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Chute… – Chapitre 1

Chute... - Chapitre 1



[Cette histoire n’est pas de moi directement, mais de mon adorable petite chienne… Histoire en trois volets sur ses fantasmes les plus secrets, où elle me met en scène comme son bourreau…]

Il m’avait donné rendez-vous dans ce bar minuscule et sans charme perdu au fin fond d’une ruelle dans cette ville que je connaissais a peine. Sortie du travail en retard comme d’habitude, j’avais eu a peine le temps de parfaire mon maquillage, revérifié sans fois dans le miroir de la voiture que ces dix heures passées dans un bureau n’avaient pas entamé le peu de séduction qu’il me restait encore. J’avais renâclé à le rencontrer jusqu’au jour il ne me fut plus possible de reculer, à présent je me trouvais devant l’insigne dont le néon tremblotait sous la pluie battante, je tirai sur ma jupe trop courte , avec l’impression étrange que mon cul était a nu et que chacun pourrait découvrir l’absence de culotte à travers le tissus. Pourtant personne n’avait semblé même avoir l’ombre d’un doute, ni mon supérieur aux remarques et au regard lubrique ni ma collègue préférée, j’étais sauvée en partie, car la plus grosse épreuve m’attendait maintenant.

Je franchis l’entrée dument gardée par un molosse au regard baladeur et surtout scrutateur, j’essayai de ne pas rougir comme une collégienne et entrai dans l’antre peu éclairé a l’atmosphère étrange. "Glory box" passait en arrière fonds, un bar tout ce qu’il y a de plus traditionnel trônait au centre de la pièce , tout autour des tables avec des banquettes ou des couples discutaient sur un ton feutré, mais la lumière était si basse qu’il m’était difficile de les discerner vraiment. Alors je souris bravement au barman, qui semblait nettement plus réservé que le portier m’installai sur un des sièges a haut dosseret commandai un Mojito, qui ne serait pas superflu pour évincer une fois de plus cette maudite nervosité qui s’attachait a gâcher la joie de cette rencontre. Malgré mon retard il n’était pas encore la, du moins pas visible, alors pour tromper l’attente j’avalai gorgées sur gorgées sans prendre en compte mon estomac vide et la tête qui commençait a me tourner, le monde commençait a se teinter d’un brouillard anesthésiant, plus rien ne me semblait si étrange pas même le couple qui se pelotait éhontément a coté de moi en me lançant des regards appuyés, ce n’est que lorsque je sentis une main large et puissante entourer ma nuque, une autre se glisser sous ma jupette jusqu’à lintérieur de mes cuisses que j’atterris brutalement, il était la, il avait fondu sur moi sans même que j’ai le temps de parer. Tous les mots que j’avais préparés, la façon dont j’avais imaginé que se déroulerait la rencontre, tout s’envolait par magie. Il avait pris possession de moi avant même que le moindre mot fut échangé. Lentement il fit pivoter mon visage vers lui, sa main continuant de farfouiller sous les tissus pour obtenir confirmation de mon obéissance, je réalisai a peine que par réflexe mes cuisses sécartaient pour lui offrir laccès a mon sexe nu et totalement épilé.

Ses doigts frôlèrent mes lèvres intimes à l’instant ou nos regards se croisèrent pour la première, j’avais conscience de léclat apeuré que devaient renvoyer mes pupilles dilatés, de cette rougeur débile qui revient inévitablement envahir mes joues même a plus de trente ans, mais comment aurait il pu en être autrement devant cet être qui respirait la confiance absolue en son pouvoir, cette dureté du prédateur sur de son bon droit, il me terrifiait et mexcitait terriblement a la fois, je neus pas une fois seulement l’idée de me dégager, mon seul mouvement conscient fut de reposer le verre sur le comptoir quand ses lèvres vinrent se poser au coin des miennes. Il conservait l’emprise sur ma nuque tandis qu’il murmura quelques mots a même ma peau"bonjour mon esclave, tu as obéi..c’est un bon point, mais ça ne rachète pas le fait que tu m’as trop fait attendre"

Je fus soudain délivrée de ses mains aussi habiles qu’impatientes, pour me retrouver au bas du siège, le poignet pris en étau par sa poigne, je marrêtai de respirer sous son regard qui me détaillait de part en part, s’attardait sur mes seins pigeonnants mis en valeur par le décolleté de ma chemise"ça ira"*dit il simplement en m’entrainant a ses cotés, nous longeâmes un couloir puis enfin nous arrivâmes devant une sorte de vestiaire pour femmes. Il me poussa a lintérieur en me fourrant dans les mains une petite chaine et un flacon rose de lubrifiant. D’un ton sec et sans la moindre considération il me lança"mets la chaine autour de ta cheville et lubrifie tes trous.."*il allait faire demi tour puis s’arreta pour revenir observer mon visage blanc comme un linge dans l’encadrement de la porte, un sourire narquois étirant ses lèvres d’une dureté sans pareille"les deux bien entendu"*il leva la main dans les airs en guise d’évidence"et tu ne porteras rien d’autre que ce soutien gorge qui te fait des seins de salope"

Il me fallut bien quelques minutes lorsqu’il eut disparu derrière la porte close pour saisir ce qu’il voulait réellement, m’étais je fourvoyée au point de crorie qu’il s’agissait d’un rendez vous banal ou nous discuterions une fois de plus de la relation Maitre esclave de vive voix. Il fallait a présent se rendre a l’évidence et accepter de passer directement aux choses sérieuses. Jeus un regard de dédain vis a vis du lubrifiant, la nature m’avait préservé jusqu’alors de la sécheresse, au contraire la moindre caresse était souvent suffisante pour me faire mouiller, pour mon anus néanmoins s’il comptait passer a létape suivante directement ..j’hésitai puis décidai finalement de me dévêtir pour ne plus porter que le soutien gorge qui maintenait mes seins remontés comme des obus. Ensuite je glissai un peu de produit a l’aide d’un doigt dans mon vagin encore terriblement resserré puis a l’entrée de mon anus. Je rangeai rapidement le tout et fixai la petite chaine a ma cheville avant de ressortir de al pièce en quête de Marc.

Dire que jétais mal a l’aise aurait été un euphémisme, a peine son regard effleura t’il mes courbes que je fondis comme neige au soleil, ^perdis le peu d’assurance qu’il me restait. Il dut le comprendre car d’un bras protecteur il entoura mes épaules et me conduisit dans une autre salle.

Celle ci était nettement plus vaste que la première et encore plus sombre, d’abord je ne compris pas ce qui se trouvait au sol , ni la provenance de ses bruits étranges faits de gémissements de heurts, bruits humides de succion, avant de réaliser que les êtres qui se tordaient au sol dans un enchevêtrement de chair nétaient autres que des hommes et des femmes en plein accouplement. Je restai figée le temps d’intégrer et de comprendre, de dissocier pour mieux appréhender l’ensemble. J’avais encore conscience du bras autour de mes épaules, de la main qui caressait mes fesses, passait dans le sillon d’un doigt pour les écarter et glisser jusqu’à l’illet lubrifié, je percevais sa voix mais ne comprenais qu’a moitié ses mots: "tu vas te joindre a eux et te laisser faire sans protester, je te veux a quatre pattes, jambes écartées,c’est pas bien compliqué petite poupée salope"

C’était comme si je métais dédoublée, une partie de moi consciente refusait l’idée de participer a cette mêlée sexuelle, l’autre figée ne faisait qu’appliquer bêtement les ordres. Relâchée puis poussée vers l’avant je me retrouvais agenouillée au sol, un sein sorti de son bonnet pendant dans le vide, les jambes écartées, mes femmes relevées et ouvertes a disposition du premier venu. La vulve humidifiée parfaitement visible et mon petit trou tout aussi offert.

Je neus que quelques secondes pour vraiment observer ce qu’il se passait autour, des hommes et des femmes en train de baiser dans toutes les positions possibles et imaginables mais aussi des hommes avec des hommes et des femmes avec des femmes, parfois le tout mélangé, au sol, sur les banquettes, contre les murs..Si le bar était l’antichambre de l’enfer ici nous nous trouvions au sein de la fournaise. Très vite mon champs de vision fut obscurci par la un membre tendu présenté devant ma bouche, il força l’entrée de ma bouche avant de s’y enfoncer sans douceur, forcée a le sucer je m’y appliquai de mon mieux en tentant de ne pas métouffer, ma langue s’activait sans fin sur la longueur, de cette queue inconnue, sans que j’ose lever les yeux vers celui qui me l’imposait. Ma gorge se contracta autour alors qu’il s’enfonçait encore au point de mempêcher de déglutir, jétais au bord de la suffocation, et pourtant je mouillais, j’aspirais a plus, je commençais a sucer avec plus d’ardeur, comme si toute ma réserve s’était envolée définitivement. Soudain je sentis une main agripper mes cheveux pour les tirer vers larrière, alors qu’un jet de semence venait inonder mon palais, couler le long de mes lèvres jusqu’à mon menton, l’homme se retira me laissant lèvres ouvertes, et souillée"bonne chienne"*lança t’il a l’homme qui se tenait derrière moi et commençait a se placer entre mes jambes la queue raidie prête a m’enfourcher. "J’ai vu"*répondit cette voix familière qui dés me fit frémir des pieds a la tête , je n’osai bouger, ni essuyer mon visage collant, le cur battant, mon vagin tout aussi humide et avide dêtre emplie"pitié "*gémis je avec la crainte au fond de moi qu’il me laisse ainsi torturée et frustrée*

Il rit, le fourbe, avant de s’enfoncer d’un coup en moi si profondément qu’il heurta le col de mon utérus, la douleur sourde dans mon bas ventre me fit hoqueter, mordre mes lèvres jusquau sang"non..Marc.."*soufflai je, il l’entendit et la riposte fut foudroyante, il resserra la prise autour de mes cheveux et continua de me pilonner de plus en plus fort jusqu’à me faire crier de douleur et de plaisir mêlés, d’autres queues se présentèrent devant ma bouche que je dus avaler, sucer sans discontinuer , j’en perdais le compte, certaines étaient enduites de la cyprine d’autres femmes, certaines venaient gicler leur trop plein de semence sur ma langue ou sur mon visage.

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