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Chambre pour étudiant – Option sperme – Chapitre 3

Chambre pour étudiant - Option sperme - Chapitre 3



Nicolas se réveilla en pleine forme ce jour là. Il avait l’impression d’avoir rêvé, mais la réalité était bien là. Non seulement il avait eu l’occasion d’épier les parents dans leurs ébats, mais pas plus tard que la veille, il éjaculait sur les seins de leur fille encore vierge. Jamais il n’aurait imaginé une si bonne fortune en emménageant ici pour ses études, et il espérait bien en profiter pour réaliser ses nombreux fantasmes encore inassouvis.

Bien sûr, il n’était plus puceau lui même, mais ses rares partenaires ne lui avait accordé jusqu’alors que quelques coïts sans fioritures ni imagination. Lui qui rêvait de fellations, de gorges profondes et d’éjaculations faciales n’avait jamais eu la moindre occasion d’approcher son membre d’un visage ou d’une bouche féminine. Autant dire qu’asperger, le soir précédent, les seins magnifiques de la fille de la maison était déjà un accomplissement presque extraordinaire ! Mais il ne comptait bien entendu pas en rester là.

Il s’habilla et descendit prendre son petit déjeuner. Marion terminait le sien, et évitait de croiser son regard. La mère de famille passa brièvement les saluer avant de partir travailler, le père était, lui, déjà parti. Elle était vêtue d’un tailleur assez ajusté, et Nicolas se remémora ses seins, ses fesses, et sa bouche serrée autour de la verge de son homme, le sperme ruisselant entre ses lèvres. Il fallait absolument qu’il trouve un moyen d’espionner à nouveau le couple en pleine action.

Marion débarrassa son bol et remonta s’habiller. Nicolas expédia rapidement son petit déjeuner et remonta à son tour. Il alla directement frapper à la porte de la jeune fille.

— Marion, je peux rentrer ?

— Attends, je suis en train de m’habiller !

Sans hésiter, il ouvrit la porte et rentra. Marion le regarda d’un air stupéfait. Elle portait un soutien gorge mais n’avait pas encore mis de culotte, et Nicolas fixa son regard sur le sexe découvert. Elle le cacha brusquement derrière ses mains.

— Mais je t’avais dit d’attendre, je suis à poil !

— Souviens toi que tu me branlais pas plus tard qu’hier soir, et que j’ai barbouillé tes seins de mon sperme. Alors ne fais pas ta prude et enlève ton tee shirt, que je puisse voir ta poitrine à nouveau !

— Je… oui mais… euh… Et puis j’ai cours !

Elle rougit fortement et ne bougea pas.

— Souviens toi que tu m’as dit que tu ferais comme je veux. Je pense qu’il est temps de te donner ton deuxième cours.

Elle resta figée quelques instants, puis enlevant ses mains de devant son sexe, elle releva son tee shirt et le fit passer par dessus sa tête avant de le jeter au sol. Elle était maintenant complètement nue devant lui, et il sentait déjà une érection monter.

— Très bien, assieds toi sur le lit…

Elle fit ce qu’il demandait. Il s’approcha et fit glisser son caleçon au sol, révélant sa verge déjà presque complètement érigée. Il était maintenant debout à côté du lit, son sexe à quelques dizaines de centimètres de cette bouche tant convoitée. Marion regardait fixement son gland continuer à se tendre.

— Et bien, tu ne te souviens plus du cours d’hier ? Il est temps de me branler comme je te l’ai montré !

La jeune femme tendit une main pour attraper ses couilles pendantes, et de l’autre commença à masturber doucement le sexe déjà tendu. Ses mains étaient chaudes et douces, et ses gestes délicats.

— Parfait, je vois que tu as bien retenu la leçon. Mais aujourd’hui nous passons à la suite des travaux pratiques. Tu vas te servir de ta bouche et me sucer la queue !

Elle le regarda d’un air interloqué, sans cesser toutefois de le masturber et de malaxer doucement ses testicules.

— Quoi ? Tu veux mettre ton machin dans ma bouche ? C’est pas un peu dégoûtant ?

— Pas du tout… Il me semble que tu manques un peu d’expérience pour me dire ce qu’il faut faire ou ne pas faire. Contente toi donc de suivre les instructions du professeur !

Dans le même temps, il avança doucement vers la jeune femme. Son gland n’était maintenant plus qu’à quelques centimètres de la bouche vierge de la fille de la maison, qui n’avait pas reculé la tête. Il fit un mouvement de plus, et soudain son gland s’appuya sur les lèvres de Marion. Il eut un vertige, tant il avait attendu ce moment. Attrapant son sexe à la main, il commença à frotter doucement son gland sur les lèvres fermées, envoyant dans son échine des ondes de plaisir intense.

— Très bien. Maintenant il faut que tu sortes ta langue et que tu lèches mon gland et le bout de ma bite…

Après quelques secondes, la jeune femme entrouvrit la bouche, dardant sa langue, mais sans la bouger. Nicolas commença donc à frotter son gland contre cette langue humide, dessous, dessus, sous la corolle, sur le frein. Au bout d’un moment, Marion mis sa langue en mouvement et assura elle même la caresse sur toute l’extrémité du pénis. Le jeune homme profita de sa bouche entrouverte pour imprimer une pression plus franche, et soudain son gland entier glissa dans la cavité buccale tant désirée. La jeune femme eut un léger mouvement de recul, mais Nicolas avait posé sa main derrière sa tête pour s’assurer de ne pas ressortir.

— Fais tourner ta langue dans ta bouche autour de mon gland…

Marion s’exécuta. Un peu de salive commençait à couler au coin de sa bouche. Elle faisait tournoyer sa langue autour de l’extrémité du sexe de Nicolas. Il avait maintenant posé ses deux mains derrière sa tête, et commençait à imprimer un très léger mouvement de va et vient. La sensation était exquise, il en avait tant rêvé et son rêve était devenu réalité.

— Ah c’est trop bon !

Il augmentait peu à peu l’amplitude de son va et vient, tandis que la jeune fille, docile, continuait à lui bassiner le gland avec sa langue. Marion avait parfois quelques légers spasmes, mais il veillait à ne pas s’enfoncer trop profond. Même s’il en avait très envie, il était trop tôt pour expérimenter une gorge profonde. De sa main droite, la jeune femme continuait à lui caresser les couilles. Il sentait le plaisir monter beaucoup trop vite, et sortit son sexe de la bouche accueillante.

— Lèche moi les couilles…

Un peu hésitante, Marion tendit la langue et caressa alternativement les deux boules, les mouillant de salive. Pendant ce temps, Nicolas frottait son sexe sur le visage de la jeune femme. Puis il replongeait son sexe dans la bouche, avant de se refaire lécher les testicules. La pression montait et il savait qu’il n’allait pas pouvoir se retenir très longtemps. Se remémorant les remarques de la jeune femme sur le sperme la veille, et ne voulant pas rater l’occasion qu’il avait toujours attendue, il raffermit sournoisement sa prise sur l’arrière de la tête de Marion, et commença à accélérer son pistonnage dans la bouche offerte.

— Ah tu va me faire jouir !

Le rythme était maintenant élevé. Il sentit subitement un orgasme monter de ses reins à la vitesse d’un ouragan et se mordit les lèvres pour ne pas crier. Tenant la tête de Marion, il planta son sexe dans sa bouche, et le sperme se mit à gicler de son gland comme jamais. Un premier jet crémeux jaillit sur la langue de la jeune femme, suivi de plusieurs autres jets tout aussi épais. Marion fit un bruit étouffé et essaya de reculer sa tête, mais Nicolas la tenait fermement tout en continuant à expulser sa semence en grande quantité. Sous la pression, du sperme coulait entre les lèvres et la verge. De nombreuses nouvelles giclées remplirent la bouche de la jeune femme, avant que les spasmes de Nicolas ne cessent.

Il resta ainsi quelques instants planté dans la bouche déflorée, serrant la tête de la jeune femme, du sperme coulant des lèvres sur les seins. Puis il lâcha sa prise et recula, sortant son sexe trempé de la cavité buccale. De grosses coulées de semence dégoulinèrent sur le menton de la jeune femme, qui resta sans bouger. Elle gardait la bouche entre ouverte, et on voyait qu’elle était presque remplie de liquide épais et gluant.

— Comme je te disais, il ne faut rien gaspiller, et boire le bon sperme de ton professeur…

Elle le regarda, sourcils froncés, paraissant hésiter, puis déglutit plusieurs fois et avala péniblement toute la semence qui remplissait sa bouche, l’air dégoûté.

— Je t’avais dit que je trouvais ça répugnant ! En plus il y en a des litres !

— Il faut savoir si tu veux apprendre ou pas et obtenir ton diplôme. Comment trouves tu le goût ?

— Vraiment pas terrible, mais nettement moins que ce que je craignais malgré tout… Je ne pensais pas qu’on devait boire le jus, mais puisque tu le dis…

Oubliant d’ailleurs qu’il s’agissait de sperme, elle se léchait machinalement les lèvres en parlant, achevant d’avaler le liquide qui maculait son visage. La semence brillait sur son menton et sur ses seins, et elle était magnifique. Nicolas était aux anges.

— Fais moi confiance si tu veux progresser. Tu apprendras à aimer le jus d’homme. En tout cas, telle mère telle fille… La pipe, c’est de famille on dirait…

— Quoi, arrête de parler de ma mère comme ça ! Tu n’as aucune idée de ce qu’elle fait avec mon père !

— Que tu crois, que tu crois… Je les ai vus s’envoyer en l’air, et ta mère semblait vraiment adorer le cocktail au sperme !

Marion le regardait avec des yeux ébahis, semblant ne pas le croire une minute. Il comptait évidemment poursuivre ses cours privés avec elle, car il lui restait beaucoup de choses à découvrir et bien des orifices encore vierges à explorer. Mais il allait aussi falloir qu’il réfléchisse à un moyen de lui prouver ses affirmations au sujet des parents, s’il ne voulait pas qu’elle s’imagine qu’il racontait n’importe quoi…

— A suivre —

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