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Charlène, sa nièce et son amie – Chapitre 4

Charlène, sa nièce et son amie - Chapitre 4



Je m’appelle Charlène et je vais  avoir soixante trois ans . Cela fait presque deux ans que je vis maritalement, selon l’expression, avec ma nièce. Notre relation est excellente. Charlotte m’a entrainée peu à peu dans son univers érotique et je me soumets la plupart du temps avec grand plaisir à ses fantasmes.

Elle me domine et j’aime ça.

Pour mon anniversaire, elle a décidé de m’inviter dans un grand restaurant à Montpellier. C’est un samedi soir et dois me mettre sur mon trente et un. Elle m’a offert un ensemble tailleur robe gris  et chemisier rose du plus bel effet. Pour compléter l’ensemble j’ai reçu un string dentelé de soie noire et un soutien gorge assorti, demi-seins pigeonnant.

Elle m’a également acheté une paire d’escarpins fort haut et des bas autofix gris. Je m’observe tout en m’habillant. Je ressemble toujours autant à Claire Chazal. J’ai quelques rides mais mon visage est encore jeune. J’entretiens mon corps svelte au jour le jour et je rentre toujours dans du 40, comme il y a vingt ans. Mon ventre est plat et mes seins, il est vrai modestes, se tiennent relativement bien.

Quand j’enfile mon soutien gorge, je me rends compte que ma coquine de nièce a acheté, une fois de plus volontairement, trop petit. Je dois loger mon 85 B dans la taille en dessous. Résultat mes seins dépassent largement de leur demi-lune de soie.  Idem pour le chemisier qui est en 38 et me moule trop. Le reste est à ma taille, sauf le string qui est lui aussi en 38.

Je finis de m’équiper et  me maquille légèrement, repasse un coup de brosse dans mes cheveux, fin prête. Je soumets mon apparence à Charlotte qui me trouve à son goût et m’embrasse rapidement pour me le manifester. Ma nièce porte un jean délavé, un débardeur blanc et un Perfecto de cuir noir avec des demi bottes. Quelle idée!

Avant de sortir, elle dégrafe comme à son habitude les trois premiers boutons de mon chemisier. On voit ainsi la moitié supérieure de mes seins.

La soirée est très sympa. Nous sommes toujours heureuses de sortir ensemble et ma tenue fait son petit effet. Les gens se retournent en chuchotant sur mon passage. Le serveur du restaurant passe la soirée dans mon décolleté, Charlotte me demande d’enlever un bouton de plus. Je suis sûre qu’il peut voir ainsi sans se pencher le sommet de mes auréoles. Les mets sont excellents.

A l’issue du repas Charlotte m’annonce qu’elle a une surprise pour moi. Elle n’en dit pas plus et nous reprenons la voiture. Je pense qu’elle va m’emmener dans une boite sur l’agglomération mais nous prenons l’autoroute direction Lyon, ce qui est à l’opposé du Cap et surtout loin de nos points de chute habituels. Peut être veut-elle me faire découvrir un nouveau lieu vers Nîmes.

Arrivées à hauteur de Lunel, Charlotte avec un grand sourire s’engage sur l’aire de stationnement de Nabrigas, que je découvre. Elle ralentit  et je réalise qu’il m’est  impossible de connaître cet endroit car il est réservé aux poids lourds. Un panneau gigantesque annonce "Truck village". Comme c’est le weekend et que la plupart des camions ne peuvent pas rouler le dimanche l’endroit est bondé.

Je suis surprise et me demande ce que nous faisons là. Charlotte se gare le long d’un trottoir et me fait signe de la suivre. Elle me prend la main et nous déambulons dans la pénombre le long des semi-remorques. Il y en a de tous les pays,  surtout des espagnols. Un chauffeur nous observe intrigué depuis sa cabine.

Nous continuons notre cheminement. L’aire est immense, bien en retrait de l’autoroute dont le bruit nous parvient faiblement. Devant nous, un halo de lumière plus important et plusieurs bâtiments. Au fur et à mesure que nous nous approchons, je distingue des silhouettes masculines qui vont et viennent d’un endroit à l’autre.

Le premier bâtiment est un petit hôtel avec un salon bar occupé par une vingtaine de types attablés autour de quelques bières. Notre apparition fait tourner quelques têtes. Charlotte me tient toujours la main et ne ralentit pas son allure. Nous dépassons le bâtiment pour découvrir un panneau qui indique les douches et les toilettes. Quelques gars nous dépassent en nous dévisageant.

Ma nièce me guide vers cette deuxième construction. A droite les douches, à gauche les toilettes. Sa main ferme me guide vers la première option. Elle pousse la porte et me fais rentrer dans une salle bien éclairée, assez grande. Il y a une dizaine de types devant la rangée de lavabos au milieu de la pièce, les bords étant occupés par les cabines de douche.

Tout le monde s’arrête à notre entrée, croyant visiblement à une erreur. Les types ont,  pour la plupart, la cinquantaine bien tassée, l’air fatigué et le ventre bedonnant. Ils nous dévisagent comme si nous tombions de la planète Mars. Ma nièce les salue pendant que je bredouille quelque chose du même genre. Nous déambulons au milieu d’eux puis Charlotte me place face à eux contre le mur du fond du local.

Pas un mot. C’est assez surréaliste.

Lentement ma nièce se rapproche de moi et m’embrasse sur la joue, puis sur les lèvres. Elle me roule un long patin introduisant largement sa langue dans ma bouche. Les gars sont figés comme par magie.

Charlotte écarte les pans de  la veste de mon tailleur et ouvre lentement mon chemisier, jusqu’au dernier bouton. Mon soutien gorge apparaît, il ne cache pas grand chose et les voyeurs peuvent mater mes seins qui débordent à moitié. Ma nièce enlève ma veste et la place sur son épaule. Elle reprend ma main et nous défilons ainsi entre les types jusqu’à l’autre bout de la pièce.

Pas un bruit, pas un geste. Tout est figé sauf nous.

Charlotte ôte mon chemisier et tripote mes tétons. Sans dégrafer le sous-tif elle extrait définitivement, l’un après l’autre, mes seins de leur cachette. Puis elle relève ma jupe et fait brièvement apparaître mon string. Elle pelote mes seins et lèche largement mes auréoles. Certains des types commencent à se branler à travers leur futal.

D’un geste de la main elle m’indique que je dois à nouveau traverser la haie de bonhommes puis revenir à elle. Je m’exécute sans broncher. Quelques frôlements furtifs accompagnent ma déambulation à l’aller comme au  retour.

Quand je la rejoins Charlotte dégrafe la jupe de mon tailleur et la fait glisser à mes pieds. Ne sachant qu’en faire, elle donne le résultat actuel de mon effeuillage au camionneur le plus proche. Celui-ci se saisit du tailleur et du chemisier comme d’un trésor.

Ma nièce se place derrière moi et me caresse la poitrine puis le ventre. Elle joue maintenant avec le string, dévoilant puis masquant mon sexe lisse. Deux types ont sorti leur bite et s’astiquent vigoureusement. Charlotte me reprend la main et me guide vers le premier des deux. Elle me fait arrêter devant lui et pivoter lentement sur moi-même. Le gars est cramoisi. Ma nièce saisit la main libre du gars et l’approche de ma poitrine. Il saisit avidement ma mamelle gauche et s’emploie à la triturer.

Charlotte me fait prestement reculer et me guide à présent vers un autre lascar qui a, lui, le privilège de palper mes fesses. Chacun des spectateurs va pouvoir ainsi brièvement jauger la fermeté de mes seins, mes fesses, mes cuisses ou encore ma croupe.

Cette présentation terminée, ma nièce me débarrasse de mon string qu’elle jette à la volée ainsi que de mon soutien gorge. Les deux reliques s’évaporent dans des pognes calleuses. Charlotte me fait me placer devant un des lavabos sur lequel j’appuie mes mains. Penchée en avant je la sens fouiller mon entrecuisse puis me pénétrer de sa dextre. Je suis trempée, ce qui l’aide à glisser plusieurs doigts dans ma chatte. Elle me triture les tétons de sa main gauche en me mordillant le cou ou une oreille.

Les types forment un cercle fermé à quelques centimètre de nous et n’en perdent pas une miette. Ma nièce continue ses mouvements de va et vient ou bien fait tourner son poignet dans ma chatte pour insérer un doigt supplémentaire. Mes cuisses tremblent, ma respiration s’accélère. Je ferme les yeux.  Je suis prise de soubresauts brusques et je jouis ainsi, en râlant,  sur elle. Quelques types en profitent bein entendu pour me tripoter.

Charlotte relâche son étreinte et baisse son jean. Elle ne porte pas de culotte. D’une pression sur la tête elle me fait m’agenouiller devant elle et m’indique de la lécher. Je sens qu’elle est elle-même fort excitée car une forte quantité de cyprine se répand sur ma langue dés que je commence à la fouiller. Elle presse ma tête contre son ventre et explose rapidement sous mes caresses.

Elle me fait relever et me guide vers la sortie. Tout le monde s’écarte sur notre passage.  Mes habits ont disparu et c’est en tenue d’Eve que je vais devoir retourner à la voiture.

Je cache mon sexe et mes seins en repassant tête baissée devant le bar, pressant le pas. Certains des types nous suivent encore de loin, histoire de profiter un peu plus longtemps du spectacle. Ma nièce me suit à quelques pas. Arrivées à la voiture elle repasse devant moi, ouvre le coffre et me donne un trenchcoat que je m’empresse d’enfiler, puis elle m’embrasse tendrement.

Sur la route du retour, nous ferons une dernière halte dans un bar. Mais ceci est une autre histoire.

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