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Bénédict…ions – Chapitre 7

La pêche aux moules - Chapitre 1



J’étais donc convoquée dans le bureau de mon supérieur et j’imaginais déjà ce qu’il voulait : sa gorge profonde de la semaine… Ou alors m’enfoncer une vingtaine de stylos dans la chatte comme il l’avait fait une fois. Il avait adoré ce jeu, pas moi, mais alors pas du tout. Vraiment pas agréable de sentir mes lèvres s’écarter petit à petit, a chaque insertion, les uns après les autres par ces trucs pointus et durs, tout en me faisant traiter de pute, de chienne, de traînée, de vide couille à utiliser… J’aime pourtant les mots crus quand je suis excitée, surtout lorsqu’ils sont plusieurs à s’occuper de moi, mais là, je n’avais vraiment pas aimé… Il s’était branlé de son autre main, avait spermé sur son bureau et m’avait fait tout lécher, prétextant que son bureau devait être propre.

Je stressais un peu à l’idée qu’il ait encore inventé un jeu à la con pour m’humilier. J’avais déjà rempli ma bouche de salive pour l’inciter à se contenter d’une pipe bien baveuse. À ma grande surprise, sa bite resta dans son pantalon et les stylos à leur place. Je me demandais quelle saloperie sexuelle il allait encore m’imposer, quand il déclara qu’il avait intercédé en ma faveur auprès de Monsieur Noël, le PDG, pour que je puisse avoir un véritable contrat.

J’étais attendu dans le bureau du directeur dans la minute.

Interloquée et impressionnée, j’ai repris la porte pour m’y rendre au plus vite et ne pas me faire attendre. Monsieur Schmid me précisa en sortant qu’il avait beaucoup insisté sur mes qualités personnelles…

Je ne tarderais pas à comprendre qu’il parlait surtout de ces qualités qui m’avaient permises de rentrer dans la société et pas de mes résultats de travail.

C’est donc dans un état second, et tremblante que j’ai toqué à la porte du bureau de Monsieur Noël, qui m’a fait rentrer dans la seconde.

C’était un homme d’une bonne soixantaine, dont la réussite pesait sur le bas-ventre. Toujours très souriant pour un patron, il n’était pourtant vraiment pas séduisant. Il me dit en quelques mots qu’il envisageait de me proposer un CDI et qu’avant de prendre sa décision, il souhaitait me connaître et m’a donné rendez-vous chez lui ce jeudi soir pour dîner avec sa femme et lui-même.

Il ajouta que mes compétences avaient été mises en avant par mon supérieur et qu’il voulait s’en assurer ; ça ne laissait plus tellement de doutes quant aux raisons qui poussaient ce type à vouloir m’embaucher…

J’arrivais le jeudi à l’heure, dans une robe sage, petits talons discrets, car je ne voulais rien mettre de trop provocant. J’avais même mis un string qui me serrait un peu trop d’ailleurs, je n’avais vraiment pas l’habitude d’étouffer ma petite minette. Rester élégante me semblait important tout de même, notamment vis-à-vis du regard de sa femme ; nous savons tous qu’au final, ce sont les femmes qui décident… et je voulais faire bonne impression.

La soirée se déroula ainsi :

La porte s’ouvre et laisse apparaître ce gros bonhomme, en jean chemise, qui me fait entrer sans délai et m’installe au salon.

Sa femme fait son apparition quelques secondes plus tard. C’était une femme nettement plus jeune que lui, elle devait avoir environ 45 ans, plutôt grande, blonde platine décolorée, encore très bien foutue (ou refaite ?) dans une longue robe droite qui lui allait comme un gant. Des attitudes un peu snob s’en dégageaient ; je vais la saluer avec beaucoup d’humilité et elle s’écrie avec une exubérance à quel point je suis mignonne. Voilà une réaction que je n’attendais pas.

Il ne fallut qu’un premier verre dans la main pour m’entendre expliquer par le patron qu’il savait comment j’étais entrée dans sa société. Pas le temps de rougir puisqu’il ajouta aussitôt qu’il pensait m’offrir directement un CDI, ce qui me ravit, au plus haut point.

Il précise devant sa femme et avec une main sur mon genou qu’il savait tout, même au sujet de la boîte d’intérim.

Elle ne disait rien et lorsqu’il finit son petit discours, elle lâcha clairement que les petites salopes comme moi leur plaisaient beaucoup et qu’ils étaient tout à fait prêts à leur donner leur chance si elles étaient à la hauteur de leurs espérances. C’est très clair ma foi.

Face à ce langage cru et direct, je reste silencieuse quelques secondes et me contente de murmurer : « je ferai tout ce que vous me demandez ».

Bonne réponse.

Je réagis et me mets debout face à eux, dans ce salon et c’est avec une aisance qui m’étonne moi-même que je défais ma robe pour me présenter en string, soutien-gorge et petits talons, sachant que cela force ma cambrure et mets en avant le galbe magnifique de mon petit cul… Je compte beaucoup sur lui ce soir…

La femme, qui me regarde en souriant, se lève, me tourne autour, me complimente sur mes fesses (ouf !) et me demande aussitôt à tout enlever puis de m’allonger sur la table basse. J’aurais peut-être dû mettre une plus belle lingerie…

J’obéis et quelques instants plus tard, j’étais entièrement nue, allongée sur le dos, sur la table comme on aurait allongé l’apéritif ; prenant bien garde d’avoir une jambe de chaque côté, de façon à ce que mon entrejambe soit bien en vu et accessible. Je m’offre… tout bonnement.

Transie d’excitation et un peu de stupeur d’être vulnérable devant ces inconnus, prête à subir tous leurs vices… je ne sais même plus comment je m’appelle. J’oublie tout, je me concentre sur la partie de cul et le plaisir que j’espère donner. Je sens la main de Madame me caresser le ventre, les seins, le visage, puis les cuisses… Et une main nettement plus ferme et épaisse se placer directement sur ma chatte et la forçant de 2 gros doigts boudinés… Enfin, forcer est un grand mot, je coule de désir… pour leur grand plaisir.

Monsieur Noël embrasse sa femme à pleine bouche, je vois leur langue se frotter, et je leur murmure avec un sourire sincère à quel point je suis excitée par la situation.

Après ces attouchements qui durent un bon quart d’heure, une durée interminable dans ma position, Madame m’ordonne de m’allonger par terre sur le tapis. Une fois en place, elle vient littéralement s’accroupir sur mon visage.

Je suis surprise de constater à l’arrivée de sa vulve bien lisse que cette bourgeoise ne porte pas de sous-vêtements. Ça me plaît énormément, nous avons des goûts communs. J’ouvre la bouche en grand et sors la langue pour la pénétrer tout de suite ; son mari remonte sa robe dans son dos pour jouir du spectacle et voir mon visage disparaître sous la chatte et le cul de sa dame…

Avec un appétit marqué, je lui dévore la chatte, les lèvres, j’enfonce ma langue dans son vagin et son trou du cul pendant une période que je ne suis plus en mesure d’estimer. C’était tellement délicieux, sa mouille avait un goût de paradis… J’en salive encore.

Je me souviens seulement que pendant cette pratique, son mari s’était mis entièrement nu à son tour. Je l’aperçois du coin de l’il, sa grosse bedaine tombant sur une bite relativement courte, mais particulièrement épaisse, voir énorme en diamètre… Il semblait ravi de la situation qu’il filmait d’une main tout en tripotant ses couilles poilues et son membre de l’autre, avec un sourire pervers.

Sa femme qui gémissait sans aucune discrétion remuait les hanches à se frotter sur ma tête et finit par me jouir dans la bouche en y déversant son jus si délicieux. Cette bourgeoise coincée en apparence, me juta dans la bouche avec pression… jusqu’à la fin de son râle. Le gros doigt de son mari planté dans son cul l’avait certainement bien aidée. Avec une certaine déception, je la vois se relever et s’éloigner, son intimité encore dans ma bouche. J’aimerais qu’elle vienne me rouler une pelle et qu’on partage… Mais ça n’arrive pas, alors je déglutis lentement, et je reçois ce doigt à sucer à son tour, celui qui était dans le cul de Madame. Je m’exécute avec application, le gros semble aimer mon geste.

Répit de courte durée : avec surprise et un peu de dégoût, je vois Monsieur Noël s’installer au-dessus de moi et reprendre la même position qu’elle, accroupi sur mon visage, les couilles sur la bouche et le trou du cul (bien usé et chevelu) devant les yeux… Le contraste est impressionnant, et même question odeur… Il semble qu’il fasse chaud sous ses grosses boules.

À moitié écurée par ce changement de partenaire et ce visuel très différent, c’est mécaniquement que je commence à lécher ses grosses couilles pendantes et pleines de foutre. Je sais ce qu’on attend de moi, je me force. Du bout de la langue d’abord, je goûte, puis à pleine bouche me rappelant les enjeux de la soirée. En parallèle, je sens une caresse chaude et humide sur mes orteils, je devine que Madame est en train de me sucer les pieds, sensation que je connais, mais là, c’est particulièrement intense et doux, un bonheur de langue me lèche la plante des pieds pendant que je dévore de vieilles couilles moches et collantes.

Leur propriétaire ne pouvait pas s’empêcher de proférer des mots crus à mon égard : petite pute, chienne, salope dégueulasse, qu’il allait me salir et m’utiliser jusqu’à épuisement.

Il pèse tellement fort sur mon visage que la pointe de mon nez vient régulièrement frotter son chou fleur de trou du cul, si bien que je dois par moments m’écarter pour souffler.

Je ne prenais décidément aucun plaisir à cette pratique, la situation en revanche, elle m’excite énormément et les léchouilles sur mes pieds sont si merveilleuses. Ce vieux crade à poil, assis sur ma bouche, à m’humilier avec la complicité de sa perverse de femme… Cette scène a quelque chose d’extraordinaire.

Entre 2 gémissement et flots d’insultes, il grogne qu’il ne tiendra pas longtemps dans cette position et que ce nest pas mon nez qu’il voulait sentir dans son cul, qu’il veut que je le nettoie. Le salaud… Devoir sucer cet anus déglingué ne me faisait vraiment pas envie, j’espère au moins qu’il est propre.

Sa femme a dû se douter de mes réticences, elle connaît le loustic. Elle lâche mes petons et vient m’encourager à sa manière : je sens des doigts fins, mais nombreux s’enfoncer dans ma chatte complètement détrempée, et ce sans ménagement, à remuer frénétiquement. La sensation est divine, d’autant que depuis le début, rien n’avait été fait pour mon plaisir vaginal.

Ce geste me stimule, et me procure rapidement un orgasme énorme. Ces doigts me remplissent vraiment, j’ai envie de cul et d’être prise depuis que je me suis allongée nue sur cette table.

La chatte éclatée, je décide cette fois sans hésiter à passer ma langue avec détails dans la raie du cul du directeur, puis j’insiste sur son anus boursouflé qui s’ouvre de façon à ce que la pointe de ma langue puisse rentrer à l’intérieur.

Il devait attendre ça depuis un moment, car quelques secondes de ce traitement suffisent à lui vider ses couilles par de belles giclées qui viennent s’étaler sur ma poitrine et mon ventre.

Il se redresse après avoir repris ses esprits, et va souffler dans le fauteuil voisin. Sa femme continue de me défoncer la chatte avec… toute sa main… cette salope m’a fistée et je ne m’en doutais même pas. Elle me bourrine dedans de son avant-bras et me fait jouir une seconde fois, cet orgasme me secoue et me brûle, j’en oublie le sperme qui me ruisselle sur les seins…

La sensation s’apaise enfin et je la vois venir me lécher le ventre et aspirer tout le jus de bite qui s’étale sur ma peau. « Toi aussi tu dois être nettoyée » murmure-t-elle.

Partageuse, elle vient déverser les dernières gorgées dans ma bouche à l’aide de la sienne, sans m’embrasser, à ma grande déception.

Cette scène était tellement humiliante pour moi et mon plaisir si grand… Je l’aurais laissée faire tout ce qu’elle voulait de moi, subjuguée par son charme et ses attitudes de dépravées haut de gamme.

Madame était en pleine forme et semblait en vouloir encore puisqu’elle retourne me faire un petit cunnilingus tendre tout en commençant à me doigter le cul. Miam, j’adore qu’on joue avec mon trou du cul… Je comprends vite qu’elle semble bien décidée à me l’agrandir, c’est trop bon si vous saviez…

Je me doute alors à quel point cette femme si élégante peut avoir l’esprit tordu, quand elle dit à son mari que je suis prête, car elle m’a bien dilatée.

C’est elle qui s’allonge sur le tapis cette fois et qui me demande de venir en position de 69 pour lui bouffer la chatte. Un oreiller sous sa tête, on se suce le clito et nos lèvres, elle me tient les fesses qu’elle écarte pour me cracher sa salive sur mon trou du cul.

Elle m’impose ainsi une cambrure relativement inconfortable pour moi, ayant surtout pour vocation de tendre mon petit cul rebondi et d’écarter les fesses pour exhiber mon anus ouvert et plein de sa bave. Bonne technique pour faciliter la sodomie que son mari veut m’infliger et pour m’empêcher de me retirer si j’ai mal… Il arrive et confirme que mon petit cul bombé mérite de se faire éclater.

Je stresse un peu, son calibre est vraiment très épais. Ça ne passera sûrement pas, il n’insistera pas. Dans cette position, je ne peux rien faire, j’ai une chatte à déguster en plus et cette grosse baleine vient pour enfiler son manchon dans mon rectum. Il a quelques difficultés vu sa corpulence et parce que le diamètre de sa bite est particulièrement inadapté. Mais sa femme a la situation idéale pour lui faciliter la tâche, elle salive et se sert de ses doigts comme d’un chausse-pied pour glisser le gros gland dans mon petit anus extensible… mais pas à ce point.

Après quelques instants dans cette situation inconfortable, je sens une douleur atroce venir du bas de mon dos et Madame s’écrier : ça y est !!! Putain, j’ai l’impression qu’on vient de m’enfiler une grosse boîte de conserve bien dure dans le cul… c’est horrible, mon trou n’a jamais autant subi même quand moi j’amuse à me le dilater… Les larmes me montent, je me concentre puisque la conserve s’enfonce et que mon cul se fait détruire. Madame se réactive sur mon clito, elle peut surveiller de très près mon cul avaler l’énorme saucisse… Son travail me procure à nouveau du plaisir et me soulage pas mal… Elle aspire mon clito, et pénètre de sa langue de vicieuse, c’est gigantesque et lui me procure autant de douleur quelle de plaisir. Je prends sur moi encore quelques minutes en espérant qu’il jouisse vite dans mon cul.

Heureusement, sa bite est relativement courte et le calvaire ne dure pas plus de deux minutes. Il jouit, il devait être super serré là-dedans.

Il sort avec un bruit de succion et l’énorme soulagement ressenti me faire jouir à nouveau, accouplé aux léchouilles qui m’ont sauvé la vie.

Sa femme me demande de me redresser, délicatement elle va imposer sa langue sur ma rondelle complètement agrandie, rouge, dilatée, chiffonnée.

Le contact de sa langue douce me fait un bien fou et en gémissant, elle va me nettoyer le trou du cul, en allant en profondeur, devenu facile d’accès, et le sperme lui coule dans la bouche.

Elle finit par se dégager, me regarde avec un clin d’il en me disant : ton cul est propre ma chérie, tu peux te rhabiller.

La soirée s’achève de façon très abrupte. Madame me raccompagne jusqu’à ma voiture et me rassure sur ce fameux CDI que j’aurais et avec un salaire des plus corrects pour le poste !

J’avais passé une soirée inoubliable ; en sensations et parce que je vais pouvoir assurer un avenir seule. Le retour est difficile, notamment avec l’état de dégradation de la route et de tous ces passages surélevés qui me rappellent à quel point ce soir, j’ai été maltraitée.

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