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Chantage – Chapitre 1

Chantage - Chapitre 1



Rappelez-vous, quand j’étais étudiante en romanes à Namur : j’aimais l’exhibition.

Ce que je ne savais pas, c’est que j’avais été à cette époque filmée à mon insu.

Bonne étudiante, gradée, j’ai obtenu une place d’enseignante à la faculté de romanes à Namur.

Agée de 28 ans, n’ayant pas trop changé, toujours très désirable, bandante et…

Lors d’une soirée interne entre membres du personnel des facultés Notre Dame de la Paix, à Namur, je dansais avec un collègue physicien nucléaire très bien de sa personne, ancien étudiant qui occupait une chambre à la pédagogie en face de chez moi.

J’avais des chaleurs ; avait-il eu l’occasion de me voir lors de mes nombreux ébats d’alors ?

Mariée, deux enfants, toujours avide de sexe mais n’ayant plus d’attraits pour l’exhibition, ma sexualité ayant évolué, mon passé me rattrapait.

Pendant la danse, il me dit que je ressemblais étrangement à une jeune fille qui logeait dans une chambre en face de son ancienne pédagogie. Il me raconta qu’il l’avait filmée à de nombreuses occasions en fâcheuse posture, sa fenêtre ouverte, sans aucune pudeur, livrant son corps et les secrets de son intimité à qui en face voulait voir.

Que faire, que dire ?

Je lui avouai que c’était moi.

Un silence !

Il me dit que je n’avais pas changé, que jétais toujours aussi belle, et que j’avais été à l’origine de beaucoup de ses plaisirs solitaires.

J’ai été son fantasme vingt ans durant, et son rêve était d’avoir avec moi une relation charnelle torride.

Je lui dis être mariée, avoir deux enfants, et être pleinement satisfaite de mon existence actuelle.

Il me tua en me disant avoir des cassettes de mes séances d’exhibition, et que mon mari serait surpris de découvrir le passé sulfureux de son épouse.

Il voulait mavoir un soir à sa merci, et il disparaîtrait de ma vie à jamais.

Je n’avais pas le choix.

Soit dire non et… ! Soit dire oui et avoir la paix ; c’est ce que je croyais.

Je lui dis : « Un soir ; OK ! »

Il profita de la situation pour se coller un peu plus à moi lors du slow.

Il me faisait sentir qu’il était prêt. Il bandait comme un âne, et ça m’émoustille toujours un peu lorsquun homme bande pour moi.

Il me dit vouloir toutes mes coordonnées pour finaliser notre contrat, si je peux ainsi parler.

Une semaine plus tard, il me rappela et me demanda d’être libre un week-end, et qu’il me fera parvenir une invitation à un congrès bidon à Paris sur la vie de Baudelaire, en qualité d’orateur, étant une spécialiste ayant fait une thèse de doctorat sur cet auteur.

Diable, il savait comment faire ! J’acceptai l’invitation, et me voilà embarquée pour un week-end à Paris.

Tout était prévu…

Le week-end venu, ayant reçu des billets TGV première classe, je me suis rendue à la gare du Midi, à Bruxelles.

Mon mari, qui mavait accompagnée, me souhaita un week-end très agréable.

Arrivée à Paris, un taxi m’attendait ; il m’amena place Vendôme.

Une suite ! Quelle suite ! Magnifique !

Dans le hall, un bouquet de roses rouges.

Sur le lit, des colis et une lettre !

Une invitation à être prête pour 18 heures.

J’ouvris les colis, et là : stupéfaction !

Une robe Hermès, somptueuse ; de la lingerie blanche soyeuse comme j’aime, des bas Dior autofixants, des chaussures Cardin, des gants noirs longs et une fourrure blanche…

Ouahhhhhhhh.

Mon collègue n’avait pas lésiné !

Il devait être fou.

Comment était-il au courant de mes mensurations ? Cest un point à éclaircir !

Je pris un bain à bulles ; jétais bien. Une envie de m’occuper de moi ; je ne résistai pas.

Je me caressai à mon aise : jaime m’occuper de mon clitoris, le titiller de haut en bas, de gauche à droite, le faire sortir de sa gaine en me racontant plein d’histoires

Je m’habillai, et quel résultat !

Un slip blanc épousant mon mont de Vénus soigneusement épilé, comme souhaité. Un dos nu vertigineux, jusqu’aux fesses.

Je descendis au rendez-vous, sous le charme.

Nous, les femmes, aimons ces attentions particulières.

Là, que des regards de mâles pleins d’envie !

Il était là, en smoking.

Je ne regrettais pas ce week-end, et je voulais lui en donner pour toutes les peines qu’il sétait données pour y arriver.

Il se leva : j’aime cette galanterie. Il m’embrassa ; il sentait bon Terre d’Hermès.

Je lui demandai pourquoi.

Il me répondit que cétait un rêve de 20 ans d’âge, de m’avoir pour lui tout seul et profiter de ma maturité de femme de 28 ans.

Il me dit que jétais la plus belle femme qu’il ait vue dans sa vie. Il me confia que jétais la première qu’il avait vue nue, plus que nue.

Il voulait me rendre le plaisir que je lui avais donné. Il me dit être redevable.

Si je le voulais, il me rendrait ma liberté.

Il me voulait libre et offerte, et non pas obligée.

Jétais rassurée sur l’avenir…

Je fondis.

Personne ne m’avait jamais soignée comme cela.

L’envie me prit ; je mouillais d’imaginer la suite.

Le souper fut dans la ligne : homard, coquilles St Jacques Misérable, tout ce que j’aime !

Je lui demandai comment il avait fait pour connaître mes mensurations.

Simple : photos et ordinateurs.

Jétais aux anges.

Il me proposa une balade sur la Seine.

Jétais bien ; je me lovai entre ses bras puissants.

Il me caressa gentiment.

J’avais envie de danser.

Mes souhaits étaient pour lui des ordres.

Il voulait un maximum pour moi.

Nous voilà sur la piste.

Il dansait admirablement bien.

Il me faisait valser. Jétais une reine, une plume dans ses bras.

J’aime ces hommes qui savent ce qu’ils veulent.

Je rêvais, simplement.

Des slows maintenant.

Je m’accrochai à lui, mes bras autour de son cou.

Ma tête reposait sur son épaule.

On était bien.

J’oubliais qui jétais, j’oubliais mon mari, j’oubliais mes enfants.

Je me déplaçais au rythme de la musique.

Nous étions soudés, collés.

Je remuais mon bassin avec insistance. J’aime sentir naître l’envie du partenaire pour moi.

Je sentis qu’il commençait à vibrer.

Je le sentis poindre.

Je m’accrochai davantage.

Je sentais sa virilité se frotter à moi.

Jétais bien. On communiait.

Jaurais voulu que le temps s’arrête.

Il sentait bon, ses mains me dirigeaient bien, il rêvait de moi ; tout en lui me le disait : il allait m’avoir.

Je lui fis comprendre que l’envie de lui me devenait insupportable.

Il m’embrassa. On ne m’avait jamais embrassée ainsi.

Il était délicat.

De sa main, il flatta mon dos jusqu’à la naissance de mes fesses.

Il me donna la chair de poule.

Mon entrejambe lui massait son sexe gonflé de l’envie de moi.

Je mouillais comme une folle ; mes seins pointaient ; ils me faisaient mal.

Le temps passait trop vite.

J’eus envie de rentrer et de tout lui donner de moi, sa reine d’un soir.

Nous regagnâmes l’hôtel bras dessus, bras dessous.

Jétais bien.

Tout en moi était désir. Désir de lui, désir d’appartenir à cet homme qui fantasmait sur moi depuis 20 années.

Rentrés dans ma suite, on s’embrassa, on se colla, on se fit sentir l’envie de l’un pour l’autre.

Nous tombâmes sur le lit.

Nous savourions l’instant.

Il allait découvrir mon corps.

J’ôtai ma robe.

Il me dit revoir des scènes d’il y a 20 ans.

Je mouillais. Le souvenir et le présent, tout me faisait mouiller.

Jétais en slip et autofixants.

Il explora partout mon corps à sa merci comme un affamé.

Il passa sur le fond de mon slip tout mouillé.

Il aimait, me dit-il, ces fonds de slips mouillés du plaisir de la femme. Il porta ses doigts à ses narines pour s’imprégner de mes odeurs intimes de femme mariée et excitée.

Il caressa mes zones érogènes.

Jétais au bord de l’orgasme.

J’ouvris son pantalon et le baissai : le voilà en slip, affichant fièrement une érection en pleine maturité.

J’embrassai cette érection au travers du slip ; il aima. Il sentait bon le mâle. J’adorai.

Des deux mains, j’abaissai le slip, dévoilant ainsi l’objet de mon désir le plus cher du moment.

Il bandait ferme ; il était gros et long. Il promettait. Jallais en avoir plein la chatte.

Je l’embrassai, enveloppant son sexe d’une main, le masturbant lentement de haut en bas.

La première goutte. Je la pris sur le doigt et la dévorai. Je ralentis, reprenant doucement la masturbation ; je voulais que ça dure.

Il m’ôta mon dernier rempart ; et me voilà quasi nue, offerte à lui.

Il caressa du bout des doigts mes lèvres. Il s’occupa de mon petit bouton comme un dieu : il le fit sortir de son étui, il y porta le bout de la langue ; il le massa de haut en bas comme j’aime. Je portai mon bassin en avant pour lui faire comprendre que ses caresses mamenaient vers le septième ciel.

Il profita de mon mont de Vénus, imberbe, et de tous les trésors excités, dévoilés mis à sa disposition.

Jétais dans un état de non-retour.

Je le voulais en moi, profondément en moi, me labourant, heurtant ma matrice.

Je le voulais explosant en moi.

Je voulais sentir sa semence. Je voulais être fécondée par lui pour garder un souvenir de ce week-end magique.

Je le sentais prêt à jaillir.

Il éjacula en moi ; je sentis ses jets qui me remplissaient, je jouis, aussi. Je l’aimais.

Je nétais pas sous pilule : cétaient les mauvais jours.

Un souhait : être enceinte de lui pour garder un souvenir éternel de ce week-end de rêve.

Il me dit qu’il n’oublierait jamais cette soirée, qu’il n’avait jamais eu autant de plaisir avec une autre femme.

J’ai eu un enfant de lui. Il le sait. On se voit toujours. On baise avec le même plaisir que la première fois. Mon mari ne se doute de rien. Mon amant me dit adorer baiser une femme mariée qui se donne corps et âme à lui sans retenue et qui, cerise sur le gâteau, a un enfant de lui.

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