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Carole et Clothide – Chapitre 1

Carole et Clothide - Chapitre 1



Le jour où elle ma dit « Je men vais. », la seule chose que j’ai pu répondre c’est : « Au revoir, à bientôt. ». Voilà. Quinze ans de vie commune résumés dans cette simple phrase. Je ne fus même pas étonné de ma réaction. Par contre, la sienne fut toute autre : elle resta bouche bée puis tourna les talons et disparut derrière la porte d’entrée.

Donc me voilà célibataire. A moi la belle vie ! Je commence à sortir pour me trouver une partenaire mais à chaque fois : râteau. Puis, un jour, la meilleure amie de mon ex m’appelle pour me donner rendez-vous :

« Allo Philippe ? Est-ce que tu es libre en fin d’après-midi ? »

Je lui réponds par l’affirmative.

« On peut se voir vers 17h à l’endroit habituel, c’est un bar en centre-ville

— Ok à plus. »

Je raccroche.

Tout l’après-midi, je me pose la question de savoir ce qu’elle me veut car elle ne me porte pas dans son cur, sans que je puisse en connaître la raison. Enfin 16h ! Je quitte mon boulot pour rentrer chez moi, je prends une douche puis je sors pour aller à mon rendez-vous. J’arrive à la terrasse du café et fais signe au serveur qui arrive cinq minutes plus tard. Je règle ma consommation. Je suis perdu dans mes souvenirs quand une voix me ramène sur terre :

« Bonjour, bonjour.

— Excuse-moi, bonjour. »

Elle se penche vers moi pour me faire la bise, chose quelle n’a jamais faite du temps où j’étais avec Clothilde. Je suis de plus en plus perplexe mais je ne dis rien et lui fait la bise comme si ces quinze ans de reproche et d’amertume n’avaient jamais existé.

« Tu veux boire quelque chose ? Ou bien on va ailleurs ?

— Je préférerai que nous allions autre part, il y a trop de monde ici. »

Je me lève en lui disant : « Je te suis, on va où tu veux. Mais d’abord, juste pour savoir dans les grandes lignes, tu veux me voir ou tu veux me parler ? ».

Elle fait la moue et dans ses yeux, je vois une hésitation, mais elle répond :

« Juste te parler. Tu es venu comment ?

— En voiture. »

Je prends la direction de ma voiture avec Carole qui me suit.

« Bon alors On va où ?

— Chez toi. Pour ce que je dois te dire, je crois que ça vaut mieux. C’est un truc dur à dire.

— Ah bon ? A ce point-là ? Lui répondis-je.

On prend donc la direction de chez moi, je me gare puis nous rentrons dans la maison.

« Vas-y, assied-toi. Tu veux boire quelque chose ?

— Oui un café, merci. »

Je pars dans la cuisine faire les cafés.

À mon retour au salon, je reste devant la porte à la regarder assise dans le fauteuil. S’il n’y avait pas la coupe de cheveux et la couleur, on aurait dit mon ex. Je secoue la tête puis je dépose les tasses sur la table basse.

« Bon alors De quoi veux-tu me parler? Autant être direct.

— Heu, me fit elle un peu gênée, comment te dire ça cest un peu dur à dire de but en blanc je ne sais pas par où commencer

— Et bien si tu commençais par le début, je crois que ça serait plus simple, lui répondis-je doucement.

— En fait, j’ai deux choses à te dire. La première concerne Clothilde

— Tu peux oublier la première. Passe à la seconde, la coupai-je.

— Non il faut que tu saches

— Tu oublies et tu passes à la seconde. Merci. »

Elle fait la moue mais je m’en moque.

« Et donc La deuxième te concerne.

— Ah bon ? Moi ? Et pourquoi cela ?

— Et bien, pour tout te dire, je suis amoureuse.

— Tu men vois ravi. Mais en quoi cela me concerne-t-il ? (Une petite idée me vient)

— Parce que je suis amoureuse de toi. »

Je ne mattendais pas à ça. Je reste sans voix, comme étourdi par la nouvelle que je viens d’apprendre. Les seuls mots qui me viennent sont un peu méchants de ma part mais cela fait trop longtemps que j’attends ma vengeance, et elle me la donne. Mais je n’ai pas le temps de répondre quelle se lève, traverse le salon et sort de la maison comme si rien ne s’était passé. Je me reprends, sors à mon tour, la rattrape dans la rue, lui prends la main pour la tirer vers moi et je lenlace. Lorsque je la regarde dans les yeux, ils sont rougis. A-t-elle pleuré ? En fait, je m’en fous. Je lui prends le menton et pose mes lèvres sur les siennes. A son contact, je sens un fourmillement dans mon bas-ventre : il faut dire que six mois dabstinence, ce nest pas rien.

Nous repartons chez moi. A peine la porte franchie, je la prends dans mes bras pour l’embrasser de nouveau, puis ma main part à l’aventure sur ses hanches. Aucun refus de sa part. Je poursuis le parcours de son corps. Au fur et à mesure que je remonte, elle frissonne. Je m’arrête sur ses seins que je sens durcir sous son chemisier que je mempresse d’ouvrir puis je la pousse doucement pour regarder sa poitrine. Comme elle ne porte pas de soutien-gorge (de toute façon elle n’en a pas besoin), je vois ses seins. Ils sont droits et fermes avec un téton souple et rose sur une aréole plus mate. Je m’avance pour en prendre un en bouche et caresser l’autre. Elle laisse échapper un soupir :

— Hum oui ça fait si longtemps que j’en ai envie je crois rêver oui continue encore voilà hum, que cest bon suce-les bien tous les deux ils sont à toi à présent. »

Je finis de la déshabiller pour ne lui laisser que son string. Elle fait de même avec moi pour ne me laisser que mon boxer ; puis je la pousse dans le canapé et plonge vers elle pour reprendre là où je me suis arrêté. Je descends doucement vers son ventre plat, puis vers son mont de Vénus qui commence à m’appeler avec ses effusions d’odeur qui sont un plaisir pour moi. La bête se réveille doucement, mais je reste là à respirer son odeur. Je laisse ma main aller vers sa chatte. Lorsque mes doigts se posent sur son string, je sens un léger frissonnement. Je joue avec la ceinture puis je passe un doigt en-dessous et là, de nouveau, un petit tremblement. Mais maintenant, cest avec ses poils souples que je joue. Son odeur devient plus sensuelle, puis je touche ses lèvres. Elle laisse échapper un petit cri de plaisir. Je continue de caresser sa chatte. Elle se laisse aller au plaisir, sa respiration s’accélère de plus en plus ce qui me fait bander dur. Je reprends ma descente vers sa chatte, je déchire une partie de son string avec ma bouche et au moment où je pose ma bouche sur sa chatte, elle s’arrête et je ne bouge plus. Jattends. Je la laisse prendre du plaisir car je sens bien qu’elle n’attendait que ça et qu’elle veut apprécier le moment, aussi fugace soit-il. Lorsque je sens sa main sur ma tête qui me caresse, je me mets à la lécher, et là, le démon se réveille pour elle comme pour moi : je suis plus dur qu’une barre de fer. Mais par contre, elle, elle ne se retient plus et se lance dans des vocalises, des cris et des gémissements comme jamais :

« Oui lécher moi hum ho continue doucement là voilà hum ha laisse danser ta langue sur mon clito oui rentre la »

Pendant quelle me parle, je lance un doigt inquisiteur, ce qui ne fait que la mettre encore plus en furie. Je rentre de plus en plus loin dans son puits d’amour.

«  Oui encore continue mets en un deuxième »

Je fais ce qu’elle me demande, puis j’en ajoute un troisième et je commence un va et viens dans sa chatte avec mes doigts. Elle ondule de plus en plus fort, jai de plus en plus mal aux boules qui sont enfermées mais mon gland lui est sorti tout seul de mon boxer. Mes va et viens vont crescendo puis son corps sarc-boute. Elle laisse sortir un cri de jouissance et retombe. Je retire mes doigts de sa chatte tout en continuant à la lécher. Sa main continue à me caresser puis elle me repousse par les épaules, se penche vers moi et m’embrasse. Elle me dit :

« Merci, c’était merveilleux. Je n’avais pas joui comme ça depuis longtemps. »

Je me relève en lui disant :

« Tout le plaisir est pour moi. »

Je suis toujours au garde-à-vous enfin ma queue l’est, et comme je suis debout, elle ne peut que la voir.

« Maintenant, à moi de m’occuper de toi, me dit-elle avec son sourire mutin que je ne connaissais pas en se redressant. »

Elle se rapproche de moi, m’embrasse en collant son corps contre moi pour sentir ma queue puis une de ses mains vient entre nous et commence à caresser ma queue comme pour juger de sa dureté et de sa longueur. Elle s’arrête sur mon gland où perle une goute. Sentir ses doigts dessus m’électrise. Nos lèvres étant toujours soudées, aucun son ne sort de ma bouche mais elle comprend que c’est le moment de s’aventurer plus avant. Alors elle glisse sa main dans mon boxer. Un « oh ! » sort de ma bouche au contact de sa main car cela fait un moment quaucune femme ne ma tenu comme ça. Dans sa main, je tremble de plaisir. Encore plus lorsqu’elle joue avec mes boules en les massant. Ne tenant plus, je lui fais comprendre ce que je veux. Tout en me regardant, elle joint son autre main et fait descendre mon boxer. Ça y est, la bête est sortie : enfin elle respire et bouge librement, ce que ne manque pas de voir Carole qui sourit d’envie.

« Hum je crois que je vais aimer, me dit-elle en la regardant. »

Puis elle lève la tête et me regarde. Ce que je vois dans ses yeux me laisse imaginer la suite. Je lui dis :

« Je suis sûr que tu vas aimer ma belle vu la longueur et l’épaisseur (28/6 du gland au pubis). »

Mais elle se redresse pour m’embrasser de nouveau. Cette fois, sa main caresse ma queue doucement et glisse, joue avec le gland, me masse les boules puis redescend tout en continuant à me caresser. Je sens son souffle sur ma queue. Je m’attends à ce quelle me prenne en bouche mais elle se lance dans une lente masturbation : un léger va et viens qui me font plaisir, ce que je lui fais comprendre en lâchant un grognement de plaisir. Elle me pousse dans le fauteuil et reprend sa masturbation de plus en plus vite. Ma respiration s’accélère en même temps que sa main puis, d’un coup, elle me prend en bouche. Le contact chaud de sa bouche me surprend tellement que je lâche un grognement de plaisir :

« Hargggg ! Ho Carole que c’est bon ce que tu me fais »

Elle suce, lécher ma queue, me titille le gland, masse, joue avec ou lécher mes boules. Si je la laisse faire, je vais jouir dans pas longtemps alors je l’attrape par les épaules pour quelle s’arrête, mais sans trop d’efforts car je suis trop bien. Cela fait un moment que l’on ne m’avait pas sucé comme ça : elle le sent et continue de plus belle alors je me laisse faire puis je sens que ça monte doucement mais sûrement tant que sa fellation me fait plaisir. Je me laisse aller puis je sens que ça monte, je veux la prévenir pour ne pas jouir dans sa bouche la première fois :

« Carole je sens que ça vient »

Mais elle aussi a senti que ma queue gonfle encore un peu alors elle continue sa fellation du feu de dieu. Elle voit et sent que je me contracte de plus en plus. Je suis à bout à force de me retenir. Je lâche un jet qui la surprend car elle s’arrête net contre mon pubis puis recule un peu pour attendre les autres.

« Hum oui que c’est bon »

Un deuxième et encore deux autres arrivent dans sa bouche. Elle déglutit en me regardant dans les yeux avec ma queue toujours dans sa bouche. Je la regarde puis la prend par le bras pour la relever et je l’embrasse, elle a le goût de mon sperme.

« Merci mon amour. Je t’aime. Viens, on va prendre une douche et tu me raconteras tout. »

Bien sûr, la douche est encore l’occasion de baiser une fois de plus mais avec une variante car je la pénètre.

Quand nous sortons de là, il fait nuit.

« Bon, on mange et tu me racontes ? »

Nous redescendons à la cuisine.

« Depuis quand es-tu amoureuse de moi ?

— Depuis que nous nous sommes rencontrés la première fois avec Clothilde.

— Attends tu es amoureuse de moi depuis quinze ans et c’est maintenant que tu me le dis ?

— Oui, parce que aujourd’hui j’ai trouvé le courage. Et comme toi tu avais des vues sur Clothilde, je n’ai pas voulu me mettre entre vous. Mais tu dois savoir une chose sur elle, cest important.

— Non, je ne veux pas savoir. Depuis le temps qu’on se connaît, tu devrais savoir que je ne reviens pas en arrière.

— Oui, je sais tout ça, me dit-elle. Mais ce qui lui arrive en ce moment est grave pour quelle rompe comme ça.

— Merci du souvenir

— Pardon. Ce que je veux dire, c’est que cest plus grave que ça.

— Attends Qu’est-ce que tu me dis ? Grave comment ?

— Et bien, je crois l’avoir vue hier vers minuit.

— Et alors ? Elle était peut être sortie, tout comme toi.

— Oui, sans doute, mais pas habillée comme ça, enfin moi certainement pas et normalement elle non plus.

— Attends Que veux-tu dire par là ? Pas habillée comme ça alors comment ?

— Et bien, pas avec un décolleté aussi pigeonnant et une jupe aussi courte que l’on pouvait voir son string. Mais comme je te l’ai dit, je ne suis pas sûre voilà.

— Et tu las vue où ?

— Dans la rue Lazard, me dit-elle doucement comme si elle avait peur de me faire mal. »

Car je connais la rue dont elle me parle. La colère me monte, une colère froide.

«  Tu es sûre que cest elle que tu as vue là-bas ?

— Non, je nen suis pas sûre et cest ça qui me fait peur : c’est d’avoir raison.

— Carole arrête de me dire des conneries. Je te connais bien tu sais, tu ne serais jamais venue si tu n’avais pas vérifié par toi-même alors dis-moi la vérité : cest elle, oui ou non ? »

Je la vois baisser la tête alors je commence à comprendre mais je veux être sûr, je veux que ce soit elle qui me le dise.

« Oui, cest elle. Lorsqu’elle m’a vue, elle a baissé la tête de peur que je la reconnaisse. »

Je n’écoute plus rien. Je me lève, l’embrasse puis monte dans ma chambre. Lorsque je redescends, je me suis habillé. Elle me regarde puis me dit :

« Tu vas la chercher, c’est ça ? Tu me laisses pour elle ? Tu l’aimes encore ?

— Oui, je vais la chercher. Mais ne tinquiète pas, je suis à toi pour le reste du temps que l’on doit passer ensemble. »

Puis je l’embrasse de nouveau et sors.

Au bout de trente-cinq minutes de route, j’arrive dans la rue. Je me gare et attends de la voir. Il ne se passe pas plus de cinq minutes pour que je la remarque. Oui, c’est bien elle : je l’a reconnaîtrais entre mille. Je sors de la voiture et remonte la rue. Arrivé à sa hauteur, je l’attrape par le bras en lui disant :

« Tu viens avec moi. »

Son bras se raidit. Je sais quelle ma reconnu. Elle ne résiste pas et me suit sans rien dire. Je lui dis de monter dans la voiture, ce quelle fait. On aurait dit un automate. Je démarre lorsquune voix minterpelle. Je ne réponds pas et poursuis ma route. Lorsque je me gare devant chez moi, une voiture s’arrête. Deux types descendent jusquà arriver à ma hauteur. Le premier menvoie un coup de poing dans l’estomac et le deuxième tire Clothilde de l’autre bras mais je ne la lâche pas. Puis, une voix que je reconnais leur dit d’arrêter. Donc cest lui son maquereau : mon meilleur ami. Cest pour cet enfoiré qu’elle m’a quitté et lui il la met sur le trottoir ! Il me regarde et me dit :

« Si tu profites, tu passes par mes hommes car elle est à moi maintenant. »

Je ne sais plus ce quil s’est passé. A ce moment-là, le premier à côté de moi se retrouve par terre avant même qu’il ne comprenne ce quil se passe. Son acolyte suit le même chemin. Lorsque je me trouve devant mon ex meilleur pote, il fait la seul chose qu’il n’aurait jamais dû faire : sortir une arme. C’est lui ou moi. Finalement, c’est lui qui sest retrouvé à l’hôpital avec un bras cassé et les flics en plus. Quant à moi, après les dépositions, je suis rentré chez moi avec quarante-huit heures de retard.

Lorsque j’ouvre la porte, j’entends deux voix qui proviennent du salon, mais je monte prendre une douche et me changer. Je redescends et me dirige vers celui-ci. J’ouvre la porte et vois d’abord Carole qui s’est changée depuis notre fameuse discussion : elle porte une petite robe d’été à fleur qui lui va très bien. Elle est superbe. Mon sang commence à chauffer puis je vois Clothilde. Elle aussi porte une petite robe d’été. Elles se tournent toutes les deux. Je leur dis bonjour puis je vais tout droit dans le fauteuil. Elles me répondent en cur :

« Bonjour mon chéri ! »

Là, c’est moi qui ne comprends plus rien ou je suis dans un rêve. C’est ça, je rêve. Puis Carole me ramène sur terre :

« Arrête de rêver tu veux bien ? Viens me dire un vrai bonjour. »

Je me lève et je l’embrasse à pleine bouche puis je me retourne pour aller dans le fauteuil mais Clothilde me dit :

« Et moi je nai pas le droit au bonjour ? »

Je me penche pour lui faire la bise mais elle m’attrape et m’embrasse elle aussi à pleine bouche. Je tire la tête en arrière et regarde Carole. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu’elle m’embrasse à nouveau à pleine bouche puis me sourit et me dit :

« Pendant que tu nétais pas là, nous deux on sest parlé. On a tout mis sur la table.

— Je vois ça. Vous avez tout mis et même plus on dirait. Bon alors, laquelle de vous deux va me dire le fin mot de lhistoire car je voudrais bien comprendre un peu ce quil sest réellement passé depuis six mois. »

Alors Carole se lance et me raconte toute l’histoire sans rien omettre de ce qui est arrivé depuis ma séparation avec Clothilde : il les faisait chanter toutes les deux car il avait trouvé de vieilles photos d’elles toutes nues prises pendant des vacances avec leurs parents dans un camp de naturistes. Elles étaient seules et enlacées l’une dans les bras de l’autre mais rien ne s’était passé. C’était juste l’angle de la photo qui faisait croire le contraire. Je regarde Clothilde et la vois pleurer. Je tourne la tête vers Carole, même chose. Je les regarde toutes les deux puis leur dit que tout cela est maintenant terminé et que plus jamais je ne laisserai qui que ce soit leur faire du mal.

Je me relève et sors dans le jardin en les laissant toutes les deux. J’ai besoin de réfléchir à tout ce quil sest passé ces deux derniers jours : je perds celui que je croyais être mon meilleur pote en apprenant que c’était un maître chanteur couplé d’un mac. En plus, je suis tombé amoureux de la meilleure amie de mon ex qui était obligée de se prostituer avec mon ex à cause d’une photo. J’ai la tête qui va exploser. Je dois prendre une décision mais laquelle ? On a rompu avec Clothilde, mais pour de mauvaises raisons et je suis tombé amoureux pour ces mêmes raisons. Perdu à réfléchir, je sors de ma torpeur au contact de Carole qui se colle à moi puis me murmure à l’oreille, enfin je crois, en me caressant le torse :

« Tu sais que je t’aime. Mais je ne suis pas la seule à t’aimer.

— Oui je sais et oui je t’aime et oui… »

Je laisse ma phrase en suspend pour quelle sache que j’aime aussi Clothilde, quelle reste vraiment en moi.

— Je sais tout ça. C’est la vie !

Je ne bouge plus car je connais cette expression : c’est Clothilde qui est contre moi. Je me retourne et vois Carole juste derrière. Je la tire à moi et je l’embrasse. Je la regarde dans les yeux : ils sont plein de malice, tout comme ceux de Clothilde.

« Je crois qu’il vient de comprendre ce qui va se passer, ma belle.

— Oui je crois aussi, mais est-il vraiment sûr de le vouloir ? »

Je passe de l’une à l’autre. Si je le veux ? Et comment que je le veux. Avoir deux superbes femmes que j’aime avec moi, que demander de plus.

Je serre Carole contre moi puis je tire Clothilde et l’embrasse avec envie pour quelle sache que je l’aime encore ; puis je reprends possession de la bouche de Carole. Elles ne sont pas en reste pour autant, chacune met une main dans mon boxer. La réaction fut instantanée, surtout quand l’une est sur ma queue, l’autre me masse les boules et vice versa. Je fis de même en passant mes mains sur leurs fesses que je caresse puis je passe un doigt sur la raie culière de chacune. Je poursuis mon parcours en descendant vers leurs chattes. Lorsque j’arrive à celles-ci, elles sont déjà mouillées. Je glisse un doigt dedans, de légers gémissements sortent de leur bouche. Moi aussi je bande de plus en plus, surtout quand elles parlent de ma queue et elles en jouent :

« Alors ma chérie, comment tu la trouves ?

— Elle est belle, bien dure et longue.

— Oui, ce que j’aime moi, c’est sa longueur et son diamètre.

— Tu as raison, quand il est en toi, c’est que du bonheur. Tu prends ton pied. »

Et tout ça en me masturbant doucement à deux mains et moi qui les doigte. Je ne comprends vraiment pas, mais bon, le cerveau féminin je m’en fous. Je décide de passer aux choses sérieuses en mettant un doigt de plus dans chaque chatte et commence des va et viens. De nouveaux gémissements plus soutenus sortent de leurs bouches, ce qui fait quelles aussi se montrent plus entreprenantes. Elles tirent mon boxer de chaque côté pour libérer mon sexe qui atteint sa taille de croisière.

« Elle est vraiment belle, dit Carole. »

Puis elle commence à me lécher la queue sur toute sa longueur et Clothilde se met à me lécher les boules.

« Hum, deux langues sur ma queue Putain que c’est bon Le rêve »

Elles sont si différentes. Puis, Carole me prend en bouche pendant que Clothilde gobe mes boules.

« Hum oui que c’est bon oui Carole continue »

Juste à ce moment-là, Carole arrête et Clothilde la remplace et commence à me sucer pendant que Carole joue avec mes boules, les lécher, les gobe.

« Hum Ho que c’est bon oui voilà encore »

Encore une fois, elles changent de rôle et ça repart de plus belle. A chaque fois que je dis quelque chose, elles changent de place ; alors je me prends au jeu et me tais environ cinq minutes puis je laisse sortir un son et hop, nouveau changement de place. Je voudrais que cela ne s’arrête jamais, mais vient le moment fatidique où je ne tiens plus. Carole le sent, elle se recule un peu et invite Clotilde à se joindre à elle. Je ne tiens plus longtemps et me lâche :

« Harg ! Que c’est bon »

Elles se remplacent sur ma queue à chaque jet de sperme puis elles finissent de me sucer. J’ai la queue encore dure du simple fait de leurs caresses buccales.

Je les prends par la main et les aide à se relever puis je me dirige vers le salon où je les fais asseoir dans le canapé. Je suis en face d’elles. Je les regarde et me dis que si je ne les connaissais pas, je les prendrais pour deux surs. Je vais à la cuisine chercher deux verres d’eau que je leur tends. Elles le prennent et commencent à boire lorsque je me mets à genoux entre elles ; je décide de caresser chacune. Elles sursautent et crient tant elles sont surprises par ma caresse ; elles ont même bavé sur leurs robes. Je pousse plus loin vers le Mont de Vénus de chacune mais les strings et les robes me gênent. Je sors mes mains et défais les boutons jusqu’en haut puis je reprends mes caresses sur leur peau que j’ai un peu de mal à différencier. La bête commence à bouger un peu plus. Leurs seins sont vraiment différents : ceux de Carole sont droits, presque fiers mais souples avec une aréole mate et un téton rose qui appelle à le prendre en bouche. Ceux de Clothilde sont de la même nature droits mais plus lourds ; aussi souples mais d’une seule couleur que je connais bien. Je passe de l’un à l’autre puis je descends sur le ventre que je connais déjà et l’autre que j’ai découvert il y a deux jours. Ils se ressemblent un peu sauf que, chose nouvelle pour moi, Clothilde porte maintenant un piercing, ce qui m’excite encore plus.

J’arrive à la porte du bonheur de chacune d’entre elles. Je passe le revers de la main sur leurs pubis plusieurs fois puis je retourne ma main et commence à jouer avec mes doigts sur chacune. Les gémissements commencent à se faire entendre dans la maison. Je passe un doigt sur la ficelle de leurs strings et tire dessus en les faisant descendre jusqu’à leurs pieds puis recommence à jouer avec leurs chattes. Je passe mes doigts sur leurs lèvres qui sont gonflées de sang et de plaisir. Je trouve le clitoris des deux et je le masse, le titille un peu. J’ai maintenant envie de lécher la chatte de Carole. Je passe ma tête sous ses jambes et avance vers sa chatte mais je serais trop court pour continuer de doigter Clothilde alors je la tire vers moi en même temps que je me déplace pour aller lécher Carole. Elle a compris et prend une autre position, elle avance son bassin vers moi pour me faciliter l’accès à sa chatte et le jeu reprend de plus belle. Les gémissements de Carole sont plus longs alors que ceux de Clothilde sont plus saccadés. Carole a entrepris de me caresser pendant que, sur ma langue, son jus acidulé coule de sa chatte. Je ne le connaissais pas mais j’apprécie beaucoup. Il est différent de celui de Clothilde qui est plus salé mais tout aussi exquis. Je me décide de le goûter de suite : je sors ma tête de lentre-jambes de Carole pour aller vers celui de Clothilde qui prend la position qu’avait Carole. Je commence à la doigter et à la lécher en même temps. Clothilde fait la même chose que Carole avant elle mais ses doigts sont plus agiles sur ma queue quelle connaît bien, mais elle connaît surtout la manière de me maintenir dur.

Leurs gémissements sont de plus en plus longs et forts. Au bout d’un moment, je lève les yeux vers Carole pour la regarder et ses yeux me disent : « Viens, prends-moi. J’ai envie de toi. » Mais je continue à lécher en lui mettant deux doigts. La furie qui est en elle se réveille. Elle attrape mes cheveux pour m’embrasser puis me dit « prends-moi ». Je me lève en leur tendant la main. Elles se lèvent puis je les tire vers la chambre où on sera plus à l’aise. Je les invite à monter sur le lit et reprends là où j’ai laissé Carole ; mais Clothilde s’amuse à me sucé ou à me lécher les boules. Jentends Carole qui gémit, cela déclenche mon envie de la prendre. Je descends du lit et la tire au bord. Elle comprend où je veux en venir. Elle sourit, Clothilde aussi. Je passe entre les jambes de Carole et joue avec mon gland sur les lèvres de sa chatte qui coule de plaisir puis je me présente devant son puits d’amour et rentre doucement pour apprécier le moment. Elle apprécie aussi et lâche un feulement. Je ne bouge pas, c’est elle qui prend linitiative en faisant onduler doucement son bassin d’avant en arrière. Je la laisse faire un moment puis prends les choses en main (au sens propre comme au sens figuré. J’attrape ses hanches pour faire des va et viens plus forts et rapides.

En même temps, je regarde à droite et je vois Clothilde que je tire vers nous. Lorsquelle se trouve à la bonne hauteur, je passe une de ses jambe par-dessus le corps de Carole et me penche vers elle pour lécher de nouveau sa chatte. Carole, qui a senti Clothilde sur elle, lui caresse doucement le corps. Je vais de plus en plus fort dans Carole et, comme j’ai joui plus tôt, je garde la cadence longtemps.

Au bout d’un moment, je fais une chose que je n’aurais jamais faite : je tends la main vers le meuble, ouvre le tiroir, sors une boîte et mets la main dedans pour prendre un préservatif. Carole s’en aperçoit, me regarde, tourne la tête vers Clothilde, me regarde de nouveau, m’arrache le préservatif de la main, le jette derrière le lit sans rien dire, m’attrape la tête, m’embrasse et me murmure :

« Pas ce soir, pas pour elle, quand à moi, je veux te sentir jouir au fond de moi. »

Je l’embrasse de nouveau et sors de sa chatte. Un soupir sort de sa bouche. Je tire Clothilde pour quelle soit en face de moi. Elle me regarde puis regarde Carole qui l’embrasse. Je tape ma queue sur son con puis je plonge doucement comme si c’était la première fois que je faisais l’amour avec elle malgré les quinze ans passés ensemble. Je prends un rythme un peu plus rapide, elle gémit dans la bouche de Carole pendant quelle lui caresse les seins. Sa chatte m’aspire et me serre de plus en plus. Je connais ces signes : elle va avoir un orgasme et il va être fulgurant. Je ne dis rien à Carole et je continue bien plus vite à présent. Elle jouit, tout son corps se tend comme un arc qui tire sa flèche. Et quelle flèche ! Son corps se relâche et tombe lourdement sur le canapé. Carole me regarde, je suis toujours en elle.

« Waouh, c’est toujours comme ça ?

— Non, ça lui arrive seulement quand elle est en période d’ovulation, sinon cest bien plus calme. »

Je me retire de Clothilde doucement et regarde Carole.

Je passe sa jambe par-dessus ma tête pour avoir accès à sa chatte plus facilement et je plonge vers celle-ci avec gourmandise. Je la lèche et rentre en même temps deux doigts dedans. Elle se cambre un peu, je continue à me délecter de son jus qui coule et j’arrête tout. Je la regarde et vois dans ces yeux un oui qui me donne envie. J’approche ma queue de sa chatte et rentre en une seule fois et vais au fond. Comme tout à l’heure, je ne bouge plus et c’est encore elle qui donne le signal de départ pour nous deux. Je glisse doucement mais régulièrement tout le long de ma queue. Elle me guide d’abord pour son plaisir puis pour le mien.

« Oui vas au fond viens en moi là encore plus fort oui vas-y fais-moi plaisir donne-moi ce que tu as donné à Clothilde je veux ressentir ce qu’elle a ressenti »

J’accélère fort à sa demande.

« Oui encore donne-moi tout vas-y lâche l’animal

Je la tire à moi puis bascule assis sur la chaise, elle sur moi. Elle saute de plus belle. J’en profite pour lécher un de ses seins. Les deux mains sur ses hanches, je lui imprime un rythme plus fort et rapide. Je me redresse à nouveau, je sors de sa chatte et lui demande de se mettre en levrette, chose quelle fait en posant ses deux bras sur le lit. Elle bombe son cul, je m’approche et passe un doigt sur sa chatte, elle feule comme une louve. Je le porte à ma bouche, son goût a changé depuis tout à l’heure. Je passe entre ses jambes, ma queue sur son pubis. Elle passe la main et le caresse comme pour l’inviter à reprendre sa place. Pas besoin de me le dire deux fois. Je rentre en elle à nouveau avec le même plaisir.

« Hum oui lance toi montre-moi encore les étoiles »

Je lâche vraiment la bête qui sommeille en moi, le rythme augmente très rapidement. Ce sont des coups de butoir quelle prend. Plus aucun son ne sort de sa bouche tellement elle recherche son souffle. Je sens que je ne vais plus tenir longtemps. Je nen peux plus. Un dernier coup de rein et je jouis en elle.

« Oui que c’est bon !… donne-moi tout »

Je donne tout ce qui me reste de force et de plaisir puis je bascule sur le côté en l’entraînant avec moi. Son corps, comme le mien, transpire. Nous sombrons dans le sommeil.

C’est Clothilde qui me réveille en rentrant dans la chambre pour prendre de quoi s’habiller. Il lui reste quelques vêtements que j’ai pas eu le courage de retirer de l’armoire.

« Bonjour le prince au bois dormant, me dit-elle avec le sourire. »

Je crois avoir fini de rêver. Enfin, je pense plus à un cauchemar même si une partie ma fait plaisir ; puis j’entends une autre voix qui vient vers la chambre. Non, je rêve plus, c’est bien Carole qui entre et vient m’embrasser. Je reste comme paralysé, lui attrape les épaules, la pousse légèrement en arrière et la regarde, incrédule.

« Qu’est-ce qu’il y a ? Tu ne m’aimes plus ? »

Je regarde Clothilde qui continue à s’habiller. Elle porte l’ensemble string et soutien-gorge à balconnet que je lui ai offert pour ses trente ans. Elle est vraiment superbe. Elle vient vers nous, s’assoit sur le bord du lit en me caressant le visage puis me dit :

« Mon amour, as-tu oublié ce quil sest passé la nuit dernière ? »

Mon sang ne fait qu’un tour, tout me revient comme dans un film : je vois la journée qui commence par le coup de téléphone, puis le rendez-vous et la soirée avec Carole, la fin de soirée devant chez moi avec Clothilde puis la bagarre avec mon ex pote, le poste de police, le lendemain après-midi chez moi dans le salon, puis le jardin avec Carole et Clothilde, puis la chambre toujours avec elles et enfin la nuit.

Je regarde Carole et Clothilde, elles me sourient toutes les deux. Elles sont dans la même tenue.

«  Bon alors, ce n’est pas un rêve. Tout ça a réellement eu lieu.

— Oui, tout cela sest vraiment passé. »

Je les regarde toutes les deux, j’avance une main vers chaque visage pour le caresser et elles se frottent contre mes mains.

« Je vous aime toutes les deux, je voudrais passer le reste de mon temps avec vous.

— Nous aussi on t’aime, et on ressent la même chose que toi »

Alors je les tire vers moi et les embrasse.

La journée ne fait que commencer, mais cela reste une autre histoire que je vous raconterai si elles veulent.

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