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Belle fille(s) – Chapitre 1

Belle fille(s) - Chapitre 1



Belle fille 1

Je m’appelle Jean, quarante deux ans, plutôt charmant, voire charmeur, à ce que l’on dit de moi. J’ai épousé Brigitte, un peu plus jeune que moi. Brigitte a eu deux filles d’un précédent mariage et a été veuve très rapidement après la naissance de la deuxième.

Depuis douze ans, j’assume plus que le rôle de père envers Laetitia qui a vingt ans et vit sa vie avec frivolité et Aurélie, dix huit ans, plus sage.

Si mon épouse, outre sa beauté, déborde de qualités, elle présente l’inconvénient d’avoir des difficultés à parler avec ses filles.

Au point que c’est souvent moi qui doit aborder des sujets épineux. Les premières règles, les copains, les relations conflictuelles entre filles. Bref, je les rassure, les conseille et même finance les sorties et leur fournis ce qu’elles désirent. Elles ne sont pas, génétiquement, mes filles, mais je les aime en tant que telles.

Ce soir de début d’été, Laetitia est de sortie et nous a averti qu’elle ne rentrerait pas ce soir. Elle dort chez son petit copain.

La nuit commence à tomber et Aurélie n’est pas encore rentrée. Je m’inquiète un peu et suis près de lui envoyer un texto, quand elle entre en pleurs et monte directement dans sa chambre en claquant la porte, très en colère.

Je dis à mon épouse :

« Bon, je vais aller voir ce qu’il se passe »

Je toque à la porte de ma belle-fille, mais elle ne répond pas. Je l’entends pleurer et mon cur se fend. J’entre dans sa chambre, les volets sont fermés et laissent passer les derniers rayons de soleil.

Aurélie est sur son lit,  toute recroquevillée et pleure à chaudes larmes.

Je m’approche d’elle, n’y voyant pas grand-chose car mes yeux ne se sont pas habitués à la relative pénombre de sa chambre. Je m’agenouille au bord de son lit, lui caresse les cheveux et lui demande la raison de son chagrin.

« Qu’y a-t-il ma chérie ? »

Elle grogne et j’insiste doucement. Elle se tourne vers moi et sanglote :

« C’est Julien, il m’a plaquée et sort avec ma copine devant mon nez ! »

Je me penche vers elle et lui dépose de petites bises sur l’épaule, en tâchant de la rassurer au maximum.

Rien n’y fait ! Elle pleure de plus belle. Je suis embarrassé, ne sachant quoi lui dire, elle, bafouille :

« Les mecs, c’est tous des salauds ! Ils ne pensent qu’à leur queue ! »

Elle dit ça avec une colère triste.

« Mais non Aurélie, tu es une jolie fille, tu es intelligente,  je suis sûr que tu trouveras ton prince charmant. Ce Julien n’était pas fait pour toi, c’est tout ! »

Je ponctue mes mots de petites bises sur son bras, son avant-bras, ses doigts, puis remonte vers son épaule. Imperceptiblement, elle a penché la tête pour m’offrir son cou.

Elle sent bon, sa peau est douce et j’aime ce moment de câliner la fille de mon épouse.

J’agis alors tout paternellement, sans aucune arrière-pensée.

Elle se calme, mais sanglote toujours.

Je reprends mes bises sur son épaule, tout en effleurant la peau de son bras, quand ma main touche la sienne, elle m’emprisonne les doigts, comme pour me retenir près d’elle.

Elle se repositionne pour être mieux allongée, sans me lâcher la main. Je distingue des larmes couler sur sa joue et, je ne sais pas ce qu’il me prend, mais je m’applique à les recueillir du bout de la langue. Elle me tend son cou à nouveau et j’y  dépose maintenant de tendres baisers.

C’est à ce moment que ça bascule, je crois !

Sa respiration comme la mienne s’est accélérée. Une légère odeur de transpiration emplit la pièce. Ma tendresse à son égard se décale vers quelque chose de plus passionné.

J’oublie qui elle est, quel est son age, quel est le mien, je suis juste un homme avec une femme. Aurélie geint un peu, puis se tourne vers moi et cherche ma bouche, comme je cherche la sienne.

Quand sa langue touche la mienne, je reçois une décharge électrique, un coup de foudre qui me fait frissonner des pieds à la tête. Je l’enlace et notre baiser dure longtemps, longtemps. Nous reprenons notre souffle avant de recommencer. Elle se tortille, m’attire à elle, caresse mon dos.

Je réalise l’incongruité de la situation et la raisonne. Il faut que je rejoigne sa mère, mais mon short est totalement déformé par ma bandaison intense.

Elle me caresse la joue et me dis :

« Reviens vite, je suis encore triste ! »

Elle dit ça avec un sourire qui prouve évidemment le contraire.

Je passe à la salle de bain me rafraîchir le visage et calmer mon ardeur.

De retour au salon où je rejoins Brigitte, je résume, d’un air inquiet pour cacher mon trouble, le petit soucis de sa fille.

« Tu es gentil de t’occuper de mes filles comme tu le fais ! »

« C’est naturel, je retournerai la voir dans un petit moment, si elle ne vient pas ! »

Je dis ça avec une hypocrisie et un naturel qui m’étonne.

Le petit moment promis me semble une éternité, je suis pressé de rejoindre la nymphette à l’étage. Je regarde la pendule s’égrener de quinze minutes avant de quitter le canapé où mon épouse s’endort.

Je prépare un petit plateau repas pour ma fille en peine.

Dans sa chambre, j’allume la lampe de chevet et pose le plateau près du lit d’Aurélie. Elle est allongée sous le drap et a revêtu une robe de nuit en coton léger. Elle me sourit tendrement.

Cette jeune femme ne me regarde pas comme un père mais comme un nouvel amant, et il en est de même pour moi.

« Je t’ai emmené de quoi manger un peu, si tu veux ? »

« Tu es un amour ! »

Elle dit ça avec un ton charmeur qui me flatte. Elle avance son visage et moi le mien.

Et nous voilà parti pour un nouveau concert de baisers passionnés.

Je n’ose pas caresser son corps, juste le dos et les bras.

« J’ai faim ! » Dit-elle.

Je me dégage et lui tend le plateau, après qu’elle se soit assise sur le lit.

Elle est magnifique ! Ses cheveux blonds tombent en boucles sur ses épaules. Je suis face à un ange que je découvre après tout ce temps.

Je la regarde avaler goulûment le petit encas et quand elle boit, j’admire sa gorge.

Ses seins pointent à travers le tissu et je me régale de contempler cette poitrine.

Mon regard ne lui échappe pas et elle bombe le buste en me redonnant le plateau avec un sourire complice.

J’entends alors grincer les marches de l’escalier, quelqu’un monte et Aurélie l’a compris. Elle se glisse sous les draps tandis que je me relève, plateau en main.

Brigitte ouvre la porte et m’interroge du regard. Je lui fais une moue pour exprimer que ça va mieux, mais que c’est encore fragile. Mon épouse n’insiste pas et va s’apprêter pour la nuit.

Nous échangeons, Aurélie et moi, un regard désolé. Je dois la quitter maintenant.

Dans le lit, j’essaie d’attiser le désir de mon épouse, mais elle grogne qu’elle est fatiguée.

Je reste pensif, mais surtout je me sens honteux de ce que je viens de faire. Je trahis ma femme pour la première fois et c’est avec sa plus jeune fille. J’éprouve une forte culpabilité, mais pas mon sexe qui ne cesse de bander. Je finis par m’endormir un peu contrit.

Le lendemain, je n’ose pas regarder Aurélie qui, elle, feint l’innocence.

Dés que cela m’est possible. Je profite de l’emmener à l’écart pour lui dire :

« Aurélie, je suis désolé pour hier ! J’ai eu un comportement impardonnable ! Tu ne m’en veux pas ? »

« Moi, j’ai beaucoup aimé ! » Elle ouvre des yeux de biches qui me font fondre.

« Mais Tu comprends On ne peut pas, on n’a pas le droit ! »

« Ne t’en fais pas mon papou. Je ne dirai rien à personne !»

Elle rit en disant ça et je fini par me détendre.

Nous prenons le petit déjeuner sans Laetitia. Brigitte semble rassurée de voir sa fille en meilleure disposition que la veille. Je manque de m’étrangler quand Aurélie pose son pied sur le mien au point de l’écraser. Je suis tenté de me reculer, mais évite d’attirer plus l’attention sur moi. Les orteils d’Aurélie glissent maintenant sur mon mollet et je sens la fièvre monter.

Je prétexte d’aller chercher du lait pour me dégager de son emprise. Elle semble un peu déçue mais continue à feindre l’ingénuité. Le petit déjeuner se passe sans autres anicroches et j’évite de regarder la poitrine de cette jolie jeune blonde qui me fait face.

Le téléphone sonne, mon épouse va répondre. C’est Laetitia qui souhaite que l’on aille la chercher à plus de vingt kilomètres d’ici. Brigitte accepte et ajoute qu’elles feront quelques courses sur le retour.

« Bon, je vais chercher Laetitia, je voulais faire un peu de repassage tant qu’il ne fait pas trop chaud ! »

« Ne t’inquiètes pas maman, je vais t’avancer ! Papou, tu peux m’aider à mettre la table à repasser ?»

J’acquiesce et vais chercher la table alors que la porte se referme sur mon épouse.

Je suis rassuré qu’Aurélie ne me saute pas dessus et préfère s’adonner à une tâche ménagère.

Quand je reviens à elle, elle a quitté son jean et ne conserve que son tanga noir transparent et son top très court qui est déformé par sa poitrine déjà gonflée.

Avant que je n’aie le temps de faire une remarque sur sa tenue, elle dit :

« Je n’ai pas envie d’avoir trop chaud ! »

Quand elle se penche pour brancher le fer, elle met un temps anormalement long à enfoncer la prise, mais c’est surtout pour que je profite de la vue de son fessier et comme un sale pervers je contemple son sillon entre ses jambes écartées.

Elle veut m’allumer et elle y réussit.

Négligemment, elle revient à la table et je suis fasciné par sa toison que je distingue à travers la culotte. A présent, elle me tourne le dos et sait que je l’observe. Elle prend une jupe à elle, tâte le fer et me dit :

« Oh, Papou, le fer ne chauffe pas, tu peux regarder ? »

Je m’approche pour examiner le fer qu’elle tient en main pour m’apercevoir qu’elle n’a pas tourné le bouton. Bien entendu, je me rends compte de son subterfuge, mais elle a posé sa main sur ma hanche et m’invite à me coller à elle.

Ce contact fait fondre toute velléité de ma part. Je lui embrasse le cou en la pressant contre moi.

« Tu vois, j’ai besoin de toi ! »

Je ne sais ce qu’elle entend par là et ça m’est égal.

« Tu devrais te mettre à l’aise pour m’aider à repasser »

Sa main en arrière cherche à déboucler ma ceinture. Je prends le relais et en quelques secondes j’ai quitté mon pantalon. Elle me tourne toujours le dos et ne cherche pas à contempler la bosse qui déforme mon slip.

« Tiens moi bien papou pendant que je repasse j’ai peur de tomber »

Je lui ceinture la taille en me pressant contre elle.

« Comme ça ? »

« Oui c’est bien papou »

Elle fait glisser le fer et au même rythme se cambre pour appuyer plus ses fesses. Je plie un peu les genoux pour que mon sexe tendu glisse dans son sillon fessier.

« Oh, je vais tomber en avant ! »

« Je vais te retenir ma chérie ! »

Ma main glisse sur son ventre puis remonte sur son sein. Je palpe délicatement son galbe ferme et glisse mes doigts vers son mamelon gonflé, puis sur son téton érigé.

J’ajoute perfidement :

« Comme ça tu ne risques rien »

Elle continue ses mouvements de bassin et me dit :

« Je crois que j’ai besoin d’une béquille en plus »

Si je ne comprends pas ce qu’elle veut dire, elle ne me donne pas d’explication, elle agit ! Aurélie passe sa main dans mon slip, extrait et positionne mon sexe entre ses jambes. Une fois à califourchon sur mon membre elle glisse sa main à l’avant et me caresse le gland du bout des doigts.

Elle arrive à synchroniser plusieurs mouvements. Le mouvement du fer, le mouvement du bassin et la caresse de mon bout entre ses jambes serrées maintenant.

« Oh Aurélie, ça va trop loin ! »

Mes gestes trahissent mes paroles car je continue à la peloter et à sentir monter le plaisir d’être ainsi collé à elle.

Elle ne répond pas, se dégage lentement de mon emprise, se retourne et me tend ses lèvres, que je ne refuse pas. Durant notre baiser, elle me pousse en arrière doucement et, à reculons, je fini par m’adosser au mur. Elle glisse ses mains sur mes fesses et en s’accroupissant baisse mon slip d’un geste. Après une grosse seconde d’observation de mon membre, elle s’en saisit et l’enfourne dans sa bouche.

Cette blondinette me suce comme je ne l’ai jamais été par sa mère. Je ne sais pas où elle a appris ça, mais elle est extrêmement douée. Ses mains sont partout, me caressent le torse, pinçotent mes tétons, caressent mes fesses, me masturbent énergiquement.

Je sens que je vais jaillir et tente de la repousser, mais elle me cramponne davantage et je me libère en elle en plusieurs jets, qu’elle accueille au fond de la gorge, avant de déglutir ma semence. Jamais Brigitte n’avait accepté une fellation totale, et là, sa fille vient de réaliser mon désir secret.

Aurélie lape soigneusement les dernière gouttes qui perlent sur mon bout. Lève la tête et demande avec innocence :

« Tu as aimé mon papou ? »

Je lève les yeux au ciel en signe d’émerveillement pour lui répondre :

« C’était fantastique, jamais je n’ai »

« J’ai donc de quoi être fière pour ma première fois ! »

« Mais Comment est-ce possible ? Tu dis que c’est la première fois que »

« Avec mes copains, ça me dégoûtait de faire ça ! Par contre, j’ai vu des films porno ! »

« En plus, tu regardes des films porno ! »

« On a trouvé ta cachette avec Laetitia et quand vous n’êtes pas là, on se regarde un film à deux ! »

Je suis abasourdi, les filles regardent mes films de cul !

« Je ne sais plus quoi dire Tu sais Faire l’amour ce n’est pas comme dans ces films !»

« Je sais ! Mais avec Laetitia ça nous plaît bien de regarder ça ensemble ! »

« Tu veux dire que  ? »

« Tsss ! On a le droit d’avoir nos petits secrets entre surs ! »

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