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Christine VI : Midlife Crisis – Chapitre 5

Mon père - Chapitre 1



Les fêtes de Noël à la maison se passent étonnamment bien. Le 24 au soir, nous sommes dans ma belle-famille et Christine est sublime dans une robe rouge foncé. Nous rentrons peu après minuit, couchons les enfants et nous retrouvons au salon pour un petit digestif. C’est seulement à ce moment-là que je découvre que mon épouse porte une guêpière sous sa robe. Nous nous embrassons, les mains glissent sur le corps de l’autre. Christine vient à califourchon sur moi et me murmure :

— Je ne veux pas faire l’amour.

Surpris, alors qu’elle me chauffe, je réponds :

— Pardon ?

— Je ne veux pas faire l’amour, non. Je veux baiser.

Là dessus, elle se lève et se dirige vers notre chambre. A la porte, elle retire sa robe. Je la suis. Quand j’entre dans la chambre, je la découvre couchée sur le lit, les jambes largement écartées. Elle se caresse les seins avec une main, l’autre excite sa vulve. Je me déshabille, monte sur le lit et plonge mon sexe dans le sien. Tandis qu’elle glisse un coussin sous ses hanches, j’attrape ses chevilles et la pistonne.

Christine se tourne ensuite sur un côté et je continue mes va-et-vient. Je doigte son anus. Elle me donne le lubrifiant. Quand elle est prête, je change de trou et commence à la sodomiser. Elle se met à plat ventre et je bourre son gros cul. Elle gémit, halète, supplie de continuer encore et encore.

Je m’allonge derrière elle et la sodomise en cuillères. Elle m’embrasse, assez vulgairement. Je redouble d’intensité. Je la fais rouler sur moi, tous deux sur le dos, toujours dans son cul. Elle gémit :

— Mmmh C’est notre position, ça

Nouveau baiser torride. Surexcitée, Christine ne tient pas en place. Elle se redresse et se retrouve à califourchon sur moi, de dos. Elle me regarde du coin de l’il, montant et descendant sur ma bite en écartant bien ses fesses.

— Regarde, mon amour, regarde ta grosse bite fouiller mon petit trou

Puis, lentement, Christine descend tout le long de ma queue qui disparait alors entièrement dans son anus. Je deviens fou, surtout quand je devine son sourire en coin.

Ma femme me prend la main et m’attire à elle. Je l’enlace. Position inédite. Un baiser. Elle dit :

— Reste dedans et accompagne-moi.

Elle se penche en avant et je suis le mouvement en m’agenouillant derrière elle. Levrette traditionnelle. Je commence à bouger et durant cinq bonnes minutes, je vais sans cesse varier la pénétration et le rythme pour durer, jusqu’à un orgasme sublime.

Alors que je retire, exténué par cette longue pénétration anale, Christine en redemande.

— Reviens, j’en trop envie ce soir !

— J’en peux plus

— Prends un gode, doigte-moi, j’en veux encore.

Je lubrifie mes doigts et introduis index, majeur et annulaire dans son anus. Il sont rapidement rejoints par l’auriculaire. Ma femme tortille des fesses, gémit son plaisir. Je glisse le pouce entre mes doigts fermés. Je prends l’option de ne rien dire à Christine : je lubrifie le reste de la main et pousse lentement.

— Ooooh ! Oh mon Dieu Ooooh !

Quand les phalanges sont passées, je mets du lubrifiant autour de l’anus. Christine souffle doucement et je sens son anus se détendre encore. Je pousse à nouveau Ma main disparait petit à petit dans son cul. Je fiste ma femme !! Je reste quelques instants et je m’apprête à sortir quand elle dit :

— Non ! Reste encore Bouge un peu

J’ai peur de lui faire mal, je vais timidement d’avant en arrière.

— Oh oui Encore Vas-y Un peu plus loin

Un peu plus d’amplitude, à peine. Christine semble prendre un plaisir inouï. Quelques instants plus tard, je retire lentement ma main. Mon épouse s’affale sur le lit. Je vais me doucher.

Elle n’a pas bougé quand je reviens. Elle m’entend, se tourne et me sourit.

— Chéri, c’était l’expérience la plus intense de ma vie.

Nous nous embrassons. Elle me remercie d’avoir osé aller plus loin. Je m’inquiète :

— Ça ne t’a pas fait mal ?

— A peine. Tu as été très doux. C’était très intense par le fait d’avoir ta main là, mais très peu douloureux

Je dois faire une tête bizarre. Elle rit :

— Oh oui ! Pas comme quand tu m’encules et que je ne suis pas préparée !!

— Je veux toujours te préparer !

— Oui, mais moi, parfois, j’ai envie que tu me fasses un peu mal.

Je souris :

— Et alors, tu préfères la sodomie ou le fist ?

Christine éclate de rire.

— La sodomie, largement !

— Quand même !

— Tu sais ce que j’aime ? C’est quand tu commences avec ta langue, que tu lèches mon anus, je commence à me détendre et tu peux la glisser dedans. Ça me rend folle, je t’assure. Ensuite, avec tes doigts, ce n’est pas ce que je préfère, mais c’est nécessaire et je n’ai pas plus de plaisir avec un plug anal. Et là, j’aime bien te dire que je suis prête alors que je ne le suis pas tout à fait. Comme ça, quand tu mets son sexe, j’ai un peu mal au début. Des fois dix secondes, des fois une minute. Si je n’ai pas mal, c’est moins fort, moins intense, moins bon.

— Tu ne m’avais jamais dit ça.

Nous nous embrassons. Elle rit et me cherche en me disant qu’après tant d’années, je ne connais pas encore tout d’elle. Nous "jouons" un moment. Elle va ensuite se déshabiller et se doucher. Quand elle revient, je ne dors pas. En nuisette blanche, elle se love contre moi. Ses seins contre mes côtes, je recommence à bander. Elle s’en rend compte par hasard en heurtant ma trique avec son coude. Elle m’embrasse avec passion et descend mon caleçon pour me masturber. Quelques minutes plus tard, elle me chevauche lentement et tendrement. Nous faisons l’amour yeux dans les yeux.

Le lendemain, à la maison, Christine a remis des jarretelles sous une autre robe. Je n’en profiterai pas, mais je suis ravi de la voir divinement belle. En cours de journée, je reçois un SMS d’Alina :

"Joyeux Noël, bel étalon et à tout bientôt, j’espère"

Je réponds par un soft :

"Joyeux Noël à toi aussi"

Nous passons une bonne journée en famille le 26 également, même si elle est ternie par une dispute au moment du coucher. Je la ferme et m’endors assez vite. Je sais pertinemment que l’évitement n’est pas une solution, mais il me permet au moins de raccourcir les moments "chauds" et ainsi, les moments de tension. Car Christine n’est pas rancunière et le lendemain, elle a comme oublié la dispute de la veille au soir.

Si Christine est en congé entre Noël et Nouvel An, ce n’est pas mon cas car je travaille le jeudi et le vendredi. Le jeudi, je reçois une invitation d’Alina pour aller manger chez elle le lendemain à midi, comme la semaine précédente. J’accepte sans hésiter.

Je sais que nous allons coucher ensemble, mais Alina parvient à me surprendre. Par sa tenue, une magnifique robe portefeuille robe; par ses bas résilles; et surtout, par sa guêpière vert pastel. Et par le fait que nous couchons ensemble dans le lit "conjugal". Un rapport tendre, intense et émotionnellement fort, au terme duquel Alina me fait le cadeau de proposer d’elle-même une sodomie. Elle sait que j’aime cela. De son côté, elle n’a essayé que trois fois et pas ces dernières années. Je la prépare du mieux possible et parviens à glisser en elle et à jouir. Oh, une pénétration ni longue, ni profonde, mais largement suffisante à prendre son pied.

Nous ferons une seconde fois l’amour et passerons notre temps au lit. Le déjeuner se résumera ainsi à un sandwich que je mangerai seul dans la voiture en retournant travailler. Je me dispute avec Christine qui se plaint que je n’ai pas répondu au téléphone durant la pause.

Nous passons Nouvel-An en famille. A la base, nous devions rejoindre plusieurs amis mais notre fille est malade et nous restons entre nous. Christine me propose bien d’aller à la soirée. Alina y est. J’hésite mais refuse. Me retrouver seul en soirée avec elle représente un danger est trop grand à ce moment-là. Un verre de trop, le secret révélé et une famille qui explose. Je prends déjà assez de risques comme ça…

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