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Chantal et Aurélie – Chapitre 17

Chantal et Aurélie - Chapitre 17



Avant dernier épisode……..

mille excuse pour avoir tant tardé à écrire la suite.

– A quoi pensais tu, me demanda-t-elle, ses doigts caressant le collier que javais gardé, signe de ma soumission complète.

Sa main posée sur mon sein me fit sursauter ; je ne savais plus où jétais.

Toute à mes souvenirs, je métais rendormie contre elle, la tête posée sur son ventre recouvert dun drap fin, où je pouvais sentir les relents de lamour. Jétais bien et serais restée des heures dans cette position, si elle ne mavait parlée. Elle venait de se réveiller et sa demande me fit sortir de ma léthargie !

– A tout ce qui sest passé cette nuit, au plaisir que vous mavez donné !

« « « « « « En effet, après mêtre réveillée, mon corps collée à elle, les yeux clos, je métais remémorée tout ce que nous avions fait depuis quelle mavait entrainée au garage.

Malgré la fatigue, le manque de sommeil, tout me revenait en mémoire, me remémorant le moment où me prenant par la main, elle avait ouvert la porte du garage en appelant les trois chiens qui dans un élan commun, nous emboitèrent le pas, ayant compris que leurs femelles étaient enfin prêtes pour être saillies. Puis allant directement chercher le matelas sur lequel Maman se faisait grimper ce qui me fit penser quelles devaient sen servir toutes les deux – elle mordonna de me mettre de nouveau à quatre pattes, la position idéale pour se faire grimper. Jaurais aimé des préliminaires plus longs, mallonger les cuisses béantes pour savourer leur langue sur ma chatte en feu, mais elle en avait décidé autrement. Alors avec obéissance, je me mis à quatre pattes, écartant le plus que je pus mes lobes fessiers, attendant avec impatience, le premier mâle qui maurait choisie.

Je la revoyais caressant le fourreau de Mambo pendant quelle me parlait, espérant de toutes mes forces en voyant sa main branler létui doù sortait sa tige effilée, quil aurait assez de force pour mhonorer. Le pauvre ! Je lui en avais tellement demandé depuis plusieurs jours, que je commençais à douter de lui.

Pour ce qui était dOko, je ne me faisais pas de souci pour lui. La façon quelle lavait regardé en arrivant, ses yeux gourmands posés sur ses parties génitales, je me doutais que ce serait par lui quelle se ferait monter en premier et le connaissant bien, je savais quil serait à la hauteur de ses espérances. Jétais surtout très fière que ce soit avec lui, en désirant ardemment quil la fasse hurler de plaisir comme elle le méritait.

Les caresses quelle avait prodigué à mon premier amant, commençaient à porter ses fruits, et quand enfin il se décida à me monter sur les reins, que sa tige effilée et brulante se planta entre mes reins, quatre heures du matin sonnaient au clocher du village. Cest de cette manière, sodomisée par son terrible engin, que javais voulu me donner à lui, faire voir à ma maîtresse que jétais capable de le prendre par mon anus, me rappelant comment elle mavait sodomisée avec son godemiché, je savais quelle en apprécierait la chose.

Ses coups de reins avaient été dune puissance digne dun véritable étalon. Tout dabord, je lavais senti senfiler dans ma chatte gluante, mais avant quil ne soit trop gros pour rentrer dans mon réceptacle cullier, je métais positionné pour quil me pourfende les reins. Cette fois il y était. Il sétait enfoncé dun coup, se démenant, se déversant en moi, puis par son sexe qui sallongeait et grossissait de plus en plus, je savais quavant peu je serais collée à lui.

Les yeux révulsés, lanus défoncé, la bouche grande ouverte, je lavais senti grossir entre mes fesses et lorsque son nud me lia définitivement à lui, je savais que ce serait pour de très longues minutes de bonheur et de plaisir.

Me trainant aussi difficilement que je le pus, le poids de mon amant mempêchant de manuvrer comme je le voulais, je me retournais du côté de ma maitresse pour regarder Oko se démener sur elle, avant de simmobiliser définitivement, la retenant fermement contre lui. La tête posée sur le matelas, je vis quelle avait tout comme moi choisi de se faire sodomiser et dans un rictus de bonheur, elle mavait tendu sa bouche que javais recouverte dun baiser amoureux.

Je me revoyais lui bécoter la bouche, glisser ma langue entre ses lèvres entre ouvertes et lui dire :

— Jaurais été tellement heureuse si Maman avait put être là, heureuse quelle puisse nous voir toutes les deux avec les chiens.

— Elle le sera ce soir, elle me la promise.

— Je vous aime !

— Moi aussi je taime. Tu sais que ton chien est un dieu, réussit elle à me dire entre deux hoquets. Quel amant merveilleux et mon dieu quelle belle queue !!!!!! Elle est vraiment très grosse. Merci de lavoir gardé, ceut été dommage de le laisser partir, quil se perde et quil naille honorer dautres salopes que nous. Sans oublié son nud ! Il me rempli si bien que jai limpression que mon ventre va exploser. Regarde ma chérie ! Je suis collée tout comme toi mon amour.

Mambo sétait retourné sur mon dos, me retrouvant fesses contre fesses, exactement comme une chienne avec son mâle. La douleur était terrible, même si depuis quelques temps mon anus avait prit lhabitude dêtre fouillé ainsi.

— Mambo est encore plus gros quavant ! Lui dis je en serrant les dents, tant la pression de son nud était forte. Je le supporte de justesse aujourdhui

— Caresses toi le clito ma chérie : tu verras comme ça ira mieux

— Oui maîtresse ! Oui je vais le faire

Je passais une main sous mon ventre, étalant mes doigts sur mon bouton gonflé par lenvie et doucement je le masturbais, retrouvant ainsi le plaisir dêtre saillie de cette façon, et de nouveau je collais ma bouche à celle de Nathalie, bouche quelle goba avec avidité.

Oko était toujours sur elle, en elle et je pouvais voir son anus se contracter, ce qui me laissait à penser quil se vidait en elle en crachant des giclées de sperme contre les parois distendues de son vagin. Me demanderait elle de venir coller ma bouche entre ses fesses quand il se détacherait delle ?

Nos bouches soudées, nos langues entremêlées, nous eûmes un premier orgasme, suivi dun deuxième puis dun troisième.

Cartouche lui, était couché, se délectant des odeurs de Nalla qui était encore sur la culotte balancée au sol. Je savais quil était entrain de reprendre des forces et que bientôt il allait vouloir de nouveau sa part du butin. Allait elle le garder pour elle ou allait elle me le donner ? Franchement je nen pouvais plus et si elle avait décidé que ce serait elle, jen serais ravie, estimant que trop de jouissance pour cette journée pourrait être néfaste pour la journée que nous devions passer chez Monique.

Toute à mes réflexions, je sentais Mambo qui continuait à se vider en moi, son nud étant de plus en plus gros, puis regardant Nathalie en plein délire de jouissance, je me dis que le lheure daller nous coucher, nétait pas encore arrivée.

Sa bouche toujours collée à la mienne, dans un murmure elle me demanda :

Tu lavais déjà fait petite salope ? Tu tétais déjà faite prendre par derrière ?

Oui maîtresse, mais seulement avec Mambo, lautre, celui qui est en vous est beaucoup trop gros (ce qui était faux bien entendu, javais tellement joui et souffert quand il mavait prise comme ça que jamais je ne pourrais loublier) .

Et tu aimes ça, ça se voit chienne ? Moi jadore quand Cartouche me défonce la pastille et alors ton Oko, je ne te dis pas il est trop « top ». Il te faudra me le prêter.

Je ne lui répondis pas, enfin je ne le pus, car malgré la grosseur du nud qui me déchirait les entrailles, Mambo réussi à se détacher de moi, me prodiguant un énorme plaisir malgré la douleur quil me donnât en sarrachant de moi.

Assise dans le sperme qui coulait de mon anus béant, je regardais son engin démesuré qui pendait sous son ventre et lenvie de lavaler me vint comme la dernière fois

Laisse le se vider me dit elle ! Je sais que tu as envie de le sucer, mais je préfères que tu avales la queue dOko quand elle sortira de mes fesses. Ensuite tu laperas son jus au sol comme une chienne que tu es.

Obéissante, je me coulais sous elle, pour coller ma bouche à son sexe dégoulinant de cyprine mélangé au sperme canin, et à peine ma langue toucha-t-elle son clitoris turgescent, quelle eut un orgasme si puissant, que son anus régurgitât aussitôt la queue dOko, la laissant échapper, accompagnée elle aussi par flot de sperme que ma bouche grande ouverte avala jusquà la lie.

Je gobais sa queue au passage, lavalant, la dégustant, titillant le méat doù sortait le sperme par saccade et quand au bout de quinze minutes, son sexe ramolli ressortit de ma bouche, je posais mes lèvres sur la chatte gluante et dégoulinante de Nathalie, chatte recouverte des secrétions canines que jentrepris à faire la toilette avec ma langue. Je la léchais, lui broutais le minou, allais de sa chatte à son anus ouvert, osant même la glisser au dedans jusquà ce que son corps se mit à trembler, secoué par les spasmes de la jouissance qui arrivaient au galop. Le cri qui sortit de sa gorge me donna envie de la manger encore et encore, et je continuais à la lécher jusquà ce que dans un ultime sursaut, elle me repoussa, me suppliant darrêter. Elle venait de me demander grâce, à moi son esclave, imaginez mon bonheur !

Heureuses, repues, nos corps recouverts de sueur et entachés de sperme, nous quittâmes le garage main dans la main pour nous réfugier dans ma chambre cette fois. Avant de nous allonger, nous prîmes une douche sans omettre de nous caresser au passage, puis nous refîmes le lit et le ménage dans la chambre de mes parents. Je ne voulais pas que mon père se rende compte que les chiens y avaient séjournés et surtout y enlever les jouets qui étaient restés bien en évidence sur la table de nuit

Après nous avoir prises, saillies, sodomisées, léchées : après que nous les ayons sucés, branlés, avalés, les trois chiens étaient devenus les meilleurs amis du monde et ils prenaient un repos bien mérité, tous les trois allongés au pied de mon lit, du côté de celle qui mavait possédée, violée, sodomisée et donnée autant de plaisir

La regardant, je me disais que jaimais Maman comme une folle, que javais ressenti avec elle des sensations terribles, jusque là inconnues pour moi, mais avec Nathalie, tout avait basculé en une nuit. Elle mavait donné un tel bonheur, un tel un plaisir, une telle jouissance, tout ça avec une telle intensité, que je ne pourrais que dire « Oui » à tout ce quelle me demanderait. Je crois que cétait son côté « dominatrice » qui me plaisait le plus et qui manquait à Maman, et être dominée, commandée, cest ce que désirais le plus.

Étais-je aussi « maso », en plus dêtre « nympho »

A peine une demie heure après que Mambo se fut retiré de mes reins en marrachant lanus, je la vis de nouveau saffubler de sa ceinture « gode », tout en mordonnant de me repositionner à quatre pattes sur le lit. Alors, à genoux derrière moi, les mains accrochées à mes hanches, le gland factice posé contre mon anus traumatisé, elle senfonça en moi en me disant que jétais « sa femme, sa chose », ce qui me fit chaud au cur. Je creusais les reins, écartant mes lobes fessier avec mes mains, je moffris toute entière, la suppliant de maimer encore et encore. Je compris en la sentant de démener en moi, que je ne serais jamais plus la même et quelle pourrait faire avec moi tout ce quelle voudrait et la dernière pensée que jeu avant quelle ne sécrasât sur moi, fut pour Maman, Maman qui comme moi, avait du devenir lesclave de cette femme, femme que jaimais et qui se déchaînait entre mes reins, marrachant pour la énième fois un cri de bonheur.

Javais tellement été ouverte, déchirée par le membre puissant de Mambo, que le godemiché entra dans mon anus, sans aucune résistance ni que cela me fisse souffrir davantage, et si ce je navais pas senti son ventre collé à mes fesses, cest à peine si je métais rendue compte quelle était au fond de mes reins.

Comme la première fois où elle me prit, agrippée à mes seins qui ballottaient, elle se déchainât, se ruant au fond de moi. La douleur était forte, intensive, lengin qui me labourait navait rien à voir avec la douceur du sexe de Mambo ou dOko, et le tout combiné dans mon anus à peine remis de la saillie animale, me fit grimacer et gémir de douleur.

Avait elle entendu mes gémissements ? Je le pensai, au moment où une main quitta mes hanches, pour venir se poser sur mon sexe en feu, faisant courir ses doigts entre mes lèvres gonflées.

Le plaisir de ses doigts, qui me caressaient, me titillaient le bouton damour lemportèrent sur cette douleur cruelle que ressentait mon anus. Ce plaisir était si fort, quelle finit par marracher des cris de plaisirs et quand je me mis à hurler de plaisir en remuant les fesses, elle comprit quelle mavait faite atteindre le nirvana. Alors comme une furie, elle sempalât au plus profond de mon être. Elle rentrait en moi, je mouvrais à elle, jusquà ce que le plaisir qui nous traversa le corps, nous fasse hurler, nous laissant pantelantes, inanimées sur le lit.

Nos corps repus, sa bouche collée à mon oreille, elle se retira doucement de mes reins tout en me caressant langoureusement les fesses. Je la sentis se décoller de moi, les pointes de ses seins caressant ma peau, jusquà ce que sa bouche se posât sur mon anus endolori et douloureux. Douleur quelle calma avec sa langue, ce qui me fit ronronner de plaisir de la sentir samuser avec mon petit trou. Sa langue léchant mon anus, ses doigts jouant au piano sur les lèvres saillantes de mon sexe en feu, il ne men fallut pas plus, pour que de nouveau et ce pour la énième fois, je me mis à jouir des audaces digitales et buccales de mon impérieuse et talentueuse initiatrice.

Entre mon anus et les replis intimes de ma chatte, sa langue habile allait et venait en un frottement superficiel, semblant vouloir user la crête de mon clitoris exaspéré à l’extrême. Déjà plus abondante, la sève du plaisir charnel s’écoulait de ma grotte sexuelle, des ondes électriques se propageaient dans mon ventre et me régalaient d’embryons orgasmiques.

Néanmoins, elle se contentât toujours de frôler des lèvres, mon sexe offert à sa bouche, sans m’embrasser vraiment et moins encore me pénétrer de sa langue tendue à souhait, alors dans un cri libérateur, je me laissais aller à une jouissance suprême, inondant sa bouche de cyprine odorante.

Vidée, le corps repu, reprenant doucement mes esprits, je la sentis se retourner contre moi, présentant ainsi son sexe trempé à ma bouche entre ouverte.

— Lèches moi, chienne! Mordonna-t-elle en ondulant des hanches, attirant ma tête entre ses cuisses. Donne moi du plaisir comme je viens de ten donner

Toujours prête à satisfaire ses moindres plaisirs, je posais ma bouche sur sa chatte parfumée, ma langue sincrustant dans son vagin gluant de cyprine, quand soudainement elle referma ses jambes, memprisonnant la tête entre ses longues cuisses nerveuses, mempêchant pratiquement de respirer.

A bout de souffle, à la limite de lasphyxie, je mordillais avec douceur le sexe de ma despotique partenaire, l’incitant ainsi à relâcher létau de ses cuisses musclées qui menserraient le cou avec force. Mais des que je cessais de la titiller, de la sucer, de la lécher, celle-ci les refermait aussi vite quelle les avait ouvertes, me faisant de nouveau suffoquer. Alors, force me fut de céder aux volontés de ma svelte tribade en me résignant de la stimuler régulièrement, lui embrassant les lèvres vaginales avec plus de conviction. Je lui léchais le clitoris et peu à peu, jéprouvais un plaisir, certain à celui que je lui donnais. Se retournant en prenant la position du 69, notre couple lesbien trouva enfin son harmonie.

Je haletais, soufflais, salivais de plaisir, et quand elle menfonça un doigt dans mon anus encore tuméfié par la saillie, je cru mévanouir tant le plaisir quelle me donna était grand. Une onde brutale gifla le fond de mes entrailles. Nathalie se crispa une seconde, persuadée quelle mavait fait mal, mais voyant mon visage épanoui de plaisir, elle n’en continua pas moins à sucer les chairs gonflées de mon sexe, enfilant sa langue au plus profond de mon vagin, dont la liqueur corsée acheva de l’enivrer, de la faire chavirer et sombrer.

Ni elle, ni moi, ne nous aperçûmes que laube se levait, tant le plaisir que nous nous étions prodiguées et que nous avions partagé, nous avait fait oublier lheure quil pouvait être. Après tout ! Avions nous à nous soucier de ça !

Qu’importait la fatigue qui raidissait nos membres, tant qu’il nous resterait assez de force pour continuer à nous donner du plaisir !

Possédées d’une véritable frénésie sexuelle, nous ne songions quà jouir, jouir encore et encore de nos caresses et de nos étreintes, jusquà ce que la jouissance nous fasse nous tordre et hurler jusqu’à l’hystérie. Si par instants, l’épuisement nous laissait hagardes et échevelées, à bout de souffle, le cur battant sur un rythme fou, le corps inondé de transpiration, l’une ou l’autre tendait un bras pour saisir entre ses ongles la pointe turgescent d’un sein strié de griffures laissées par les chiens, et faisant acte de cruauté voluptueuse, le tordait jusqu’à ce que le désir se réveillant dans un cri de souffrance, appelait l’éclat d’une nouvelle jouissance.

Vint pourtant le moment où les reins douloureux, les doigts engourdis, les langues raidies, nous fûmes contraintes de renoncer à l’après ou suave réciprocité de nos ébats et nous nous endormîmes collées lune à lautre » » » »

Voilà à quoi jétais entrain de penser avant quelle ne me parle.

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