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Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout – Chapitre 2

Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout - Chapitre 2



La capacité de Mathilde à partir en délire complet, de changer d’avis, de comportement, d’humeur du jour au lendemain, voire dun moment à lautre, vient en réalité du fait qu’elle est cyclothymique. La cyclothymie est un trouble de l’humeur allant de la forme la plus légère à la plus grave, proche de la maniaco-dépression. Ce trouble est caractérisé par la fluctuation anormale de l’humeur, qui oscille entre des périodes d’excitation marquée et de mélancolie profonde, entrecoupées de périodes de stabilité.

Par exemple : Un jour, nous sommes allez faire les boutiques de fringues. Ce n’est pas mon activité préférée, mais je m’y plie pour lui faire plaisir. Nous entrons dans un magasin, Mathilde prend quelques habits puis s’engouffre dans une cabine d’essayage, j’attends patiemment qu’elle m’appelle pour lui donner mon avis, mais au bout de 5 minutes, elle sort de la cabine comme une balle, reposant les fringues. Je lui demande ce qui se passe. Et là :

— Y a rien qui me va. De toute façon je suis un boudin.

— Mais non pourquoi tu dis ça ?

— J’en ai marre. On rentre.

Et voilà, la journée était terminée. Soixante kilomètres pour cinq minutes de shopping. Nous sommes rentrés, elle s’est fourrée dans le canapé devant la télé et ne m’a pas décroché un mot avant que son cycle ne soit terminé. Ça a duré 4 bonnes heures. En vingt en de mariage, j’ai des centaines d’exemples aussi fous les uns que les autres.

Mais revenons à nos moutons.

Nous y voilà c’est le jour du grand départ. Il fait beau, chaud même, la voiture est prête, Mathilde est vêtue d’une robe d’été légère maintenue par deux petites bretelles et une paire d’espadrilles, un petit string et un soutien-gorge sans prétention. Je suis en jean, tee-shirt et basket, tenue décontractée pour la route. Nous embrassons tout le monde et déjà, alors que Mathilde fait au revoir à tout le monde, mon esprit vagabonde. Un coup de coude bien placé dans les côtes me rappelle à la réalité.

— Ouchh

— Fais leur signe, bon sang.

— Oui, oui

Quel fichu caractère. Va falloir manéger la bête pendant presque 4 heures pour qu’elle arrive dans les meilleures dispositions. Le trajet se passe sans encombre, la route est déserte.

Durant le trajet mon esprit vagabonde. Par moment, j’imagine ma femme, une fois de plus, dans un monstrueux Gang Bang en train de sucer des gros membres, de se faire défoncer par plusieurs hommes en même temps. Je me surprends à bander. Alors je glisse ma main sous sa petite robe pour lui caresser l’intérieur des cuisses. Elle me regarde, sourit, ferme les yeux, me laissant la caresser tendrement. Ses cuisses sont si douces. Je remonte encore et au moment où j’approche de sa chatte elle serre les cuisses et me demande d’arrêter. Je sens cette rage monter en moi. Je ne peux comprendre cette sensation qui m’envahit.

Nous sortons de l’autoroute. Il fait encore jour, nous roulons depuis 4 bonnes heures, il reste, 1h30 de route, il faut que je me lance. Nous y sommes presque, à peine quelques kilomètres.

— Tu veux qu’on s’arrête boire un coup ?

— Oui ce serait pas mal, j’ai soif. T’as une idée ? Il n’y a pas grand-chose d’ouvert.

— Oui, je ne sais pas. Écoute on verra bien en route, on va bien trouver quelque chose.

— Avec plaisir.

La tension est à son comble, je me sens transpirer, j’ai les mains moites. On y est presque, 20 kilomètres, à peine quelques minutes et on sera fixé. Je ralentis, j’aperçois la pancarte, je me lance :

— Et si on s’arrêtait là.

— Ou ça là ?

— Ben là !! Accompagné d’un signe de la tête, je désigne la pancarte qui grossit doucement.

— Non mais je rêve. Tu ne perds pas le Nord. Tu l’avais prémédité.

— Non !!! Dis-je en riant.

— Tien !! Mon il !!! Tu me prends pour une conne ? dit-elle en riant.

— Mais non mon cur, tu me connais.

— Oui, trop bien. De toute façon ils sont sûrement fermés, même les obsédés prennent des vacances. Dit-elle en éclatant de rire.

— Ah bon ? Tu crois ? Moi je n’en prends jamais.

Puis je tourne pour entrer sur le parking où déjà stationnent quelques voitures, de toutes marques et de toutes catégories.

— Tu vois eux non plus ne prennent pas de vacances.

— Pfff !!!

L’atmosphère devient soudain pesante, lourde à mourir. Je me gare, coupe le moteur, regarde ma femme qui regarde le bâtiment, dubitative.

— Bon ben on y est. Dit-elle, d’un ton excédé. Je te préviens le premier qui me touche je lui pète sa gueule.

Le ton était donné. Va falloir marcher sur des ufs. Comme dirait l’autre : ça va être chaud patate.

Chose que j’avais complètement zappée. C’est le coup du casier qu’on vous donne pour que vous puissiez vous changer. Quand ça m’est revenu, j’ai été pris d’une bouffée d’angoisse, j’ai cru défaillir. Mais bon. Elle est sortie de la voiture, prête à y aller. Je ne risque plus rien de toute façon, les jeux sont faits.

Nous nous dirigeons vers l’entrée, je sonne, une femme ouvre :

— Bonsoir messieurs, dames

— Bonsoir.

— Entrez

— Merci,

Je laisse entrer Mathilde la première.

— C’est la première fois ?

— Oui, dis-je. Ça se voit tant que ça ?

— Vous inquiétez pas, on a l’habitude. Faut un commencement à tout.

Et là Mathilde :

— Oui !!! Et une fin aussi !!! Dit-elle sèchement en me regardant.

Je me suis senti m’effondrer. La dame a ri aux éclats.

— Bon ! L’initiative vient de Monsieur apparemment. C’est souvent le cas. Je vais donc m’occuper de vous. Suivez-moi.

Nous suivons donc cette femme qui porte un mini short noir avec fine bande de strass sur le haut, laissant voir le galbe de ses fesses. En haut un top à paillette attaché derrière le coup avec un décolleté vertigineux et entre les deux seins un joli petit pendentif, le tout se terminant par une paire d’escarpins relativement haut. C’est au moment où elle nous donne les clefs des fameux casiers que j’ai senti que ça allait, comment dire . Merder.

— Tenez les clefs de vos casiers respectifs, suivez-moi je vais vous montrer, puis vous me rejoindrez au bar, je vous ferai visiter.

Avec les clefs, elle nous tend 2 serviettes, ma femme reste bouche bée. Stupéfaite.

— Faut se déshabiller ?

— Oui madame, pour que tout le monde soit sur un pied d’égalité.

Mathilde me jette, à ce moment-là, un regard qui se passe de commentaire. J’ai cru mourir fusillé sur place. Nous allons donc de plus ou moins de bon gré nous déshabiller et attachons nos serviettes. Moi autour de la taille mon bidon par-dessus et ma femme autour de la poitrine sous les bras. La serviette s’arrête à mis cuisse pour elle, heureusement, elle est petite. Elle s’accroche à cette serviette comme à son dernier souffle. Je suis plutôt complexé de mon ventre depuis mon accident où j’ai pris 20 kilos, et je n’ai pas le courage de me remettre à faire du sport après presque 2 ans d’arrêt. Mais bon, il faut montrer l’exemple, alors j’essaye de détendre l’atmosphère.

— Je me demande où on va mettre la clé maintenant.

Et du tac au tac la réponse fuse.

— t’as qu’à te la foutre dans le cul. Connard

Une fois de plus le ton était donné.

— C’est délicat vraiment.

Elle éclate de rire et vient se coller contre moi en me souriant. J’étais sauvé et fier comme un bar-tabac.

Nous entrons donc dans la salle, une musique douce règne. Des couples, sur la piste, dansent doucement, d’autres sur les canapés discutent, un ou deux hommes seuls au bar regardent le spectacle qui leur est donné.

Nous approchons du bar et la dame nous réclame nos clefs afin de les garder au chaud. Voilà une bonne chose de faite. Un souci de moins. Puis on suit la dame qui nous promène de pièce en pièce et nous fait une visite guidée du club. Le Hamann, le sauna, la piscine à bulles, les coins calins, etc.

Elle nous offre un verre (sans alcool) au bar puis on discute, on papote. De tout de rien. L’ambiance se décrispe, le contact entre Mathilde et cette femme est plutôt bon. J’en fais même parfois un peu les frais, essuyant quelques boutades par rapport à mon physique. Moi j’en profite pour mater un peu l’étalage. Pas grand-chose à se mettre sous la dent. Quelques vieux libidineux, un ou deux couples, pas très beau d’ailleurs. Finalement les plus belles restent encore ma femme et la patronne. Décidément pas de bol.

Le temps passe doucement, et j’en profite pour entraîner ma femme au Hammam, je sais qu’elle adore la chaleur. Il fait chaud et humide, on se voit à peine. Une forte odeur d’Eucalyptus diffusée en brouillard. Tout cela nous amuse et on chuchote car nous ne sommes pas seuls. Effectivement, en face de nous, une femme s’active penchée en avant sur le membre d’un homme pendant que d’autres la tripotent sans vergogne. Les seins, la chatte, le cul tout y passe. Ma femme se colle à moi, ma main caresse sa cuisse doucement remontant vers sa chatte. Je masse doucement son clitoris insinuant un doigt dans son intimité. Elle me sert plus fort, puis se mets à respirer plus fort, plus vite.

Les hommes, soudain, se succèdent derrière la femme en de rapides va-et-vient laissant leur tour au suivant quand ils en avaient apparemment fini. Une dizaine dhommes défilèrent ainsi jusqu’ à ce que l’homme qu’elle suçait jouisse dans un râle rauque.

Ma femme soupire maintenant fortement, tremble fébrilement, frissonne, attachée à mon bras comme une moule à son rocher. Je la sens vulnérable. C’est le moment ou jamais de profiter de la situation.

— Suis-moi !!!

Je me lève l’entraînant hors du Hammam, et je me dirige vers un coin câlin. Un lit rond trône au centre de la pièce, volontairement je ne ferme pas la porte, je la jette sur le lit puis engouffre ma tête entre ses cuisses faisant voler la serviette au passage. Me voilà en train de lui dévorer la chatte comme jamais. Je bande comme un âne. J’en ai mal aux couilles tellement j’ai envie de la baiser. Mais je veux faire durer le plaisir, je veux qu’elle me supplie de la prendre, de la baiser, de la défoncer.

Je continue donc à lui sucer, lécher, bouffer, la chatte, mordillant son clitoris gonflé, elle soupire fortement, gémis plus bruyamment que d’habitude. Puis, je lui mets un puis deux doigts dans la chatte, elle mouille encore plus que chez mes parents, elle dégouline de mouille dans ma bouche. Maintenant je la branle, en même temps que je lui suce le clito. Et enfin le moment que j’attendais tant arriva.

— Baise-moi !!!

— Quoi ?

— Baise-moi j’te dis !!!

Elle me tire par les cheveux pour que je la prenne.

— Dis le plus fort

— BAISE-MOI !! dit-elle vraiment à haute voix.

— Tu veux que je te baise comment ?

— À fond

— A fond comment ?

— À fond comme une salope .

Enfin elle l’a dit. Je lève la tête et je vois que nous ne sommes plus seuls. Nous avons des spectateurs. Des hommes et une ou deux femmes sont là à nous regarder, la patronne aussi qui me fait un petit signe de la tête pour m’encourager. Ils ne font pas de bruit pour ne pas briser la magie de l’instant. La situation me rend plus hardi.

— Redis le plus fort, je veux qu’on t’entende

— Baise-moi comme une salope.

— Oui, je vais te baiser comme une salope que tu es.

Et joignant le geste à la parole, je m’enfonce en elle en missionnaire de tout mon poids. Lui collant ma bite bien au fond de la chatte. Je tape dans le fond elle grimace exprime sa douleur par un : AIE !!

Je ressors et recommence moins fort pour ne pas lui faire mal, mais bien a fond quand même. Je bande dur comme jamais, excité par la situation. Je la baise à fond par de grands coups de reins, ça glisse tout seul tellement elle mouille, elle râle, gémie.

— T’aimes ça salope, t’aimes ça te faire défoncer la chatte par une grosse bite. (Faut bien se faire des fleurs). Avoue que tu aimes ça espèce de grosse salope.

— Ouiiiii !!!

Et plus elle crie « oui » plus je la défonce. Puis je lui relève les jambes pour les mettre contre son torse, les genoux bien contre la poitrine. Enfin je l’ai mise à 4 pattes face à son public et je la prends en levrette. D’elle-même elle se cambre pour bien m’offrir son cul.

— Oui, vas-y cambre toi bien salope. Offre-moi ton gros cul. Tu vas faire une bonne pute je vais t’enculer comme une chienne, je vais te défoncer le trou du cul. Putain. J’étais comme fou.

Je me redresse, pointe mon sexe contre son anus.

— Vas-y écarte bien ton cul.

Avec ses deux mains, elle écarte ses fesses.

— Oui comme ça c’est bien, t’es belle.

Et après l’avoir bien lubrifié de sa mouille, je m’enfonce doucement, mais sûrement. En deux ou trois fois, je suis au fond de son cul. Elle pousse un long râle de plaisir et de douleur plus ou moins mêlé. Une fois au fond, je reste un court instant sans bouger, puis commence à bouger doucement en lent va-et-vient. Je vois son trou du cul s’ouvrir et se tendre sous la pression de ma queue et de mon poids. Je ressors complètement afin d’admirer le joli trou du cul qui palpite bien ouvert. Puis je m’y renfonce d’un coup. À fond, jusqu’aux couilles. Certains se sont déplacés afin de pouvoir admirer, eux aussi, le trou du cul dilaté de ma femme. Une fois bien dilatée, je me suis mis à l’enculer comme jamais je l’avais fait auparavant. Avec force, lui claquant les fesses, vociférant, l’insultant copieusement.

— Tiens putain. Regarde comme je t’encule bien maintenant. T’as vraiment un cul de pute. Hein que t’aimes te faire démonter le cul pétasse.

Et là oh surprise. Je n’en reviens pas.

— Oui. Oui. Oui. Encule-moi fort. Vas-y défonce moi le cul.

— T’es une pute.

— Oui. Vas-y plus fort. Encore. Ouiiiiiii.

Nous jouissons en même temps. Nos nous effondrons sur le lit, épuisés. J’ai bien cru que mon cur allait ressortir par la bouche et que j’allais crever là. Mais je m’en fous. Je suis le plus heureux et le plus fier des hommes. Ma femme a joui devant tout le monde. Et j’en suis la cause. Une fierté au-delà de ce qu’on peut imaginer. Oui j’étais fier.

C’est d’ailleurs tout aussi fier que je sortais du club, ma femme à mon bras épuisée. Nous sommes remontés dans la voiture. Elle s’est instantanément endormie. J’ai bien eu du mal à finir la route. Nous nous sommes couchés en arrivant sans un mot.

Je pensais avoir gagné. Je me trompais lourdement. En gros lourdaud que je suis.

..

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