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benoît salope soumise – Chapitre 4

benoît salope soumise - Chapitre 4



Benoît salope soumise

Le garde me conduisit au gymnase. Un type en treillis et marcel noir nous attendait en saffairant sur une boîte doù pleins de fils électriques émanaient. Quand nous arrivâmes devant lui, il me fit lever les bras et me menotta les poignets avec des menottes en acier. Il tenait en bandoulière une commande radio, et sen servi pour faire descendre du plafond une chaîne avec un crochet de manutention à son bout. Il me mit juste au dessous de la chaîne, accrocha la chaîne des menottes au crochet. Avec des coups de pied il me fit écarter les jambes dun mètre à peu près jusquà ce que les pieds touchent des anneaux dacier fixés au sol. Il saccroupi et me menotta chaque cheville aux anneaux avec des menottes en acier. Enfin il se releva, me donna une bonne claque sur le cul et me dis :

« Allez salope on y va pour une petite heure et demi.

— Oui monsieur, merci Monsieur » répondis-je. Aussi il remonta la chaîne du treuil jusquà ce que mes doigts de pied effleurent le sol. La position tirait fort sur les bras qui me faisaient déjà mal aux épaules. Le type renvoya le garde et pris les fils électriques en mains en me disant :

— Ton Maître te veux plus réceptive aux attouchements de toutes sortes. Dans cet atelier on va te stimuler les nerfs de sorte que tu sois constamment au maximum de ta réceptivité. Tu vas voir tu vas aimer ». Il me fixa une pince crocodile à une couille et je réprimai un cri de douleur. « Tu peux crier ici connasse. En fait tu vas crier car jaime ça faire crier les putes. Cest pourquoi tu ne seras pas bâillonné. »

Il me mit une autre pince crocodile sur lautre couille, menfonça un cathéter dacier dans le méat en passant par le trou pour uriner de ma camisole articulée, une pince crocodile à chaque téton. Là jai souffert quand les dents sont entrées dans mes seins. Il ma enfin mis un gode long de 24cm par 6cm avec tout le long deux bandes métalliques qui courraient sur le long de la bite de latex. Il me le mit dune seule poussée en mécartant bien le cul dune main. Avec une cordelette assez longue il me fixa le gode par lentrejambe tout autour de la taille de sorte quaucun cm ne ressorte de mon cul. Sur lembase du gode, il connecta deux fils électriques ainsi quà chacune des pinces quil mavait accroché sur le corps. Il relia tous les fils sur son boîtier et appuya sur un gros bouton rouge au milieu de la boîte. Là, je hurlai et me convulsa de douleur. Un sale rictus lui barrait le visage alors que je me tournais vers lui les larmes aux yeux, implorant silencieusement une clémence que je savais inexistante chez ce sadique Il régla. Son engin grâce à un bouton, et le posa sur une desserte. Il prit un micro sur pied quil installa devant moi à 30cm.

« Tu vas être fouetté sale pute. Chaque cri perçu par la machine via le micro devant toi commandera une décharge électrique comme celle que tu viens de recevoir. Pas la peine de compter, au mur en face de toi il y a une horloge. Tu la vois salope ?

— Oui Monsieur. Merci Monsieur.

— Je te libère pour la pause sandwich dans une heure et demie. Maintenant on commence sale pute !

— Oui Monsieur. Merci Mons… » Je nai pas terminé quun coup de fouet me cingle les reins. Je hurle autant par douleur que par le stress et lappréhension que le type a créé, et dans linstant un spasme de douleur me traverse. La décharge traverse mes couilles, la bite, me brûle le cul dans toute sa profondeur et me déchire les seins ! Ça fait mal ! Jai les nerfs qui tressautent et je me convulse dans tous les sens que me permettent les chaînes. Je ne peux pas me retenir je pleure doucement comme un condamné qui ne saurait espérer de grâce.

Le mec savoure ma douleur et me reclingle les reins plus vers les fesses ce coup-ci. Je donnerai tout pour un bâillon, mais je laisse échapper un cri de douleur et une nouvelle décharge me traverse.

Mon bourreau se délecte de ma douleur et sort sa bite de son treillis. Il bande à mort le salaud. Il se caresse la hampe dune main et me fouette de lautre. Mes cris succèdent à de méchantes décharges. Je pleure, je transpire par tous les pores.

Les coups pleuvent, les décharges se succèdent sans que je puisse me retenir de crier.

Au bout dun temps il met deux gants en latex remontant très haut sur les bras se couvre dune capote et me retire le gode du cul. Nouvelle décharge ! je me projette vers larrière car maintenant le courant ne passe plus que par le devant de mon corps. Le mec mécarte le cul dune main, positionne son gland sur mon anus et appuie sur son boitier. La décharge fuse et je mempale sur sa bite tout tremblant de douleur. « Aaah » se délecte le mec derrière moi « jadore ton cul ! tu vas voir avec mon traitement tu vas tressauter autour de ma bite, on va se régaler toi et moi !

— Ou-ui Monsieur. Me-erci Monsieur. »

Alors les coups de bite succèdent aux décharges, je pleure, je hurle, je me convulse dans tous les sens que me permet sa poigne dacier et les chaînes qui me tendent entre le sol et le plafond. Mon cul se resserre à chaque décharge et lui comprime la bite, alors il lâche son boîtier pour me prendre les hanches à deux mains et il se déchaine comme un dément dans mon cul. Là, je prends grave, mais labsence de douleurs par les décharges fait que son enculage, son viol de mon cul, me rend fou de volupté et je crie mon plaisir alors quil se vide à grands coups de reins dans sa capote.

Il sallume une clope, content de lui, davoir bien baisé.

« tu aimes ça la bite, hein, sale chienne de pute !

— Oui Monsieur. Merci Monsieur. »

Sa clope terminée, il fait descendre les chaines du plafond. Nayant plus aucune force je mécroule au sol. Alors il me donne des coups de pieds pour que je me relève.

« Si tu ne veux pas morfler une décharge max, tu te fous à genoux et tu me fais ta meilleure pipe, et tas intérêt à te surpasser sale pute !

— Oui Monsieur. Merci Monsieur. »

Je me jette à genoux, embrasse le gland violet de désir avale le liquide qui en suinte. Je le lèche avidement comme un esquimau la langue sortie au maximum, je lui fais de grands sourire de salope, je lui prends les couilles délicatement entre mes mains comme des coupelles, lui lèche ses couilles, lui tête le gland lavale en sortant bien la langue jusquà ce que mon nez soit collé son pubis. Jattends en le regardant. Il me prend les cheveux et me baise la gueule à fond très vite et très violement. Il me rejette la tête après une bonne minute, me dis « continue salope ». Durant un quart dheure je suce, javale, jembrasse, jaspire, le recouvre de bave, le lèche. Enfin la bite se durcit encore plus ; le mec me prend le front dune main, me bloque le menton de lautre et la bouche bloquée en position ouverte, et la tête presquà lhorizontale je sens passer sa bite dans la gorge puis lsophage. Il sagite un moment encore pour bien branler son gland dans ma gorge et se vide en gueulant « Aahhh, avale enculé ! Prend tout sale pute, connasse ! ». Il se retire et me crache dans la bouche.

« Ouvre la bouche, sale pute, je dois pisser.

— Oui Monsieur. Merc…, arghl argll » javale tout par des goulées rapide tellement le flot est puissant et rapide

« Nettoie salope !

— Oui Monsieur. Merci M… mmhhh ».

Mon bourreau me plonge sa bite gouttant de pisse dans la bouche et je le lèche avidement entre deux claque quil massène. « Cest bien sale pute ».

Il appuie sur son boitier le contact au maximum, je hurle ma douleur. Lui, rigole de me voir me convulser. « cétait la dernière, pour le plaisir ! ah ah

— Ouu-uui Mmm-onsss-ieur. Mmm-erci Mmmm-onsieur. »

Il me détache chaque pince lentement et je tressaille de douleur à chaque libération. je me pisse même dessus alors quil me retire lurètre, à ma plus grande honte et à sa plus grande joie sadique au vu de son rictus béat.

« Il est lheure de se restaurer. Tu as été une bonne pute bien gentille et dévouée. Ça te fera le plus grand bien. » me dit-il « Alphonse et Antoine vont te mener jusquà laire de pique nique, ça sera sandwich pour toi.

— Oui Monsieur. Merci beaucoup Monsieur. »

Mon bourreau sen va me laissant seul. Je maperçois que mon estomac crie famine et gargouille dhorribles bruits. Je me tiens droit jambes écartée de 20cm, la tête baisée, comme il sied à un esclave. Jattends.

A un moment, deux grands black viennent alors et me prennent chacun par un bras. Je suis plus porté quautre chose hors du gymnase.

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