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candaulisme – Chapitre 3

candaulisme - Chapitre 3



Je n’avais pas remarqué la petite carte sous mon essuie glace, « rendez-vous même heure même endroit vendredi, tenue très sexy exigée  de nombreuses surprises t’attendent, prévois pour le week-end» Franck Claude

Deux longs jours à attendre !!!!!!!!!

Je n’ai vraiment pas la tête au travail, je repasse la soirée d’hier en boucle et suis obligée d’aller plusieurs fois me rafraîchir aux toilettes. Ce doit être très visible car mes collègues sinquiètent pour ma santé.

La pause de midi, vais-je retourner à la Gironis, je prends la décision que oui. Je m’y rends rapidement, mes deux compères n’y sont pas, je me gare. A peine le moteur coupé, un homme la soixantaine, BCBG me fait des appels de phare, puis se dirige vers ma voiture,je fais quoi ?

Tant pis, il n’est pas trop laid, j’attends, il frappe à ma vitre et me demande si je m’ennuie, je réponds bêtement que oui. Il ouvre la portière passager, entre et très poliment me salue, aucun geste déplacé. Nous parlons un petit moment et il me demande si je connais un coin discret par ici. Je pense de suite au tertre au fond du parc, nous nous y rendons. Le monsieur défait sa cravate, ouvre sa chemise, me prends dans ses bras et force ma bouche, je lui rends un baiser fougueux, il apprécie.

Je descends la fermeture de sa braguette et me saisis de l’objet du désir, très agréable surprise, monsieur a un sexe d’un vingtaine de centimètres et d’un bon 5,5 cm de diamètre. Je lui baisse le pantalon, l’invite à s’allonger sur l’herbe et mempale sur ce sexe tendu après lui avoir enfilé un préservatif avec ma bouche, il jouit rapidement. J’ai un tout petit orgasme mais il a eu le mérite d’éteindre l’incendie de mon ventre. Nous regagnons nos voitures sans autre forme de procès, je rentre au travail.

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Vendredi matin, je n’ai pas beaucoup dormi. Je commence le travail à 7h30, je serais ainsi libre à 14h30. Vers neuf heures, du bureau, je prends rendez-vous chez une esthéticienne, par chance, une cliente vient de se décommander. Je lui explique que je veux une épilation totale. C’est d’accord.

Je m’y rends non sans m’être autorisée à partir un quart d’heure plus tôt du bureau, la séance est douloureuse mais très professionnelle et le résultat est idéal.

Je vais faire quelques emplettes afin de me créer des tenues très sexy. Mes choix vont vers des minis en Skaï, en lycra, en cuir. Des bustiers dans les mêmes matières, des chemisiers transparents à la limite du importable, une jupe longue fendue sur le côté jusqu’à la ceinture. Mes sous vêtements sont dans la même lignée achetés tous dans un sexe shop prés de Balma., autant dire fonctionnels pour ce week-end.

Je repasse par la maison et me change, j’ai vraiment l’air d’une professionnelle: bustier vinyle noir, jupe mini vinyle noir, botes noires jusqu’aux genoux avec des hauts talons. Je marche ainsi très cambrée ce qui fait ressortir mes fesses. Pas facile pour conduire mais le chemin est court.

J’arrive à l’heure, ces messieurs sont là. Franck se dirige vers ma voiture, ouvre la portière, me jauge et apprécie d’autant que j’écarte largement les jambes pour sortir. Quelques jeunes qui sortent du stade me sifflent. Franck me remet une grande enveloppe, il exige que j’aille au fond du parc pour l’ouvrir et suivre les instructions. Je crains un peu et lui en fait part, il me suivra à distance et interviendra si nécessaire.

J’arrive au fond du parc et, à l’abri des regards, ouvre l’enveloppe. J’y trouve une missive avec un plan et des instructions. Au fond un collier de chien, une laisse, un masque et un rosebud. Je dois porter immédiatement le collier et le rosebud. Je m’empresse dobéir.

Nous revenons aux voitures, pas un geste de Franck rien pas même un bisou !

Nous garons ma voiture dans une rue plus passante, devant une maison qu’il semble connaître, en me disant « ne tinquiète pas elle ne risque rien ici » Je monte dans sa voiture ou se trouve Claude et un autre copain Gilles. Nous partons vers Toulouse, je crains le pire. Nous nous arrêtons devant un tatoueur. Franck me dit qu’il veut que je sois marquée comme étant sa propriété « sexuelle » On entre, manifestement ma venue était attendue. Le tatoueur me fait allonger sur une table genre gynéco.

Il arrive avec ses instrument, baisse mon string, je pensais un tatouage et non, ce sera deux anneaux aux lèvres de mon sexe. Je souffre un peu mais c’est supportable. Il m’ouvre ensuite mon bustier, ouvre mon sg et m’aspire mes tétons avec une pompe, il revient avec une aiguille et sans crier gare me perce les tétons, là je crie. Il remplace l’aiguille par un anneau chirurgical, il fait de même à l’autre, c’est assez douloureux, il me passe une crème anesthésiante et me laisse le tube. Il me passe alors une chaînette dans les deux anneaux du sexe qu’il fait remonter en la croisant vers les deux anneaux des tétons, il la referme avec un anneau et le soude, il est impossible de l’enlever.

Nous repartons vers la voiture de Franck, je suis rincée. Nous démarons, je suis allongée à l’arrière sur la banquette, la tête sur les genoux de Claude, Gilles est devant.

Vers 20h30 nous arrivons devant une grande bâtisse, entourée d’un parc, clos par un mur imposant. Je suis un peu inquiète. Nous sommes accueillis par une femme très belle . Elle nous accompagne dans une grande salle ou sont déjà présents de nombreux convives hommes et quelques femmes.

Nous sommes invités à partager un cocktail avant que l’on nous serve un repas. Le cocktail semble très puissant, la chaleur me monte rapidement aux joues et aussi au bas ventre.

Au bout d’un long moment, durant lequel mes trois chevaliers sont toujours à mes cotés, de plus ils ont laissé trainer leurs mains, nous sommes invités à passer à table, une immense table très longue et large manifestement en chêne massif. Autour des fauteuils accueillants, Le premier plat est servi, une entrée sublime. Ensuite arrive un gibier excellent lui aussi. Je remarque au murs des croix avec des liens et au plafond des lustres en forme de roue, suspendus par de très grosses chaines. A ce moment Franck passe derrière moi et m’attache la laisse au collier. Un petit moment se passe, des hommes habillés en valets viennent se placer derrière chaque femme qui ont elles aussi un collier et les invitent à les suivre. Seuls les hommes sont restés dans la grande salle. Nous sommes invitées à plonger la main dans une urne pour tirer des numéros sur une petite pancarte, je tire le 13 ! les pancartes sont placées à notre cou.

Nous restons ainsi un bon moment, un valet vient nous chercher, nous sommes placées le long d’un mur dans la grande salle, on perçoit des chuchotements. Un homme à la voix forte annonce alors le dessert. Il demande à chaque homme de tirer un numéro. À chaque numéro de femme correspond un ou plusieurs convives. Je compte rapidement, si les valets sont exclus, il y a 3 hommes pour une femme. La première une dame la cinquantaine se voit attribuer un seul, elle a l’air déçue. Ainsi de suite pour les 12 autres, avant moi au maximum pour ces dames on a attribué deux hommes. Il reste 7 dames pour 36 hommes dont certains sont charmants. Vient mon tour un puis deux, puis quatre puis huit , huit pour moi !!!! ce qui arrive aux autres ne me concerne plus, j’ai la chance d’avoir Claude avec moi, Franck et gilles ont moins de chance !!!!!

Le plus âgé de mes prétendants prend ma laisse et m’invite à le suivre, nous allons dans un coin de la pièce ou se trouve une croix au mur, une table bizarre et au plafond une roue. Les autres suivent. Je suis rapidement dénudée, seule me reste la chaîne et les piercings. Mes prétendants ont l’air d’apprécier. Je suis attachée à la croix par des sangles aux chevilles et aux poignets, elle tourne sur elle même et je me retrouve la tète en bas juste a la hauteur des sexes de ces messieurs, le plus ancien me tends le sien, je le gobe avec avidité, il me caresse le sexe avec beaucoup de douceur. Il vient, j’avale non sans peine. Un deuxième se présente, puis les autres, je prodigue huit fellations. Ils retournent la croix, j’ai la tète qui tourne. Ils descendent la roue du plafond m’allongent dessus, mes jambes pendent dans le vide, ma tête aussi. Ils se positionnent autour de la roue, j ’en ai un à la tète, l’autre près du sexe ils me caressent, je les branle pour leur redonner de la vigueur, ils n’en manquent pas( viagra?). Enfin le premier m’embroche, je suce celui en face de moi, ce sera ainsi quatre fois ou trois arriveront à me faire jouir, je suis couverte de sperme et d’urine car certains se sont vidés sur moi. Je suis en transe. Il me faut d’autres sexes, d’autres pénétrations. J’en fais part à Claude qui avise le plus ancien. Il part vers le maître de maison, ils discutent. Les autres me caressent, un des plus jeune me retourne et m’encule il a un sexe très long. Je vois deux jeunes à qui on avait attribué une personne de la cinquantaine qui se caressent, je suis ahurie par le sexe de l’un d’eux, il fait au moins 32cm et il embroche complètement son copain de jeu, 32 cm dans l’anus, j’en rêve !!!!

Pour moi c’est le vide après la tempête, je veux d’autres sexes, on me détache de la roue et une femme me traîne par la laisse vers une sortie, Claude me suit. La femme me roule une pelle monumentale, lèche ma chatte toute dégoulinante et boit le sperme qui en coule. Elle me dit «  tu veux des sexes tu vas en avoir. Nous sortons dehors, moi toujours nue et traversons la cour .

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