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Belle fille(s) – Chapitre 4

Belle fille(s) - Chapitre 4



Belle fille 4

Il est tard et Laetitia n’est pas encore levée. Compte tenu de son état d’ivresse de la veille, je m’en inquiète. Aurélie, sa sur et ma jeune amante, me lance un regard suspicieux quand j’annonce que je vais la réveiller en lui apportant du café.

Je toque, puis entre dans la chambre. Elle émerge de son sommeil et sourit en me voyant entrer. Je m’assieds au bord de son lit et lui tends le petit plateau.

« Tu es un amour papou ! »

Ce disant, elle pose sa main sur mon genou qu’elle caresse affectueusement.

« Tu sais papou, j’ai bien aimé Hier soir ! »

« Euh, quoi ? Tu t’en souviens ? Pourtant, dans ton état ! »

« Je m’en souviens parfaitement, et de tout ! Ma sur ne doit pas s’ennuyer avec ça !»

Elle prolonge son bras et me caresse brièvement l’entrejambe.

Je me sens comme un enfant pris en flagrant délit ! Que se passe-t-il pour que, subitement, mes filles soient en chaleur et que je ne fasse rien contre ça !

« Qu’est-ce que tu dis ! » Dis-je en repoussant doucement sa main.

« Ça se voit bien qu’Aurélie et toi, ben Vous n’arrêtez pas de vous regarder ou de vous frotter l’un sur l’autre ! »

Nous qui pensions être discrets, mais Laetitia a tout compris.

Je détourne la conversation pour demander des explications quant à son état de la veille et sur la raison de sa culotte tachée.

«Oh ! On a joué à un jeu idiot avec mon copain et son meilleur ami. On a bu, et puis, ça a dégénéré. Ils ont commencé par me caresser et je les ai laissé faire, j’aimais bien ça ! Et puis, on a fait l’amour à trois !  Mais ne t’inquiètes pas, ils avaient une capote ! Ils se sont branlés sur moi et j’ai enfilé ma culotte par dessus. Après, j’ai voulu rentrer, je n’étais pas bien»

Je me rends compte qu’elle me parle avec grande franchise et avec une forme de complicité totalement nouvelle pour moi.

Abasourdi, je la quitte. Sur le palier, je suis pris dans un tourbillon de souvenirs. Quand je tenais la main de mes fillettes pour aller à l’école, aux réunions parents professeurs, à leurs premières règles et même du jour où elles ont perdu leur vertu. Elles ont tellement changé depuis ce temps !

Je me décide à redescendre et fait comprendre à Aurélie que sa sur a découvert notre relation. Sans hésiter, elle rejoint Laetitia pour lui parler. J’ai peur d’un esclandre entre les deux filles, mais quand elles apparaissent, elles sont toutes deux souriantes.

En aparté, Aurélie m’explique que Laetitia voudrait faire l’amour avec moi. Une fois seulement, d’après l’arrangement qu’elles ont trouvé. En plus, ça pourrait se faire aujourd’hui ! Elles disposent de moi à leur gré, visiblement ! J’essaie de comprendre pourquoi un tel arrangement’, mais ma chérie ne m’en dit pas plus.

Leur plan est d’aller à la plage, de cette façon, mon épouse Brigitte ne nous accompagnerait pas, car sa peau blanche ne supporte pas le soleil.

Après le repas, elles me font, officiellement, leur proposition en insistant. Pris au piège, j’accepte en bredouillant. Je dois être rouge d’émotion quand je fais la bise à ma femme pour lui dire au revoir.

Durant le parcours, Aurélie est coté passager, Laetitia derrière et cherche à me caresser le cou durant le trajet. Sa sur lui dit :

« Du calme ! Nous sommes bientôt arrivés  »

Nous allons parfois dans un endroit isolé, loin de la foule. Il nous faut faire quelques centaines de mètres inhospitaliers pour arriver dans un espace ombragé à proximité d’une plage déserte.

Nous étalons nos grandes serviettes de bain sur le sol, puis les deux filles se déshabillent. La toison d’Aurélie déborde de sa culotte, mais elle n’en a cure. D’ailleurs, elle la quitte après avoir enlevé son soutien-gorge. Je reste fasciné par son corps sublime, quand sa sur, désormais nue, elle aussi, s’approche de mon amante.

Elle enlace Aurélie en me défiant du regard, puis frotte ses tétons sur ceux de ma jeune maîtresse. Cette dernière fait de même et commence alors un ballet sensuel au possible. Quand leurs lèvres s’unissent et que leurs mains s’insinuent entre les jambes, je réalise qu’elles n’en sont pas à leur coup d’essai.

Ce spectacle saphique est bien plus excitant que dans un film ! Je quitte mon polo, mais garde mon short, déformé par mon extrême bandaison.

Laetitia sort son doigt de la vulve de ma chérie et le porte à la bouche, mimant une fellation. Je lis la perversité de son geste, son regard me défie. Qu’à cela ne tienne, je veux être embobiné. Aurélie ne semble pas m’en empêcher, même si je décèle un fond d’amertume dans sa mine un peu contrite.

Je m’approche des filles et surtout d’Aurélie, je veux goûter ses lèvres, même si c’est devant sa soeur. Je n’ai plus à me cacher d’elle. Laetitia glisse ses doigts et tâte ma raideur à pleine main, avant de me libérer en baissant mon short.

Accroupie, elle tient mes cuisses et me fait pivoter vers elle. Sa bouche m’engobe. Ses doigts glissent sur mes testicules. Petit à petit, elle s’insinue tant entre sa sur et moi, qu’Aurélie lui cède la place pour la laisser agir, tout en me caressant le dos et les fesses.

Laetitia ne s’éternise pas à me sucer, sûre d’elle, elle se relève, me saute au cou et m’enserre la taille de ses jambes. Elle se pend à moi et je la tiens du mieux possible, en évitant de trébucher. Je la supporte en la tenant comme la veille, c’est-à-dire par les fesses.

Le sol est instable et je manque de nous faire tomber. Je tâche de la tenir fermement, puis l’allonge sur la serviette. Je prends alors l’initiative et m’enfonce en elle. Laetitia semble apprécier et cherche ma bouche pour m’embrasser. J’hésite et, après un regard à Aurélie, je me contente de lui biser du cou jusqu’aux seins. Je reconnais qu’elle est douée ma partenaire. Elle relève les jambes et comprime son vagin pour m’enserrer plus lors de notre coït.

Aurélie me caresse le corps, puis je sens sa main glisser entre mes jambes, alternant une caresse sur les testicules et un frôlement de mon illet. Je me retiens au possible, mais quand Laetitia se met à bramer sa jouissance, je perds le contrôle pour me déverser en elle.

« Oh Papou, comme c’était bon ! Encore ! Continue ! »

« Non, Laeti, C’est à mon tour ! » dit Aurélie, en s’allongeant à coté.

Avant que mon érection ne retombe, je suis en elle.

Là c’est différent, notre rapport est infiniment plus sensuel. Nos baisers et caresses renforcent ma bandaison. Nos corps sont soudés, fusionnés. Je l’aime alors passionnément, durant un long moment qui ennuie Laetitia. Qu’importe, il nous faut profiter de cet instant, ma jeune maîtresse et moi. C’est à son deuxième orgasme que je propulse ma semence dans son vagin.

Je suis vidé, aux deux sens du terme !

Les filles proposent d’aller se rincer dans la mer et tous trois allons nus jusqu’à l’eau. Alors que nous marchons sur le sable, je reste volontairement en arrière pour admirer la beauté de leurs courbes. Ça ne leur échappe pas !

Nous batifolons dans l’eau comme des enfants et, même si j’enlace souvent Aurélie, Laetitia ne se prive pas de glisser, à tout bout de champ, des mains impudiques sur mon corps.

Après la baignade, nous nous séchons à l’ombre et je somnole, quand je sens des lèvres sur les miennes. J’ouvre la bouche, mais ne reconnais pas la langue qui me fouille. J’ouvre les yeux pour découvrir que c’est Laetitia qui est penchée sur moi. Ce baiser est agréable, mais non désiré de ma part. Je la repousse sans animosité, lui faisant comprendre que j’appartiens à Aurélie. Je cherche cette dernière des yeux et constate qu’elle s’est éloignée durant ma sieste pour ramasser des coquillages.

Laetitia me fait une moue désolée et ne peut s’empêcher, à nouveau, de me biser furtivement les lèvres.

« On refera l’amour tous les deux ? »

« Seulement si Aurélie l’autorise ! »

J’affirme ma dépendance à sa sur en disant cela, mais je tiens également à lui préciser ma préférence.

« Mais, Papou Tu fais l’amour avec ma mère, avec ma soeur, pourquoi pas avec moi ? »

« Je veux bien, mais seulement si Aurélie est d’accord ! Et puis toi tu as un copain, voire deux même, d’après ce que tu m’as dit! »

« Mouais C’est pas comme avec toi, tu es un homme mûr, qui sait ce qui plaît aux femmes »

Je ne sais pas si elle n’en rajoute pas un peu, mais je me sens flatté, honoré même.

Aurélie nous reviens et je l’enlace pour lui exposer le désir de sa sur et du marché que je lui propose. Aurélie grimace un peu et ajoute en souriant :

« Bon, ok Mais faut pas que ça devienne une habitude. C’est mon mec ! »

Nous rions tous les trois, puis je glisse à leur intention.

« Par contre, je ne suis pas hostile à vous regarder toutes les deux  »

« Oh le gros cochon ! » répliquent-elles en chur, avant de se biser les lèvres mutuellement.

Le reste de l’après-midi, nous dorons lascivement. J’ai conscience d’avoir attrapé des coups de soleil sur des zones intimes de mon corps. Les fesses en particulier.

De retour à la maison, mon épouse Brigitte est heureuse de nous revoir. Elle dit :

« Je me suis ennuyée cet après-midi ! J’aurais du venir avec vous ! »

Les deux filles pouffent en entendant cela, mais je lui signifie, pour expliquer cette réaction, que le soleil était très fort sur la plage et qu’elle n’aurait pas été à l’aise.

Je prends la douche en premier. Quand c’est au tour d’Aurélie, je reçois peu de temps après un MMS. Ma jeune maîtresse m’envoie une photo avec le texte

Tu aimes ? Regarde et efface ! 

Sur l’écran je découvre sa vulve en contre plongée. Son clitoris et sa toison au premier plan, sa poitrine plus floue au deuxième et au fond le visage radieux de ma petite chérie.

Je lui réponds :

J’adore ! J’en veux !’

Nouvelle vibration de mon téléphone :

Quand tu veux mon chéri, je suis à toi !’

Pendant ce temps, Laetitia est concentrée sur son téléphone. Elle me le tend pour que je lise un message de son copain, que je traduis par le souhait qu’il a de la prendre par derrière pendant que son ami serait en elle.

Elle a eu beau me révéler combien elle est dévergondée, sa provocation me choque. Je suis soufflé qu’elle me montre ça et l’outrecuidance de son ami de la partager’ comme un objet.

Elle tapote l’écran de ses deux pouces et me fait lire sa réponse :

Pas question !’

Sa réponse me rassure, mais pas longtemps, car elle me souffle à l’oreille :

« Mon derrière, c’est pour toi ! »

Je reste abasourdi ! Elle me provoque encore et c’est pour m’inviter à la sodomiser. C’est une chose que j’ai vue dans de nombreux films pornos, mais je ne l’ai jamais expérimentée. Brigitte s’y étant toujours refusé prétextant que c’est dégoûtant.

Elle ajoute à haute voix :

« Bon je vais me laver et je me sauve !»

Bien entendu, Laetitia découchera ce soir.

Aurélie descend peu après et, malgré que ses cheveux soient encore mouillés, son visage rayonne une aura qui m’éblouit. Elle est totalement sublime de beauté ! Je suis totalement fou d’elle ! Plus dingue de cet ange, de minutes en minutes..

Il se met à pluvioter et nous abandonnons l’idée de passer la soirée sur la terrasse. C’est une soirée télé qui est choisie. Je m’assieds dans le canapé et Aurélie s’allonge près de moi ses pieds sur ma cuisse. Brigitte est contrainte de s’asseoir sur le fauteuil en me tournant un peu le dos.

Très rapidement, mais dans un geste fluide, Aurélie modifie sa position et son pied touche mon sexe. Elle roule son talon sur ma hampe et je me mets à bander. Je tente d’interrompre son action, mais quand j’ai en main son petit pied, je ne peux m’empêcher de le caresser et de la laisser faire.

Petit à petit, la tête de mon épouse se penche et dodeline. Le sommeil la gagne. Constatant cela, Aurélie me présente son autre pied au niveau du visage. Je m’en saisis et le porte à mes lèvres pour le biser. Je ne suis pas enclin au fétichisme des pieds, mais là, je me sens emporté par une bouffée d’érotisme absolu. Ses orteils me fascinent ! Je glisse ma langue entre eux, les suçote. Aurélie n’est pas insensibles et sa main qui s’active sur sa vulve me le démontre. Son souffle court et ses gémissements contenus m’excitent encore plus !

Je lui tiens le mollet et le caresse en mangeant son pied. Je suis sur un nuage, le temps a disparu. Je vis un bonheur parfait par cette relation incongrue.

Alors qu’ Aurélie se tortille en se caressant, je remarque que mon épouse se réveille !

Nous reprenons une attitude convenable, un peu déçu l’un et l’autre, et comme le film se termine, nous allons nous coucher. Non sans échanger un baiser furtif avec ma petite chérie.

Brigitte est bien réveillée cette fois et, dans le lit, elle se met à se frotter à moi. Elle n’avait pas fait ça depuis longtemps ! Elle susurre :

« J’ai envie de faire l’amour ! Ça me manque !»

Les filles de la maison vont me vider à ce rythme ! C’est la troisième fois de la journée, je ne suis pas un surhomme !

Est-ce le manque de désir ou la fatigue, je n’en sais rien, mais j’ai du mal à avoir une érection.

J’éteins la lumière et rêve d’Aurélie. Non, ce n’est pas ma femme qui me suce, c’est ma petite chérie que j’imagine s’occuper de moi!

Quand je suis en elle, c’est à sa fille que je pense. Je manque même de crier son nom à plusieurs reprises. Est-ce cela qui me donne tant d’énergie pour l’aimer jusqu’à sa jouissance très bruyante.

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