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Claude, cette femme en moi. – Chapitre 9

Claude, cette femme en moi. - Chapitre 9



Nous passèrent une bonne partie de la nuit à nous occuper de Jessica.

Nous la possédâmes sans pudeur, la douce docile se subordonnait à nos exigences. Après l’avoir outragée de tout notre art, nous l’attachâmes solidement sur le grand fauteuil de notre chambre.

Ainsi assujettie, nous lui enfoncèrent quelques godemichés dans ses orifices béants, trois par trous, plus un stylo feutre de belle taille obstruait les tréfonds de son méat.

Les piles étaient neuve, nous étions décidées à la laisser à son supplice, pendant que Aude et moi recommencerions nos ébats, sous ses yeux envieux.

Nous posâmes avant quelques pinces à linge sur toute sa poitrine, et commencèrent à nous adonner l’une à l’autre, devant une Jessica dans l’impossibilité de se mouvoir.

Nous finirent par nous endormir, notre soumise n’eut pas cette chance, le doux ronronnement des jouets lui rappelait sans cesse que les vagues de jouissance qui la submergerait, se succéderaient sans fin, jusqu’à la fin des batteries.

Tard dans la mâtiné, nous la détachâmes.

D’énormes coulées de mouille ruisselaient sur ses jambes et descendaient à ses pieds pour finir par former une flaque copieuse.

Nous la laissèrent se reposer, elle l’avait méritée.

Le soir, après nous avoir refait une beauté capillaire, elle retourna chez elle, repue et heureuse, avec chevillé au corps, le secret espoir de nous revoir bien vite.

En la regardant partir, Aude me susurra à l’oreille:

" – J’espère que tu as bien vu comment je faisais avec cette petite traînée, libre à toi de t’exercer sur ta chérie qui t’aime… "… et l’anaconda reprit du service.

Puis une fois son ouvrage terminé, il fut remplacé par mon bras enfoncé jusqu’au coude, bientôt rejoins par celui qui me restait.

Aude jubilait, elle venait d’exaucer un souhait, celui de se donner totalement à moi.

Les semaines passèrent, Noël approchais, et se serait bientôt les vacances et la joie de nos retrouvailles avec maman.

Je comptais les jours, Aude aussi, la perspective de retrouver le doux minou de ma mère, de se montrer impudique avec elle, sous mon regard bienveillant, tout cela aiguisait sa gourmandise.

Noël arriva, nous avions décorés la maison de boules multicolores, de guirlandes magnifiques.

Un grand sapin égayait le salon, une belle vaisselle rouge et or avait été achetée pour l’occasion et était mise sur la belle nappe blanche, tout était prêt.

La dinde accompagnée de marrons rôtissait au four, le foie gras préparé, les amuse-gueules disposés sur la petite table, le champagne dans son seau attendait d’être servi.

On sonna à la porte, je couru ouvrir. Maman était là, je l’embrassais tendrement.

Derrière elle j’entendis une petite voix.

Agnès toute courbée par le poids de son sac de voyage était là, tremblante, peut-être un peu de froid, mais surtout de me revoir.

"  – Je me suis permis d’inviter Agnès. ", me dit ma mère.

" – Elle ne va pas très bien… ", rajouta t-elle, puis elle se précipita vers Aude pour l’embrasser, la passion aux lèvres.

J’étais stupéfait, Aude pas du tout.

Elle devait avoir été avertie par maman de sa drôle de surprise, je la fis entrer, la débarrassa de son bagage, de son manteau et commença les présentations.

Aude lui fit une bise, comme si de rien n’était et lentraîna au salon.

Je la regardais, pour une dépressive ou une malade elle était bien élégante.

Une petite robe noire à volant, de jolis escarpins, une charmante coupe de cheveux; ma transformation m’avait donné le goût de ce genre de détails.

Agnès n’avait pas l’air surprise, ma transformation ne la choquait guère, cependant elle évitait de croiser mon regard, et semblait se donner une contenance en discutant avec Chantal et ma chérie.

Aude me confia alors, qu’elle avait été avertie de cette invitation surprise, et qu’elle n’y avait vu aucune objection, ne pouvant rien refuser à sa douce Chantal, pendant ce temps là, elle lui flattait la cuisse de sa main gourmande.

L’apéritif prit, nous nous mîmes à table pour réveillonner.

Agnès en face de moi à la gauche d’Aude, maman à mes côtés, le repas était délicieux, le dessert divin,

A un moment, pour ramasser ma serviette, je glissais un regard sous la table, Aude avait retroussée la robe d’Agnès et la main dans sa culotte lui flattait le minou.

Je me redressais furibond, mais Ma Tendre Moitié me rassura du regard, tout était sous contrôle, et puis c’était Noël…

Alanguies sur le canapé et les fauteuils du salon nous prirent un petit digestif.

Nous discutions sans cesse, parlant de tout et de rien, latmosphère était détendue, propice aux confidences.

Maman, l’air un peu grave m’expliqua alors la présence d’Agnès.

La petite déprimait depuis notre séparation, elle avait tissée des liens étroits avec ma mère, qui touchée par sa tristesse avait finit un jour, par lui avouer ma transformation.

Agnès lui avait alors confessée ses penchants inavouables et sa peur de passer à l’acte.

Toucher un corps de femme elle en avait tellement envie, mais aussi redoutait-elle de le faire…

Elle restait là, en lesbienne honteuse, à se morfondre de m’avoir perdue, moi son délicieux substitut.

Chantal illico avait téléphonée à Aude, pour tout lui raconter…

Les deux femmes se mirent d’accord pour fomenter cette petite surprise, en espérant que cela me plut.

Agnès, silencieuse me regardait, les larmes débordait de ses yeux.

Alors je me levais, et l’embrassais:

" – Je suis heureuse que nous soyons réunies ! ", lui glissais-je.

Minuit sonnait, et Aude un petit peu pompette s’écria :

" – Ouvrons nos cadeaux, le Père Noël est passé !?!", comme une petite fille impatiente, elle ne pouvait plus attendre.

Elle voulait déballer ses paquets et nous offrir les siens.

Alors comme des folles, nous nous ruèrent sur le sapin.

Maman nous avait offert à toutes trois un parfum, Aude m’offrait de beaux dessous, un peu coquin, moi j’avais fait de même.

Ma mère reçu de notre part un joli bijou.

Agnès m’offrit une très belle trousse de maquillage, et des boucles d’oreilles à mon adorée.

Aude lui tendit un paquet, dedans elle y trouva un livre illustré:

Le Kamasoutra saphique, expliqué aux honteuses.

" – Pour parfaire ton éducation, comme maintenant nous sommes amenées à nous revoir !", lui lança t-elle.

Puis Aude nous tendit à maman et à moi deux autres cadeaux.

" – De ma part Chantal, et le tien ma chérie c’est un présent pour moi, j’espère qu’il va te plaire !".

J’ouvris le paquet, à l’intérieur, une tenue de soumise de cuir et de latex, avec tout les accessoires.

Maman avait la même… et brandissait fièrement le gode ceinture qui l’accompagnait, en riant.

Les deux furies partirent à l ’étage pour essayer leur cadeaux, elle redescendirent vingt minutes plus tard, hilares…

Elle était tout en noir, avec de grandes cuissardes à talons, des bas de dentelles couleur nuit ornementaient leurs cuisses.

Les seins sortaient de deux trous pratiqués sur la poitrine, la culotte était ajourée pour avoir accès aux fesses et à la minette.

Un collier de chien clouté agrémentait leurs cous.

Je m’aperçus soudain que la vulve de maman était lisse, elle s’était épilée pour l’occasion…

Les chipies sassirent sur la canapé et commencèrent à se galocher tout en se frottant la poitrine.

Aude et maman se tournèrent vers moi et me dire:

" – A toi le choix de nos jeux… ".

Je regardais Agnès, cette vision lexcitait, dans son il je vis qu’elle m’implorait de l’initier.

Je la fis se lever, et l’approchais du canapé, jordonnais aux filles d’écarter leurs jambes et de présenter leurs minettes.

" – Agnès ! lèches les à tour de rôle, jusqu’à ce qu’elles aient jouit au moins trois fois chacune !"… et Agnès s’exécuta…

Elle se pencha sur le sexe d’Aude, et débuta son labeur, elle la lécha avec timidité mais très vite sa bouche devint plus gourmande.

Elle retroussa les lèvres pour en sucer chaque replis.

Aude elle, travaillait le clitoris de maman comme pour ne pas la laisser en reste, rendant l’attente des câlins d’Agnès plus doux encore.

La petite goudou s’appliquait, son visage commençait à briller de la mouille abondante, puis très vite, elle passa au ventre de ma mère… et repris les mêmes douceurs sur sa chair exacerbée.

Maman caressa alors Aude, lui rendant la pareille.

Elle les lapait maintenant avec fougue, alternant les vagins si délicieusement offerts.

Les deux quinquagénaires sous la puissance des caresses commençaient à haleter.

Agnès se fit plus habile, plus friponne, elle flattait de ses doigts les orifices dilatés, les vagins, les anus mais aussi les méats grands ouverts à force de flatterie buccales.

Les chattes se succédaient sous les jeux polissons de la langue de la petite.

Elle glissait maintenant ses mains à l’intérieur des vagins détrempés, en fouillait les abîmes, consciencieuse, appliquée.

Elle s’aventurait toujours plus profond, et ses mains toute entières disparurent dans les cons humides.

Aude et Chantal jouirent en même temps, mais Agnès avait bien compris sa première leçon, les faire atteindre l’orgasme au moins trois fois chacune, et elle reprit soigneusement sa tâche.

Elle les lapa méticuleuse, pour leurs redonner un orgasme.

Le visage d’Agnès était imbiber de jus d’amour, et elle continuait focalisée sur sa besogne, s’abreuvant des jus exquis, se repaissant des sécrétions vaginales de ces dames.

Les deux maîtresses initiatrices, furent encore et encore satisfaites, au cinquième orgasme, elles déchargèrent ensemble sur la face de lapprentie lesbienne, deux jets vigoureux.

Agnès ne détesta pas cette douche improvisée, ni les léchouilles goulues sur son visage, de ses deux professeurs.

Maman et Aude, se rassirent et écartèrent en grand leur vagin dilaté, pour que je puisse y voir leur contentement.

Les utérus des deux belles était dilatés à lextrême, étaient grands ouverts, Agnès les avaient taraudés de la dextérité de ses phalanges.

Je la laissais reprendre ses esprits et quelques force, elle allait en avoir besoin, la leçon débutait à peine…

Mais déjà, lexquis duo exalté reprenait ses embrassades.

Je les fis se mettre à quatre pattes sur le canapé, et intimais à Agnès de s’occuper de leur petit trou, celui si souvent ignoré mais qui aime tellement être dorloté.

Mademoiselle leur bouffa le cul avec félicité, Aude et Chantal étaient aux anges, elle le furent encore plus, lorsque je redescendis, la boite de jouet de mon aimée dans les bras.

Alors, Agnès les engoda allègrement.

Je devinais son émoi, les défoncer de gros jouets la mettait en transe.

Les culs répondaient en rythme, toutes trois étaient en furie.

Elle les fessaient, leur mordaient les fesses, parfois même elle sortait un olisbos et le léchait avec frénésie, avant de le replonger dans les entrailles d’où il avait été extrait.

Une heure plus tard, leurs doux calvaires achevés, chacune un trou béant en guise de fion,…

Je les laissais récupérer un peu, et laissais le trio s’avachir sur le sofa.

Elles restèrent mêlées, enlacées, se choyant mutuellement.

Agnès avait été très docile, j’ouvris une bouteille de champagne, il fallait fêter sa révélation.

Nous burent quelques coupes bien fraîches, la douce boisson nous revigora.

Maman attrapa la bouteille encore pleine et se l’introduisit dans le con, puis s’étant caressée avec elle, elle l’a sortie et la passa à Aude qui fit de même.

Le flacon maculé fut tendit à Agnès qui but au goulot, étanchant sa soif de Dom Pérignon et du divin nectar de ces dames.

Il était temps de s’occuper d’Agnès, elle l’avait mérité.

Aude et ma mère enfilèrent des godes ceintures et les lubrifièrent avec application, la deuxième étape allait pouvoir commencer.

Elles s’agenouillèrent de part et d’autre de la novice, l’une prit en bouche le minou baignant de cyprine, l’autre s’occupa de léchouiller son petit trou.

Agnès vacillait d’avant en arrière sous les pourlèches.

Elle s’accrochait à la tête de Chantal, ses yeux fermés dévoilait son trouble, la Miss adorait cette douce câlinerie.

Les filles n’en narrêtaient pas pour autant le balais de leur langue, bien au contraire, et en rajoutaient même.

Elles jouaient de la pointe, explorant toujours plus loin les orifices d’Agnès, après le premier orgasme, elle commencèrent à jouer de leurs doigts.

D’abord un, enfoncé en éclaireur, mais bientôt toute la troupe de la main les rejoignirent.

Les orifices d’Agnès étaient sous le feux croisé de lassaut des deux langues et des phalanges fouineuses.

Pour Aude et Chantal, c’était le temps de la régalade, en goûts et en émotions.

Agnès hurla de jouissance, mais rien n’y fit, les deux résolues à la faire chavirer avant le grand tourment, continuaient leur labeur… et Agnès hurla de nouveau une troisième puis une quatrième fois.

Elle ne tenait plus guère sur ses jambes, il fallait l’asseoir, Aude s’installa sur le sofa, elle attira à elle Agnès, maintenant chancelante sur ses appuis.

Elle lui fit écarter les cuisses, et présenta son jouet à l’entrée de son trou. Agnès s’empala dessus, il ne rentra qu’au trois quart, le toy était de taille importante, mais c’était sans compter sur Chantal, qui s’appuya lourdement sur les épaules de la soumise, et enfonça le gode en entier.

Il butait à l’entrée de son utérus, désireux d’y entrer plus profondément encore si cela pouvait être possible.

Maman s’enfonçait maintenant dans l’anus dilaté d’Agnès, au bout de quelques rapides allés et retours, elle atteignit enfin la garde, butant sur ses sphincters.

Alors les deux chipies commencèrent leur travail de sape sur les orifices écartelés. Elles la limaient en cadence, avec méthode et gourmandise.

L’apprentie lesbienne subissait sans faillir, déjà elle était dans un autre monde.

Prise en sandwich, elle hurlait de bonheur par ces vigoureuses intromissions.

Chantal et Aude la fourraient copieusement, sans aucun ménagement, lui tordant la pointe des seins, lui tirant les cheveux.

Agnès jouit une première fois, mais l’agacement de ses trous était loin d’être terminé.

Les deux maîtresses échangèrent leurs orifices, et reprirent le long travail de défloration des cavités de la petite.

Aude maintenant lui pénétrait avec force le colon.

Elle adorait cela, dilater des culs de filles, c’était son plaisir, là elle se lâchait avec puissance et euphorie.

Agnès recevait sa douce punition avec allégresse, elle sentait les deux jouets monstrueux qui se frottaient à travers les replis de son bassin.

Ils s’entrechoquaient à travers la fine membrane séparant son vagin de son colon, elle nageait dans l’extase, et se mit bientôt à jouir en continu.

Tout était exacerbé, les longs tubes fouillant ses recoins, ses seins que Chantal pétrissait, torturait ou flattait de ses lèvres gourmandes.

Sa main sur son clitoris, l’autre qui fouinait dans sa chatte pour l’élargir encore et encore et finir par se la porter à la bouche.

Les fessées que Aude maintenant lui administrait tout en l’insultant… ou alors tout simplement, l’envie que son ex, celui qu’elle aimait toujours, la prenne enfin…

Agnès exténuée, finit par s ’effondrer.

Elle était pour un temps repue, mais tellement envieuse à l’idée de continuer, avec Claude, pour espérer redevenir enfin sa chérie, sa moitié.

Elle resta vautrée sur la canapé, ses trous ruisselaient… les deux femmes en douces chéries la câlinèrent.

Mais cette fois si en petites caresses, pour l’apaiser dans sa chair meurtrie.

Chantal et Aude se prirent par la main et nous laissèrent, elle souhaitaient se "détendre" encore un peu à l’étage, mais avant maman se retourna vers moi.

" – Prends bien soin d’elle, pour sa première fois elle n’a pas démérité.", me glissa t-elle, et elle s’éclipsèrent à l’étage.

Je pris Agnès dans mes bras, et la montait en haut, dans l’autre chambre.

Je l’allongeais sur le lit.

Elle me regardait lascive lorsque je me déshabillais. Je ne gardais que mon soutien gorge, mes bas, et ma jarretière.

Je vins m’allonger sur le lit, à côté d’elle.

Elle effleurait mon sexe de la pointe de son index, puis descendit sur mes bourses.

Elle les flattaient gentiment par de suaves frôlement, et sa langue sur ses lèvres s’enroulait d’envie.

Elle me dégrafa mon balconnet pour libérer mes seins.

Je vis dans son regard la convoitise qu’elle avait pour mes deux friandises.

Moi je la laissais faire.

Alors doucement, elle commença à me téter. Ce n’étais que douceur, elle les suçait avec lenteur et délectation, c’était la récompense qu’enfin on lui accordait.

Elle goûtait mes pointes comme deux petites cerises qu’elles faisaient rouler entre ses lèvres.

Elle s’enhardit progressivement, et commença à laper mes mamelons, m’avalant jusqu’aux aréoles, les pinçant, les tordant, les pétrissant frénétique dans ses petites mains, et tout en se réjouissant qu’enfin je la laisse goûter à ma gorge, elle libéra une main et la descendit sur mon ventre, puis de plus en plus bas.

Je sentais sa paume qui courrait de ma verge à mes testicules, et fus surpris qu’elle me caressait comme Aude.

Lentement sa menotte coula plus bas, effleurant ma peau, elle dévalait mes fesses, ma raie, rasant mon anus comme si elle hésitait à le déflorer.

Lorsqu’elle repassa sur mon petit illet, je la maintenais en place en lui serrant le poignet.

Elle compris mon audace, et m’introduisit timidement un doigt.

Moi je commençais à caresser ses deux orifices, une main par devant, l’autre par derrière. Je m’appliquais sur ses trous tant malmenés par mes deux furibondes.

Son ventre était trempé et la mouille ruisselante achevait de la lubrifier jusqu’à l’anus, ou je m’y introduis.

Ma main toute entière était dressée dans son cul, seul mon pouce à l’extérieur continuais de lui flatter le coccyx, et déjà dans son ventre je faisais de même la déflorant jusqu’au poignet.

Agnès ronronnait de plaisir, libérée de me savoir enfin en elle, d’être explorée sans retenue dans ses gouffres détendus.

Elle me mangeait les seins, gloutonne et câlinait ma raie.

Elle s’allongea sur le côté, je poursuivais mes explorations, intensément encaissée, maintenant mes bras tout entier la fouillaient sans pudeur, courtisant ses replis, jouant à joindre mes menottes l’une à l’autre à travers ses muqueuses, et elle jouit… jouit encore sans interruption, son coït brutal la cambra sur le lit.

Nous restâmes un long instant, lovées l’une dans l’autre, et dans un susurrement elle me glissa ce simple mot:

" – Encore…".

Allongées l’une sur l’autre, nous nous frottions passionnément.

Son délicieux minou gluant lubrifiait ma verge, mes testicules, et souvent elle agaçait son clitoris de la pointe de mon gland.

Elle se mit en face de moi, écartant mes jambes pour y emboîter les siennes, et repris son massage.

Elle maintenait ferme, mes bourses à l’entrée de son trou béant les faisaient rouler sur ses lèvres, son clito, son petit trou qui pisse… puis en les poussant avec doigté, elle les entra au fond de son vagin.

Agnès pris ma turgescence et la courba pour l’introduire, ma verge rejoignit mes gonades.

Son ventre était détrempé de jus d’amour, et mon service trois pièces bien au chaud commença à être soumit aux contractions de sa chair.

Mes boules roulaient, entrechoquaient ma pine, elles senfoncèrent plus loin encore.

Je sentais mon gland frôler son utérus.

Nous étions maintenant collées l’une à l’autre, fesses contre fesses, nous tirions nos jambes écartelées pour que je puisse descendre toujours plus intimement dans sa cavité.

Là je compris que Maman et Agnès avait fait plus que de l’informer.

La Miss était bien briefée, et s’appliquait à me donner tout le plaisir que ce type de pénétration me procurait.

Agnès me maintenait fortement en elle, et empêchait toute retraite.

De l’agilité de ses doigts, elle se masturbait avec rage le clitoris, ouvrant grandes ses lèvres pour que je puisse deviner son excitation.

Je voyais son urètre distendue, et pour parfaire ma délectation mais aussi sa réjouissance, elle y entra tout entier son index, et le fit coulisser frénétiquement dans le petit réduit de sa cavité.

Elle me pissa dessus de jouissance, moi j’inondais sa vulve de rafale de sperme, mais je ne débandais pas, mon petit dix centimètres restait inexorablement dur.

Baignant dans ma semence, mon pénis m’implorait de recommencer nos ébats, de garder cette délicieuse intromission pour remplir son ventre à nouveau.

Et nous renouvelèrent notre copulation, soudées l’une à l’autre, Agnès comblée de tout mes attributs, gorgée du jus abondant qui n’arrêtait pas de jaillir en elle.

Nous savourèrent ces nombreux moments d’extases, ils se succédaient sans discontinuer, nous emportant aux limites de la syncope.

Repues, remplit et vidée, nous finirent notre union en un délectable soixante neuf.

Je bus tout mon foutre qui ruisselait en cascade de sa chatte, et elle se régala à me nettoyer de sa langue.

Au matin, Aude et ma mère nous rejoignirent au lit, pour un délicieux réveil.

Les choses ont changées, bien avancées même.

Maman à louer son appartement et est venu s’installer à la maison, elle partage désormais la chambre d’Aude.

Agnès aussi vint à la maison, nous partageons le même lit.

Elle a prit en main la partie administrative de mon activité professionnelle.

Jessica s’occupe régulièrement de nos coiffures, pour notre plus grande joie, elle à d’ailleurs depuis peu, sous nos conseils, intégrée à sa clientèle privée la chère Madame Mercier; mais cela c’est une autre histoire…

Aude et maman sont parties trois mois, avec une association lesbienne, faire le tour du monde des capitales saphiques.

Chaque semaine nous recevions de leurs nouvelles, par mail sous forme de vidéos et de photos qui nous racontaient leurs frasques…

Je me suis fait opérer quatre ans plus tard en Thaïlande.

Mais trois ans auparavant, la vie nous avait comblées d’une délicieuse surprise.

Mon sperme malmené par mon traitement hormonal n’en était pas moins resté vigoureux.

Ambre est arrivé dans notre vie un beau matin de printemps.

Elle comble d’amour, sa mamie Chantal, sa tatie Aude et ses deux mamans.

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