Histoires de sexe français Histoires gays Histoires porno

Chambre pour étudiant – Option sperme – Chapitre 4

Chambre pour étudiant - Option sperme - Chapitre 4



Les jours suivants n’avaient pas été fastes pour Nicolas. Marion avait réellement mal pris sa remarque au sujet de sa mère, et ne croyait pas un instant qu’il avait eu l’occasion de l’espionner pendant ses ébats. Elle avait refusé de le sucer à nouveau, et il n’avait réussi à lui arracher que deux masturbations du bout des doigts, qui plus est avec morne éjaculation dans un kleenex.

Il devenait urgent de prouver à la jeune femme qu’il n’avait pas menti, pour reprendre au plus vite ses expérimentations sexuelles. Après mure réflexion, il avait trouvé une solution et venait de recevoir l’objet qui allait lui permettre de la mettre en uvre. Il s’agissait d’une minuscule caméra wifi, qu’il allait cacher dans la chambre des parents. Bien entendu, la manuvre était risquée, mais ses pulsions étaient plus fortes que ses craintes. L’important serait de la laisser le moins de temps possible pour ne pas courir le risque qu’elle soit découverte.

Le père de famille était en déplacement professionnel depuis plusieurs jours et rentrait ce vendredi soir. Il y avait fort à parier que la chambre allait s’animer pour de torrides retrouvailles. La maison était pour l’instant vide, et Nicolas descendit et entra dans la chambre des parents. Il détailla l’ensemble de la pièce et avisa au mur des appliques en verre qui pourrait à la fois offrir une point de vue complet, et correctement dissimuler le petit objet. Évidemment, le verre coloré en rouge donnerait une teinte aux images, mais l’essentiel était de correctement capturer la scène. Il attrapa une chaise et monta dessus pour placer la caméra, puis redescendit et remit la chaise en place. Prenant un peu de recul, il vérifia que la caméra était difficilement détectable, à moins d’observer l’applique avec une très grande attention.

Il referma la porte derrière lui et remonta en courant pour tester la transmission. S’asseyant devant son ordinateur, il lança l’application, et la vue de la chambre des parents s’afficha sur l’écran. L’angle de vision était parfait et couvrait le lit et la majeure partie de la pièce. Le couleur rouge n’altérait pas la qualité de l’image, qui était particulièrement bonne, compte tenu de la petite taille de la caméra. Il testa la fonction enregistrement quelques secondes pour s’assurer que tout fonctionnait correctement, puis coupa l’application. Il ne restait plus qu’à attendre et espérer.

Une heure plus tard, il entendit Marion rentrer. Il attendit un peu, puis alla toquer à sa porte.

— Marion, c’est Nicolas. Je peux entrer ?

— Oui, qu’est ce que tu veux ?

Il poussa la porte et entra. Marion était assise à son bureau, et le regardait. Il s’approcha d’elle, et se pencha pour déposer un baiser sur sa tête tout en posant sa main sur un de ses seins. Il sentit son sexe durcir instantanément.

— Laisse moi, tu sais très bien que je suis fâchée. Je n’aime pas les menteurs qui racontent n’importe quoi, encore moins quand ça concerne ma propre mère…

Elle retira sa main de son sein, et se retourna sur son bureau, l’ignorant carrément. Frustré, il sortit de la chambre de la jeune femme et retourna dans la sienne. Il lança une compilation d’éjaculations faciales et commença à se masturber. La compilation montrait des scènes de gloryhole, où de magnifiques jeunes actrices suçaient avidement des sexes de toutes tailles dépassant d’orifices ouverts dans les parois de la pièce. Au bout de quelques instants, les pénis déchargeaient de volumineuses quantités de sperme, qui giclaient dans la bouche et sur le visage des jeunes femmes puis coulaient sur leurs seins. Il éjacula assez rapidement, apaisant un peu sa frustration de ne pas lui même pouvoir jouir dans la bouche de Marion.

Au repas du soir, la mère de famille leur indiqua que le retour du père avait été retardé, et qu’il arriverait très tard, en plein milieu de la nuit.  Après le repas, ils regardèrent ensemble un film dans le salon familial, puis tout le monde partit se coucher. Revenu devant son ordinateur, il lança à nouveau l’application, le cur battant. La mère de famille était à côté du lit, en train de se déshabiller. Il put à nouveau admirer ses seins magnifiques, un peu lourds, ses fesses rondes et fermes comme celles d’une jeune fille. Après s’être totalement dénudée, la mère se mit au lit et éteignit la lumière. Nicolas se mit à lire un livre, espérant entendre le père rentrer, mais à une heure et demi du matin, il jeta l’éponge et se coucha, non sans avoir au préalable lancé l’enregistrement sur l’application de la caméra.

Il se leva assez tard ce samedi, et se rua sur l’ordinateur. Sur les images en temps réel, la chambre était vide. Il stoppa l’enregistrement, et lança en accéléré la vidéo réalisée pendant la nuit. Le début était intégralement noir, la chambre étant plongée dans l’obscurité, mais au bout d’un long moment d’avance rapide, la luminosité changea, et il remit immédiatement la lecture en marche normale.

La lumière avait été allumée, mais la mère de famille, toujours sous les draps, ne s’était manifestement pas réveillée. Le père apparut soudain dans l’image, s’approchant du bord du lit. Il se déshabilla rapidement, laissant ses vêtements au sol, et Nicolas pouvait voir son sexe déjà à moitié érigé, ce qui augurait du meilleur pour la suite.

Se masturbant doucement d’une main, le père de famille commença à tirer sur les draps, faisant apparaître le corps de sa femme endormie sur le dos. Il caressa doucement son ventre, sa poitrine, puis descendit jusqu’au sexe, qu’il effleurait du bout des doigts. La mère de famille bougea légèrement, écartant les jambes, tout en gardant les yeux fermés.

Le père se pencha et embrassa le ventre et les cuisses de sa femme, rapprochant sa bouche du sexe palpitant. Il sortit sa langue et commença à lécher doucement les grandes lèvres, les petites lèvres, avant de concentrer son action autour du clitoris. Sa femme commençait à s’animer, les yeux toujours fermés. Elle avait posé ses mains sur ses seins et les caressait doucement. Son mari continua à lui dévorer la chatte pendant plusieurs minutes, puis se redressa et s’assit à califourchon sur le ventre de sa femme, plaçant sa verge maintenant complètement tendue dans le sillon de sa poitrine.

Immédiatement, la mère de famille serra ses seins autour du pénis de son homme, qui commença des mouvements de va et vient entre les deux globes de chair élastique. Il passa une main derrière la tête de sa femme pour la redresser complètement. De cette manière, à chaque mouvement, l’extrémité de son sexe dépassant des seins, son gland pouvait maintenant atteindre les lèvres de la mère de famille. Elle sortit sa langue pour caresser l’extrémité du pénis turgescent, puis l’engouffra dans sa bouche. Pendant un moment, le père profita de cette double sensation, puis retirant son sexe d’entre les seins de sa femme, il remonta plus haut et s’appuyant sur les genoux et se tenant à la tête de lit, il commença carrément à lui baiser la bouche.

Nicolas pouvait voir les grosses couilles qui se balançaient et frappaient le menton de la femme, pendant que le cylindre de chair tendue coulissait entre ses lèvres. Par instants, il ressortait sa verge de la bouche accueillante et la mère de famille lui léchait consciencieusement les testicules, avant de reprendre sa queue en bouche pour la pomper vigoureusement. A un moment, elle tendit même sa langue et lui caressa l’anus. Nicolas n’en croyait pas ses yeux, et bandait lui même comme un fou, sans même penser à se masturber, absorbé par les images qu’il avait sous les yeux.

Puis l’homme s’allongea sur sa femme et sa verge pénétra lentement le sexe de sa femme, qui l’enserrait de ses jambes. Il baisèrent ainsi pendant un long moment, le père donnant des coups de reins puissants et réguliers. Puis le père se redressa et retourna sa femme, qui se mit à quatre pattes. Debout au bord du lit, son mari la pris en levrette, attrapant ses cheveux pour mieux la pilonner. Pendant ce temps, sa femme se caressait les seins, qui tressautaient sous les coups de boutoir.

Se retirant, le père attrapa son sexe veineux et le posa sur l’ouverture des reins de sa femme. Il imprima une poussée forte et continue, s’écrasant d’abord sur la corolle froncée, qui finit par céder et engloutir le gland gorgé de sang. La tête dans l’oreiller et le cul en l’air, la mère de famille ne semblait pas ressentir la moindre douleur, alors que le gros pénis de son mari s’enfonçait maintenant jusqu’à la garde. Il accéléra le rythme jusqu’à lui défoncer littéralement l’anus, ses couilles pendantes frappant en cadence sur le sexe ouvert de sa femme.

Au bout d’un moment de ce traitement, la mère de famille eut plusieurs spasmes, et même en l’absence de son, Nicolas compris qu’elle était en train de jouir violemment. Elle resta quelques minutes sans bouger, le sexe de l’homme fiché au fond de ses entrailles. Puis celui ci se retira, toujours debout à côté du lit, pendant qu’elle se retournait et attrapait son pénis toujours complètement bandé à la main.

Elle se pencha et commença à lécher le gland, s’attardant sur le frein, tout en masturbant la grosse verge gonflée. Puis elle attrapa les fesses de son mari à deux mains, enfonçant son sexe entre ses lèvres. Celui ci compris immédiatement le message, et entreprit de lui baiser consciencieusement la bouche, posant ses mains derrière sa tête pour s’enfoncer toujours plus profondément dans sa gorge. Il ressortait presque complètement, puis replongeait au plus profond, à un rythme de plus en plus élevé.

Soudain, il retira son sexe de la bouche humide et accueillante, et sa femme l’attrapa d’une main en le masturbant vigoureusement, son autre main malaxant les grosses couilles pendantes. Langue tendue, elle caressait le dessous du gland. Le père renversa la tête en arrière, et une puissante giclée de sperme fusa de son sexe, directement dans le bouche de sa femme. Continuant à le branler, celle ci s’aspergea le visage avec les jets suivants. Elle avait le visage trempé et dégoulinant de semence, et plusieurs traînées crémeuses dans les cheveux .

Elle continuait de caresser les testicules de son mari, qui oscillait debout sous le coup du plaisir. Il regarda sa femme qui souriait en regardant les dernières gouttes de sperme couler sur ses seins. Puis elle pressa le gros pénis pour faire remonter la dernière goutte au bout du gland, et tendit la langue pour l’aspirer goulûment. Elle frotta la verge en train de ramollir sur son visage pour l’enduire de sperme, puis la nettoya consciencieusement, se délectant de boire le précieux nectar de son homme. Elle reprit ensuite le sexe en bouche pendant un très long moment, faisant rouler sa langue autour, et ne le ressortant que presque complètement débandé et propre comme un sou neuf.

Les deux amants se glissèrent alors sous les draps, serrés l’un contre l’autre, et la lumière s’éteignit. Nicolas s’ébroua, et constata qu’il avait joui dans son caleçon sans s’en rendre compte, tant il était absorbé par le film. Il remit l’avance rapide qui resta un long moment sur des images noires, et l’arrêta dès que la lumière se ralluma.

Sur l’écran, les parents s’embrassaient. Puis la femme repoussa les draps, dévoilant l’érection déjà dure et complète de son mari. Elle se jeta sur le sexe turgescent, et attaqua une fellation endiablée. Elle suçait goulûment la verge tendue, léchait le gland, embrassait et caressait de sa langue les couilles duveteuses. Elle arrivait à enfoncer le long sexe dans sa bouche jusqu’à la garde sans manifester aucune gêne ni éprouver le moindre haut le cur. Puis elle remontait jusqu’à l’extrémité, bassinant le gland de sa langue, avant de s’empaler à nouveau jusqu’au fond de la gorge.

Après un long moment, elle descendit une main et glissa un doigt dans l’anus de son mari, tout en continuant à le sucer frénétiquement. C’en fut trop pour lui, et il fut agité de plusieurs spasmes, le sexe toujours fiché dans la bouche de sa femme. Celle ci avala directement les premiers jets de sperme, puis remonta la tête, sortant la verge de sa bouche. Nicolas vit distinctement plusieurs giclées de semence s’écraser sur les lèvres et le menton de la mère de famille, puis ruisseler sur le ventre, le sexe et les testicules du mari. Celle ci se pencha et se mit à lécher le sperme sur le ventre de son mari, nettoyant également longuement la bite en train de mollir et les couilles palpitantes, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte de ce merveilleux jus d’homme. Elle se redressa ensuite en souriant, se léchant les lèvres, avant de se lever, d’enfiler un peignoir et de sortir de la chambre.

Le mari resta quelques instants au lit, puis se leva également, ramassa quelques affaires et sortit de la chambre. Repassant en avance rapide, Nicolas les revit passer brièvement s’habiller, mais il n’y avait plus aucune scène croustillante sur la vidéo jusqu’au moment où il avait coupé l’enregistrement en se levant le matin.

Il n’en revenait pas. Dès le premier essai, il avait mis en boîte tout ce qu’il fallait pour prouver à Marion qu’il disait bien la vérité, et que sa mère était bien une suceuse de première, manifestement gourmande de sperme. Il fit un rapide montage pour ne conserver que les scènes intéressantes. Ne restait plus qu’à le montrer à Marion, pour pouvoir enfin reprendre le cours normal de ses expériences sexuelles avec elle.

— A suivre —

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire