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Business Meeting – Chapitre 4

Business Meeting - Chapitre 4



Gladys n’était pas du genre à avoir froid aux yeux. Elle aimait le sexe et l’assumait. Elle en voulait toujours plus et s’amusait de m’apprendre de nouvelles pratiques, d’autant plus que j’étais un élève plutôt assidu aux cours et motivé à avancer dans la matière.

Par contre, elle avait été très claire avec moi : pas de relation stable. Je découvrais avec elle la notion de "sex friend", tout en sachant que je n’étais pas le seul à lui tenir chaud sous la couette. De nature plutôt possessive au départ, je me surprenais à apprécier la situation. Certes, avoir sa petite amie était une sorte de contrat social quasiment obligatoire, mais finalement cette manière de faire nous arrangeait tous les deux. En définitive, c’est le sexe qui m’avait le plus manqué après Alice, je m’en rendis compte rapidement. Les baisers tendres devant un film, les promenades main dans la main, les soirées au resto à se regarder dans les yeux, tout ça, pour moi, n’était que préludes (ou prétextes) à passer aux choses sérieuses. J’avais accepté ces séances romantiques, avec plaisir tout de même, dans l’unique but de nous conduire dans son lit. Avec Gladys, nous sautions cette étape inutile pour en venir directement au cur du sujet.

Gladys avait énormément d’humour et beaucoup de maturité pour ses 19 ans. Elle connaissait ses défauts physiques, savait qu’elle ne serait jamais top model et ne voulait rien changer à cela. Elle assumait entièrement ses "quelques grammes de trop" comme elle disait, même si pour moi elle était juste terriblement féminine. Je n’ai jamais aimé les bimbos anorexiques qui passent leur temps à mesurer leur vie. Je ne les aime toujours pas, d’ailleurs. Une femme doit avoir des formes, être généreuse, féminine. Je laisse volontiers les squelettes aux nécrophiles.

Très rapidement, nous sommes passés des séances de sexe relativement classiques, pour ne pas dire académiques, à des choses nettement moins conventionnelles. En tout cas pour moi. Elle m’avait confié adorer le goût du sperme et la sensation visqueuse et collante qu’il laissait sur sa peau.

— Tu sais ce que j’aime dans le sexe ? me demanda-t-elle en saisissant son verre de Martini sur la table basse de son petit salon.

— Bah, l’orgasme, je suppose, lui dis-je en reprenant une poignée noix de cajou.

— Oui, évidemment, mais il y a autre chose, me dit-elle en soutenant mon regard.

— Les sensations ? Le plaisir ? Je sais pas, dis-moi.

— Ouais aussi, évidemment. Mais il y a surtout un truc que j’adore depuis ma première fois. J’espère que tu ne vas pas mal me juger mais… j’adore le sperme.

— Ah, je saurais difficilement te donner tort ou raison, je n’ai jamais goûté, dis-je en riant.

— Tu devrais, dit-elle dans un éclat de rire.

— Mwais… je passe mon tour, si tu veux bien.

— En fait, quand j’ai sucé mon petit copain pour la première fois, il ne m’a rien dit et a joui dans ma bouche. Les premières secondes, j’ai juste eu envie de lui retourner une claque et de vomir. Et puis en fait, je me suis rendu compte que la chaleur et le goût du sperme me plaisaient.

— OK, lui dis-je en pensant que je n’avais peut-être pas envie d’entendre ça. Pourquoi tu m’expliques tout ça, au fait ?

— Juste parce que je ne voudrais pas que tu me juges mal. Si j’insiste pour que tu jouisses sur moi, c’est pas pour te faire plaisir ou pour faire genre "actrice porno", c’est juste parce que j’aime ça. Et toi, tu aimes jouir sur moi ?

— Je ne l’avais jamais fait avant, lui dis-je en montrant le plafond du doigt.

— Alice a changé à ce niveau-là, si tu veux mon avis. Mais oui, je veux bien croire que ce n’était pas son genre quand vous étiez ensemble, sourit-elle. Mais ça ne répond pas à ma question.

— Oui, j’aime bien jouir sur toi si tu veux tout savoir. Mais je suis un peu gêné, comme si je ne te respectais pas, ce qui n’est pas le cas. Pour être tout à fait honnête, je préfère jouir à l’intérieur. Que ce soit de ta bouche ou de ton… enfin, tu comprends. J’aime rester au chaud, quoi, dis-je en souriant.

Pour toute réponse, Gladys avala les deux dernières gorgées de son Martini, déposa le verre sur la table et s’approcha de moi à quatre pattes sur le sol.

— C’est le genre de discussion qui m’ouvre l’appétit… et la chatte, me dit-elle soudainement très excitée.

Gladys aimait me provoquer en me parlant crûment, ce n’était pas la première fois. Elle savait que je réagissais à chaque fois.

— Tu n’aimes pas quand je dis "chatte", hein ? Je le sais, me dit-elle l’air cynique.

— Non, ce n’est pas ça, mais c’est juste que…

— Que tu n’oses pas en faire de même, alors que tu rêves de me parler comme ça, c’est ça ?

— Non, je ne peux pas dire que je « rêve » de te parler comme ça, c’est juste que… disons que je n’ai pas appris à parler comme ça, c’est tout.

— Mais moi j’aimerais bien que tu sois plus cru. T’essayerais pas ? dit-elle en enlevant son t-shirt et en dévoilant cette poitrine qui me fascinait tant. Allez, s’il te plaît.

— OK, si tu veux, dis-je, pas vraiment convaincu.

Elle ne portait jamais de sous-vêtements chez elle. Une fois son pantalon de jogging et son léger t-shirt enlevés, elle se retrouva nue comme un ver devant moi, ses seins lourds gonflés, son sexe totalement rasé. Définitivement, j’aimais son corps. Sa peau était toujours chaude comme un pain qui sort du four. Tout chez elle me donnait envie instantanément, son corps m’ensorcelait littéralement.

Je déboutonnai ma chemise et l’enlevai alors qu’elle s’attaquait à mes chaussures.

— T’as envie de quoi ? me demanda-t-elle en s’asseyant, jambes écartées, sur mes genoux.

J’adorais quand elle se mettait comme ça, j’adorais mater son sexe rose ouvert, déjà luisant de désir, qui s’offrait sur mes genoux. Elle remarqua que je la regardais avec un air gourmand.

— T’aimes bien me mater, hein ? T’aimes bien mater ma chatte. Je le vois bien.

— Difficile à cacher, lui dis-je en prenant mon sexe tendu en main et en caressant son ventre avec. Il est encore bien gonflé, tu ne trouves pas ?

— Tu veux faire quoi ? me demanda-t-elle en prenant à son tour mon sexe en main.

— J’aime quand tu me prends dans ta bouche, lui dis-je.

— Non non, me dit-elle d’un air malicieux. Pas comme ça. J’ai envie que tu me parles beaucoup plus mal que ça.

— Suce-moi ! dis-je soudain d’un ton autoritaire qui me surprit moi-même.

— Mmmh, voilà, ça, c’est nettement mieux. Avec plaisir, Maître, sourit-elle.

Gladys quitta mes genoux pour s’allonger à mes côtés sur le sofa. Je connaissais ses mains expertes. Après quelques secondes à lécher mon gland comme une glace, elle guida mon sexe dans sa bouche et l’engloutit peu à peu, jusqu’à l’avaler tout entier.

— Mmmh, c’est bon quand tu vas jusqu’au bout, lui dis-je.

Elle recommença, encore et encore, ma verge fut rapidement saturée de salive. Elle fit une pause mais ne laissa pas ma verge sans surveillance pour autant. Elle me masturba, d’une main d’abord, puis de deux, ses doigts serrés glissaient sur mon membre. J’entendais les bruits mouillés que faisaient ses caresses sur mon sexe luisant.

— Retourne-toi, lui dis-je, je veux… lécher… ta chatte.

D’un regard gourmand et entendu, elle s’exécuta dans un gémissement satisfait. Mes doigts allèrent directement vers son sexe. Il était plus mouillé et ouvert que d’habitude. Je rentrai un doigt, puis deux, puis trois, les parois de son vagin s’étiraient au fur et à mesure que je la pénétrais.

Ma langue et mes lèvres vinrent accompagner mes massages. Je léchai son clitoris du bout de la langue puis l’aspirai goulûment en buvant ses fluides intimes mêlés de salive. Je quittai quelques instants son sexe pour promener un doigt sur son anus. Son sexe, son anus, l’intérieur de ses cuisses et la fente ses fesses, tout son entrejambe glissait, trempé de plaisir.

J’avançai une main vers son sein droit, puis le gauche, pour les masser. Je pinçai ses tétons durcis entre mon pouce et mon index.

— Viens sur moi, lui dis-je en l’embrassant dans le cou.

Je m’assis sur le sofa. Elle se leva et vint se planter debout devant moi, de dos. Elle s’accroupit doucement et fit rentrer mon sexe gonflé d’envie dans son vagin torride et dégoulinant. J’aimais cette position où je la voyais de dos, je pouvais profiter de la cambrure de ses hanches, de ses fesses qui vibraient légèrement au rythme de nos mouvements. J’aimais par-dessus tout voir mon pénis disparaître dans les profondeurs de son sexe rose.

— Mmmh, tu es très excité ce soir, me dit-elle entre deux soupirs. Il est très gonflé.

— J’aime bien quand je me sens au fond de toi, lui dis-je en la prenant par les hanches pour m’enfoncer au plus loin de son vagin.

J’aimais regarder ses grandes lèvres glisser le long de la peau tendue de mon membre et s’écraser contre mon ventre. J’écartai ses fesses rebondies de mes deux mains pour pouvoir admirer son vagin rempli et son anus luisant. J’avançai un doigt et l’enfonçai doucement derrière pendant que je la pénétrais.

— Continue, m’invita-t-elle. Plus loin.

J’obéis et rentrai mon doigt plus loin dans son anus. Je longeai la fine paroi à l’intérieur d’elle, je sentais mon sexe de l’autre côté, dans sa vulve, qui bougeait en elle. Je sentais les détails de mon gland gonflé, derrière cette séparation de quelques millimètres.

— Viens derrière, me dit-elle en se relevant pour libérer mon pénis.

Toujours de dos, elle se rassit sur moi et me guida vers son autre trou et je vis mon sexe s’y engouffrer doucement. La sensation me fit l’effet d’un éclair. C’était beaucoup plus serré, beaucoup plus chaud aussi. J’aimais beaucoup. Je gémis instantanément.

— Tu n’as pas mal ? lui demandai-je.

— Non, du tout. Je te le dirais, rassure-toi. Il est gonflé mais ça glisse tellement bien. C’est bon.

Je sentis que l’orgasme montait rapidement. Cette nouvelle expérience m’excitait plus que je ne l’aurais pensé. Et voir mon sexe rentrer en elle alors qu’elle m’enfourchait de dos m’excitait encore plus. J’étais aux premières loges et le spectacle était divin.

— Viens, mets-toi à quatre pattes sur le divan. J’ai envie de te prendre par-derrière, lui dis-je dans un souffle.

Docile, elle s’exécuta sans broncher. Je m’agenouillai derrière sa croupe offerte et retournai dans son vagin. Là encore, j’enfonçai tout mon membre en elle, d’un long coup de reins.

— Vas-y plus fort, glissa-t-elle.

J’accélérai le rythme, mon ventre butait de plus en plus fort sur ses fesses. J’entendais le claquement de nos peaux à chaque pénétration. Je sentais mes testicules se balancer entre mes cuisses et effleurer son sexe. J’apercevais ses seins pendre et bouger au rythme de mes saccades.

— Oui, comme ça, gémit-elle. Oui.

J’écartai ses fesses pour admirer le spectacle. J’étais au comble de l’excitation, mon souffle devenait plus court et plus rauque. Je suais comme un marathonien en plein effort.

— Je vais jouir, lui dis-je en serrant les dents.

— Alors reviens dans mon cul, reviens jouir derrière, répond-elle.

D’un mouvement, je quittai sa fente brûlante. Mon membre était sur le point d’exploser. Une goutte de sperme perlait déjà au bout de mon gland. Tout en le serrant à la base pour l’empêcher de déverser son liquide, je l’enfonçai à nouveau dans son anus. En un mouvement, j’étais à nouveau dans cet endroit si chaud et si serré. Trop chaud. Trop serré. Trop excitant. Je ressortis immédiatement, mon orgasme n’était qu’une question de secondes. Elle maintint son anus ouvert, béant, dilaté, et m’invita à y retourner directement.

— Reviens, vas-y, lâche-toi, me dit-elle entre deux soupirs rauques.

Je pénétrai à nouveau cette étoile mystérieuse. Toujours aussi chaude, toujours aussi serrée. Cette fois, j’allai jusqu’au bout.

— Oh oui, crie-t-elle, jusqu’au bout.

Je me retirai à nouveau, histoire de gagner quelques secondes encore, mon sexe serré entre ma main, tentant de gagner encore quelques instants. Toujours ce trou qu’elle maintenait béant face à moi. Elle écartait grand ses fesses de ses deux mains. J’y retournai, cette fois jusqu’au bout. J’y enfonçai toute ma verge dans un grand râle.

— Oui, oui, vas-y, hurle-t-elle. Vas-y.

Je n’en pouvais plus, j’étais au point de non-retour. J’explosai en elle quelques secondes plus tard, mes mains appuyées sur ses hanches, et déversai mon liquide bouillant. Mon pénis se contracta plusieurs fois, je sentais les jets qui remplissaient son corps. J’avais l’impression que ça ne s’arrêterait jamais, j’avais l’impression de déverser des litres en elle. Elle sursauta, tressaillit, vibra, se cambra, comme possédée. Elle était à moi, elle s’abandonna à cette brûlure liquide qui la dévorait de l’intérieur.

Je restai quelques instants immobile, le sexe entièrement fiché dans son anus, le souffle court, mes mains toujours solidement agrippées ses hanches. Nous ne disions plus rien. Seules nos respirations saccadées emplissaient son studio. Le calme après la tempête. Mes jambes commencèrent à trembler. Le contrecoup de mon orgasme, sans doute. Je me retirai doucement et m’assis sur le divan, vidé de toute énergie.

— J’adore ton cul, lui dis-je.

— J’adore ta queue, me répondit-elle en s’asseyant à mes côtés. Et j’adore quand tu me parles comme ça quand on baise.

— J’adore baiser avec toi.

— Moi aussi, j’adore ça. Regarde, me dit-elle en écartant ses cuisses.

Je vis alors mon sperme s’écouler lentement en dehors d’elle. Elle en ramassa quelques gouttes avec ses doigts pour éviter qu’elles ne tombent sur le divan. Sa main fut bientôt remplie de mon fluide blanc et visqueux. Elle l’étala sur son sexe puis sur le bas de son ventre.

Nous restâmes sans rien dire de longues minutes puis elle se pencha vers mon oreille et me murmura :

— Tu restes dormir ce soir ?

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