme. Je n’avais jamais joui ainsi, ni connu ce plaisir et je restais hébétée sur le canapé.

Enfin, délicatement, il a rabattu mon voile sur mes cuisses et mes jambes et s’est penché vers moi pour m’embrasser sur la bouche. Puis, sortant de salon, il m’a laissée toute seule sur le canapé, il s’est retourné une dernière fois en me disant qu’il était certain que ses caresses avaient été très bénéfiques pour moi et étaient aussi efficaces. Je n’osai pas lui répondre, j’étais très gênée, très honteuse de moi, mais en même temps, j’avais eu ce que je cherchais. Quelques instants après, il est sorti, je n’osais même pas le regarder en face, j’étais perturbée, je me suis dirigée vers la cuisine et j’ai commencé à préparer le déjeuner. À midi, mon mari sortit de la chambre, sa première question, il m’a demandé où était son père, je lui dis qu’il était sorti de bonne heure ce matin. Il a remarqué que je ne le regardais pas, même que je tremblais. Il m’a dit : « je sais ce qui te gêne, ne t’inquiète pas, il ne va pas rester très longtemps, l’essentiel, c’est que tu prennes soin de lui ». Mon beau-père n’est pas revenu pour le déjeuner, je ne sais pas pourquoi. On a déjeuné, mon mari et moi, à 13 h, c’était l’heure de la prière, mon mari m’a demandé de tout laisser et de me dépêcher de faire ma prière. Je fis semblant de la faire que Dieu me pardonne. Vers 16 h 30, mon beau-père fit son apparition, j’ai évité de rester avec eux au salon, je suis restée dans la cuisine. À 19 h, je leur servis leur dîner et moi je n’osais pas regarder mon beau-père et même mon mari l’a remarqué. Vers 20 h, mon mari se prépare pour aller à son travail, au seuil de la porte, il m’a demandé, à nouveau, de prendre soin de son père, quand j’ai fermé la porte.

J’étais à nouveau seule avec mon beau-père dans l’appartement, il entra dans la salle de bain, je ne sais pas ce qu’il a fait et moi j’ai regagné la cuisine pour ranger la vaisselle. Pas très rassurée, je continuais, néanmoins, de faire mon travail, en essayant de masquer mon émoi. Tout à coup, il s’est placé en face de moi. Rougissant comme une tomate, j’étais tétanisée en découvrant son sexe dans sa main qui commençait à se dresser. Je n’osais plus bouger. Il est resté à me regarder un moment, puis il s’est approché de moi et a caressé un de mes pieds, puis sa main est descendue tout doucement jusqu’à mon genou. Moi, j’étais presque paralysée, il a posé son autre main sur mon ventre et est remonté sur mes seins, toujours vêtue de mon voile qui ne me séparait pas, sauf à l’intérieur de ma chambre. Tremblante d’émotion, je lui ai demandé d’arrêter parce que je prenais conscience que tout cela n’était pas normal. Il bandait et je ne parvenais pas à détacher mon regard de ce sexe énorme que je découvrais. Sans m’écouter, il s’est levé et s’est mis debout devant moi. Il a pris l’une de mes mains et la posée sur son sexe et m’expliquant ce que je devais faire. J’ai essayé de la retirer en lui disant que j’avais peur, mais il la tenait fermement et j’ai accepté la situation sans plus de résistance.

Timidement, je me suis mise à aller d’avant en arrière de ma main sur son sexe, comme il me le demandait. Je sentais cette masse de chair gonfler sous mes doigts et j’en éprouvais une certaine crainte. Il m’a demandé si je l’avais déjà fait et je lui répondis, non, en rougissant de plus belle. Il m’a souri et m’a alors demandé d’approcher mon visage. Comme je ne réagissais pas, il m’a attrapé par la tête et a avancé son sexe vers ma bouche et, avec l’autre main, il m’a enlevé mon foulard. J’ai levé les yeux vers lui pour comprendre ce qu’il faisait, mais il m’a immédiatement glissé son sexe entre les lèvres en m’expliquant qu’il fallait le prendre dans la bouche et faire des mouvements de va-et-vient. J’étais dégoûtée et j’aurais bien voulu me dégager, mais complètement sous sa domination, je n’osais pas réagir. Peu à peu, sous ses instructions, je me suis mise à le sucer. Je ne devais, certes, pas être très douée, mais je sentais pourtant son sexe grossir sous ma langue. Il se mit à grogner des sons incompréhensibles et finit par m’agripper la tête et à s’agiter dans ma bouche de plus en plus rapidement. Ma bouche subissait son accélération et j’avais du mal à avaler son sexe de plus en plus gros. Subitement, il m’a dit qu’il allait jouir et, aussitôt, j’ai senti un liquide gicler au fond de ma gorge. Ne m’attendant pas à cela, je n’ai pas eu le réflexe de me reculer et mon beau-père m’a, d’ailleurs, ordonné à tout avaler. Puis, il m’a demandé de poursuivre ma fellation pour lui nettoyer la verge, comme il disait.

Au sortir de la cuisine, il m’a emmenée dans sa chambre et après m’avoir fait assise sur le lit, m’a embrassée goulûment, en léchant les restes de sperme qui coulaient de ma bouche. Complètement dépassée par ce qui m’arrivait, je l’ai laissé se mettre à genoux et remonter mon voile jusqu’à la taille et venir embrasser mon entrejambe. Il a écarté mon slip et Il m’a sucé à son tour et m’a procuré des sensations, avec sa langue, que je n’avais encore jamais connues. Puis il s’est rhabillé, il m’a dit que la soirée est devant nous, il m’a demandé aussi de lui préparer un café. Il se dirigea vers le salon. Quand le café fut prêt, je lui servis une tasse, lui regardait la télévision, tranquillement. Il m’a demandé de m’asseoir à ses côtés, je me suis assise et j’ai remarqué qu’il se rapprochait peu à peu de moi. J’étais habillée de mon voile, il m’a demandé : « allez, ma chère, change-toi, je t’attends », je me suis dirigée vers ma chambre et j’ai mis jupe, ainsi qu’un chemisier blanc. Je suis revenue à ma place, il a sifflé on me voyant. Rougissante de confusion et de honte, je faisais semblant de continuer à regarder la télévision, sans prêter attention à lui. Il prit ma main et la posa sur la braguette de son pantalon. Je sentis immédiatement le gonflement de son sexe sous le tissu et me sentis à nouveau mal à l’aise. Il commença à ouvrir sa braguette et il me demanda de le masturber. Je lui ai demandé, tremblante, pourquoi il me faisait ça. Alors, il m’a répondu : « tu sais, tu l’as déjà fait, alors n’aie pas peur…, je sais, aussi, que mon fils ne te fait pas ces choses, tu es tellement belle, attirante, pourquoi tu ne profites pas et tout cela restera entre nous, ne crains rien ! ».

Je bredouillais un vague non : « il ne faut pas, tu es mon beau-père », mais sa main posée fermement sur la mienne, je n’eus d’autre choix que le laisser m’imposer cette masturbation. De son autre main, il déboutonnait mon chemisier, découvrant mon soutien-gorge blanc. J’étais affolée par ce que je faisais et j’ai essayé de me soustraire à lui. En même temps, troublée par ses attouchements sur ma poitrine aucun son ne sortit de ma gorge pour lui demander d’arrêter. En un rien de temps, il m’avait ôté mon soutien-gorge et il débuta une palpation subtile de mes seins en les faisant durcir peu à peu sous ses doigts.

Puis, glissant sa main vers mes genoux, il remonta ma jupe sur le haut de mes cuisses. Bien que j’essayais de garder les jambes serrées, il parvint à atteindre ma petite culotte. Je reçus comme un choc électrique et m’ouvris à ses caresses. Inconsciente de la tournure prise par les événements, je me laissais caresser par mon beau-père en entrouvrant mes cuisses. Honteuse, mais complètement emportée par ses caresses, je me suis concentrée sur son sexe et je l’ai masturbé sans son aide. Au bout d’un certain temps, mon beau-père me demanda d’arrêter mes caresses car il était au bord de l’explosion. Interloquée par le sens de ses mots, je m’arrêtais aussitôt. Il se redressa et me fit glisser sur le canapé en position allongée. Partagée entre la crainte et le plaisir, je l’ai laissé me déshabiller. Il fit glisser ma jupe au sol et coulisser ma petite culotte au bas de mes pieds. Ses caresses et ses baisers couvraient tout mon corps, de ma poitrine à mon pubis et, submergée par mes sens, je me livrais aux attouchements de cet homme qui abusait finalement de son ascendant sur moi.

Suite.

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