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Cartoons vivants – Chapitre 1

Cartoons vivants - Chapitre 1



Julie commençait à somnoler en cette heure tardive. Entièrement nue comme à chaque fois quelle se mettait au lit, elle déposa le livre de contes illustré sur la table de nuit puis éteignit la lumière. Des bruits confus parvenaient vaguement à la jolie blonde tandis quelle sabandonnait à un sommeil réparateur. Cette journée de cours sétait révélée aussi fatigante que les autres et ladolescente sendormit rapidement, le visage éclairé par un rayon de lune.

  La jeune fille émergea de linconscience avec limpression de navoir sombré dans le sommeil que quelques instants. Elle se sentait si perturbée quelle ne réalisa pas tout de suite quelle se trouvait en plein air. Cette constatation lui fit leffet dune gifle et elle porta instinctivement ses mains devant son sexe et sa poitrine.

  Effarée par la situation présente, elle regarda autour delle pour sapercevoir quelle se trouvait dans une forêt inconnue. Aucune âme qui vive, excepté quelques oiseaux qui rayaient le ciel dazur de leur vol silencieux.

« Merde, mais quest-ce que ça veux dire ? Je dois être en train de rêver, cest pas possible. »

  La végétation ne présentait rien dextraordinaire si ce nétait son extrême luxuriance, comme si le lieu appartenait à une contrée vierge de toute activité humaine.

Le contact de ses pieds nus sur le sol se révélait désagréable pour ladolescente en raison des racines et autres petits végétaux qui lui meurtrissaient la plante des pieds.

Julie était partagée entre le soulagement de ne rencontrer personne pour la voir nue et la peur de se trouver seule en ce lieu inconnu.

« Quest-ce que je vais faire si je me retrouve à poil devant quelqu’un ? A moins que ce soit vraiment un rêve, cest trop dingue pour être vrai. »

Les senteurs forestières et le contact de ses pieds avec le sol du sous-bois se communiquaient si bien à ses sens quelle ne douta pas longtemps de la réalité de la situation.

  Tout à coup, elle sentit une main lui farfouiller entre les fesses tandis quune voix étrange sélevait :

   Dis, salope, tu pourrais te rentrer toute ma main dans le cul ?

  Se retournant par reflexe, elle aperçut un jeune et tout petit être qui lui tripotait le derrière sans vergogne. Il écartait les fesses et commençait à introduire un doigt dans lanus de la fille sans aucune gêne.

   Et, mais ça va pas espèce de malade ?!?!

   Ben quoi, je te tripote le cul, tu ne vas pas en faire toute une histoire ? Et pis, tas qua foutre une culotte au lieu de te promener à poil.

  Julie se dégagea vivement et put distinguer dans de meilleures conditions lêtre qui sadressait à elle. Il présentait certes une petite taille, mais il ne sagissait pas dun nain, on aurait plutôt dit un lilliputien car ne présentant pas les particularités physiques qui caractérisent habituellement les nains, si ce nest la taille. Bonne élève, cultivée et plutôt du genre bourgeoise, Julie possédait malgré son jeune âge assez dinstruction pour faire le distinguo. Le petit être avait profité de ce temps mort pour rentrer plusieurs doigts dans lanus de Julie.

   Eh, mais tu vas tarrêter oui ?!?!

  Le garçon retira sa main souillée et se mit à la renifler.

   Non seulement tu es une salope, mais en plus tu es dégueulasse.Tu aurais pu te laver le cul.

   Un cul de fille, cest pas pour que des obsédés viennent y enfoncer leur main. Alors dégage !

   Si je pars, tu ne retrouveras jamais la sortie.

   Je naurai quà suivre ce chemin. Il finira bien par me mener quelque part.

   Tu nes vraiment pas fute-fute toi.

   Quest-ce que tu veux dire ?

   Regarde autour de toi. Ecoute aussi au lieu dergoter sur tout.

    Concentrant ses sens, Julie perçut des bruits étranges tandis quune présence invisible semblait imprégner la forêt.

   Les arbres se déplacent, cest pourquoi aucune carte de ce domaine ne peut être établit.

  Cétait vrai, Julie voyait nettement un arbre se mouvoir là où elle venait de percevoir le dernier craquement. Une sueur glacée lui couvrit immédiatement le corps tandis que le garçon commençait à lui manipuler le sexe. Il tirait sur les poils avec force, comme pour les arracher.

   Aïe ! Fais attention.

   Tu as des poils, jaime bien, ça veut dire que tu es formée.

   Mais on est où, là ?

   Près du village des Nilvaks.Pas besoin de lui donner un nom puisquil est le seul ici.

   Les Nilvaks ?

   Oui, et comme la nuit va bientôt tomber, tu as intérêt à venir avec moi, sinon gare aux loups.

   Des loups, ici ?

   Comme partout, mais tu sors doù toi ?

  Trop surprise par cet enchaînement dévènements incompréhensibles, Julie ne réagissait plus avec autant de lucidité. Le garçon malin en profitait pour lui tripoter le sexe, fourrageant dans la fente et samusant avec le clitoris. Il le faisait rouler entre ses doigts tandis quil pinçait les lèvres de lautre main.

Julie lui porta une violente gifle qui le renversa au sol.

   Eh, mais ça va pas ?!?

   Et tu crois que je vais me laisser tripoter comme ça par un petit pervers ? Dégage !

   Daccord. Je men vais. Bonne nuit, salope.

  Julie réalisa à quel point elle était vulnérable. Le silence revenu, elle percevait le bruit sinistre du bois mort qui travaillait dans la forêt profonde. Réprimant un frisson, elle répliqua :

   Attends ! Tu ne vas pas me laisser seule ici quand même ?!?

   Si, à moins que tu sois gentille avec moi.

   Cest -à-dire ?

   Que tu me laisse te tripoter la fente, les nichons et le cul.Tout.Et sans toujours gueuler.

   Bon, ça va.

   Alors, on y va.

  Il fourragea dans la poche de son pantalon de velours et en sortit un sifflet en bois dont il joua. Peu après, un énorme corbeau se posa au sol dans un grand bruissement dailes. Lanimal était plus grand quun aigle tout en dégageant la même impression majestueuse.

   Allez, monte.

  Julie se hissa sur lanimal, bien décidée à ne plus sétonner de rien.

   Aïe, je navais pas prévu ça.

   Quoi ?

   Je suis tellement excité que Galago sera trop perturbé pour voler.

  Tout en disant cela, le lilliputien baissa son pantalon et exhiba un membre en pleine érection.

   Il va falloir que tu toccupes de ça si tu veux quon puisse partir.

   Salaud ! Cest du chantage !

   Non, cest nécessaire, parce que moi non plus je ne peux pas partir.

   Il ny a pas dautres solutions ?

   Non. Alors suce !

    Julie prit en bouche le sexe du lilliputien et le fit glisser vers sa gorge. Son partenaire prenait un malin plaisir à frotter son gland contre les joues de la fille et à explorer son palais par frottements lubriques.

Julie avait un peu de mal à garder en bouche le petit membre qui ne cessait de glisser. Elle pouvait noter quil était dépourvu de tout poil. Même constatation pour le pubis et les testicules.

« Bizarre, il nest pas bien développé de ce côté-là. »

Après quelques minutes de ce traitement, le sucé mit un terme à la gâterie que lui prodiguait Julie et dun mot étrange, il fit prendre son envol à Galabo.

  Le lilliputien sentait la chaleur du corps nu de ladolescente se communiquer à son dos tandis que les bras de la fille lenserraient en une étreinte ferme et délicieuse pour lui.

   Tout le monde est de ta taille ici ou cest un accident ?

   Les Nilvaks sont tous comme moi, mais les autres habitants de la région sont de ta taille si ça tintéresse.

  La nuit tombait déjà, transformant la forêt en un magma sombre aux contours imprécis.

Julie ne savait toujours pas ce qui lui était arrivé et encore moins ce qui lattendait tandis que Galabo lemmenait vers le village des Nilvaks.

   Au fait, comment tu tappelle ?

   Tom.

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