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Chantal – Chapitre 9

Chantal - Chapitre 9



Après ce moment intime passé dans la salle de bain avec sur Agnès qui lui a raconté sa rencontre avec monseigneur.

Chantal demande si un jour elle pourra participer à une partie au couvent Sur Agnès lui promet d’en parler à mère Cécile.

Et puis toutes les deux, elles regagnent la salle à manger, où les attendent les autres protagonistes de cet après-midi de débauche.

Chantal voyant l’heure de rentrer approcher il est temps pour elle de regagner la boulangerie ; elle récupère sa robe elle dit au revoir à tout le monde, mais au moment de quitter la pièce après avoir passé sa petit robe à fleurs, monseigneur la prend par la taille, il est assis dans un fauteuil, et mère Cécile est en train de caresser son sexe dressé comme un gros cierge pascal, et soulevant la robe de Chantal il la fait monter sur le fauteuil, un pied sur chaque accoudoir afin de bien écarter la jeune fille, d’ailleurs la belle Chantal se sent véritablement écartelée.

Le prélat la fait descendre jusqu’à toucher ce sexe qui lui a fait tant de bien cet après midi.

Mère Cécile qui tient toujours en main le pénis du prélat fait passer le gland tout le long de la fente ouverte comme jamais.

L’écartèlement fait en sorte de mettre complètement à l’air le clitoris ultra-sensible, et ce gland déjà gluant passe et repasse sur ce que Chantal a de plus sensible et elle sent monter la vague qui va la submerger du moins si cette grosse queue veut bien s’enfoncer loin dans son ventre.

Monseigneur : « cette petite salope est en train de me tremper la queue et le couilles elle vous a trempé la main mère Cécile, venez me faire lécher son jus et laissez là s’empaler sur moi !!! ».

Alors mère Cécile lâche le gros mandrin sans auparavant l’avoir placé dans l’axe du vagin de la petite salope.

Alors Chantal se sentant libre de s’empaler sur ce gros mandrin qui lui a fait tant de bien, qu’elle s’accroche au cou du prélat et elle laisse glisser ses pieds en dehors des accoudoirs ; Alors le pieu de chair vient buter brutalement au fond du vagin qu’il dilate inexorablement pour enfin toucher la matrice tapie au fond.

Chantal n’attendais que cela pour exploser, c’est comme une vague torride qui lui envahi le corps, elle tremble, vibre comme une corde de piano qui vient d’être frappée par le marteau, et le pianiste c’est cette énorme tige qui maintenant lui déverse sa sève qui par manque de place franchi le col et inonde l’utérus finalement Chantal est dilatée jusqu’au fond du ventre.

Chantal encore dans le tourbillon voluptueux qui l’a emporté loin dans l’oubli, se sent soulevée et déposée sur la table, elle a instinctivement noué ses jambes autour des reins de son pourfendeur.

Tremblant toujours de tout son corps elle sent la tige turgescente perdre de sa rigidité et doucement quitter sa grotte sensible à l’extrême et au moment où le gland sort d’entre ses lèvres tuméfiées par les divers accouplements tout le mélange de cyprine et de sperme se déverse sur le sexe débandé du prélat, lui inondant la queue les couilles et le pubis d’un jus gras et odorant.

Il est vrai que son miel qu’elle a goûté avec l’évêque sur la main de mère Cécile avait de quoi achever l’état d’excitation de n’importe quel mâle en rut et voilà pourquoi l’évêque n’avait pas pu résister plus longtemps.

Chantal finit par reprendre ses esprits et s’apercevoir qu’elle est là sur la table de la salle à manger, jupe retroussée et cuisses écartées, montrant à tous, sa fente qui déborde de jus parfumés.

Avant que les autres protagonistes de l’après-midi ne soient tentés de profiter de son corps, elle se lève rapidement et les jambes encore flageolantes elle quitte précipitamment le presbytère.

Chantal rentre juste à temps pour que ses parents ne se posent pas de questions, sa mère lui fait remarquer qu’elle sent la transpiration et qu’elle peut aller se laver avant de passer à table dans un quart d’heure.

Chantal passe à la salle de bain et après avoir retiré sa robe elle se regarde dans la grande glace, elle écarte les jambes et avec deux doigts elle écarte ses grandes lèvres, elle aperçoit ses nymphes encore bien rouges des accouplements torrides de l’après midi et puis le nectar qui fait briller sa fente, et le parfum enivrant qui monte depuis son antre ainsi entrebâillée elle décide de se laver, sauf ses parties intimes, ce soir dans son lit elle veut encore se saouler de ces fragrances érotiques et qui sait caresser lentement jusqu’à l’extase toute son intimité ultra-sensible.

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