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Black Angel, justicière et soumise – Chapitre 12

Black Angel, justicière et soumise - Chapitre 12



Le lendemain soir, comme prévu, nous sommes allées au concert avec Béné, et nous nous sommes éclatées comme jamais. L’ambiance était magique, il n’y a pas vraiment de mots pour la décrire. À l’aller comme au retour, on n’a pas arrêté de chanter les morceaux de notre chanteuse dingo favorite, sans parler du fait d’avoir pu aller dans sa loge en sa compagnie pendant cinq minutes, les plus belles de notre vie. Alexa avait tenté de m’appeler pas moins de huit fois ; je me doute qu’elle a mal pris mon absence, mais je m’en fiche. En tout cas, jamais je ne pourrai assez remercier Béné pour les places qu’elle à obtenues, à moins que… Si, je crois finalement avoir une petite idée là-dessus.

Il était très tard, et ce matin j’avais averti maman que je passerais la nuit chez Béné, ce qui n’avait pas eu l’air de la déranger. Nous sommes allées chez mon amie. Elle avait déplié et préparé le clic-clac ; ainsi, nous n’avions plus qu’à nous coucher. Sauf que moi, je n’avais absolument pas envie de dormir, jétais encore bien trop excitée par cette soirée ; j’imaginais qu’elle était au moins dans le même état que moi.

Seulement, excitées ou pas, nous ne devions pas faire de bruit, par respect pour les voisins. Heureusement que j’avais laissé chez elle une tenue de rechange pour le lendemain. Nous avons quitté nos tenues excentriques ; j’ai enfilé un pyjama, et elle un débardeur avec une culotte. Nous étions en train de discuter tranquillement, assises sur le lit, lorsque j’ai décidé de me lancer. Je savais que, de toute façon, je ne dormirais pas de la nuit, ou très peu.

Béné, grâce à toi, ce soir on a toutes les deux vécu un rêve éveillé, et je ne l’oublierai jamais. Je ne sais vraiment pas quoi faire pour te remercier.

Mais t’as pas à me remercier, ma belle : on est fans de la même chanteuse. Et puis tu aurais fait la même chose, pas vrai ?

J’estime que si, mais… Tu n’as vraiment pas une petite idée de la manière dont je pourrais m’y prendre ? lui demandai-je avec une certaine lueur dans le regard, espérant bien qu’elle saisisse l’allusion.

Hmmm… je ne sais pas. À quoi penses-tu ? demanda-t-elle avec un petit sourire complice.

À son regard lubrique, je sus qu’elle m’avait comprise. Je baissai les yeux en signe de soumission. Après tout, elle avait bien dit que ça se ferait dans le respect mutuel ; je lui faisais totalement confiance. Alors, allons-y gaiement.

Je ferai tout ce que vous me demanderez… Miss B.

Hiiinnn, hiiiiinnn… Vraiment tout ? Comme quoi ?

Eh bien vos désirs, quels qu’ils soient, seront des ordres.

Ce que tu viens de dire n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde, ma belle ! Bon, eh bien, commence par te déshabiller.

Oui, Miss B.

En silence, je me levai et commençai à déboutonner rapidement mon haut de pyjama lorsqu’elle m’interrompit.

Lentement ! dicta-t-elle doucement mais fermement. Trèèèès lentement ! Je veux pouvoir savourer ce joli spectacle comme il se doit.

Je lui obéis en silence et me déshabillai entièrement sous son regard gourmand, comme toujours à l’exception de ma montre. Elle savait ce que ça représente pour moi, donc, elle ne me dira pas de l’enlever. Pendant mon petit strip-tease tout à fait improvisé et certes maladroit par moments, je choisissais certaines poses coquines afin qu’elle puisse convoiter à sa guise les parties qu’elle préfère j’imaginais de lanatomie féminine.

Lorsque je la regardai du coin de l’oeil, je la vis se mordre la lèvre inférieure tandis que son regard était plein de convoitise. « Oui, ma Béné, regarde-moi ! Tu m’as déjà dit que tu voudrais m’accrocher à ton tableau de chasse, n’est ce pas ? Tu veux me caresser, me croquer, me mordiller, me lécher, voire plus, pas vrai ? Tu l’as déjà fait, mais fort heureusement pour moi tu ne m’as pas reconnue ce soir-là. » pensai-je.

Désirez-vous autre chose, Miss B. ? lui demandai-je fièrement en lui faisant face, les mains sur les hanches une fois mon petit show terminé.

Oui : mets-toi à genoux, cuisses un peu écartées avec les mains derrière le dos, et en silence.

J’obéis, les yeux baissés, et restai ainsi. Elle se leva. Son entrejambe était face à mon visage.

Maintenant, je vais te poser quelques questions d’ordre très intime, et je veux que tu me dises toujours la vérité à haute et intelligible voix. Bon… Quelles sont tes limites ? Je veux dire : qu’est ce que tu refuses catégoriquement de faire ? Et tu n’es pas obligée de finir toutes tes phrases par « Miss B. »

Tout ce qui est trop hard : à savoir les animaux, ou tout ce qui est scato, Miss B.

OK. Tu accepterais plusieurs partenaires ? Aussi bien masculins que féminins ?

Oui.

Tu sortirais sans le moindre sous-vêtement si je te l’ordonnais ?

Cela va de soi, Miss B.

Tu porterais les fringues que je te dirais de porter ?

Oui

Tu aimes le sperme ?

Oui !

Tu pratiques la sodomie ?

Je… je n’ai jamais essayé, je regrette, mentis-je.

Tu voudrais y être initiée ?

Si c’est par vous, c’est oui, Miss B. Je sais que vous savez vous y prendre ; vous me parlez beaucoup de vos experiences.

Tout à fait : j’ai dépucelé Black Angel, et très bientôt, ton tour viendra. Si ça continue, je vais bientôt pouvoir ouvrir une école de sodomie appliquée, moi dit-elle fièrement. Bref, reprenons ! T’es plutôt exhib ou voyeuse ?

Eh bien, l’exhib, je l’ai déjà pratiqué, mais pas le voyeurisme.

Oh, mais ça viendra, t’inquiète ! dit-elle en se positionnant derrière moi.

Du coin de l’il, je la vis s’agenouiller derrière moi, et elle se colla à moi en posant doucement ses mains chaudes sur mon ventre pour les remonter très lentement vers mes seins. Je sentais son souffle chaud dans mon cou ; je commençais à haleter et me laissais emporter par l’excitation grandissante, comme on flotte sur l’océan du désir. Les caresses sensuelles de Béné étaient très différentes de celles qu’elle m’avait prodiguées il y a quelques jours. Là, elle était libre de prendre tout son temps, en plus, nous n’étions que toutes les deux..

Elle ramena mes cheveux d’un seul côté avant de reprendre ses caresses certes plus innocentes, mais toutes aussi efficaces. Des fois, elle me caressait tendrement avec le bout de ses ongles. Ne pas chercher à être satisfaite tout de suite, c’est si frustrant et à la fois si bon Elle arriva enfin à ma poitrine.

Tes seins sont vraiment magnifiques ! Doux, fermes, gros… Ça me donne envie de jouer avec toute la nuit.

Merci, Miss B.

Maintenant, Océane, je veux que tu me racontes tout ce qu’Alexa t’a fait ou fait faire ! murmura-t-elle sensuellement tandis qu’elle prenait mes seins délicatement dans ses mains pour les effleurer. Je t’écoute.

Eh bien, je… Enfin, elle m’insultait, me rabaissait, me donnait souvent même très souvent la fessée, et je dois reconnaître que ça m’excitait à un point que vous ne pouvez pas imaginer.

Tu aimes la fessée, ma petite vicelarde ? C’est très intéressant, ça Continue.

J’étais dans un tel état que lorsqu’elle m’a montré sa chatte, je me suis précipitée dessus pour la dévorer. J’ai pas pu me contrôler.

T’arrête pas, enchaîne ! exigea-t-elle tandis qu’elle me caressait les seins plus ou moins tendrement, ce qui accentuait mon excitation.

Bon sang, ce qu’elle était douée de ses mains !

Ensuite, elle m’a donné une tenue semblable à celle d’une pute et m’a livrée à son chauffeur pour qu’il me baise dans un parking, et ça s’est fini en généreuse éjac’ faciale. Une autre fois, je me suis masturbée avec une batte de base-ball en aluminium, puis…

Woooh ! Mollo, pas si vite ! Attends, un peu, détaille-moi ça !

Une des amies d’Alexa m’a fistée, puis la batte, elle me l’a enfoncée dans la chatte et je me suis masturbée avec comme une malade, Miss B. ! Ensuite, je me suis fait pisser dessus. Un autre jour, j’ai été promenée à poil avec une laisse dans un parc la nuit, et j’ai pissé à 4 pattes comme une chienne ; je suis aussi sortie toute nue avec des bottes et mon trench pour seules fringues… dis-je en parlant de plus en plus rapidement à cause de l’excitation. Je…

On se calme ! dit-elle en pinçant doucement mais fermement mes tétons pour les faire rouler entre ses doigts, ce qui m’a fait frissonner de plaisir. Doucement. Parle plus doucement.

Ou… oui, Miss B. Pardonnez-moi.

Tu es vraiment sortie complètement à poil en pleine rue avec ton trench pour seul vêtement ? Tu m’épates de plus en plus, coquine ! Faudra vraiment renouveler l’expérience avec moi. Allez, continue.

Merci, Miss B. P… ça s’est passé le même soir, et pour l’expérience du trench, je la renouvellerai avec plaisir ; mais la suite, vous la connaissez, puisque vous étiez présente.

Ses caresses et mes confidences avaient produit un effet incroyable sur moi. J’étais complètement trempée, je haletais de plus en plus, et jétais certaine qu’elle savait ce qu’elle faisait, ma grande garce : ses gestes étaient parfaitement maîtrisés ! Bon, c’est vrai, je n’avais pas évoqué la partouze, mais je ne pouvais pas lui en parler, mettez-vous à ma place, une minute…

C’est tout ?

Oui, Miss B.

Ben je dois dire que je suis sincèrement et agréablement étonnée, Océane. Tu m’en bouches un coin, je te félicite ! me dit-elle en descendant ses mains pour caresser l’intérieur de mes cuisses. Je ne te croyais pas capable de faire toutes ces choses.

« Bordel, mais elle va se décider à me faire jouir, oui ou merde ? »

M… merci du fond du cur, Miss B.

Et quelle a été ta meilleure expérience ?

Toutes.

OK. C’est court, mais instructif.

Elle déposa un long et langoureux baiser dans mon cou en ronronnant, ce qui m’a fait soupirer et frissonner de plaisir. Je me sentais si bien que mes yeux se fermèrent. Je déglutis en priant le ciel qu’elle me fasse jouir le plus vite possible ; je n’en pouvais plus d’attendre.

Tu sais que tu m’as foutue dans un bel état avec ton strip et tes histoires ? me chuchota-t-elle doucement au creux de l’oreille.

Oui, Miss B.

Est ce que tu sais que tu mériterais d’être punie, petite coquine ?

Oui, Miss B.

Elle stoppa ses caresses immédiatement et s’éloigna de moi un instant. Je priais de toutes mes forces pour qu’elle revienne et termine ce qu’elle avait commencé ; j’avais l’impression que j’allais devenir complètement folle. Lorsque j’ai senti son corps nu et brûlant se coller à nouveau à moi, je me suis sentie heureuse car j’ai su qu’elle avait au moins enlevé son débardeur. J’avais été exaucée. Elle replaça ses mains directement à l’intérieur de mes cuisses, tout en déposant de chaleureux baisers sur mon cou. Et lentement, très lentement, avec une sensualité toujours maîtrisée, elle les dirigea vers mon petit abricot dégoulinant de son jus abondant qui réclamait le savoir-faire extraordinaire de mon amie.

Une suite ?

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