Histoires de sexe français Histoires gays

CHARLOTTE, chanteuse vierge tripotée par un vieux CAPITAINE – Chapitre 1

CHARLOTTE, chanteuse vierge tripotée par un vieux CAPITAINE - Chapitre 1



Charlotte s’approchait du micro, et, comme tous les jeudis soirs, commençait par la chanson "Misty" de Ella Fitzgerald. Depuis sept mois maintenant, elle se rendait au Jazzbar du Port du Havre pour faire partager sa voix pure, douce mais teintée de blues aux quelques passants venus s’accorder un verre alcoolisé après une dure journée de travail. Ce premier boulot régulier pour cette jeune brunette aux longs cheveux ondulés de 18 ans n’était pas très bien rémunéré mais représentait au moins une première passerelle pour atteindre son rêve : devenir chanteuse renommée de jazz.

La chanteuse a la peau mate, ainsi vêtue d’une courte jupe et d’un beau décolleté sur sa large poitrine, se montrait aussi élégante que charmante. Mais la lycéenne avait un défaut marqué qui consistait tout son complexe : Charlotte était plutôt ronde. Ses formes s’affirmaient parfaitement féminines car ses kilos en excès se répartissaient harmonieusement le long de son jeune corps, le tout exalte par sa superbe longue chevelure noire. De même, Charlotte exhibait de très abondantes fesses qui relevait prudemment sa jupe, un certain ventre courbe et enfin une poitrine plongeante exceptionnellement volumineuse. Ces quelques particularités avait suffi a Charlotte a écarter les garçons, encore fermes d’esprit par leur jeune âge, qui l’intéressaient et, a son grand désespoir, la jolie ronde demeurait l’unique de son cercle d’amies a être vierge. Ses seules expériences avec l’autre genre se résumaient a un collégien rencontre en vacances avec qui elle n’échangea que des baisers innocents, un garçon saoul aux mains baladeuses qu’elle avait furtivement embrasse en discothèque et de nombreuses, nombreuses déceptions amoureuses. De ses échecs affectifs, Charlotte s’était consolée dans sa passion musicale au-quelle elle s’offrait corps et âmes et se résignait a rester pucelle maudite, peut-être éternellement. Elle s’était certes touchée une ou deux fois sous la douche mais n’en avait retenue aucun plaisir, se demandant comment certaines de ses copines parvenaient de la sorte a se satisfaire sexuellement. Bien sur, elle s’était aussi accorde de quelques films a regarder sur des sites internet peu catholiques qui avait réveille chez elle des impressions très étranges entre attraction et dégoût, sensations qu’elle interpréta comme inquiétantes et qu’elle chassa définitivement de sa personne.

Après les dernières notes de Ella Fitzgerald, Charlotte entama "Temptation" de Diana Krall. D’un rythme plus joyeux, elle en profitait pour dandiner ses jolies fesses et parfois bouger son buste, faisant sautiller ainsi sa forte poitrine. C’est alors qu’elle remarque un homme d’une quarantaine d’années au fond de la salle : plutôt petit doté d’une chemise a carreaux mal boutonnées et d’un bidon. Sa petite barbe rousse sympathique avait de quoi le rendre mignon mais son crâne n’habitant plus que trois ou quatre longs cheveux et son regard toujours égare entre alcool et désespoir effaçaient la moindre trace d’esthétique. Toutefois, Charlotte avait note sa présence invariable a chacune de ses prestations mais aussi l’attention totale que celui-ci lui portait lorsqu’elle s’exaltait de sa voix. Finalement, la lycéenne clôturait la soirée par une chanson bien connue de Percy Sledge. Après un court instant d’applaudissement moelleux, Charlotte descendit de la scène, passant par sa loge pour récupérer ses affaires et décida de se soulager aux toilettes. Ouvrant la porte, elle sentit un choc, renversant quelqu’un.

— Oh, excusez-moi ! s’écria-t-elle.- Ce n’est rien, ce n’est rien …

La jeune brunette reconnut tout de suite le petit roux mal boutonne. Elle remarqua ses nombreux rides et ses yeux bleus, presque transparents et les trouva presque jolis mais il avait un peu de bière qui coulait le long de sa lèvres et des poils qui sortaient du nez. C’était le parfait looser a ses yeux.

Charlotte passa son chemin et alla salut son meilleur ami Tristan, un jeune homme tout fin aux penchants timides et une copine de longue date, Sofia, une brune aux corps joliment formé et au sourire éclatant.

— C’était super ! dit Tristan.- Merci, mais je ne suis pas très satisfaite … répondit Charlotte.- Tu viens avec nous à la soirée ce soir ? Nous t’emmenons en voiture, demanda Sofia.- Non, merci … Je vais rentrer … Je suis fatiguée.- Comme tu voudras.

Les deux amis la saluèrent et quittèrent l’endroit. Puis Charlotte se pointa devant le patron du jazzbar en pleine discussion avec le barman.

— Tu me passes ma paye, s’il te plaît ?- Tu es arrivée en retard. Tu n’as même pas joue une heure. Je ne te trouve pas très sérieuse … En plus, il n’y a pas eu beaucoup de clients ce soir.- Qu’es-tu en train de dire, la ?- Que, peut-être, tu ne la mérites pas tant que ça, ta paye. Je te donne les trois quarts pour aujourd’hui.- Vous rigolez ? J’ai besoin de cet argent, moi !- Je pense qu’elle le mérite amplement. Ce soir, elle a particulièrement bien chante.

Le vieux roux s’était introduit a droite de Charlotte, prenant parti de sa défense a la grande surprise de celle-ci. Le patron le dévisagea sombrement.

— Je crains que ce ne soit votre business, cher client.- je vous prends deux verres. Cela fera de quoi compléter le salaire de mademoiselle.

Le patron reste un court instant silencieux.

— Entendu… Mais tache de revenir a l’heure la semaine prochaine, Charlotte. Allez, deux mojitos, c’est parti!

Une fois tranquilles, Charlotte remercia l’inconnu de son intervention.

— De rien. En échange, tu accepteras bien ce verre. Après tout, j’en ai commande deux.

— Euh … D’accord.

Charlotte était hésitante. La chanteuse ne comprenait pas trop dans quelle situation elle se trouvait. Toutefois, elle n’aurait pas trouve correct de refuser un verre de son nouveau sauveur.

Après un tchin’, le demi-chauve roux engagea la conversation.

— Alors, tu t’appelles Charlotte ?

— Eh … Oui.

— Tu chantes depuis longtemps ?

— Je crois depuis mes quatorze ans … C’est a cet âge-la que j’ai commence a prendre des cours. Avant … Je chantais dans la douche, disons.

Tous deux lâchèrent un léger rire gêne. L’appréhension laissa place a la curiosité. Charlotte s’accorda une grande gorgée et reprit.

— Ce n’est pas la première fois que je vous voie.

— En effet, je viens souvent. J’apprécie beaucoup vos chansons, enfin, ta musique. Dans le temps, je connaissais une fille qui chantait aussi … Enfin, vous, enfin, toi, tu chantes vraiment bien. Ça me détend. C’est simple mais c’est beau. C’est vraiment beau.

— Merci…

Ils avaient l’air plus accommodés. C’était la première fois qu’on lui associait un compliment de manière si sincère.

— Que faites-vous dans la vie ?

— Je suis … Disons, marin. Je transporte des cargaisons de Grande Bretagne.

Pendant qu’il parlait, Charlotte l’observa plus aigument. Ses yeux bleus clairs étaient toujours aussi troublants et sa barbe plus sympathique encore. Dans son ensemble il lui semblait plus propre que sa première impression. Il avait aussi des bras muscles, tailles par l’endurance de son travail.

— Je t’offre un second verre.

— Oh non … ! Je ne tiens pas l’alcool, hahahaha.

— Ne soyons pas timides, tu ne m’as pas encore raconte ce que tu étudiais ! Garçon, deux autres de même, merci.

— Arrêtez, je ne serai même pas capable de rentrer a pied sinon ! Hahahahaha.

— Mais je te ramenerai, voyons. Hahahah.

Sa voix grave et rauque la faisait beaucoup rire. La chanteuse souriait abondamment, offrant un magnifique apercu de ses dents blanches, ses levres pulpeuses au parfum sucre et finalement ses yeux amendes.

Peu de temps après ces deux verres, se laissant emportée par le flot d’humour et de joie alcoolisée, Charlotte se trouvait dans la voiture de l’inconnu. Après tout, elle admettait qu’elle etait bien contente d’etre racompagnee en voiture car son trajet habituel en bus s’en trouvait raccourci.

— Je ne connais même pas votre nom !

— Appelle-moi " le Capitaine ".

— Hahahaha, quel étrange surnom… pour un marin !

Celui-ci roulait a belle allure dans la nuit volatile du bord de la Manche. Le décor ressemblait a un film des années cinquante. Cet enthousiasme naturel la conditionnait de bonne humeur. La boisson faisait son effet et Charlotte ne désirait plus penser mais seulement profiter sans réfléchir jusqu’où les événements la meneraient. Le Marin enclencha doucement le frein.

— Accordons-nous une pause ici et observe la vue, Charlotte …

Le cadre représentait un incroyable tableau d’une mer qui tentait inlassablement d’échapper a son corps, affrontant jour et nuit les falaises de sa prison. Charlotte admirait l’eau alors qu’elle sentit une main passer le long de son dos. La fille se tourna et vit le roux approcher ses levres des siennes tout en lui tenant fermement le dos. Il l’embrasse pendant une longue minute, mêlant sa langue a la sienne, échangeant leurs salives encore chaudes jusqu’a ce que la chanteuse réagisse, en s’ecartant violemment :

— Mais ca va pas ?!

Charlotte était littéralement outrée, mais avec l’alcool, elle avait du mal a discerner la situation.

— Chut … Je sais que tu en as envie, ma petite …

La Marin la poussa dans la voiture et elle tomba sur la banquette arriere. Son inquiétude se décupla. La brunette devint totalement paniquee et comprit que l’ambiance jusqu’alors joyeuse de cette soiree tournait en véritable cauchemar …

— Qu’allez-vous … ?! Ne me faites pas de mal, je vous en supplie …

Le marin se mit sur elle et passa ses mains le long de ses jambes mates.

— Du mal ? … A une si jolie fille ? Non …

Charlotte sentit des frissons la parcourir. Elle saisissait bien la fin de ses pensees vicieuses. L’envie de pleurer la paralysa.

— Je vous en supplie …

Le Marin, après avoir passe ses doigts sous sa jupe, attrapa sa culotte blanche et la tira doucement pour laisser apparaître un magnifique sexe aux levres roses parfaites, entourees de petites poils sombres encore puerils en forme de poire. Charlotte, toujours immobile, etait depassee par un melange de honte et d’incomprehension.

— Ooooh, mais que vois-je ? Une goutte qui descend le long de ta chatte … Tu mouilles déjà, hein, coquine …

Charlotte n’avait en effet pas remarque, parmi la panique qui la recouvrait, qu’une légère vague d’appréhension inquiétante mais, mieux cachée, surtout agreable la traversait. Restait-elle immobile paralysée par la peur … ou dans l’attente ?

— Voyons gouter ce superbe minou, dis …

Le Marin deposa sa langue délicatement le long de la goutte âcre et longea la peau jusqu’à l’entrée du vagin de la chanteuse. Il titilla alors furtivement la peau rose toute frêle. Un gout sucre et de sueur florale envahit sa bouche. Cet effleurement declencha un nappe de chaleur qui traversa la lyceenne de la tete au pieds. Il releva ensuite la tete et la regarda droit dans les yeux. La chanteuse était terrifiee.

— Dis-moi, ma jolie, combien de garcons ont eu la chance d’user une superbe chatte comme celle-la ?

Charlotte ne disait mot. Il s’approcha et lui embrassa langoureusement la cou.

— Hein, dis-moi ?

Toujours sans reponse, il releva la tete et frappa la banquette d’un air autoritaire.

— Reponds !

— Aucun …

Ses faibles mots etaient sortis d’eux-meme. Charlotte n’etait plus disposee la realite. Son corps commencait a echapper a sa raison.

— Aucun ?! Hahahaha. Me voilà grand vainqueur d’une magnifique vierge … Combien suis-je chanceux ce soir!

Il l’embrassa de nouveau, mais cette fois, plus profondément. Charlotte se laissait faire. Le marin attrapa ses jambes plutot grasses et les ecarta violemment. Il dechira la jupe et, dans la volée, retira ses sandales. Le vieux roux remonta son tee-shirt de sorte a voire son ventre imposant. Charlotte, toujours plus honteuse, se trouvait totalement nue en dessous du nombril.

— Quel corps de rêve ! Les garçons ne savent pas quelle genre de bonasse comme toi ils ratent … Tiens-toi prete, ma belle, ca va te plaire …

Redescendant sa tete entre ses jambes ecartees en l’air, il entama un long massage buccal du sexe feminin, caressant en même temps tout le reste du corps. Sa langue, d’abord, longeait sa fente, montant et redescendant, humidifiant l’entre-jambe qui ne tarda pas a se purifier de legere transpiration.

— Tu sais que je l’aime, ta chatte, a toi …

Charlotte, les yeux fermes, respirait lentement, tentant de canaliser les secousses sensorielles qui stimulaient des ondes de plaisir jusqu’alors inconnues. Poussant ses jambes en l’air le plus possible pour avoir parfaitement son entre-jambe ouvert devant lui, le Marin entreprit alors de rentrer sa langue a l’interieur, ecartant les parois visqueuses de plaisir.

— Aaaarh … !

Ce long rale s’echappa instantanement et la jeunette se surprit a exprimer si explicitement son plaisir. Charlotte ne se sentait plus elle-meme.

— Alors tu aimes, hein ?

— Ah … Ah … Ah …

La pubis de la brune aux cheveux ondules se montrait maintenant bien humide. Le capitaine enfoncait sa langue de plus en plus profond, attrapant la peau rose et la tirant avec sa bouche, stimulant des effets toujours plus enivrants.

— Tu comprends … Il fallait juste se laisser faire un peu …

Charlotte se rendit alors compte que ses deux bras étaient demeures immobiles le long de la portiere, et, pendant que le roux lechait allègrement son entre-jambe, elle ne put s’empêcher de descendre ses bras et de lui caresser son crane presque chauve. La tete relevee, il lui attrapa la bouche comme s’il tenait la bouille d’un enfant.

— Ca te plait vraiment, hein, le cunni ? Avoue-le …

Charlotte restait sans les yeux fermes.

— Avoue-le, Charlotte …

— Oui …

La gamine enrobee ne pouvait plus nier une telle evidence et cela encore amplifiait sa honte.

— Oui, embrasse-moi …

De nouveau, leurs langues s’echangerent langoureusement. Charlotte sentit parmi la salive du roux encore un peu de son liquide vaginal et se rappela que ses amies traitaient habituellement de "salope" un tel comportement. Qu’etait-il en train de lui arriver ?

(A suivre … !)

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire