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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 11

Ce n'était qu'une simple soirée - Chapitre 11



Après avoir embrassé les quatre filles, je me rends dans un village à l’extérieur de la ville. L’anniversaire est organisé dans un salle des fêtes. Je passe une excellente soirée, revoyant à cette occasion de nombreuses vieilles connaissances, notamment Julie, avec qui j’étais sorti lorsque j’avais 19 ans. Séparée elle aussi, elle me fait un discret rentre-dedans qui n’est pas pour me déplaire et j’avoue que je ne pense à aucun moment à la soirée qui se déroule chez Jennifer. A 2h du matin cependant, la soirée se termine et les invités encore présents repartent assez rapidement. Il est vrai que le lieu de l’anniversaire, un village isolé, rend compliqué la poursuite de la soirée. Je raccompagne Julie à sa voiture.

— Tu es toujours aussi élégante. Cette robe te va à ravir.

Elle la soulève légèrement.

— C’est ma robe qui te plait ou ce qu’il y a dessous ?

— Je vois que tu n’aimes toujours pas les collants !

Elle rit.

— Non, ça n’a pas changé. Que des bas !

— Autofixants ?

— Pas toujours.

Son sourire est magnifique.

— J’adorais te voir en porte-jarretelles.

Elle se mord la lèvre inférieure.

— Il n’y a pas que ça que tu adorais.

Julie s’agenouille, déboutonne mon pantalon et sort mon sexe. Elle me suce. Court et vif. Elle se relève.

— Ça me ferait plaisir de te revoir.

Nous échangeons nos numéros de téléphone et nous quittons sur un baiser.

Enhardi par cet épisode piquant, je décide alors de retourner chez Jennifer sans prévenir les filles. Il est 3h du matin lorsque je me gare devant la maison. J’entre par le jardin. Pas de bruit, pas de rire, pas de musique, rien. Tournant derrière la maison, j’aperçois piscine allumée, mais sans personne à l’intérieur. Encore quelques mètres et j’arrive sur la terrasse. La soirée a laissé des traces. Mon regard est attiré par le canapé car l’une des filles dort dedans. Je contourne la table et m’immobilise devant une immense flaque de vomi. Dans mon dos, un cri strident ! Je me tourne vivement : c’est Caroline.

— Oh mon Dieu, c’est toi ! Tu m’as fait une de ces peurs !

— Qu’est-ce qu’il s’est passé ici ? Quel bordel !

— Ne m’en parles pas ! C’est n’importe quoi ! Quand tu es parti, on a commencé à boire et on a vite été pompette. Surtout Vanessa. Elle s’est persuadée que tu reviendrais assez vite, que tu allais écrire un message avant de revenir et elle a échafaudé un accueil pour ton retour.

— Pffff N’importe quoi.

— C’est ce que je lui ai dit. Tu avais été assez clair en partant. Mais Vanessa a su aiguiser l’intérêt d’Elise et Jenny et elles ont décidé que nous t’attendrions les quatre sur le canapé de la terrasse, nues et

Elle s’interrompt.

— Et ?

— Et complètement rasées !

J’éclate de rire. Caroline sourit jaune.

— Et donc ?

— Et donc, on s’est toutes complètement rasées ! Alors on a continué la soirée, mais c’est comme si on attendait ton message. Et comme tu ne donnais pas signe de vie, elles ont bu, bu et encore bu.

— Pas toi ?

— Non. Avant de manger, j’avais senti ma tête tourner et j’ai arrêté de boire de l’alcool.

— Et les trois autres ?

— Ben Vanessa est devant toi. Elle s’est allongée vers 1h du matin, elle a vomi deux fois et elle dort depuis. Je lui ai mis une couverture, j’avais peur qu’elle prenne froid.

— Tu as bien fait.

— En plus de boire, Elise a fumé. Avec Jennifer, nous l’avons accompagnée dans une chambre. Elle était dans un mauvais état.

— Jennifer est encore réveillée alors ?

— Ben non. Après avoir emmené Elise, elle a commencé à se sentir mal et elle a vomi elle aussi. Mais aux toilettes. Elle a été se coucher il y a environ une demi-heure. Je viens d’aller la voir, elle dort à poings fermés.

— Je vois. Et toi, tu ne vas pas te coucher ?

— J’ai déjà bien rangé, c’était dans un sale état ici.

Je réfléchis quelques instants.

— Écoute, je vais nettoyer le vomi de Vanessa et la porter jusqu’au canapé du salon. Elle ne peut pas rester dehors toute la nuit.

— Ok, je range la table pendant ce temps.

Je trouve de quoi laver la terrasse à proximité de celle-ci. Un tuyau d’eau et le dégueulis de Vanessa disparait dans les égouts. Je frotte ensuite la tache avec une brosse et tout disparait. Quelques instants plus tard, avec l’aide de Caroline, j’attrape Vanessa et la porte jusqu’au canapé du salon que Caro a préalablement protégé avec une autre couverture. Fatigué, je ressors sur la terrasse et m’affale dans un fauteuil. Caroline arrive avec deux verres d’eau et s’installe dans le fauteuil à côté du mien.

— A ta santé, Caroline !

La jeune fille sourit, nos verres s’entrechoquent.

— Je suis morte de fatigue.

— Dommage, j’allais te proposer quelques brasses dans la piscine.

Elle rit puis le silence se fait. Nous regardons la piscine, sans bruit. Elle dit :

— Après tout

— Je plaisantais, mais pourquoi pas. On y va ?

Je me lève et commence à me déshabiller sur place. Quand je suis au caleçon, Caro demande :

— Tu as ton maillot ?

— Non, il est dans la voiture. Pas besoin à cet heure-ci.

Je retire mon caleçon et me dirige vers le bassin. J’y entre doucement, par l’escalier, pour ne pas faire de bruit. C’est incroyablement agréable. Caroline a quitté le fauteuil. Je l’aperçois qui revient du salon, en bikini. Elle glisse délicatement dans l’eau et me rejoint au bord opposé. Je l’embrasse immédiatement. Elle répond à mon baiser avant de filer. Je la rattrape, elle m’échappe à nouveau. Je la bloque aux escaliers. Elle rit. Je lui dis :

— Tu as remis ton bikini pour que je puisse te l’enlever à nouveau ?

Elle éclate de rire.

— Peut-être

Je m’allonge sur les escaliers et Caroline vient s’asseoir sur moi. Je dénoue le haut de son bikini et caresse ses seins. Caroline est assise sur mon sexe et s’y frotte doucement. Elle refuse d’enlever le bas. Elle se tourne et s’allonge sur moi. Je le pelote puis descends à son entrejambe. J’excite le clitoris de la jolie blonde et halète. Au moment de jouir, elle referme les jambes et son gémissement ressemble à un cri. Je glisse mon doigt dans son minou, elle retire doucement ma main de son bikini.

— Allons dans la chambre.

Je sors, prends un linge sur un transat et essuie ma jolie partenaire. Secs, nous entrons dans la maison. Caroline éteint la piscine et ferme à clef. Prudente.

Je la suis dans la maison jusqu’à la chambre de la sur ainée de Jennifer. Caroline n’est absolument pas à l’aise quand bien même elle semble ravie que nous soyons tous les deux au lit. Caro sourit en baissant les yeux sur ma queue.

— Prends-là

Elle pose sa main droite dessus. Je me tourne un peu. Elle caresse mon sexe, main ouverte, puis la referme doucement. Elle masturbe très lentement.

— Tu fais ça très bien.

Caro rougit et émet un petit rire gêné.

— Serre un peu plus Voilà Comme ça

Attentive, Caro s’applique.

— Accélère un peu Va jusqu’au bout de mon sexe Oui Oui Oh oui Un peu plus vite

Caroline me branle extrêmement bien et alors que je l’embrasse à pleine bouche, elle ne ralentit pas la cadence. Je pose la main sur la sienne pour l’arrêter.

— A ce rythme, je ne vais pas tenir très longtemps.

Elle rougit. Je l’embrasse à nouveau puis descend petit à petit sur son corps jusqu’à son bikini. J’embrasse son sexe à travers le maillot. Je prends délicatement ce dernier et le lui retire. Sexe glabre magnifique. Baiser, frissons. Je l’assieds sur le lit. Elle s’y couche, ouvre timidement les jambes et mon cunni l’emmène à une extase sonore. Caroline écarte ensuite un peu plus ses jambes et atteint une seconde fois la jouissance dans un nouveau cri.

Je monte sur le lit, m’allonge contre elle. Elle me branle à nouveau, cette fois, de sa propre initiative. Je lui dis :

— Tu veux le faire ?

— Non. Pas maintenant.

Sourire magnifique. Elle descend sur mon corps, approche son visage de mon sexe. Je la laisse faire. Baiser sur mon gland. Deux fois. Coups de langue. Elle le prend dans sa bouche. Puis, elle se redresse, redresse ma bite et la reprend dans sa bouche. Elle va un peu plus loin avant de s’arrêter. Elle remonte vers mon visage. Je l’embrasse.

— J’aimerais juste dormir avec toi.

Caroline caresse mon corps, l’embrasse. Elle en "prend possession" à sa manière, se l’approprie. Elle me fait frissonner à plusieurs reprises, découvrant par elle-même comment donner du plaisir à un homme. Elle retourne à mon sexe et me suce à nouveau quelques secondes. Peu après, nous glissons sous les draps et nous endormons.

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