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C'est ça aussi les vacances – Chapitre 1

C'est ça aussi les vacances - Chapitre 1



Nous sommes depuis 10 jours au Cap et aujourd’hui, pour une fois, il pleut ; impossible d’aller au sauna, il y a la queue sur 20 m devant la porte et nous n’aimons pas l’empilage. Ma petite femme me propose alors de me faire masser pendant qu’elle fera quelques courses ; très bonne idée, d’autant plus que les galipettes sur le sable n’ont pas été très appréciées par mon dos ; le rendez-vous est pris pour 18h.

Un peu en avance, je sonne et la porte s’ouvre sur un petit salon d’attente, puis après 10 minutes d’attente, un homme, chemisette et short blanc me reçoit. Un rapide coup d’il me permet de voir qu’il est bel homme, un sourire accueillant ; j’aurais sans doute préféré une jolie femme, mais tant pis, à défaut, mon dos va en profiter. Après avoir quitté mes vêtements (vite fait, car en short et polo sans sous-vêtement) il me demande de m’étendre à plat ventre et il pose une serviette sur mon bassin ; une douce musique, des mains délicates et douces m’amènent à une légère somnolence ; ses mains courent sur mon dos, mes épaules, mon cou avant de redescendre vers mes reins, avant de s’emparer de mes jambes ; le massage est efficace et très agréable et je me détends, écartant mes cuisses pour favoriser le massage.

Ses mains parcourent ensuite mon entrejambe, frôlant parfois mon sillon ; la serviette a glissé et ses doigts s’emparent de mes fesses, glissant de plus en plus souvent le long de mon sillon ; c’est agréable, je suis bi et j’aime les caresses sur mon petit trou. Et j’avoue que sous moi, ma tige commence à prendre du volume ; alors qu’un doigt vient un peu plus près de mon anus et effectue un petit cercle très appuyé autour, je ne peux retenir un mouvement de mon bassin, accompagné d’un petit gémissement. Il se retire aussitôt en me demandant s’il m’avait fait mal ; le fixant, je le rassure, en lui disant que bien au contraire, j’avais beaucoup aimé.

Ses mains maintenant ont envahi mon entrecuisse, et m’écartant largement les cuisses, ses doigts me caressent, sollicitent mon anneau, avant qu’un doigt vienne légèrement le perforer ; ma réaction est immédiate, et je me cambre pour qu’il s’enfonce un peu plus, mais à mon grand regret, il se retire, et il me demande de me mettre sur le dos, relevant la têtière. C’est un phallus bien tendu qui bat sur mon ventre, et il a un petit sourire. Ses mains maintenant courent sur mon ventre et effleurent sans doute très consciemment le sexe tendu ; « vous aimez ? » Pris par mes envies, je ne réponds pas aussitôt, et il s’en écarte ; c’est moi qui lui prends la main et la dépose sur ma queue qui palpite d’envie.

Oui j’aime, continuez !

Cette fois, il me caresse la tige, descendant vers mes boules qu’il triture ; mon plaisir monte et je ne peux retenir mes gémissements ; il a compris mon envie ; me faisant mettre le pied sur la table, ce qui – je le sais – lui découvre mon sillon ; alors qu’une main s’empare de mon vit et le branle, l’autre main, s’engage entre mes cuisses et à nouveau un doigt, puis rapidement deux, me possèdent. Sous ce double plaisir, ma jouissance monte ; il le sent et se retire, avant à nouveau me perforer l’anus, l’anneau acceptant cette fois trois doigts.

Je me suis déjà fait fister et j’en ai envie ; écartant le plus possible mes cuisses, je lui offre mon anneau ; il comprend vite mon envie et s’enduisant les doigts, la main et mon anneau de gel, il commence à tournoyer ses doigts, s’ enfonçant toujours un peu plus, me dilatant le conduit ; soudain, c’est sa main entière qui perfore mon anneau et qui tourbillonne dans mon ventre ; une douleur, vite estompée, puis à nouveau une grande jouissance, et sous cette possession que j’adore, je ne peux me retenir et plusieurs jets de sperme se répandent sur mon ventre.

Quand il se retire, je constate que son short est déformé par une longue tige bandée et ma main se porte à son contact ; une légère hésitation de sa part, puis il se rapproche de moi et descendant son short, il me tend son membre, bandé, assez fin, mais très long. Je n’ai pas de mal à le prendre dans ma bouche pour une sucette ; de son gland perle un peu de semence, un peu amère, et ma langue vient laper ce jus. S’enfonçant profondément, il se branle entre mes lèvres avant de se retirer et me relever pour m’entraîner sur le rebord de la table ; je sais ce qu’il va m’arriver ; les jambes reposant sur ses épaules, j’écarte mes fesses pour lui faire comprendre mon envie.

Déjà dilaté par le fist, mon anneau absorbe l’enculade ; d’une seule poussée, il est au fond de moi et sa queue vient percuter ma prostate ; c’est un bon baiseur et pendant de longues minutes, il me défonce, me percute, envahit mon conduit m’amenant plusieurs fois à la jouissance ; « tu aimes être sailli, t’es un petit lope, je vais te défoncer et te remplir le fion.

Il a quitté ses gestes doux du début et il me possède totalement, accompagnant ses coups de boutoirs de paroles crues ; il a compris que je suis une petite femelle quand un homme me défonce et il ne se prive pas ; puis soudainement, il se retire et me plaçant à plat ventre, les jambes pendantes, il écarte mes lobes et son gland, d’une traite, se plante à nouveau en moi ; l’attaque est soudaine, brusque, profonde et ses couilles viennent frapper mes fesses ; accroché à mes hanches, il me sodomise, me pourfend avec vigueur ; à chaque coup de queue, mon bassin s’écrase sur le rebord de la table, mais la douleur est largement compensée par le plaisir d’être dominé.

Se penchant un peu sur mon dos, sa main s’empare de ma queue qu’il branle vigoureusement, puis alors que la puissance de l’enculade s’accentue, il agrippe mes couilles et les tire violemment ; alors qu’il se cambre pour s’enfoncer au fond de ma caverne, il se répand à longs jets ; la semence est chaude, fournie et il se vide complètement ; ma jouissance déferle, bruyante, continue, et à mon tour, je jute, à la fois par l’action de sa main et par le fait que je me fais engrosser comme une petite femelle que je suis.

Alors qu’il vient de se retirer, je mets un peu de temps à récupérer. Sa semence s’écoule le long de mes jambes ; quand il revient à nouveau habillé, il me tend mon short, et avec un sourire, il me dit « comme cela ta femme va pouvoir constater que tu t’es bien amusé en son absence ; et si cela vous dit, je peux lui faire la même chose, pendant qu’un ami te sodomisera devant elle. Je vous ai vus sur la plage et j’ai compris que vous aimez cela tous les deux.

Ma femme était à l’appartement quand je suis rentré ; je l’ai vue froncer les sourcils, à la fois sans doute en voyant mes cuisses maculées de sperme, mais par mon expression de bien-être. Après lui avoir raconté et subi une nouvelle enculade par son gode culotte, ce fut à mon tour de la féconder, en lui promettant d’aller le voir ensemble, ce que nous avons fait le lendemain.

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