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Ca a commencé comme ça ! – Chapitre 5

Ca a commencé comme ça ! - Chapitre 5



DECOUVERTES !!!!!

Toute la semaine nous avons été harcelées par les deux chiens, qui venaient régulièrement renifler notre entrejambe, se dressaient contre nous en poussant du bassin .

Nous avions beau aller les promener dans les champs, dans les bois, ils semblaient infatigables.

De retours à la maison, ils continuaient leur manège.

Alors, on finissait par s’offrir, et ils nous prenaient, indifféremment, l’une ou l’autre.

Parfois, l’un d’entre eux venait couvrir la femelle que son ami achevait de saillir, comme pour prouver sa supériorité, qu’il était Le mâle, celui qui remplissait plus le ventre de sa femelle, celui qui la faisait crier plus fort ….

J’avais le sexe en feu, et, malgré le plaisir qu’ils me donnaient, j’aspirais à un peu de repos.

Caramel était le plus avide. A tel point que je me suis essayée à le masturber pour calmer ses ardeurs.

La main sous son thorax, j’ai saisie le fourreau de velours et j’ai commencer a le branler comme on fait à un homme.

Lucie s’est approchée en me demandant : Que fais tu ?

Quand il aura déchargé, il nous laissera en paix un moment, tu ne crois pas ?

Sa petite pointe rouge est apparue, et il donnait des coups de reins en haletant au rythme de mes va et vient.

Lucie à passé la main sur les deux boules noires, les massant délicatement : Elles sont dures, me dit elle, elles sont encore pleines . Pourtant, ce n’est pas faute de les avoir vidées .

Oui, mais je crois que ce sont nos odeurs intimes qui l’excitent. Il à du flair, tu te souvient la première fois qu’il nous à vues ?

C’était le seul à ne pas aboyer, il est venu vers nous en reniflant. La seule chose qui semblait l’intéresser, était l’odeur que nous dégagions : Celle du sperme de Bobby et de notre jus d’amour .

Et puis, il est en pleine maturité sexuelle nous à dit la dame du chenil.

Je sentais son sexe grossir et il est apparu, blanchâtre,énorme, coulissant hors de son étui protecteur, jusqu’aux boules qui nous bloquaient si bien.

J’ai peur de lui faire mal, et il n’a toujours pas déchargé, le salaud !

Caramel s’est couché sur le dos, comme pour mieux s’offrir aux caresses que nous lui prodiguions.

Il gémissait doucement, et soudain, à lâché un long jet de liquide blanc.

Il a envie, me dit elle, il ne se retient plus tellement elles sont pleines.

Elles sont dures comme des cailloux, je suis sûre qu’elles lui font mal tellement elles sont gonflées.

Et bien, il ne te reste plus qu’à lui donner ce qu’il attend !

Et puis, ce serait du gâchis, tout ce bon jus sur le carrelage .

Elle s’est levée, s’est présentée à lui, écartant les jambes,le ventre offert.

Levant la tête, Caramel a enfoui sa truffe dans cette petite forêt, reniflant les odeurs qui l’attiraient, puis sa langue s’est activée.

Aahhh, elle s’est tétanisée, fermant les yeux, s’offrant davantage.

Caramel s’est levé brutalement, poussant sa tête plus profond, reniflant; sa langue semblait hésiter, cherchant la source de ce bon jus d’amour qu’il ne trouvait pas.

Met toi à genoux, il te lèchera mieux, lui dis je .

Elle repoussa Caramel, s’agenouilla devant le canapé, les jambes bien ouvertes, cambrée, sa petite fente bien visible….

Elle apprend vite cette salope, pensais je, quelle chienne !!

Caramel recommençait son manège, reniflant, léchant, de plus en plus nerveux.

Elle, le souffle court, ondulait du bassin, se cambrait davantage, écartait ses cuisses, pour mieux s’offrir.

Sous les coups de langue magique, sa petite fente s’ouvrait doucement, découvrant ses petites lèvres de chair tendre, son petit bouton rouge …

Aahh, il racle mon bouton, il me fait mal, il s’enfonce, il s’en…fooonce, il va me faire mouiller le salaud !!

Caramel cherchait au fond de cette grotte la source qu’il aimait tant, tendant le cou pour mieux la fouiller, écartant doucement ces chairs fragiles ……, quand enfin, la petite fente s’est couverte de nacre .

Il avait ouvert la source du bonheur, léchant fébrilement tout ce bon jus qu’il aimait tant, comme pour ne pas en perdre une seule goutte.

Il s’excitait de plus en plus, son long sexe blanchâtre agité de soubresauts, laissait s’échapper quelques gouttes de liquide que Bobby s’empressait de lécher goulument.

D’un bond, il était sur son dos, la faisant plier sous son poids, la cambrant davantage, comme pour qu’elle s’offre mieux, la pistonnant maladroitement.

Elle râlait de bonheur, impatiente …

Oui mon bébé, vient me baiser, vient vider tes petites couilles, vient me faire jouir, viieennnttt !

Ce spectacle m’excitait à mon tour : je sentais mon ventre chaud se durcir, ma petite fente déjà humide,…. je l’enviais !

J’aurais voulu être à sa place, sentir ce long sexe s’enfoncer dans mon ventre, m’écarteler, me pistonner sans ménagement, son ventre chaud sur mes reins, ses longs jet brulants s’écraser au plus profond de moi et crier de bonheur….

Mais c’était elle sa femelle, c’était elle qu’il avait préparée à le recevoir, c’était elle qu’il voulait saillir, c’était elle qui l’attendait, le réclamait ..

Moi, j’avais d’autres mâles sous lesquels m’ouvrir pour râler de plaisir .

J’ai saisi sa longue tige gluante pour la guider vers l’entrée qu’il cherchait.

D’un coup de rein violent, il est entré, tandis qu’elle s’est mise à crier : Il est gros, il me fait mal, il va me déchirer …

Insensible aux cris de cette femelle, il continuait de la pistonner, en mâle dominateur.

Il se calait sur ses pattes arrières, poussant de toutes ses forces, et les chairs souples s’ouvraient doucement.

Il alternait les coups de reins et les poussées violentes, et la longue tige disparaissait lentement, s’enfonçant inexorablement dans ce ventre accueillant.

Il est gros, il est grooos, il me déchire, mais c’est bon, c’est booonnn !

Le ventre plaqué sur le dos de Lucie, il s’activait de plus en plus fébrilement, haletant, l’enserrant des ses pattes antérieures comme pour la maintenir prisonnière, lui montrer qu’elle était sienne…..

Ces petites couilles gansées de velours noir, tapaient sur les cuisses de Lucie à chaque coup de rein.

Elle, la tête dans les coussins, secouée en tous sens,gémissait de bonheur…

Puis pattes griffèrent le sol, cherchant un appui, il poussait de toutes ses forces.

Il était tout en elle :les chairs dociles de cette femelle s’étaient enfin ouvertes pour recevoir son gros membre tout au fond de son ventre !

Elle s’est mise à crier : il grossit, il grossiiiit !

Ses deux grosses boules devaient l’écarteler encore plus, pour le souder à elle, pour que sa semence reste bien tout au fond de cette chienne qu’il allait inséminer .

Il allait gicler maintenant, elle allait sentir ses jets chauds et brulant qui nous faisaient gémir !!!

Assise sur mes talons, je regardais cette femme prise par ce mâle vigoureux, gémissante et criant son bonheur, et mon désir montait : mes seins étaient si durs qu’il me faisaient mal, me tétons pointaient comme jamais, ma fente suintait de jus d’amour que Bobby cherchait nerveusement, tournant autour de moi !!!

Aahhn aahhh, il jute, il décharge, c’est bon, c’eesst bbooonnn, il va me …. faire jouir, il vaa mme faiire jouiiiir, criait elle .

Je l’enviais, j’aurais aimé sentir ces jets puissants au fond de moi, je devinais le plaisir qu’elle ressentait …

Ma main est descendue sous mon ventre, trouvant ma fente trempée, mes lèvres sensibles, mon petit bouton…..

J’avais envie de jouir, moi aussi, quand soudain la porte s’est ouverte .

J’ai ouvert les yeux ; Dany était là, tétanisé par le spectacle qui s’offrait à lui : Sa femme nue en train de se caresser et sa belle soeur criant sous le ventre d’un chien  !

Bobby s’est précipité vers lui pour lui faire la fête, son sexe pendant sous son ventre ….

Mon coeur s’était arrêté .

Il a laissé tomber sa valise et s’est approché de nous en disant : Mais vous êtes vraiment des salopes, regarde là, celle là, il lui fallait un chien pour qu’elle s’occupe, qu’elle soit moins seule …

Pour la baiser, oui !

Et toi, tu te faisais sauter par Bobby, hein, , c’est ça, regarde le, regarde sa queue !!!!

Je ne te suffit plus, il te faut plus de queue, hen, c’est ça !!!!!

Et bien tu vas en avoir de la queue, tu vas en avoir, me dit il en me projetant sur le canapé ou je me suis affalée.

Il a débouclé sa ceinture, j’ai entendu le zip de son jean, et il m’a saisi brusquement par les hanches, écartant sans ménagement mes jambes ….

Puis il est entré en moi, comme ça, d’une seule poussée tant j’étais trempée de désir, me pistonnant brutalement comme le faisaient nos deux amants à quatre pattes .

Disparu l’amant prévenant, oubliées les caresses qui me faisaient gémir de bonheur ..

Il agissait en mâle dominant, …… mais j’aimais ça quand même .

J’ haletais de bonheur sous ses coups de boutoir, le plaisir arrivait, lorsqu’il s’est retiré brutalement, me laissant là, inassouvie .

Des larmes coulaient sur mes joues . De honte ou de plaisir ??

Puis il s’est dirigé vers Lucie, toujours soudée à Caramel qui avait fini de se vider en elle .

La saisissant par les cheveux, il l’obligeait à lever la tête vers lui en disant :

Tu en veut de la queue toi aussi, et bien en voilà !

Il tendait son sexe vers le visage de ma soeur, vers sa bouche . Allez suce, suce ma bite, nettoie la, nettoie la toute !

Elle tournait le visage en tous sens, refusant de sucer ce sexe plein de mon jus d’amour, mais il insistait : Fait pas ta mijaurée, espèce de salope, allez suce !

Elle à fini par entrouvrir les lèvres et il s’est enfoncé dans sa bouche .

Allez, suce, criait il, suce ,avec la langue, nettoie le jus de ta soeur !

Elle a réprimé une nausée, des larmes coulaient sur ses joues a elle aussi .

Allez suce, intima t’ il une nouvelle fois, secouant sa tête en tous sens .

Elle finit par obéir, allant et venant sur cette hampe qu’il enfonçait au plus profond de sa gorge.

Et bien tu vois, quand tu veux, allez, continue !

Son corps s’est raidi brutalement : je savais ce qui allait se passer !

Il s’enfonça plus en elle et émit un grognement sourd : Lucie déglutissait péniblement .

Allez, avale, avale tout ma salope !

Continue, continue, insista t’ il !

Il avait desserré son étreinte, et c’était elle maintenant, qui gobait cette hampe, allait et venait, doucement, lentement, comme pour prolonger son plaisir.

Nue, agenouillée devant lui, les mains sagement croisées dans le dos, elle obéissait, continuait sa caresse, le regard tourné vers lui, comme pour lui montrer qu’elle acceptait, qu’elle l’ acceptait pour maître , qu’elle acceptait de n’être que l’objet de son plaisir.

Il lui maintenait la tête en arrière, la gorge offerte .

Elle était déjà complètement soumise à cet homme qui venant de se vider dans sa bouche .

Caramel s’était enfin détaché d’elle et avait rejoint son ami qui se tenait prudemment près de la baie vitrée.

Il s’est dégagé de Lucie et s’est tourné vers moi : Allez, fait ta pute, toi aussi, vient nettoyer ça !

Je me suis agenouillée devant lui, gobant son sexe qui perdait de la vigueur, l’avalant en entier, le nez dans son pubis.

Je m’appliquais, je gobais, je suçais son membre, ma langue jouait avec sa pointe sensible, je lui caressais les bourses, les massant comme il aimait tant, espérant la sentir grossir dans ma bouche, pour lui donner du plaisir jusqu’à l’explosion finale.

Mais rien n’y faisait .

Il s’est retiré de ma bouche sans précaution et s’est dirigé vers la chambre en disant : je vais me changer .

Je l’ai suivi mais il m’a arrêtée : ou vas tu ?

Et bien …. je vais m’habiller, dis je en baissant les yeux.

Pas question ! Vous étiez à poil quand je suis arrivé, vous resterez à poil !

Comme des putes que je pourrais baiser quand j’en aurais envie.

Puisque j’ai deux putes à la maison , autant en profiter !

Lucie a éclatée en sanglots, le visage entre ses mains.

Oh, ça va toi ! pas la peine de faire ta mijaurée, j’en ai assez vu pour me rendre compte que tu n’est qu’une belle salope !

Allez ! du balai !!

J’ai rejoint Lucie dans le salon.

Elle sanglotait, le corps tremblant .

Elle s’est blottie dans mes bras : j’ai honte, j’ai honte, répétait elle .

Mais non, ça va aller . Je le connais, il n’est pas comme ça d’habitude .

Mais que veux tu, il a découvert notre secret plutôt …. brutalement, non ?

De savoir qu’on baise avec les chiens, il s’est senti blessé dans son orgueil de mec.

C’est comme si je lui avais dit qu’il ne me suffisait plus, tu comprend ?

Et puis, s’il veut que nous soyons ses petites putes, et bien nous serons ses petites putes, il nous baisera quand il voudra.

Et tu verras, quand il fait l’amour, il est tendre, câlin, il sait me caresser, me donner du plaisir, il me fait jouir, longtemps, longtemps ..

Tu verras, tu aimeras ça, toi aussi !

Je continuais a caresser ses cheveux, posais mes lèvres sur sa joue, comme pour sécher ses larmes .

Ses sanglots s’atténuaient, elle s’est blottie plus fort entre mes bras, son ventre chaud contre le mien.

Dany est sorti de la chambre, nous découvrant enlacées.

C’est bien ce que je disais, de vraies putes !

Qui se font baiser par des chiens et qui se gouinent, en plus !

Si ça continue, je vais vous trainer sur mes chantiers, vous faire baiser par un tas de mecs en manque, ça va vous calmer, je vous jure !

C’en était trop !!

Je me suis tournée vers lui et ma colère a explosée.

Oh, ça va !

Tu veux qu’on soient tes petites putes, tu veux pouvoir nous baiser quand tu en auras envie, tu veux pouvoir LA baiser, et bien c’est d’accord !

Regarde la, ses petites fesses bien rondes, son ventre chaud, ses petits seins fermes, ses tétons si sensibles que, dès qu’on les pincent ils bandent, sa chatte cachée sous sa toison est déjà toute trempée, tiens, regarde, dis en glissant ma main entre les jambes de ma soeur, lui tendant mon doigt tout trempé de mouille, tout ça c’est à toi !

Tu veux être notre mâle, notre mâle dominant, tu veux qu’on soient tes petites femelles, tes petites putes, comme tu dis, et bien c’est d’accord !

On t’obéira, on lavera tes culottes sales, on te fera à bouffer, on te câlinera, te chouchoutera, on écartera nos cuisses pour que tu puisses nous baiser, mais plus question que tu te comportes comme tu l’as fait tout à l’heure .

On est pas un trou à bite dans lequel un gros porc vient se vider les couilles !

Tu les vois eux, dis je en désignant les chiens, quand ils nous sautent, ils sont violents, sans précautions, mais ils nous remplissent le ventre de sperme chaud et ils nous font jouir ! Tu entends : ils nous font jouir !!

Si c’est pour avoir un mec qui grogne en s’agitant sur notre ventre, on a pas besoin de toi.

On est capable de les trouver toutes seules, tes cabanes de chantier !

Ca vous intéresse ce qui s’est passé ensuite ??

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